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Des voisins bien sympas

Des voisins bien sympas



J’ai des voisins très sympas. Un couple sans enfants, ceux-ci étant grands et habitant assez loin. La femme, pas très grande, mignonne, une belle bouche avec des lèvres charnues, une poitrine lourde et encore ferme d’apparence. Le mari, plutôt grand, un peu bedonnant, toujours à l’affût d’une bonne plaisanterie, souvent salace, mais pas trop. J’ai l’habitude d’aller les voir pour discuter de choses et d’autres, jamais de manière sérieuse. Un après-midi où il faisait assez chaud, je vais les voir. Il est seul dans le jardin. « Où est Josette ? », c’est le prénom de sa femme, « Elle est en haut, dans sa chambre, elle se repose ». Je lui fais un clin d’œil : « Avec ce temps, ce serait plutôt le moment de faire une sieste crapuleuse, la chaleur, ça émoustille les sens ». « Tu ne crois pas si bien dire, je crois qu’elle se chatouille », « Se chatouille ? », lui dis-je, un peu interloqué. Et là je comprends qu’il y a de l’eau dans le gaz entre eux.

S’en suit une explication assez confuse de la part de Jacques, mon voisin et je comprends que la « sieste crapuleuse » vient de lui passer sous le nez. Il m’explique que Josette l’a surpris il y a de cela quinze jours entrain de voir des photos de femmes, et pire, selon elle, d’hommes, à poil, et lui entrain de tenir sa bite bien raide dans sa main. Et il ne s’arrête plus dans ses explications. Elle lui aurait fait un scandale et lui aurait dit : « Et puisque tu aime regarder des chattes, eh bien dorénavant, la mienne, tu la verras… seulement et tu pourras te branler devant. Je laisserai la porte ouverte et je t’invite à venir voir ! ». Ce qui fut fait parait-il et quand Josette lui dit qu’elle monte dans sa chambre, il sait ce qu’elle va faire, « se mettre un petit coup de gode dans sa connasse ».

Je n’en crois pas mes oreilles quand il me dit : « C’est en fait ce qu’elle est entrain de faire et si le cœur t’en dit, on peut aller la voir, c’est ce qu’elle mérite, qu’on s’astique le manche devant elle !!! ». Il faut croire qu’il devait lui en vouloir bigrement ! Rien en vue pour moi dans l’heure qui suivait, pourquoi ne pas aller mater la chatte de Josette. Si elle était en rapport avec se lèvres et sa poitrine, cela devait valoir le détour. Et une petite branlette au passage, fut-ce devant mon voisin, pourquoi pas ?

Nous montons, sans faire de bruit et comme me l’avait dit Jacques, je vois la porte de leur chambre à coucher entr’ouverte et on entend des petits gémissements qui s’échappent de la chambre. Le paysage n’est pas mal non plus : Josette, les cuisses largement écartées et un gode rose à capuchon noir planté dans son con, sa main droite s’agitant doucement pour le faire glisser d’avant en arrière et de faut en bas. Elle a les yeux fermés. On s’installe discrètement pour ne pas être vus et la laisser continuer à se branler en faisant marcher ses phantasmes.

Rapidement, je sens ma bite à l’étroit dans mon pantalon et je lance un regard interrogatif à mon voisin en lui montrant la bosse que fais ma bite, d’un air de lui dire : « Est-ce que je peux la sortir ? Ce sera plus pratique pour se branler ». Il me fait oui de la tête et je sors alors ma queue et mes couilles. Trente seconde plus tard, il fait comme moi et sort un petit engin qui dénote avec sa taille mais qui bande déjà bien et une paire de couilles, pas très grosses mais bien remplies. Et on commence à se branler en regardant sa femme. Nos bites sont raides, nos glands sont rouges cramoisis et on voit que ça nous fait du bien. Je regarde sa bite par moment et lui la mienne et jeme dis qu’il ne faudrait pa beaucoup pour qu’on se masturbe mutuellement. Josette quant à elle va crescendo dans ses mouvements. C’est maintenant des allers-retours interrompus du gode dans sa chatte avec sa main droite et sa main gauche titille son clitoris de manière frénétique. Et ça dure. Devant son con, du liquide a coulé sur le drap et elle ne s’arrête pas.

La bite en main, je m’approche de Jacques et je lui dis : « Et si on rentrait pour lui faire la surprise ? ». Il me répondis : « Pourquoi pas ? Qu’elle m’en veuille un peu plus, un peu moins…». Et à pas de loup nous entrons, lui d’abord, moi ensuite. Elle, elle a déjà atteint un point de non retour dans son orgasme, la maison pourrait s’écrouler, qu’elle ne se priverait pas de jouir. Elle a les yeux mi-clos et c’est à peine les yeux et voit nos deux silhouettes. Elle continue seulement à se branler, toujours sur le même rythme : elle va jouir. Et c’est ce qu’elle fait devant nous, sans retenue, sans doute encore plus excitée de savoir qu’elle a des spectateurs bites et couilles en mains. Elle serre les cuisses, se contorsionne, elle agrippe son clito et son gode est enfoncé complètement, le capuchon noir a pratiquement disparu dans son con. 

A ce spectacle, on a failli se donner les coups de poignets décisifs pour que notre sperme fuse et vienne l’arroser ou choir sur les draps ou parterre. Mais j’avais d’autres projets, me disant qu’après s’être fait jouir, elle ne refuserait pas un petit coup bite dans la chatte pour faire bon poids et comme son mari était suffisamment remonté contre elle et elle contre lui, je me dis que j’avais toutes mes chances de pouvoir commencer à baiser ma voisine, maintenant et…. plus tard !!!

Après avoir bien joui, elle s’étira, reprit ses esprits et fixant mon regard me dit, mi-fâchée mais pas complètement : « Et toi, qu’est-ce que tu fais là ? ». Je lui répondis : « Jacques m’a dit ce qui s’est passé depuis que tu l’as surpris entrain de se branler et m’a dit que toi aussi tu aimais ça, puisque tu lui avait déjà montré tes performances, ce que je peux confirmer », ajoutai-je, en lui faisant un large sourire. Elle me sourit, sa bouche plus belle encore après les moment d’extase qu’elle venait de vivre. J’ajoutai alors que moi aussi j’adorais me branler et que si elle le voulait, on pourrait partager cette activité. Elle alors : « D’accord si tu veux mais lui, il regarde, puisqu’il aime ça, regarder !!! ». Bien entendu, elle parlait de Jacques.

Je m’approchai d’elle et avec douceur, je commençai à lui masser son clito, déjà passablement tuméfié par ce qu’elle venait de lui faire subir. Menu avantage de passer ma main après que la sienne l’ait largement besogné, il était très sensible et elle réagit très vite à mes caresses en gémissant et en fermant les yeux. Pendant ce temps, Jacques s’était placé à genoux, au pied du lit, la bite tendue entre ses mains pour ne pas perdre une miette du spectacle que nous, sa femme et moi, allions lui offrir. J’imagine qu’il allait avoir des images à profusion pour pouvoir se branler autant qu’il le voudrait.

Après avoir massé son clito, je m’installai entre ses cuisses largement ouvertes pour lui lécher la moule. Et moule, c’était le cas de le dire : une odeur délicieusement cochonne s’échappait de sa chatte après qu’elle ait joui comme elle venait de la faire. Je me suis alors appliqué de la lécher dans tous les sens, clito, lèvres, con largement ouvert, bref la totale. Elle appréciait et me le fit savoir en criant de plus en plus et de plus en plus fort. Du coin de l’œil, je voyais la bite de Jacques tendue au maximum, le méat largement ouvert et le gland luisant,ce qui augmentait mon plaisir. Ma main droite n’était pas inactive et je me touchais la bite en même temps que je léchais la connasse de Josette, un vrai régal de jouissance !

Un coup d’œil vers elle pour savoir si je pouvais passer à l’étape suivante, une marque d’assentiment de sa part et me voilà avec ma bite plantée dans son con entrain de commencer à faire des va-et-vient. Un vrai bonheur malgré sa chatte déjà bien dilatée par le gode qu’elle s’était mis et la mouille qu’elle avait produite plus ma salive quand je l’avais sucée et léchée. L’effet de ma bite dans sa chatte l’électrisa, sans doute la chaleur de mon gland. Elle me serra dans ses bras et ses jambes m’enserrèrent les fesses et me firent bouger à son rythme pour lui donner plus de plaisir. On resta comme ça plusieurs minutes, suffisamment longtemps pour que Jacques se déplace et vienne à notre hauteur, toujours sa bite à la main. On voyait qu’il ne serait pas très long à décharger. Est-ce que ce fut la vue d’une nouvelle bite ou le moment de la jouissance qui était venu mais Josette eut son orgasme qui fit qu’elle se mit à gémir avec plus d’intensité et à me serrer encore plus fort. On fut alors les trois, Jacques, Josette et moi à jouir. Jacques récupéra son sperme dans sa main et se le passe sur sa bite qui perdait de sa vigueur. Moi, je jutai abondamment dans la connasse de Josette et elle…. elle prit son pied en m’attirant et en m’embrassant passionnément sur la bouche, sa langue faisant des tours et des contours dans la mienne. Et je savais, en ce moment précis que commencait pour moi une longue période de plaisirs partagés pour ainsi dire à portée de la main (dans tous les sens du terme!!!)

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