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L’épouse, l’amant, l’époux ! 7

L’épouse, l’amant, l’époux ! 7



Une nuit l’épouse fit un rêve bizarre : dans ce rêve qui se déroulait dans leur chambre conjugale pendant que son époux dormait sur le même lit elle chevauchait un de ses collègues ; la bizarrerie de ce rêve tenait dans la précision avec laquelle il se déroulait dans son esprit. L’homme qu’elle chevauchait incarnait un collègue de travail qu’elle voyait chaque jour au bureau, un homme avec lequel elle entretenait une bonne relation, à la fois amicale, à la fois professionnelle, de là à se transformer en relation sexuelle, y avait trop de différence pour elle. Durant un peu moins d’un quart de siècle de mariage elle était toujours restée fidèle à son mari. Elle se demanda si son violent désir venait du chant de la ménopause devant sa porte.

Toujours est-il que dans ce rêve elle continue de chevaucher son collègue sur le même lit où dort son mari. Son vagin s’abaisse puis s’affaisse sur la clairenorme tendue de son collègue qu’elle ressent au fond de ses entrailles pendant que les masculines mains pressent ses fesses nues. Ses féminins reins accélèrent la cadence, cela fait plaindre le lit, son collègue murmure de ralentir que cela pourrait réveiller son mari, mais comme une folle elle accélèrent jusqu’à ce que dans deux hurlements unis il éjacule dans son vagin.

Lorsqu’elle se réveilla son mari dormait toujours. Elle se demanda si dans son sommeil la providence ne l’avait pas alerté de son infidélité. Mue d’une envie irrésistible elle introduisit sa ma dans la couverture. Sa main atteignit le pénis du dormeur. Ses doigts caressèrent sous les draps la verge de son mari qui ne réagissait pas. Elle accéléra ses caresses. Il grogna d’exaspération.

Elle entre dans la salle de bain. Le liquide chaud parcourt ses rondeurs nues. Elle imagine son collègue la léchant, la pénétrant, la sodomisant. Elle jouit en silence sous la douche. Sa mouille se dissout dans l’eau.

-J’ai fait un étrange rêve.
-C’était quoi ce rêve.
-Dans ce rêve j’ai rêvé qu’on faisait l’amour.
-Mais c’est un beau rêve ça !
-Sauf qu’on baisait devant mon mari endormi.
-Il ne s’est pas réveillé ?
-Non. Il ne s’est jamais réveillé.
Ils rigolèrent.
-T’es surement en manque.
-Peut-être… mon mari ne me touche plus trop.
-Si tu veux ce week-end on s’envoi en l’air.
-Oui. J’essayerai de jongler avec mon emploi du temps.
-Moi aussi.

L’heure du rencart arriva. Lorsqu’ils se retrouvèrent dans la chambre d’hôtel obscurcie les amants firent voler leurs habits puis ensemble ils plongèrent sur le lit. L’épouse écarte les cuisses. L’amant introduit mal sa bite rigide sur la fente féminine. La main infidèle saisit le pénis qu’elle enfonce bien dans son vagin. Le braquemart va et viens. Le canal vaginal mouille. L’épouse libère un soupir suave lorsque amant s’arrête pour reprendre son souffle. Lorsqu’il repart dans le pilonnage du vagin la bouche femelle relibère des plaintes lubriques. Le pénis sort du vagin puis gicle du sperme chaud sur le pubis de la femme ; l’amant remet sa bite dans le vagin, mais comme il n’a plus vingt ans, il faut qu’il récupère, alors il sort du lit, il ouvre les volets de la fenêtre, la lumière s’engouffre, pour la première fois l’épouse découvre la blancheur écarlate du sperme d’un autre homme que celui de son mari sur son vagin, cette semence malsaine au fils du temps se liquéfie.

L’épouse se leva puis se dirigea dans la salle de bain où elle essuya le sperme sur son pubis. Lorsqu’elle revint dans la chambre la bite de l’amant regonfla aussitôt. Elle s’allongea sur le lit. L’amant rapprocha d’elle sa queue tendue. Maintenant que la lumière était diffuse dans la chambre l’épouse voyait nettement le clair pénis de son amant qui s’était épilé le sexe pour l’occasion. Une nouvelle fois de la main elle guida le braquemart dans sa fente intime. Il la laboure aussitôt. De manière répétitive ses testicules tamponnent les lèvres vaginales. Il sort sa bite qui crache un long filet de sperme sur le bas ventre femelle. En se masturbant sa main décalotte puis calotte successivement son gland rond proche de l’explosion qu’il introduit une nouvelle fois dans les entrailles de l’adultère. Il parvient à donner deux coups de reins.

Une nouvelle fois l’épouse entra dans la salle de bain puis nettoya le sperme de son amant. Lorsqu’elle retourna dans la chambre elle le trouva en trait de branler dans sa main sa verge à semi-rigide. Elle s’allonge sur le bord du lit. Il la pénètre directement. Il la laboure très vite comme un défit de performance sexuelle ! Lorsqu’il sort sa bite le vagin gicle un jet de mouille. Il branle son traquenard puis éjacule peu de sperme sur le pubis féminin. Cette fois il ne remet plus sa bite dans le vagin.

Une fois de plus l’épouse entra dans la salle de bain où elle nettoya son pubis avec un bout de papier toilette. Lorsqu’elle revint dans la chambre elle trouva son amant branlant sa bite détendue. Elle s’allonge sur le lit puis écarte ses cuisses qu’ouvrent son vagin. Lentement l’amant la rejoint. Sa bite tendue jusqu’au bout du gland brille des secrétions vaginales. Il avance doucement sa bite dans la fente, mais elle entre mal, elle se tord, de sa propre main il dirige bien son pénis dans le vagin.
Il commence à la labourer. Le vagin spermique émet un bruit de chaussette fluide à chaque battement des testicules. Elle jouit d’entendre ce bruit si particulier qu’émet sa chatte humide dans laquelle glisse la queue du mâle. Il sort sa bite. Il lui faut se branler durant plus de dix secondes pour cracher du fin fond de ses couilles trois douloureuses gouttes de spermes.

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