Je suis en couple depuis maintenant 6 ans avec ma copine et tout va bien entre nous. Elle devait subir une opération qui, pour elle, ne présentait pas de risque mais pour moi me faisait stresser à fond. Ma copine me propose alors d’accueillir ma belle-sœur le jour où elle se fera opérer, histoire de me sentir moins seul et de me faire penser à autre chose qu’à mon tracas.
Le jour venu, ma belle-sœur, Clara, vient chez moi pour me tenir compagnie. Elle est brune aux yeux noisettes, les cheveux mi-longs, une grosse poitrine, des fesses appétissantes et un peu trop de ventre à mon goût. Nous passons une soirée agréable à parler de tout et de rien tout en regardant un film à la télé puis nous allons nous coucher.
Le lendemain, je me lève en fin de matinée car j’ai eu du mal à dormir. Je suis accueilli par Clara en chemisier blanc et jupe en jean qui lui arrive à mi-cuisse, et un plateau petit-déjeuner. Je m’installe sur le canapé dans le salon pour manger et nous discutons à nouveau. Pendant que je mange, Clara se met sur son portable, plus exactement sur ses applications pour trouver des plans cul. Elle est énormément demandeuse au niveau sexe, à la limite de la nymphomanie, et il lui est arrivé plusieurs fois de rompre avec son mec du moment parce qu’il ne lui en donnait pas assez.
La journée passe ainsi, nous deux sur le canapé à descendre des bières à la chaine et à discuter et plaisanter. En fin de journée, la discussion tourne sur le sexe. Le sujet n’étant pas tabou chez nous, nous en discutons ouvertement et même avec des termes crus, ce qui me provoque malgré moi des érections à répétitions. Elle me fait lire la conversation par message qu’elle a eu avec l’un de ses éventuels plans cul. Je remarque que celui-ci au fil de la discussion lui avoue aimer se faire prendre par ses partenaires mais qu’il ne se décrit pas gay. Étant bisexuel, je comprends sa situation et Clara commence à me poser des questions sur mes expériences passées car elle aussi voudrait essayer avec une femme. Je lui réponds du mieux que je peux et lui avoue même que cela me manque des fois de butiner avec les deux sexes ou même de coucher avec une femme juste pour du sexe car il y a certaines pratiques que je ne peux pas me permettre avec ma copine. Nous continuons à discuter et, sans nous en apercevoir, nous nous sommes rapprochés l’un de l’autre jusqu’à ce que nos cuisses se touchent.
À ce moment, j’ai une érection tellement visible que Clara ne peux pas ne pas l’avoir remarquer, mais comme elle agit comme si de rien n’était je fais pareil. Elle me montre d’autres conversations qu’elle a eu et nous en plaisantons ensemble. Je ne me souviens plus comment cela est arrivé dans la conversation, mais je lui parlais d’une technique que j’avais découverte qui me permettait de faire jouir ma copine en un temps record avec juste deux doigts. Clara me répond alors qu’elle ne veut pas entendre parler de ce que je fais à sa sœur et elle se lève pour aller nous chercher des bières, les huitièmes ou neuvièmes. Elle revient, me tend ma bière, s’assoit à côté de moi et nous buvons un coup.
Au bout d’un moment, elle me demande quand même des précisions sur cette fameuse technique et je lui réponds que je ne suis pas trop en état pour lui expliquer juste comme ça. Elle semble un peu déçue mais continue en me disant que si je ne peux pas lui expliquer, je pourrais lui montrer. Je manque de m’étouffer avec ma bière quand elle me dit ça mais je sens mon sexe durcir à une vitesse folle. Clara le remarque aussi et je n’ai d’autres choix que d’accepter.
Elle se lève pour retirer sa culotte blanche puis se rassoit les fesses au bord du canapé, jambes suffisamment écartées. Je me cale à côté d’elle et approche ma main de son entrejambe. Arrivé sur son sexe, je remarque qu’elle est épilée intégralement, contrairement à sa sœur qui est juste tondue. De plus, je sens son sexe complètement trempé. J’écarte ses grandes lèvres et utilise ma technique sur son clitoris et, en à peine quelques secondes, elle jouit. Je lui laisse reprendre son souffle puis elle me dit juste « Encore ». Enhardi, je me remets à la tâche et la fait jouir à nouveau en quelques secondes. Nous recommençons l’opération 3 ou 4 fois et je remarque qu’entre temps Clara a sorti mon sexe bien dur de mon pantalon et est en train de me masturber.
Je ne tiens plus. Après l’avoir fait jouir encore une fois, je me poste entre ses jambes et je la pénètre entièrement d’un seul coup tellement elle est trempée. Je fais quelques va et viens bestiaux et je me déverse au fond de son vagin. Pendant ce temps, je lui déboutonne son chemisier et son soutien-gorge pour lui malaxer ses seins et ses tétons sans aucun ménagement. Nous nous étions déjà vus nus l’un l’autre au moment où elle dormait chez nous grâce à des accidents de sortie de douche mais pas comme ça. Je reprends mon pilonnage jusqu’à la faire jouir encore une fois puis je lui dis de se mettre à quatre pattes sur le sol.
La sachant aimer être dominée, elle s’exécute, me montrant son arrière-train. Je lui claque les fesses fortement et je me mets devant elle pour qu’elle me suce, ou plutôt pour lui baiser la bouche. Tout y passe, le léchage de boules, les coups de reins dans sa bouche, les gorges profondes. Une fois ma bite luisante de salive, je me mets derrière elle et lui perfore le cul en un coup. Elle crie de douleur mais rapidement gémit de plaisir sous mes coups de butoir. Je la prends par sa robe jean mais j’y vais tellement fort que je lui arrache cette dernière. Cela ne m’arrête pas, bien au contraire, et je continue de plus belle à lui défoncer la rondelle jusqu’à jouir au fond de ses entrailles.
Nous savions que ce que nous venions de faire n’était pas correct mais nous avions convenu de ne plus en parler et de ne pas recommencer. Des fois, lorsque je fais l’amour à ma copine, devenue maintenant ma femme, je repense à Clara et cette partie de jambes en l’air que nous avions eu et, aux dires de ma femme, je suis plus performant dans ces moments-là.
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