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Christine (part 3) – Intermède chez nos ami

Christine (part 3) – Intermède chez nos ami



Dans la voiture, sur le chemin du retour, j’ai raconté à Franck notre discussion avec Christine ainsi que son invitation.
– Vas y si tu tu en as envie, m’a-t-il répondu d’un ton un peu sec. Moi je n’irai pas.
– Je n’ai pas spécialement envie d’y aller et surtout pas sans toi.
– Qu’en disent Fabienne et Cathy ?
– Elles sont partagées. Fabienne est partante mais Cathy n’avait pas l’air plus emballé que ça de s’y rendre. Elles doivent en parler avec Régis et Michel avant de se décider.
– Je n’ai pas vraiment envie d’y aller. Tu as vu comment elle nous a repoussé ? Il n’y a que les filles qui l’intéressent.
– Mais non , je viens de t’expliquer pourquoi !!! tu m’écoutes quand je te parle ?
– Évidemment que je t’écoute, mais je pense qu’elle vous a embobiné et puis on ne connaît pas son couple d’amis.
– C’est ce que je lui ai dit, figure toi en précisant que ça serai difficile avec des inconnus !!! Elle a répondu qu’on n’avait pas de soucis à nous faire. Ils ne se mélangeait pas.
– Alors quel intérêt de faire une soirée avec eux ?
– Mais j’en sais rien moi !!! Elle nous a simplement dit qu’elle se montrerait plus prévenante avec vous.
– On verra ce que décident Régis et Michel.
La discussion c’est arrêtée là et nous n’en n’avons plus reparlé jusqu’au jeudi, jour où, en soirée, Régis nous a téléphoné. C’est Franck qui a répondu, quand il a raccroché le combiné, il m’a dit :
– Cathy et Régis nous invitent demain soir avec Fabienne et Michel pour savoir si nous allons ou pas chez Christine le week-end prochain.

Nous avons donc été rejoindre nos amis le vendredi soir. Après avoir dîner, nous nous sommes retrouvés dans le salon. Chacun de nous avait, pendant le repas, avancé notre ressenti concernant l’invitation de Christine. Seul Franck a dit ne pas être chaud pour y aller, quant à moi j’ai avancé les mêmes arguments qu’au bord de la rivière. Cathy et Régis n’étaient ni totalement pour ni totalement contre. La seule condition était qu’ils ne venaient que si nous y allions tous. Fabienne et Michel étaient partant pour cette soirée. La discussion a donc continué en buvant notre café. Franck et moi avons compris que la décision nous revenait. Pour nous convaincre, Michel avança le fait que quoiqu’il arrive nous serions tous les six et que l’on pourrait s’amuser entre nous ou alors partir finir la soirée chez l’un de nous. Alors qu’il essayait de nous faire changer d’avis, Fabienne s’était lovée contre lui et sa main caressait lentement l’entrejambe de son homme.
– On dirait que ça te fait de l’effet de parler de Christine, dit Cathy en s’adressant à Fabienne.
– Je n’ai pas besoin d’elle pour avoir envie de nous faire plaisir, répondit-elle avec un large sourire.
– Ne vous privez pas pour nous, ajouta Régis. Je suis sûr que le spectacle sera de qualité.
– Parce que tu crois qu’on va juste rester spectateur toi ? Répliqua Cathy qui enlevait déjà son tee shirt.
Je regardais alors Franck, qui me lança un clin d’œil et s’empressa de descendre son bermuda et son slip sur les chevilles. Fabienne avait déjà sorti la queue de Michel de sa braguette et sa bouche s’activait à aller et venir. Régis avait enlevé son short, Cathy le branla un peu avant de se mettre à le sucer. J’ôtais rapidement ma petite robe et m’empressais d’engloutir la bite déjà tendue de Franck.

Après une ou deux minutes où nos bouches s’activaient sur les queues de nos mecs, Régis lança :
– Les filles, ça vous dit un petit jeu pour changer un peu ?
– Ça dépend, qu’est-ce que tu proposes ? Répondit Fabienne. Et vous autres ? Vous êtes partantes ?
– Ça dépend du jeu, ai-je répondu.
– Moi pareil, ajouta Cathy.
– Ça reste bien sûr pour du plaisir avant tout. Voilà il s’agira, les yeux bandés, de reconnaître sa ou son partenaire dans divers scénarios. Par exemple, vous les filles, on vous bande les yeux et nous, les mecs on vous donne notre queue à sucer. Au bout de 2 minutes, vous ôtez vos bandeaux et vous notez qui vous pensez avoir sucé. Et on recommence pendant 2 minutes, évidemment nous on change de suceuse. On fait ça 5 fois. Ensuite on fera la même chose mais cette fois on vous caressera la chatte chacun notre tour. On trouvera d’autres variantes au fur et à mesure. Ça vous dit alors ?
Fabienne, Cathy et moi nous nous regardés quelques secondes. Nous avions, je crois le même avis. Cathy répondit la première.
– Moi je suis partante, j’ai bien envie d’essayer, c’est bien excitant tout ça.
Fabienne et moi avons également confirmé notre envie. Aussitôt Cathy sortie du salon et revint deux minutes plus tard avec des foulards. Régis nous demanda de nous déshabiller complètement et après nous avoir bandé les yeux nous installa chacune dans un fauteuil. J’éprouvais une étrange sensation. Cette situation m’angoissait un peu mais je ressentais une certaine excitation. Un peu comme la première fois que nous avions rencontré nos amis au bord de la rivière.

– Bien, nous allons commencer le premier jeu qui s’appellera « La branlette de queues », annonça Régis. Il faut bien, mesdames, nous mettre en forme avant de pouvoir nous sucer. Attention, dans ce jeu, vous n’avez le droit que de toucher nos queues. Interdiction de toucher les testicules ou autres partie. Vous avez une minute dès que je donnerai le signal. Messieurs, à mon top, je vous invite à vous avancer devant une dame, à lui prendre une main et à la diriger vers votre sexe. Évidemment pas un mot ni un soupir. Voilà, vous y êtes. Top c’est parti pour une minute.

La bite que j’ai saisi n’était pas vraiment complètement au repos. Avant que Régis me bande les yeux, j’ai remarqué que Michel bandait encore. Fabienne ayant continuée à le sucer pendant que Cathy été partie chercher les foulards. J’ai commencé à le branler doucement de bas en haut puis je me suis attardé sur le gland. Je sentais le sang affluer et la queue gonflait.
– Top ! La minute est fine, lança Régis. Messieurs, venez vous joindre à moi. Mesdames, vous avez à coté de vous, une feuille et un stylo. Vous allez retirer vos bandeaux et noter sur la feuille le prénom du mec que vous venez de branler. Vous avez 30 secondes pour faire ça. C’est parti.
Je relevais mon bandeau et notais Michel sur ma feuille. Les trois hommes étaient de dos de l’autre coté de la table basse du salon. Je jetais un œil vers Cathy et Fabienne. Elles me firent une mimique que j’interprétais comme de la satisfaction.
– Mesdames, remettez vos bandeaux, nous allons passer à la deuxième branlette.
Nous avons répondu ensemble que nous étions prêtes.
– Messieurs, en place devant une nouvelle branleuse. Voilà. Comme tout à l’heure, top c’est parti.
Cette fois la queue était déjà bien raide et gonflée. Il m’a semblé reconnaître celle de Franck. Nous avons fait ce jeu 3 fois de plus durant une minute et j’avoue que je prenais du plaisir à sentir les bites bander sous mes caresses. Elles étaient différentes et n’avaient pas les mêmes réactions aux caresses. Je pense que Fabienne et Cathy l’avaient aussi remarqué.

Nous sommes passés ensuite au jeu de la pipe. Nous n’avions pas le droit de nous servir de nos mains. Il m’a semblé plus facile de reconnaître à qui je taillais une pipe. J’ai sucé d’abord Régis pendant deux minutes. Sa bite est un peu longue mais moins épaisse que celle Michel ou Franck. Ensuite, c’est Michel qui est passé dans ma bouche. Son gland est large. Puis c’est Franck que j’ai pompé, je la connais par cœur. C’est encore Régis le 4ème que j’ai sucé. J’ai entendu Fabienne dire avant de commencer le dernier tour :
– On a un bonus si on fait éjaculer le mec qu’on pompe ?
– Oui, tu es obligée de faire la même chose aux deux autres, répondit Régis en riant.
– Heuuu, alors les mecs si vous pouviez vous lâcher avec moi, ajouta Cathy.
– Vous avez 2 minutes pour faire ça les filles, c’est parti pour le dernier tour.
C’est Franck qui a eu ma dernière pipe.

Durant ce jeu, juste avant le top de chaque tour, j’avais le cœur qui battait de plus en plus fort et dès qu’un gland se posait sur ma bouche entr’ouverte, je sentais la mouille envahir ma chatte.

Nous avons fait ensuite une petite pause pour comparer nos premiers résultats. Nous ne nous sommes pas beaucoup trompées, ce qui a plutôt rassuré nos hommes. Le jeu suivant a été d’une grande intensité jouissive. Régis l’a nommé le « Cuni inconnu ». Les hommes changeaient de partenaire toutes les cinq minutes. Il n’a pas fallu longtemps pour me faire jouir, tout comme Fabienne et Cathy. Je crois que le fait de ne rien voir et de ne pas savoir qui vous suce le clito et fouille votre chatte de sa langue et des doigts décuple les terminaisons nerveuses. Il n’était plus question de s’arrêter entre les changement de partenaire. Le premier m’a faite jouir juste avant le changement. Je n’ai eu qu’une petite dizaine de secondes de répits avant que de nouveaux doigts s’enfoncent en moi et qu’une langue vienne titiller mon clito. Je ne sais plus combien de fois je suis partie, ni combien de fois il y a de changement de partenaire, et puis j’ai entendu Cathy ahaner de plus en plus fort, crier et dire que c’était trop et demander d’arrêter le jeu.

Je me redressais et enlevais mon bandeau. Michel était à genoux devant moi regardant vers sa droite. Je regardais dans la même direction. Cathy avait retiré son foulard et était en chien de fusil, son corps était secoué par des convulsions et elle ne cessait de répéter d’une voix saccadée : « Ah le salop !!! le salop … ». Elle mordait le foulard. Je tournais la tête de l’autre coté et j’ai d’abord vu Régis à genoux devant Fabienne avant de remarquer qu’elle avait aussi enlevé son bandeau. D’un coup j’ai réalisé que le « salop » était Franck. J’ai cru que mon cœur s’arrêtait de battre. J’ai regardé de nouveau du coté de Cathy et ce n’est que là que j’ai vu Franck, à genoux devant Cathy. Il venait de lui donner un orgasme visiblement intense. J’ai eu à ce moment là un immense sentiment de jalousie. Il lui répétait qu’il était désolé et demandé pardon. Je n’avais qu’une envie. Celle de partir, de sortir de cette pièce et de m’en aller loin d’ici. J’ai senti les larmes monter dans mes yeux. J’ai eu l’impression d’être humiliée, trahie par mon homme. C’est alors que j’ai entendu Régis dire :
– Franck, arrête de t’excuser. C’est le but du jeu de donner et prendre du plaisir. Aller Michel, fait partir Eve, je m’occupe de Fabienne.
Aussitôt dit, il replongea dans l’entrejambe offert devant lui. Je n’ai pas eu le temps de me dégager que déjà des doigts s’enfonçaient en moi tandis que d’autres pinçaient doucement mon clito. Une vague de plaisir a déferlé qui m’a faite ouvrir instinctivement un peu plus mes cuisses et vider totalement mon esprit des mauvaises pensées qui tentaient de s’installer. J’ai joui peu de temps après sans atteindre l’intensité de l’orgasme de Cathy. Fabienne aussi a poussé un râle lorsqu’elle a joui juste après moi. Franck était assis à coté de Cathy toujours en chien de fusil. Il lui caressait doucement le dos et les épaules.

Je m’étais dégagé de Michel, cherchant un peu à reprendre mon souffle. De son coté, Fabienne s’était mise à genoux devant Régis et avait entrepris de lui faire une pipe. Cathy, qui n’avait plus de convulsions, commençait également à sucer Franck. Je regardais Cathy s’activer sur la queue de mon homme. Les mauvaises pensées revenaient dans ma tête. Je voyais bien que Cathy cherchait à faire jouir Franck. La queue était tendue à son maximum, la bouche n’arrivait qu’à prendre la moitié de la longueur tellement la bite était gonflée et épaisse. D’une main elle caressait les testicules pendant qu’elle pompait le gland. Franck grimaçait, cherchant à se retenir. J’ai senti les larmes revenir. Je me suis alors levée et demandée à Régis si je pouvais aller boire dans la cuisine quelque chose de frais. Il m’indiqua la cuisine attenante au salon et m’invita à me servir dans le frigo.

J’ai pris un verre et sorti un bouteille d’eau minérale du frigo et je me suis assise sur une chaise. Je connaissais bien Franck. Quand il m’amène à un orgasme comme celui que Cathy vient d’avoir, il est au bord de l’éjaculation. Il lui est arrivé de m’asperger de son sperme chaud et épais quelques secondes après m’avoir faite partir. J’ai bien vu les yeux de Cathy regardants Franck alors qu’elle enfonçait sa bite dans la bouche. C’est ce que je fais quand je veux qu’il éjacule dans ma gorge et son regard était sans autre équivoque pour moi.
Je retenais mes larmes quand j’ai entendu Franck :
– Arrêtes Cathy, tu vas me faire jouir … je ne peux plus me retenir … arrêtes … arrêtes …
A peine 5 secondes après le « Harrrggg … » que je connaissais bien que Franck lance quand il libère les premiers jets de sperme. J’ai entendu ensuite Cathy toussait un peu et les petits rires de Michel, Fabienne et Régis… je n’ai pas pu retenir mes larmes.

Je pleurais encore quand quelques minutes plus tard, Fabienne et Régis sont entrés dans la cuisine.
– Qu’est ce qui se passe ? demanda Régis.
– Rien, ce n’est pas grave. Je suis désolée. J’aimerai prendre une douche, s’il te plaît Régis.
– Pas de problème, répondit Régis.
– Je vais te conduire, ajouta Fabienne.
Nous avons laissé Régis. Fabienne m’a demandé aussi ce que j’avais en allant vers la salle de bain. Je l’ai prié de ne pas insister. Après la douche, je suis retournée dans le salon, j’ai récupéré et enfilé ma robe. Cathy me demande une nouvelle fois ce que j’avais.
– Rien, ne vous inquiétez pas. Je suis désolée de troubler la fête, mais je suis fatiguée. Franck j’aimerai rentrer, s’il te plaît.

Durant la route du retour, nous n’avons échangé aucun mot. En arrivant, Franck a été se doucher et se coucher, je suis restée dans le salon, assise sur le canapé. J’y suis restée une grande partie de la nuit, mais ça m’a permis de faire le tri dans ma tête. Dès le lendemain matin, ma décision était prise. Je téléphonais à Cathy en début d’après midi :
– Cathy, je suis encore désolée pour hier soir, je me suis conduite comme une idiote. Tu peux confirmer à Christine que nous irons chez elle le week end prochain.
– Tu m’as fait vraiment peur. Je croyais que tu m’en voulais.
– Mais non, tu n’as pas à culpabiliser, c’est moi qui suis stupide. J’ai beaucoup réfléchi cette nuit et c’est toi qui m’a ouvert les yeux. Je t’en remercie. Je suis sûr que nous allons beaucoup nous amuser avec Christine et prendre beaucoup de plaisir.

…/… A suivre

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