Sexuellement j’ai été précoce, j’ai découvert la masturbation à 12 ans 1/2. Pendant un corps de sport à l’école, le prof nous a initié au grimper de corde, j’étais en short, et lorsque j’ai commencé à grimper, la corde en frottant mon entrecuisse m’a provoquée de délicieux picotements. Moi si douée en sport, j’ai mis un temps fou à monter et descendre cette corde de 3 mètres, et en revenant au sol, j’avais les jambes flageolantes et le visage tout rouge.
Le soir même dans mon lit, j’ai glissé ma main entre mes cuisses, et j’ai découvert pour la première fois mon clitoris, la première fois ce fut très long avant que je n’arrive à l’orgasme, mais quand la boule de feu a éclaté dans mon ventre, j’ai cru que j’allais mourir. Pendant plusieurs semaines j’ai évité de me toucher, et puis un soir j’ai recommencé, et ainsi petit à petit je suis devenue un peu accro à ce plaisir, me masturbant plusieurs fois par semaine et jouissant de plus en plus rapidement.
J’avais 14 ans quand j’ai été dépucelée pendant des vacances dans le Jura par un garçon du village avec qui je flirtais, pendant de longues semaines, nous avons commencé à flirter gentiment, puis petit à petit à jouer à touche pipi, et j’avoue que caresser sa queue assez fine m’excitait pas mal, et j’étais assez fière de le faire éjaculer. Deux jours avant la fin des vacances, nous étions seules dans un petit coin au bord de la rivière, nous nous sommes embrassés, caressés, puis nous nous sommes dévêtus, et il m’a pénétrée, autant mon dépucelage anal fut douloureux, autant je ne garde aucune douleur de mon dépucelage vaginal, je n’ai tout juste rien ressenti, il s’est activé entre mes cuisses puis à éjaculé assez rapidement. Nous avons recommencé le lendemain sans que je ne ressente rien de plus.
L’année scolaire s’est passée, j’ai eu quelques flirts mais sans jamais aller jusqu’à la pénétration.
L’été suivant je suis retournée dans le Jura, mes grands parents avaient embauché un commis de ferme vu l’âge de mon grand père, il avait 26 ans, brun un peu rustre mais très attirant pour la jeune fille de 15 ans que j’étais. En 1 an mon corps avait changé, j’avais déjà une belle poitrine, bien formée, bien dessinée et j’étais assez jolie.
La journée nous la passions souvent ensemble soit auprès des bêtes, soit dans les champs, j’adorais être à ses côtés, et un soir alors que nous regardions les étoiles, nous nous sommes embrassés, j’ai senti contre mon ventre son sexe dur, sans réfléchir, j’ai ôté ma culotte et il m’a pénétrée, il était beaucoup plus membré que mon premier petit copain, et beaucoup plus long à venir.
Durant les jours suivants, il a tout fait pour m’éviter, regrettant son impulsion, mais dans la grande ferme, il dormait dans la même aile que moi, et mes grands parents à l’opposé. Un soir n’y tenant plus, je l’ai rejoint dans sa chambre, il fut étonné mais ne put se résoudre à me chasser.
Toutes les nuits nous nous sommes retrouvée soit dans sa chambre, soit dans la mienne. C’est avec lui que j’ai connu mon premier orgasme vaginal, juste après qu’il m’ait pour la première fois léchée et faite jouir. ce fut une véritable révélation.
Petit à petit notre relation sexuelle devint une vraie relation, c’est à lui que je fis ma première fellation.
Malheureusement tout a une fin et les vacances aussi.
J’ai compris dans cette relation malgré mon jeune âge le pouvoir que j’avais sur les hommes et cette sensation d’exister, de compter et que je plaisais aux adultes.
Quelques mois plus tard, j’ai connu ma première sodomie avec un moniteur de ski de 32 ans lors d’un séjour en montagne avec ma classe et mon prof, j’avais 16 ans.
Nous étions en camp organisé par un de nos prof, quand nous avons vu le moniteur, toutes les filles (moi comprise), nous nous sommes mises à baver, c’était l’archétype du moniteur, beau, bronzé, les yeux bleus, mais contrairement aux autres qui étaient encore vierges, moi j’avais déjà un certain vécu sexuel, je me suis donc dit que pour faire râler les autres, je me le ferais.
Durant toute la semaine, j’ai tout fait pour l’allumer, n’hésitant pas après les cours de ski à venir m’assoir sur ses genoux au café au grand dam des autres filles.
Le dernier soir, il nous a invité dans son chalet pour une fondue. A la fin de la soirée, alors que les autres rentraient à notre dortoir avec le prof, je suis resté chez lui, rapidement nous nous sommes retrouvés dans sa chambre, et nous avons commencé à faire l’amour, j’étais très excitée, j’étais arrivée à mes fins et il me plaisait beaucoup. Nous avons fait l’amour une première fois en position missionnaire, puis comme je devais lui plaire, il m’a prise en levrette.
Après m’avoir limée pendant de longues et de nouveau faite jouir, je l’ai senti sortir de mon vagin et sa queue est venue se frotter sur mon anus. Il m’a demandée si j’avais déjà été sodomisée, je lui ai dit non, il m’a demandée si je voulais essayer, je lui ai répondu oui, encore par bravade.
Alors doucement cm par cm, il s’est enfoncé dans mon anus, j’ai serré les dents car j’avais très mal, mais je n’ai rien dit, arrivé au fond, il n’a plus bougé, c’était encore plus douloureux, puis il glissé une main entre mes cuisses, et doucement légèrement a caressé mon clitoris, il a fallu un long moment pour que je ressente les effets de ses doigts. Petit à petit la douleur fut moins sourde, et mon sphincter semblait s’ouvrir, se décontracter, et ses doigts sur mon clitoris finirent par faire leurs œuvres, j’ai senti de fond de mon ventre monter la boule de feu, je me suis mise à jouir en me trémoussant sur sa queue, qui maintenant allait et venait dans mon fondement, l’orgasme clitoridien puis suivi presque immédiatement d’un autres orgasme, moins violent mais plus profond, plus long et qui ne s’emparait pas que de mon ventre mais de tout mon corps, c’est ainsi que j’ai eu mon premier orgasme anal.
Le sexe est vite devenue une sorte d’addiction pour moi, quand mes parents s’absentaient les WE ce qui était assez régulier, mon frère aîné de 4 ans organisait des fêtes à la maison, et il était très courant que l’un d’eux finisse la soirée dans mon lit, certes pour nombres de garçons je passais pour une vraie salope, beaucoup se vantaient de m’avoir baisée, je ne parle même pas des commentaires des autres filles à mon égard, mais je m’en moquais totalement.
J’ai rencontré celui qui allait devenir mon mari à 17 ans, il avait 4 ans de plus que moi et c’était lui aussi un copain de mon frère. c’était seul qui n’avait jamais essayé de me draguer ou de me baiser, bon c’est vrai qu’il avait un physique ingrat, assez gras, un peu balourd avec de grosses lunettes, à l’opposé du type de garçon qui m’attirait physiquement.
Lors de mes révisions pour le Bac, il s’est proposé de m’aider à réviser, ce que j’ai accepté car il était très gentil et avait pas mal d’humour.
Un après midi alors qu’il faisait très chaud, nous étions chez lui et je lui ai demandé si je pouvais prendre une douche, il est devenu pivoine. Sous la douche, juste pour le provoquer, je lui ai proposé de venir me frotter le dos, là il est devenu encore plus rouge, puis je lui demandé de me rejoindre sous la douche, il a fini par accepter et s’est déshabillé, en le voyant nu, j’ai été stupéfaite, j’avais toujours pensé que les gros avaient de petits sexes, mais pas lui.
Sous la douche, j’ai commencé à le caresser, il m’a avoué qu’il était encore puceau à 21 ans. Je n’avais pas envie physiquement de lui, mais il m’attendrissait, il était si gauche, si timide. Nous nous somme retrouvés dans son lit et je me suis mise sur lui, il m’a fallu plusieurs essais avant de réussir à faire pénétrer son membre dans mon vagin, d’une part à cause de sa taille, mais aussi car je n’arrivais pas à lubrifier.
Quand il fini par glisser dans mon vagin, il a fait une grimage, ça a du lui faire un peu mal, puis j’ai commencé à onduler sur lui, persuadée qu’il allait éjaculer rapidement, mais ce ne fut pas le cas, si bien qu’au bout d’un moment sa queue en moi m’a faite jouir, juste après il a éjaculé. Un quart d’heure plus tard c’est lui qui remettait ça.
Je ne me serais jamais attendu à ça de lui, il était bien meilleur amant que la plupart des garçons avec qui je couchais, et en plus il était gentil et tendre, alors que les autres ne faisaient que me baiser ou me sodomiser. Durant les semaines et mois qui suivirent, nous fîmes souvent et beaucoup l’amour, je lui appris à me lécher, à me caresser, ce qu’il adora.
Durant les 2 années suivantes, nos rapports furent sur courant alternatif, j’adorais baiser avec lui, car c’était la garantie d’avoir plusieurs orgasmes et très différent de mes autres rapports, mais je n’étais pas du tout amoureuse, je sortais et je couchais sans le moindre problème moral avec d’autres, dans ces cas, la pilule était un peu dure à avaler pour lui, mais nous finissions toujours par nous réconcilier.
Puis je suis tombée enceinte de lui, lui travaillait déjà comme éducateur, pour moi il était hors de question d’avorter, curieusement j’avais ancré en moi l’instinct maternel, nos parents dont les siens assez catho nous ont donc poussé au mariage, lui était ravi, moi beaucoup moins, ce n’était le mariage de princesse dont j’avais rêvé avec un prince charmant, mais en même temps, il me permettait de fuit le domicile « familial ».
Ma grossesse, le fait d’avoir un bébé jeune ne m’ont pas faite renoncer ni à mes études, ni à des relations qui par définition étaient devenues adultérines, j’en avais besoin pas physiquement car sexuellement il reste toujours aussi performant mais cérébralement. Nous avons eu un second garçon 2 ans plus tard.
Voilà cela fait 7 ans que nous nous sommes mariés, c’est un bon père et un gentil garçon, il est de temps en temps un peu immature, mais drôle et attentionné, je n’ai jamais été amoureuse de lui et il ne m’a jamais faite ni rêver ni fantasmer, je l’ai donc en 7 ans souvent trompé, je pense qu’il n’est pas tout à fait dupe de mes infidélités, mais jamais il n’en n’a fait la moindre allusion, cela peut paraître bizarre mais je n’ai jamais eu envie de le quitter.
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