Je me travestis depuis ma plus jeune adolescence, mais comme beaucoup de mes congénères, j’ai longtemps fais vivre ma partie féminine dans l’intimité, bien loin du regard des autres, par honte de n’être pas comme tout le monde pendant longtemps, jusqu’au jour où cette pratique auto-érotique ne fut plus suffisante à me satisfaire, ma féminité devant s’exprimer autrement. Je commençais donc à passer des annonces afin de trouver des amants pour vivre cette nouvelle expérience d’être « femme », sur cette plateforme aujourd’hui fermée à ce genre d’annonces, mais qui avait l’avantage de susciter beaucoup de réponses, même si la plupart provenaient de mythos qui ne venaient jamais aux rendez-vous.
Ma première expérience avec un homme se passa dans un hôtel pas très loin de chez moi avec un homme de soixante-dix ans, bel homme bien conservé et bandant bien, mais malheureusement éjaculant un peu vite alors que je le suçai et incapable de rebander après ça. Le seul mérite de cette rencontre fut de sucer ma première queue et de comprendre que j’aimais ça et que j’appréciais au plus haut point de me sentir femelle dans les bras d’un homme.
Mon second rendez-vous se déroula alors que j’étais en déplacement pour mon travail dans le centre de la France, avec un homme plus jeune que moi, j’avais dépassé la cinquantaine à l’époque et Laurent en avait une trentaine. Nous avions échangé par mail, photos à l’appui et je m’inquiétais un peu des dimensions de sa bite qui faisait dix-huit centimètres me disait-il. Je m’enfilais de temps à autres des godemichets mais je me sentais encore vierge et avait quelques appréhensions de devoir me faire pénétrer par si long membre. Mais bon il faut tenter sinon rien n’arrive.
Laurent m’avait demandé de m’habiller en « tenue de salope ». Une de mes photos où je portais une robe en vinyle noir avec des bas noirs et des mules Pleaser vernies noires à hauts talons lui avait particulièrement plu. En arrivant chez lui, je m’enfermais dans la salle de bains afin de m’habiller et de me maquiller comme une pute : fond de teint, fard à paupière vert, rouge à lèvres, puis je mis un porte-jarretelles blanc et noir à huit jarretelles afin de retenir des bas noirs nylons noir, pas de culotte bien sûr afin d’être prise plus facilement, une cage de chasteté sur la verge, et pour terminer j’enfilais ma robe en vinyle noir avant de me présenter à mon amant d’un soir. Laurent bandait déjà quand je sortis de la salle de bains, probablement fantasmait-il en m’attendant. Je m’allongeai auprès de lui en lui prenant sa bite bien raide et en le masturbant lentement. Sa queue n’était pas grosse mais elle était effectivement très longue à mes yeux. Très vite il me la mit en bouche, la masturbation n’étant probablement pas ce qu’il appréciait le plus. Je le suçai donc avec avidité et ses grognements m’indiquaient que je me débrouillais plutôt bien. Je ne sais pas combien de temps dura cette pipe, tellement je me sentais bien dans cette nouvelle peau de salope donnant du plaisir à son homme, bien-être que Laurent confirmait pas ses injures proférées entre deux gloussements de satisfaction. C’est cette première fois que j’ai commencé à comprendre qu’être une salope, une putain, était enivrant, parce que cela montrait le pouvoir que l’on peut avoir sur un homme annihilé par sa jouissance. Depuis, quand un mâle m’insulte alors qu’il prend du plaisir avec moi, cela me donne aussi du plaisir d’être avilie comme un simple objet. Toujours est-il que Laurent déchargea dans ma bouche sans que j’aie pu faire quoi que ce soit. La première giclée me surprit, mais je ne me retirai pas et pris tout son jus que j’avalais sans dégoût. J’aime qu’un homme décharge sa semence dans ma bouche. Pendant que Laurent reprenait des forces, je ne le laissai pas dans son coin mais me mis à lui lécher les couilles et à les engloutir dans ma bouche en faisant succion. Son jeune âge encore et mes pompages de couilles le refirent bander assez rapidement et il me dit son envie de me baiser, tout en enfilant une capote, je me lubrifiai la « chatte ». Il aspira une grande inhalation de paupers qu’il venait de déboucher, puis me tendit la petite fiole et je fis de même. Quasiment instantanément je me mis à quatre pattes avec une seule envie, me faire bourrer le cul, ce que fit Laurent sans attendre. Paupers aidant, je ne sentis aucune douleur quand sa belle queue s’enfonça en moi. Je venais de perdre mon « pucelage » avec mon premier vrai amant et ce fut une découverte pour moi de me rendre compte que j’aimais me donner et me soumettre aux fantasmes d’un homme. Je revis Laurent quelques fois quand je venais dans la région où il habitait alors, hélas il repartit dans sa région natale lorsqu’il devint chômeur après fermeture de son entreprise et hélas je ne travaille jamais dans cette région. Fin de l’aventure avec mon premier vrai amant.
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