Quand le Maître revins en fin de matinée, il nous trouve occupée à faire le ménage. Nadia m’a inséré un rosebud entre les fesses et il constate que j’évolue aisément ainsi pénétrée.
« Nadi ! Il me semble que vous êtes vite devenues copines, non ? »
« Oui Monsieur, votre soumise aime beaucoup que je m’occupe d’elle aussi. Vous l’avez bien choisie. »
« A quoi avez-vous joué Nadia ? »
« Oh, j’ai juste testé ces orifices avec quelques gabarits. Elle est un peu serrée du cul mais elle prend très bien et très gros par devant. Je pense que Martin se sentira bien dedans. »
« Nadia, s’il te plaît, ne brûle pas encore les étapes, tu veux. Tu t’amuses avec elle mais je décide des différentes étapes de sa nouvelle vie de vide couilles, ok ? »
« Oui Monsieur. Pardonnez moi cet écart Monsieur. »
« Elle t’aide bien ? »
« Oui, cela lui plaît de s’activer à poil avec le rosebud dans le cul. Pour tout vous dire, j’ai le mien aussi Monsieur »
Elle soulève sa jupe et se penche en avant pour lui montrer le plug inséré entre ses fesses.
« Vous voilà bien bouchonnées toutes les deux, c’est parfait. Si le sodomisateur passe, il trouvera porte close ! Bon, je reçois ce soir quatre amis pour deux jours. Tu nous prépares le repas »
« Oui Monsieur, j’ai une aide. Je prépare aussi les chambres. Trois, quatre ? »
« Trois mais probablement deux suffiront. »
Après le déjeuné, Le maître m’emmène au sous-sol. J’apprends que Nadia n’a pas le droit d’utiliser le sous-sol. Trois salles y sont spécialement équipées. Dans la première se trouve la croix tournante que j’ai déjà pu expérimenter.
Elle comprend aussi de nombreux autres appareils et instruments. Il m’installe sur un carcan en bois.
Mes chevilles sont prises dans des sangles en cuir et mes cuisses écartées offre un accès aisé par derrière. Mon Maître installe ensuite derrière moi une « fuck machine » et choisis dans la panoplie des accessoires deux godes moyens. Une fois les objets bien positionnés, il démarre la machine.
Les deux godes rentrent simultanément dans mes orifices et je commence à gémir de plaisir comme une salope.
« Voilà ta condition soumise. Je veux te voir prise ainsi sans ménagement et jouir coup sur coup autant de fois que je le veux. Cela va te servir d’entraînement pour ce soir avec mes amis. »
A chaque mouvement du bras supérieur, mon anus s’ouvre et se resserre lors du passage des anneaux dans un sens ou dans l’autre.
« Tu vois c’est un très bon exercice pour assouplir et dilater ta rondelle »
Immobilisée par le carcan je ne peux bouger d’un poil. Je subit les pénétrations régulières et mon souffle se fait de plus en plus rapide.
Le salopard décide de me mettre un sex machine dans la bouche. L’humiliation est totale.
« Ouvres et prends çà. » dis-t-il en poussant le gode entre les lèvres. Il enfonce de bouton et la machine se met en mouvement.A chaque pénétration, j’ai peine à reprendre mon souffle sous l’effet de l’excitation. Son téléphone sonne et il quitte la pièce me laissant à mon supplice. La conversation prend un peu de temps. Je suis pénétrée de partout en cadence et ne peux contenir ma jouissance. Je lâche des râles de plus en plus fort. Lorsque le Maître revient vers moi, j’ai déjà joui. La machine continue son œuvre et je commence à étouffer. Il arrête la machine qui me pistonne la bouche et me laisse reprendre mon souffle. « Pitiè Maître je n’en peux plus ! »
Il ne me répond et affiche un sourire laissant encore la double pénétration mécanique me provoquer un dernier orgasme sous le regard amusé de mon tortionnaire. Il arrête enfin la machine. Totalement épuisée, je lui dis :
« Maître, je n’ai jamais jouie de la sorte. J’ai cru mourir et que mon cul et ma chatte allaient exploser. »
« Puisque tu as le feu en toi, je vais l’éteindre par l’intérieur »
Se faisant, il présente son sexe devant son visage.
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