Histoires de sexe viol Histoires tabous

Belle Isa 4

Belle Isa 4



– Tu veux vraiment savoir ce qui s’est passé mon chéri ??
– Oui, Isabelle. Si je te demande, c’est que j’ai besoin de savoir.
– Bien, tu risques de te faire du mal pour rien, mais puisque tu veux savoir, pourquoi pas ?
– Eh bien je suis arrivée 9 heures, on m’a montré mon bureau, présentée à mes collègues, et j’ai commencé à travailler, comme toute nouvelle employée… Rien d’original à cela !
– Oui, mais concernant l’autre…
– Oh ! ne parle pas comme ça de Serge ! C’est mon patron, il est très gentil ! Bon, il baise ta femme, mais c’est bien pour ça que je suis là bas, non ??
– Puisque tu insistes et que tu veux tout savoir, je vais te raconter !
– Vers 10 h 30, il m’a faite appeler par sa secrétaire, je suis montée le voir, j’ai attendu un petit peu parce qu’il avait un rendez-vous et il m’a faite entrer.
– Ah ! Isabelle ! Je vous attendais ! Asseyez-vous !
– Bonjour monsieur
– Bonjour petite Isabelle…. Vous êtes bien installée ?
– Oui, mon bureau est superbe, et mes collègues ont l’air très très sympas !
– Très bien. Heureux que tout cela vous plaise… Moi, c’est vous qui me plaisez, Isabelle !
Isabelle se mit à rougir un peu.
– J’ai longuement parlé de vous avec mon père… Lui aussi vous trouve très craquante… D’ailleurs, je crois qu’il a déjà plusieurs fois fait l’amour avec vous… Non ??
– Oui, c’est vrai…
– Il m’a même confié que vous lui aviez offert votre voie la plus… intime… ?
Isabelle ne répondit pas et baissa la tête…
– N’ayez pas honte Isabelle ! C’est tout à votre honneur ! Cela prouve seulement que vous êtes une bonne salope ! et les hommes aiment les salopes !!
– Il n’y a pas de honte à se faire enculer, bien au contraire… Nous aurons l’occasion de vérifier tout cela, rassurez-vous !
– Dites-moi, il paraît que votre mari n’accepte pas facilement la situation ?? Répondez-moi ??
– Oui… Ca le travaille, disons, lorsque j’ai eu les… rapports avec votre père, il était gêné, disons un peu jaloux.
– Eh bien, il va falloir qu’il s’y fasse ! Et rapidement ! Je ne veux pas d’un mari jaloux qui va venir nous empoisonner la vie ! Mon père verra ça avec lui ! Quant à vous, vous avez intérêt à lui expliquer et qu’il comprenne vite, si vous ne voulez pas que notre accord soit rompu ! Vous avez compris ??
– Oui, oui monsieur… je lui en ai déjà parlé d’ailleurs… ne vous inquiétez pas, cela ne remet rien en cause…
– J’espère bien ! En tout cas, cette conversation m’a agacé ! Je ne veux plus entendre parler de lui !
– Parlons de choses plus agréables maintenant, et passons aux choses sérieuses…
– Qu’est ce que tu attends pour te déshabiller ? Allez, retire moi tout ça !
Isabelle retira sa veste, son chemisier, sa jupe…
– Très jolis sous-vêtements… Tu mettras désormais chaque jour porte-jarretelles et bas… Je te veux très raffinée et très aguichante… Compris ??
Isabelle acquiesça de la tête…
– Bien ! Retire le reste, dépêche-toi donc, ne me fais pas attendre !
Le soutien-gorge et le slip vinrent rejoindre le reste des vêtements entassés sur le fauteuil.
Isabelle était entièrement nue, debout, devant son directeur. Celui-ci vînt la rejoindre, passa derrière elle, lui embrassa délicatement le cou… Tout en l’embrassant, il lui susurra à l’oreille :
– Tu sais que tu as un beau cul, toi ?
Il en profita pour peloter les seins à pleines mains, à titiller les bouts…
– Là, ce n’est pas mal non plus dis donc…
Puis il descendit vers le sexe, caressa doucement et longuement la toison…
– Et j’adore ta petite fourrure…. Ta chatte blonde…
– Mais dis donc, petite salope, on dirait que tu mouilles déjà…?
Il se frotta le ventre aux fesses d’Isabelle…
– Regarde mon chou, dans quel état tu m’as mis… tu sens ma grosse bite contre tes fesses ?
– Oui… je la sens… elle est dure !
– Bien dure pour bien ramoner ta petite chatte !!
Serge se recula, se déshabilla en un temps record, et se retrouva nu, avec une solide érection au bas du ventre…
Il s’assit dans le second fauteuil, Isabelle s’agenouilla…
– Humm !!! oui… suce-moi bien comme ça… oui…
– Oh salope… tu suces bien… oui… pompe-moi bien…. pompe bien…
Isabelle s’activait sur la queue de son patron, l’engloutissait…
– Sors bien la langue… comme ça, oui… ta langue sur le gland ! Ouii….
– Assez ! tu vas me faire jouir !
Il se leva.
– Allez, grimpe sur le fauteuil, je vais te prendre !
Isabelle se mit à genoux sur le fauteuil, fesses bien offertes, et cramponna le dossier.
– Ahhh ! humm !
Le mâle l’avait pénétrée, et le va et vient commençait… lent au début, mais accélérant au fil des coups de boutoir…
– AH ! ohhhh !
– Oui ! tu la prends bien… Elle est bonne, ta chatte ! Tu sens comme ma grosse queue glisse bien ??
– Ahhh… oui…je la sens.. baisez moi…baisez-moi bien avec votre grosse bite !! Mettez-moi tout !
– Ca… ma chérie, je ne vais pas me priver ! je vais te défoncer la chatte !
– Humm…. oui prenez moi… baisez moi… baisez-moi bien à fond… ouiiii !
Serge accéléra les mouvements, défonçant Isabelle. La jouissance ne tarda pas à venir pour elle…
– Ahhhh je viens ! Je viens…. Oh salaud…. Je JOUIS….. ahhhhhh !! oui ….!
Il continuait à la limer de plus en plus fort, Isabelle n’en pouvait plus, hurlait maintenant son plaisir….
– JE VIENS ! JE PRENDS MON PIED ! SALAUD, JE JOUIS !!
Il se retira…
– Allez, maintenant, tu t’allonges sur mon bureau !
Isabelle obéit, et fût immédiatement pénétrée…
– Oh non ! je n’en peux plus… arrêtez… je vous en prie… non….
Serge ne s’occupait pas des supplications de la jeune fille et, de nouveau, la posséda vigoureusement…
Isabelle subissait le coït, les cuisses largement écartées, offerte, se caressant quelquefois les seins… A un moment, elle se caressa le clitoris et repartit pour un nouvel orgasme, ce qui déclencha celui de son amant…. Il se retira soudain, et…
– Ca y est ! tu me fais jouir….
– Tiens salope, tiens, prends mon foutre… prend ça !
Le premier jet de sperme atteignit Isabelle sur les seins tellement il était puissant, les autres atterrirent sur le ventre et sur la toison… le dernier sur la cuisse gauche…
Isabelle crût que Serge n’arrêterait pas d’éjaculer tellement les jets de sperme se succédaient, nombreux, et surtout abondant… Elle était couverte de sperme !!
Il lui remit sa queue dans la chatte, leva ses jambes sur ses épaules, et la lima quelques instants…
– Ahh… tu es bonne….
Il se retira… Isabelle était épuisée et restait nue, allongée, cuisses toujours écartées sur le bureau…
– Vraiment, toi, tu es un bon coup au lit… je n’ai jamais eu une baiseuse pareille !!
Il alla dans une pièce contiguë, se lava, et apporta une serviette à Isabelle, qui s’essuya tant bien que mal…
– Il y a un cabinet de toilette à côté, tu peux aller te laver !
Isabelle ne se le fit pas dire deux fois, et alla faire une toilette bien méritée…
Quand elle revint, Serge était debout près de son réfrigérateur, et avait sortit deux whiskies.
– Tiens, bois, cela te redonnera des forces !
– Dis-moi, quand tu as pris ton pied, tout à l’heure, tu as gueulé, tu as dû ameuter toute la maison… Maintenant, tu vas avoir la réputation d’être la pute du patron !!
Isabelle baissa la tête…
– Cela n’a pas d’importance, rassure-toi ! C’est moi le patron ! L’importance, c’est que tu sois toujours aussi docile, et que tu baises toujours aussi bien…
– Mais…. Il est déjà 11 h 45 ! C’est bientôt l’heure de la pause déjeuner ! Dis donc, tu n’as pas beaucoup travaillé, ce matin ! Il va falloir te ratt****r cet après midi. Je ne t’invite pas à déjeuner, car j’ai un rendez-vous d’affaires. C’est mieux pour toi, car sinon, tu y serais encore passée l’après-midi !
– Allez ! Rhabille toi et vas déjeuner ! Si j’ai besoin de toi, je t’appellerai !
Isabelle se rhabilla, se redonna une touche de maquillage, et sortit.
La secrétaire la regarda d’un oil moqueur et entendu.
– Bon appétit Isabelle !
Voilà ce que tu voulais savoir… L’après midi, j’ai travaillé comme n’importe quelle employée, et je suis sortie à l’heure prévue. Serge ne m’a pas appelée.
– Tu as vraiment joui avec lui ?
– Oui… il a une belle queue, et tu sais, une fois qu’un homme te prend, au bout d’un d’un moment, il faut laisser faire la nature… tout vient tout seul…
– Pour la lingerie, ce qu’il t’a demandé, tu vas obéir ?
– Oui ! Bien obligée… D’ailleurs, il faut que nous allions acheter des bas, je n’en ai plus beaucoup, et aussi deux ou trois porte-jarretelles, pour varier.
Ce soir là, nous sommes sortis acheter la lingerie prévue. J’accompagnai ma femme acheter porte-jarretelles, bas, slip, soutien gorge qui serviraient à exciter son amant.

Serge, le patron, avait donné des instructions précises : Isabelle devait être désirable, et constamment accessible à ses désirs sexuels…
Isabelle avait bien suggéré les périodes menstruelles, où elle serait indisposée, Serge lui avait objecté qu’il pourrait alors fort bien se servir et jouir de se bouche et de son cul…
Le lendemain, Isabelle mit un joli tailleur, avec jupe courte et veste croisée, et juste ses sous-vêtements dessous, agrémentés d’un porte-jarretelles et de bas noirs.
Elle portait des hauts talons, Serge ne voulait plus qu’elle porte d’autres chaussures au bureau ou lorsqu’elle sortirait avec elle.
– Très joli ensemble, Isabelle ! Félicitations !! Vous avez du chien… Vous feriez bander un centenaire…!
Serge se leva de son bureau, approcha d’Isabelle, l’embrassa, tout en passant la main dans l’échancrure de la veste, pour lui peloter les seins….
– Humm…. En plus, tu n’as rien dessous…. Rien que ton soutien-gorge… Tu es quand même une sacrée salope !!
Il continua à passer sa main dans la veste, Isabelle se laissait faire, puis il lui caressa le sexe à travers la jupe, puis remonta la jupe pour la caresser à travers le slip, pour finalement insinuer sa main dans la culotte….
– Tu commences à m’exciter, toi…
Il continuait sa manouvre…
– Qu’est ce que tu attends, petite gourde ?? Dépêche-toi de te déshabiller !! Tu ne vois pas que tu me donne la trique ??
Isabelle enleva sa veste, sa jupe…
Serge était déjà nu…
– Très jolis sous-vêtements !! Mais j’ai envie de baiser ! Vire le sous-tif et le slip !

Isabelle dégrafa son soutien-gorge, retira son slip. Elle demeura en escarpins, porte-jarretelles en dentelle noire, bas noirs.
Elle sait ce que son patron voulait.
Elle s’agenouilla devant lui. Le masturba. Le prit en bouche.
– Humm… une pipe pareille dès le matin… Rien de tel pour bien démarrer la journée… Suce-moi bien… Oui…. Comme ça… Doucement… doucement…
Isabelle s’appliquait. Le sexe gonflait entre ses lèvres, devenait de plus en plus dur, de plus en plus long…
– Arrête maintenant ! Je vais te prendre !
Isabelle se leva, se pencha, prit appui avec ses deux mains sur le bureau.
– Oui… offre bien ton cul… voilà…
Serge pointa sa queue à l’entrée du vagin et la pénétra.
– AH !
Il commença à aller et venir dans le sexe de la jeune femme.
– Huuum…. Oui, tu es bonne…
Serge limait doucement, accélérant peu à peu le rythme, arrachant des soupirs à la jeune femme qui sentait en elle le sexe, dur et gonflé, bouger en elle…
Soudain, alors que Serge était en train de faire son travail de mâle, bien planté dans Isabelle, la tenant vigoureusement par les hanches, la secouant comme il fallait, tapant son ventre et ses couilles contre ses fesses, faisant balancer ses seins en cadence des allers et retours frénétiques, la porte s’ouvrît, laissant entrer le vaguemestre de la société, qui venait apporter le courrier du directeur !
Michel, le vaguemestre, était un homme de 50 ans, célibataire endurci, qui vivait chez ses parents, et ne dédaignait pas lorgner les jeunes femmes qui passaient dans son champ de vision. Il se plaisait également à quelques plaisanteries graveleuses sur les femmes et la sexualité, comme les célibataires en ont le secret !
Isabelle se releva brusquement, le sexe qui la pénétrait sortit d’un coup de sa chatte, elle plaça ses bras devant ses seins….
Mais Serge ne l’entendit pas de cette oreille….
– Qu’est ce que tu fais petite imbécile !
Il prît les bras de la jeune femme qu’il replaça en position sur le bureau, prît sa queue à la main,
– Tends ton cul !!
Isabelle obéit, et il la pénétra, sans ménagement, d’un coup, et la posséda vigoureusement…
Il donnait de furieux coups de reins, plantant sa bite au fond de la chatte, pour presque la ressortir à chaque fois…
C’est ainsi que Michel entra, et déposa le courrier sur le bureau, tout en contemplant le spectacle qui s’offrait à ses yeux : une jeune femme nue, juste parée d’un porte-jarretelles et de bas, perchée sur ses hauts talons, en train de se faire saillir, debout, fesses offertes, par son directeur.
Serge limait, tenant fermement Isabelle aux hanches, qui, malgré la situation, ne pouvait rester insensible aux attentions de son baiseur, et la nature étant ce qu’elle est, elle participait malgré elle à la situation, ne pouvant s’empêcher de laisser échapper quelques gémissements et quelques cris, au rythme de la queue qui lui envahissait le vagin, et la faisait frémir…
– Humm…. Ah…. Hummm….. AHH ! !
– Oui… tu aimes ça… tiens… prends ma queue….tiens…
– Michel ! Préparez-moi donc un café… en plus, vous profiterez du spectacle !
Michel, ravi de l’aubaine, alla dans le coin du bureau, brancha la bouilloire, et prépara un café lyophilisé à son directeur….
– La demoiselle en prendra un aussi ??
Serge répondit, tout en limant le sexe offert…
– Oui, ça la remettra de ses émotions…. Mais je veux que ce soit elle qui réponde…
– Regarde le et réponds-lui !!
Isabelle hésita, subissant les assauts du mâle…;
– Eh bien alors, réponds-lui !!
Isabelle se força à tourner la tête, regarda avec honte l’homme qui la dévorait du regard…
– Ou…i….. Ou..i…. Ah !…. j’en….boirai un au..ssi !
Serge se retira brusquement.
– Allonge-toi sur le bureau !
– Ecarte les cuisses, imbécile ! Comment veux-tu que je te pénètre ?
Isabelle, morte de honte, dut écarter largement les cuisses, offrant ainsi son sexe à la vue de Michel…
Serge la pénétra immédiatement, et leva les jambes sur ses épaules…
Il cramponna Isabelle, et la prit.
Michel prit la parole :
– Dites donc, Monsieur, elle n’aura pas perdu de temps !
– Vous avez raison Michel ! A peine arrivée, elle y passait ! Une vraie putain ! Et je peux vous assurer qu’elle aime ça !!
Michel surenchérit…
– En tout cas, son mari ne doit pas s’ennuyer !!
– Oh… vous savez, avec ce que je lui mets tous les jours, ça doit la calmer un peu… Mais c’est une chaude du cul, il lui en faut !
Isabelle n’en pouvait plus, elle avait atteint plusieurs fois l’orgasme, qu’elle avait manifesté bruyamment par des cris, devant ce voyeur…
Soudain, Serge se retira….
– AHH ! Ca y est ! Je jouis ! …. Tiens…. ! Tiens salope !
Les deux premiers jets de sperme atterrirent près du nombril en deux larges flaques, puis les trois suivants fusèrent sur la toison, en de longues traînées gluantes et blanchâtres qui coulèrent légèrement le long de la fente et le long des cuisses…
Isabelle resta, épuisée, le ventre, le sexe et les cuisses maculées, allongée sur le bureau…
Serge alla dans le cabinet de toilette, revînt avec de l’essuie-mains, et le plaça à côté d’Isabelle.
– Tiens, essuie-toi et vas faire ta toilette, tu en as bien besoin !!
Isabelle se releva légèrement, prit le papier, et essuya le sperme, sous les yeux de Michel qui ne perdait pas une miette de la scène…
Isabelle se rendit dans le cabinet de toilette, se lava et rajusta son maquillage, quand elle revint, elle voulut reprendre ses vêtements…
– Non, non ! tu restes comme ça ! Tu vas nous faire encore un peu profiter de tes charmes !!
Serge s’approcha d’elle, la fît pivoter, pour offrir son dos à la vue de Michel…
– Que pensez-vous de ses fesses ?? Magnifiques, non ??
Il la fit se retourner :
– Et devant, ce n’est pas mal non plus…. Vous avez vu cette poitrine ?? Et cette adorable petite touffe blonde en triangle ??
– En plus, elle suce bien !!
– Je l’appelle R-A-J ! Rien A Jeter !!
Michel hocha la tête….
– Elle est vraiment magnifique… Tout ce qu’il faut là où il faut…
– Oui, je vais en faire quelque chose, de cette petite !
Isabelle buvait sa tasse de café, pendant que Serge, négligemment, et devant Michel, lui caressait distraitement les fesses…
Michel termina sa tasse de café, puis sortit du bureau.
Isabelle, debout, se mit à pleurer…
– Pourquoi….avez vous fait cela…??
– Quoi donc, fait cela ???
– Devant… devant lui…..??
– Ma petite, tu es là pour MON plaisir… Donc, tu feras ce que j’ai envie, c’est compris ??
Isabelle, vaincue, obéit…
– Oui monsieur… oui…
– Très bien ! Rhabille-toi et va travailler !!
Isabelle passa une très mauvaise journée.
Avoir été ainsi exhibée, nue, baisée, humiliée devant un autre que son patron…
Elle avait bien tenté de résister, mais elle avait gémit, crié sous les coups de boutoirs qui lui martelaient la chatte.
Elle avait du, devant cet inconnu, tendre ses fesses, écarter les cuisses largement, offrant la vue de son sexe ouvert et pénétré, recevoir le sperme de son amant, le corps maculé, et s’essuyer, avant d’aller faire sa toilette intime.
Vraiment, elle se sentait très humiliée.
Serge l’appela vers 16 h 30.
Elle dut juste enlever sa veste et son soutien-gorge, et se mettre à genoux, pour lui pratiquer une fellation.
Il était pressé, devait partir en rendez-vous extérieur.
La bouche habile d’Isabelle eut tôt fait de rendre le sexe long et dur, Serge arriva bientôt à l’extase, prit son sexe en main, se masturba un moment et se soulagea sur les seins de la jeune femme.
Les jets longs et épais se succédèrent en longues traînées qui formèrent bientôt de larges flaques blanchâtres et dégoulinantes…
Isabelle, les seins maculés, couverts de sperme, traversa le bureau, vers le cabinet de toilette, ou pas moins de quatre essuie-mains furent nécessaires pour essuyer la masse gluante.
Elle prit alors une lingette parfumée pour nettoyer la peau.
Serge prit soin, à son retour, de l’embrasser goulûment, de lui peloter et sucer les seins, ce qui fît gémir la jeune femme.
Isabelle rentra chez elle, après être passée à l’hypermarché faire quelques courses, et retrouva Marc qui venait de rentrer de son travail.
Le téléphone sonna : Jean-Paul !!
Il avait fait développer les photos, et nous priait de venir après dîner voir ce qu’elles donnaient.
Ces satanées photos, où Isabelle avait dû enfiler toute sa lingerie, prendre des poses obscènes, se montrer nue, ouvrir ses fesses et son sexe, comme les filles que l’on voit dans les magazines porno !
Sans oublier la partie hard, où Jean-Paul l’avait prise, baisée et sodomisée, puis aspergée de sperme !!
Elle allait devoir revivre cela, avec sans doute les commentaires salaces de son baiseur !
Les pizzas avalées, ils arrivèrent chez Jean-Paul vers 21 heures.
– AH vous voilà ! Entrez !
Il nous fît asseoir dans le canapé, et alla chercher 3 albums photo, remplis des clichés d’Isabelle.
Une coupe de champagne à la main, il détailla chaque cliché, s’extasiant, commentant, appréciant la qualité des photos et les charmes à Isabelle…
– Regarde celle-ci, comme tes tétons pointent bien sous la nuisette !
– Celle-là ne cache rien de ton corps !
– Tu ouvres bien ta chatte, on voit même ton bouton !
Il passa à l’album  » hard « …
– Il n’y a pas à dire, tu es une sacrée pompeuse ! Regarde-moi cette pipe que tu me tailles !
– Là, tu es bien enfilée ! Il n’y a pas à dire, la levrette, il n’y a que çà ! !
– Là, tu la prends dans le cul !
– Regarde comme tu la prends à fond ! Tu l’as jusqu’aux couilles dis donc !
– Celle-là, empalée dos à moi, on voit bien ta chatte qui est libre… tu es empalée dans le cul ! Dans le cul la demoiselle !
– Voilà le foutre qui arrive ! Eh bien, tu m’as vidé les burnes ce soir là… ! Tu en as partout, regarde-moi ça ! Tu es pleine de sperme !
L’examen des photos prit plus d’une heure, heure pendant laquelle Isabelle et Marc furent morts de honte.
Isabelle parcequ’elle était l’actrice principale, et Marc parcequ’il devait sûbir les commentaires vicieux et les photos de sa femme en pleine action avec son amant.
Il versa le reste de la bouteille de champagne dans les coupes.
– Ces photos sont superbes ! Félicitations Isabelle ! Nous en referons d’autres prochainement !
– Cela constitue un press-book, si je veux te présenter à quelqu’un !
Marc intervint :
– Comment, à quelqu’un ???? Je ne veux pas que des autres voient ces photos !!! Isabelle est ma femme quand même !!!
– Toi, tu ferme ta gueule, je te l’ai déjà dis ! Ta femme m’appartient ! Tu es cocu, tu regardes, et tu laisses faire !
– C’est compris ??
Marc hocha la tête plusieurs fois.
– Bien ! J’aimerais ne plus le répéter !
Il s’adressa à Isabelle :
– Tu as déjà fait l’amour avec plusieurs hommes à la fois ?
Isabelle bafouilla…
– Comment… quoi ?
– Oui, tu m’as bien compris : toi avec trois ou quatre hommes pour toi seule… Ca t’es déjà arrivé ?
– Euh….non….non….
– Je te demande cela, parce que je vais montrer tes photos à plusieurs de mes amis…. Et les connaissant comme je les connais, ils vont vouloir te connaître, et que j’organise une petite soirée….
– Mais… vous êtes fou ! Je ne veux pas ! Je ne suis pas une putain !
– Ca, ma petite, que tu veuilles ou non, ce n’est franchement pas le problème ! Tu feras ce que je dirai !
– Quant à ce que tu dis, que tu n’es pas une putain, excuse-moi, mais lorsqu’on voit tes photos, on peut penser le contraire, non ?? En plus, quand on s’envoie en l’air avec son voisin et son patron, on peut dire qu’on a chaud au cul, non ??
Isabelle se mit à sangloter…
– Ne commences pas à pleurnicher ! Je te laisse quelques jours pour te préparer à cette soirée !
– Tu verras, ce sera sympa… Un matelas près de la cheminée, du champagne, et trois ou quatre hommes qui ne demandent qu’à te faire du bien…
– Cela va durer toute la nuit, tu seras épuisée et heureuse au petit matin pour les croissants…
– Quant à ton mari, comme il n’est pas sage, il restera à la maison, il ne profitera pas du spectacle ! Tu verras, Marc, tu vas bien te branler en pensant que ta petite femme est avec ces messieurs, en train de dévorer leurs queues et d’en prendre dans tous les trous ! Je suis sûr que tu vas être épuisé toi aussi à force de t’astiquer !!
– Tu mériterais que je garde ta femme pour la nuit, mais je ne vais pas être vache ! Rentrez vous coucher, et toi, imbécile, pine la bien ! Mets-lui en, au lieu de toujours regarder les autres faire ton travail !
Nous rentrâmes à la maison.
Isabelle pleura un moment, la honte des photos, et surtout l’annonce de la soirée prévue…
Isabelle livrée en pâture à un groupe d’hommes !
Livrée et offerte comme une putain !!
– Je vais aller lui péter la gueule à ce salaud !!
– Non… non… ne fais rien…ne fais rien, je t’en prie ! Nous perdrions tout, tu le sais bien…
– Nous trouverons bien un moyen d’échapper à ce qu’il manigance… Je dirai que je suis malade, j’inventerai…
Isabelle et Marc mirent du temps à s’endormir ce soir là…
Mais la fatigue aidant, ils finirent par sombre dans un profond sommeil.

Le lendemain, Isabelle se rendit au bureau.
Le téléphone sonna, la secrétaire de direction…
Isabelle, le directeur veut vous voir
La secrétaire avait un ton ironique qui en disait long sur ses pensées….
Isabelle prit l’ascenseur, monta les 5 étages, arriva au secrétariat.
Allez-y, il vous attend.
Isabelle était vêtue d’un tailleur crème, sans rien dessous, autre que la lingerie arachnéenne qui lui était imposée : soutien-gorge balconnets en dentelle noire, slip brésilien, porte-jarretelles et bas noirs.
Ah ! vous voilà ! J’ai une de ces envies au bas du ventre, j’ai pensé à vous toute la nuit !
Serge embrassa Isabelle, et, derrière elle, lui mordillant le cou, pelota les seins, et insinua la main dans l’échancrure de la veste, pour directement malaxer les seins de la jeune femme…
Peu après, il enleva les 3 boutons, et la veste, ouverte, laissait libre cours aux mains baladeuses….
Derrière Isabelle, il se collait, et la jeune femme pouvait sentir le pieu de chair s’insinuer entre ses fesses…
Humm….. tu la sens…. tu sens comme tu me fais bander…..
Il enleva la veste, la posa sur le fauteuil…
Retire ta jupe chérie….
Isabelle enleva la jupe, apparût en sous-vêtements…
Tu ferais bander un centenaire…..
Isabelle, d’elle-même retira soutien-gorge et slip….
Allonge toi sur le bureau, j’ai envie de te bouffer la chatte !
Isabelle allongée, cuisses écartées, et les talons sur le bureau, Serge pût à loisir pratiquer le cunnilingus, arrachant bientôt des gémissements et des soupirs à Isabelle….
Tu aimes ça, hein, salope…. Tu aimes qu’on te broute le minou….humm…..slurp…..
Serge arrêta de lécher, puis se plaça à hauteur du visage….
A toi, maintenant ! Suce ma queue !
La queue dressée entra dans la bouche de la jeune femme, qui s’appliqua à la fellation…
N’oublie pas les couilles….! Sors la langue et lèche les couilles…
Oui… comme ça… tu sens comme elles sont dures ?…. elles sont pleines de foutre pour toi…
Isabelle lécha consciencieusement les bourses gonflées, pour le plus grand plaisir du mâle…
Bon ! Ca suffit ! Je vais te prendre !
Vas te mettre à quatre pattes par terre ! Je veux te prendre sur la moquette, comme une chienne !
Isabelle fût bientôt en levrette, et Serge vînt la posséder…
Humm…. tu es toute mouillée… ça glisse bien…. tu es trempée….
Ohhh…..oh…. doucement….je vous en ….prie…doucement….
Serge n’écoutait pas les supplications de la jeune femme, et continuait à la prendre vigoureusement, en des va et vient frénétiques…
Isabelle criait sous les coups de boutoirs… Isabelle pensa un instant que la secrétaire devait tout entendre, et irait raconter tout cela au personnel… Mais elle n’eut pas le temps de réfléchir longtemps, les coups de queue dispensés par son amant l’amenaient à la jouissance…
– Ahh… SALOPE ! je sens que je viens…. je vais tout te mettre…. OUIII !!! je jouis ! TIENS ! TIENS !!! TIENS !!
Serge s’était planté en elle, à fond, et éjaculait longuement au fond de son ventre, Isabelle sentait les jets chauds qui n’en finissaient plus d’arriver…
Il resta planté un moment en elle, moment où elle sentait le pieu de chair gonflé en elle, puis il se retira, satisfait.
Isabelle s’écroula à plat ventre sur la moquette, épuisée….
Lève-toi donc et va faire ta toilette ! Le sperme va couler et tu vas tacher la moquette !!
Isabelle, épuisée, se leva tant bien que mal, et fît sa toilette.
Elle revînt, nue, et demanda à Serge :
Monsieur, je voulais vous dire….
Oui ?? que veux tu ?
– C’est pour tout à l’heure… vous avez joui dans moi… je voudrais réserver cela à mon mari…
QUOI ?? tu plaisantes ou quoi ??? Tu ne crois quand même pas que je vais demander l’autorisation à ton mari quand j’aurai envie de te remplir la chatte ou le cul de sperme, non ???
Mais…..
– Il n’y a pas de mais !! C’est moi qui décide ! Tu prends la pilule, non ?? Alors il n’y a pas de risques ! D’ailleurs, tu fais bien d’en parler, tu vas prendre mon foutre plus souvent ! Et dans tous les trous !!
Isabelle sanglota….
Ne commence pas à faire ta mijaurée ! Et rhabille toi ! Parce que si tu restes encore à poil un moment, je sens que je vais t’en remettre un coup !
Pendant qu’Isabelle se remaquillait et s’habillait, il lui prépara un café qu’ils burent ensemble…
Lorsqu’elle sortit, la secrétaire lui lança :
Vous êtes bien bruyante Isabelle…. Très expansive….!
Isabelle ignora la réflexion et partit au travail. Son  » rendez-vous  » avait duré 40 minutes…
La journée de travail se passa formidablement bien, et sur le coup de 17 h, le poste d’Isabelle sonna… la secrétaire de direction !!
Isabelle ? Vous montez ? le directeur veut vous voir tout de suite !
Isabelle eût le cour qui battit très fort….
<< Oh non... la journée s'était si bien passée.... Il allait falloir encore monter, se déshabiller, se faire tripoter, offrir sa bouche, offrir son corps, être souillée de sperme... mais, de toutes façons, il n'y avait pas le choix...>>
Isabelle monta, et déboutonna le premier bouton de la veste.
Voici la belle Isabelle !!
Vous m’avez demandée, monsieur ?
Oui, car je vais t’ordonner une chose qui m’excite beaucoup !!
Isabelle se demanda quelle perversité Serge allait lui imposer. Elle eût très vite la réponse.
Demain, ma chérie, tu vas te donner à Michel, le vaguemestre !
QUOI ?? Vous êtes fou !!! Il n’en est pas question !!!
– Ma petite, non seulement tu vas baisser très vite le ton devant moi, mais en plus, tu vas obéir !!
Je ne veux pas coucher avec lui ! Je ne peux pas…non…. non…
– Tu commences à m’énerver Isabelle !! Si tu continues comme ça je vais te mettre à la porte, avec les conséquences que tu connais !! Alors, tu as plutôt intérêt à obéir !!
– Salaud ! Salaud !!
Isabelle sanglotait….
– Bien… te voilà plus sage… c’est bien…
– Pour te punir de ta rébellion, tu lui offriras aussi ton CUL !
– OH ! je vous en supplie….je vous en supplie….
– J’ai dit : tu lui offriras ton CUL ! C’est bien compris !! Je veux qu’il te prenne le cul !
Isabelle, en pleurs, était résignée…
– Oui….oui….
– Bien ! Tu vois que tu t’y fais !
– Je vais t’expliquer comment cela doit se passer…
– Déjà, demain, je te veux beaucoup plus sexy qu’aujourd’hui. Beaucoup moins bcbg, et plus aguichante… Je te veux beaucoup plus pute !
– Tu mettras un haut décolleté ou transparent, quant à la jupe, je la veux au ras de la moule ! Mais réellement au ras ! Tu as compris ??
Isabelle hocha la tête affirmativement.
– En dessous, les sous-vêtements habituels… N’oublies pas le porte-jarretelles et les bas… Tous les mecs aiment ça… Et tu dois le faire bander !
– Demain, tu monteras ici à 15 heures précises, c’est l’heure où il part faire les courses. Je l’appellerai pour lui dire que tu pars avec lui pour déposer un pli urgent chez notre avocat.
– Il va déjà te reluquer, fais moi confiance, et reluquer ta tenue… Une fois en voiture, à TOI de jouer…. Sois gentille avec lui, croise les jambes, drague le…
– Il va sûrement te draguer lui aussi… alors laisse toi faire s’il te caresse… et dis-lui que tu as envie de lui, que tu as envie de baiser… de baiser tout de suite.. Tu verras, il s’arrangera bien pour trouver un hôtel…
– Une fois arrivés à l’hôtel, excite le bien… branle le bien, suce le bien… qu’il soit bien raide et te baise bien…
– Pendant qu’il te prendra, tu devras TOI-MEME lui demander de te prendre l’anus…. Tu as compris ?? Sinon, si tu reviens sans être sodomisée, tout serait à refaire, je te préviens, et tu serais punie !
– As tu tout compris ?
– snif…oui…snif…… … . oui……
– Parfait ! Tu as une jupe ultra-courte, chez toi ? Ou faut il aller en acheter une ?
– Oui… j’ai une… mini jupe, très courte, en cuir…en pétales…elle est très très courte…..
– Parfait ! Une jupe cuir, ce sera encore plus excitant…
– Allez, vas te remaquiller, tout a coulé !
Isabelle revint au bout de quelques minutes…
– Je ne te touche pas ce soir, parce qu’avec ce que tu vas prendre demain, tu as intérêt à garder tes forces !!
– Ne baise pas avec ton mari ce soir, il faut être en pleine forme demain !! Michel doit avoir une grosse queue… tu ne vas pas regretter ton après-midi…
– Allez ! rentre chez toi, c’est l’heure ! Et fais toi belle pour demain !!
Isabelle rentra chez elle, en pensant au lendemain, qui ne manquerait pas d’arriver très vite…
Comment allait elle pouvoir se donner à cet homme qui ne lui plaisait pas ? Comment allait elle pouvoir lui jouer la séduction, se faire prendre par lui, se faire SODOMISER par lui ???
Elle fît les courses, et ce soir là Marc ne la trouva pas en grande forme. Isabelle prétexta une journée de travail épuisante, et ils se couchèrent vite.
Le réveil sonna à 7 heures, rappelant à Isabelle ce que la journée lui promettait…..

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire