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Maman tres chaude, enfants pervers. (19)

Maman tres chaude, enfants pervers. (19)



Il s’agit de la suite des textes de fantome ( gloire a lui, of course ) que je reposte ici pour continuer l’histoire …

Chapitre 19 : Eric est de plus en plus pervers.

Le lendemain, je me réveille et je vois Paul qui me regarde en souriant.
– Salut ma belle,
Je souris et je l’embrasse.
– Je dois aller faire pipi, dis-je en me levant.
Immédiatement, il saute du lit en riant et court vers la salle de bains.
– Paul, tu es ignoble
Dis-je en regardant sa queue gonflée par son envie de pisser qui se balance entre ses jambes.
Je soupire et quand il revient je me précipite à mon tour, toute nue mais ça presse !
En allant vers la salle de bains, je vois que la porte de la chambre d’Aurélie n’est pas fermée car la lumière de nuit, qu’aurélie laisse souvent allumée, éclaire une partie du couloir sombre. Je marche sur la pointe des pieds et je vais m’assoir sur les toilettes pour libérer un flux de pipi et je remarque que dans ma hâte, j’ai oublié de fermer la porte et d’allumer la lumière. Par l’entrebâillement j’ai une bonne vue du couloir entier. Quelques secondes passent et Paul sort de notre chambre. Il marchait dans le couloir vers l’escalier quand, soudainement, il s’arrête devant la chambre de notre fille.

J’essuie ma chatte dégoulinante et je m’apprête à l’appeler lorsque quelque chose m’arrête.
Ce quelque chose c’est sa posture, la manière dont il regarde dans la chambre de notre fille. Il regarde en se déplaçant de haut en bas comme pour chercher quelque chose. Que peut-il regarder comme çà.
Enfin, après quelques minutes, il prend une profonde inspiration et se dirigé vers l’escalier pour descendre. Bien que toujours nue, je m’approche silencieusement de la chambre de notre fille et je jette un coup d’œil. J’en reste bouche-bée.
Le lit d’Aurélie est positionné face à la porte et elle est couchée sur son lit, endormie et complètement nu. Les couvertures sont sur le côté et elle gît sur le ventre avec son cul face à la porte. Sa jambe droite est étalée toute droite alors que la gauche est remontée et pliée vers ses seins. Son cul bombé bien visible dans son intégralité et vers le bas au-dessous de ses fesses pulpeuses je peux voir sa belle petite chatte.

Voila ce que Paul, mon mari, fixait longuement.
C’est probablement la première fois qu’il voit sa fille de telle manière, depuis que c’est une jeune fille. Je suis surprise et même choquée qu’il soit resté si longtemps à la regarder. Cela peut arriver dans une famille mais on n’en profite pas comme il l’a fait !
Tout à coup quelqu’un me serre dans ses bras.
– Huuummm, ma petite maman joue les voyeuses.
C’est Eric qui me chuchote à l’oreille.
J’ai failli crier de surprise mais rapidement elle se transforme en embarras en sachant que mon fils m’a pris en train de regarder le cul de ma fille.
– Eric, veux-tu bien me lâcher.
Mais ses bras puissants me maintiennent et je ne peux bouger.
– Que fais-tu toute nue dans le couloir à regarder dans la chambre d’Aurélie…OH MON DIEU ! »
Il vient de voir sa sœur et je sens ses mains qui pressent mes seins pendant qu’il fixe le cul de sa sœur.
– Eric, laisse-moi.
– Whaou ! Aurélie est bandante comme ça. Pas étonnant que tu regardes.
Non, ce n’est pas ça, mais je ne peux pas lui dire que je vérifiais ce que son père regardait.
– Tu aime son cul, maman ?
– Arrête Eric !
– Ça me rappelle Susie…et toi … dans le magasin de chaussure ? Murmure-t-il tout en me léchant derrière mon oreille.
« OH NON ! Il ne peut pas me faire ça ! »
Mon esprit crie mais je ne bouge pas.
-Huuummm
Un petit gémissement d’excitation m’a échappé et mes tétons se sont allongés et devenus incroyablement durs. Mon fils les sens se durcir tout de suite et il sait pourquoi. Suzie ! La fille qu’il m’a vu lui sucer la chatte en face de lui et de son appareil photo.
– Elle est encore plus belle. Tu ne veux pas aller vers elle et son beau petit cul. Regarde sa mignonne petite chatte. T’as pas envie de goûter son jus, maman ?
Je ne peux réagir de peur de faire du bruit et de réveiller Aurélie. J’ai aussi peur que mon mari monte l’escalier et me voit comme ça, avec mon fils qui ballade ses mains sur tout mon corps nu. Mais cette situation m’excite.
– Dis-moi, maman, aurais-tu envie d’Aurélie ?
Chuchote-t-il dans mon oreille et je fais rapidement non de la tête.
Je sais bien ce qu’il a en tête mais je ne céderais pas. Pas lui, pas avec ma fille, pas avec sa sœur. Tout à coup, je sens quelque chose de dur et chaud qui se presse contre mon cul. Il a sortit sa bite !
« Il ne va quand même pas faire çà ! Pas avec mon mari juste en bas et ma fille qui dort devant moi ! »
Je lui jette un regard horrifié et de défi, mais il a juste souri sachant que je ne résisterais probablement pas. Saisissant mes mains il les tire vers le haut, au-dessus de ma tête, et les maintenant d’une main il prend de l’autre un mes seins pour pincer mon téton tout dur.
– Aaahhh… »
Je n’ai pu m’empêcher de gémir de plaisir et de douleur.
– Aurélie t’excite ? Tu mouilles et je suis sur que tu as envie de goûter la sienne. Hein, maman ?
Un autre murmure, une autre demande. Je regarde Aurélie couché dans son lit, si belle, si douce… si accueillante… les lèvres de sa chatte attendent mon…
Je ferme mes yeux et me tourne vers mon fils.
– Eric, arrête et lâche moi. C’est trop dangereux… Murmurai-je d’une voix à peine audible.
Soudain je sens le bout de sa queue entrer en contact avec l’entrée de ma chatte. La seule chose qui l’empêche de me prendre à ce moment-là, c’est l’angle de pénétration inadéquate. Il s’en rend compte immédiatement et il fait pression sur mon sur mon dos pour me plier un peu et ressortir mon cul.
Et je sens sa grosse queue dure ouvrir ma chatte et pénétrer à l’intérieur sur une bonne partie de sa longueur.
– oh nooonnn, pas ici…
Murmurais-je
Mais j’écarte mes pieds, cambre encore plus mon dos en m’agrippant à la porte, quand mon pervers de fils commence à faire aller venir sa belle bite épaisse dans ma chatte, tout en s’accrochant à mes hanches. C’était si fou et si dangereux, que je ne peux croire que je le laisse faire et que je ne dis rien pour arrêter. Et je me dis que je ne vais pas tenir longtemps et lui aussi sûrement.
– Alors… T’as envie de la sucer sa belle petite chatte qui me paraît si douce ?
Continu-t-il de me chuchoter tout en me baisant par derrière.
Et dans ma tête je pense ;
« Mon Dieu ! Que se passera-t-il si ma fille se réveille ? Que va-t-elle dire si elle me voit comme ça ? Son frère qui baise sa mère ? »
« Je suis une salope… Une putain de salope pour accepter que mon fils fasse cela !
Et sans m’en rendre compte je chuchote,
– Oui…
Eric, immédiatement, pousse sa bite profondément à l’intérieur de moi d’un coup énergique.
– Oh maman… j’aime te baiser… et tu le ferais…Aaahhh, qu’est ce que tu m’excite…
Il me tient serrée contre lui et il remue sa queue en moi.
– Regarde-là, regarde sa chatte… Dis-moi ce que tu lui ferais. Soit ma salope et dis-moi…
Mon cerveau enregistre ses mots et il veut que je joue la salope. Sa salope à lui. Je regarde la chatte d’Aurélie entrouverte devant nous et je repousse mon cul sur mon fils et son gland commence à ouvrir mon col de l’utérus.
– Ooohh, Eric…
– Dis-moi que tu as envie de la sucer, dit-il
Moi tout ce que j’ai envie c’est de sentir sa queue qui me fouille et je fais des mouvements courts et rapides avec mes hanches pour me baiser sur sa longue bite.
– Oui, je voudrais… Résignée et prête à jouir.
– Dis le moi….Aaaahhhhh…
Eric est en train de jouir et moi je suis au bord
– Oui, je veux… je veux lui bouffer sa chatte…Elle doit être si bonne.
Il s’enfonce au plus profond que mon corps le permet, et je sens sa bite qui envoie des charges de son sperme juteux à l’intérieur de mon utérus. Je ne peux en supporter plus et je viens aussi en me mordant ma lèvre inférieure pour ne pas crier et surfer silencieusement sur les vagues de nos orgasmes. Malgré mon extase orgasmique, mon esprit enregistre chaque giclée de sperme qui frappe mon utérus et sa bite me remplit la chatte à tel point que je crains que çà ne déborde.
Les jambes écartées, mes bras en l’air au-dessus de ma tête tenant l’armature de porte, je reste empalée sur la grosse bite de mon fils pendant qu’il fini de se vider en moi. Nous restons réunis comme ça jusqu’à ce qu’il se calme et que sa queue s’arrête de remplir mon canal d’amour.
Respirant fortement je me retourne vers lui quand il sort silencieusement de ma chatte. Instantanément, je sens son sperme qui sort goutte à goutte de ma chatte et qui coule sur mes cuisses. Je les serre l’une contre l’autre dans un effort futile pour retenir son jus à l’intérieur de moi.

– Oh mon Dieu, Mais quelle quantité de sperme as-tu mis dans la chatte de ta maman,
Demandais-je étonnée encore penchée contre le chambranle.
Baissant les yeux je regarde sa bite humide et instinctivement je lèche mes lèvres. Il ne manque pas de s’en apercevoir et il sourit en connaissance de cause.
– Tu veux goûter ta chatte sur ma bite ?
Alarmée je jette un œil sur Aurélie, mais elle dort toujours. Saisissant la main d’Eric je le tire vers sa chambre. Une fois à l’intérieur je tombe rapidement à genoux et je prends sa queue dans ma bouche.
– Huuuuummmmmmm…
Je gémis vraiment comme une chienne, en nettoyant sa bite qui se ramollie. Et j’ajoute complètement dans mon désir pervers ;
– oh… Que j’aime ça… Mon Dieu… je ne sais pas pourquoi… mais je l’aime…
– Oui, t’es une bonne cochonne, dis mon fils en roucoulant.
– Vas-y, suce, suce ton jus et mon foutre… ouiii…comme ça…. Tout comme tu lécherais Aurélie.
Je reste figée en me rendant compte de ce que j’ai pu dire au plus fort de mon orgasme. Regardant vers le haut je me relève.
– Eric je…
Mais je ne termine ce que je voulais dire. Il m’attire rapidement sur lui et m’embrasse pour me faire taire et ses mains trouvent mes fesses.
Quand finalement il me lâche, je me sens faible et j’essaye de reprendre mon souffle.
– Maman, je voulais seulement jouer avec toi et mettre un peu piquant dans cette situation. Je sais que tu ne ferais pas ça…mais je voulais… juste imaginer que tu le ferais.
Je le regarde surprise. Son beau visage est tendu, comme impatient d’une réponse. Il veut vraiment que je fasse cela. Je secoue la tête vers lui et je sors de sa chambre sans rien dire. Je vais me nettoyer avant de descendre et que Paul se demande ce que je fais.
Je commence à nous faire le petit déjeuner et le café et j’appelle Paul qui regardait les infos du matin. Nous sommes assis dans la cuisine, faisant la conversation en évitant ce qui s’est passé hier soir. Mo je n’en reviens encore pas de mon audace avec mon fils il y a quelques minutes. Paul n’a pas posé la question que j’attendais sur la personne qui était dans notre lit. Je pense qu’il a bien jouit de l’aventure d’hier soir et qu’il ne veut pas compromettre le futur avec les mauvaises questions.
– As-tu vraiment acheté pour Eric un nouvel appareil photo ?
– Oui, J’aime qu’il s’intéresse à la photographie, contrairement aux autres choses qu’il a abandonnées si vite.
– C’est exactement ce que dit Aurélie,
– Crois-moi, Kate, avec cet appareil, il est équipé comme un pro. Et toi qu’as-tu prévu pour son anniversaire ?
Je commence à penser à un cadeau que je pourrais donner à mon fils et Paul ajoute,
– Je voulais lui donner la semaine prochaine à son anniversaire, mais il m’a dit qu’il avait une séance de photos avec ses amis. Apparemment ils ont quelqu’un, un modèle, qui voudraient se faire photographier et ils veulent le faire aujourd’hui.
Mon cœur bat un peu plus vite.
« Un modèle ? Quel modèle ? Quels amis ? »
– Donc à cause de ça, je pense qu’il serait préférable de lui offrir ce matin afin qu’il puisse l’utiliser pour sa séance photo. Qu’en penses-tu bébé ?
– Oui, je pense qu’à une semaine près, ça ne fera pas beaucoup de différence. Dimanche prochain nous lui fêterons avec un beau gâteau.
Les enfants n‘étant pas levés nous avons le temps de parler sans être interrompu. Paul me regarde longuement sans rien dire, et je vois qu’il veut me dire quelque chose.
– Ok, Paul…crache le morceau !
Il détourne un instant son regard et je pense qu’il ne va rien dire. Au lieu de cela, il se tourne vers moi, ses yeux brillant d’émerveillement.
– Il s’agit la nuit dernière, dit-il.
Je savais bien que c’était de ça qu’il voulait parler. Et je réponds comme si je ne comprenais pas.
– Que veux-tu dire… Quoi, la nuit dernière ?
Ses mâchoires se serrent en signe d’impatience, mais sa voix reste contrôlée.
– Kate, ce qui c’est passé la nuit dernière était… était incroyable. J’ai aimé chaque seconde et c’était quelque chose… quelque chose que j’ai toujours rêvé mais…
Il hésite un instant en me fixant dans les yeux.
– Qui est-ce ? Qui était avec nous ? dit-il enfin.
Je prends une profonde respiration, la question était inévitable, à moi de trouver la réponse. Je voudrais lui dire, bien que dangereux et stupide c’est ce que je voudrais lui dire. Une partie de moi est fatiguée de cacher la vérité, et une autre partie (vous voyez laquelle…) est toute excitée d’anticiper ce qu’il dirait quand il découvrirait qui c’était.
– Mon chérie, c’est une ancienne amie de ma jeunesse que j’ai rencontrée par hasard et que je savais très libre sur le plan sexe. Ce n’est pas si important pour toi de connaître son nom puisque tu ne la connais pas.
Je pense que ce n’est pas encore le moment et qu’il n’est pas prêt pour cette vérité.
– Je…je ne sais pas. L’idée de savoir qui c’est me trotte…
– Dans ta tête ou dans ton slip ! Dis-je en lui coupant la parole.
Il me regarde intensément et il semble qu’il a quelque chose en tête.
– Et… d’un regard interrogatif.
– Euh, c’était génial… c’était chaud et érotique, mais…J’aurais souhaité voir… vous voir toutes les deux, toi et…elle… Dit-il avec une petite voix.
Moi et elle ? Veut-il dire qu’il voulait nous voir en action, elle et moi ? Mon mari est en train de me suggérer qu’il souhaiterait avoir des relations sexuelles avec moi et une autre femme ? Je respire un bon coup car j’ai failli dire la vérité.
– Une partie de l’excitation est due principalement à ce que tu n’étais pas en mesure de voir qui c’était. Tu ne crois pas ? Ça pourrait être n’importe qui.
Je souris en regardant son front se rider dans une profonde réflexion, tentant de comprendre mes mots.
– Qu’entends-tu par n’importe qui ?
Mais je ne réponds pas.
Au lieu de cela, je me lève pour me resservir du café et je remarque Aurélie qui arrive vers la cuisine, ses yeux à peine ouverts, cheveux emmêlés, et portant seulement un petit haut et un short. Le haut enserre ses seins étroitement et ne s’arrête que deux ou trois centimètres en dessous de ses seins et en plus son décolleté est très profond. Son ventre est à l’air et son mini short rose est plaqué sur son jeune sexe. Il y a tout juste assez de tissu pour couvrir sa chatte et le haut est à pas plus d’un cm au-dessus de son clitoris.
– Salut maman, papa dort encore ? Demande-t-elle en allant en direction de la cafetière.
Effrayée je regarde Paul qui fixe sa fille qui ne sait pas rendu compte qu’il est assis à la table. Mais qu’est ce qui lui prend de descendre habillée comme ça pour prendre son café ?
– Heu, …Il n’est pas…
Et je remarque que les yeux de Paul essayaient en vain d’éviter de regarder le cul de sa fille.
Aurélie se verse du café, en boit une gorgée et me regarde enfin en ouvrant entièrement ses yeux.
– Oh et où est-il ?
Au lieu de répondre, je regarde Paul assis à la table de la cuisine. Aurélie suit mon regard et soupire.
– Salut ma jolie… tu… tu te lève bien tard aujourd’hui…
Il regarde sa fille qui lui fait face, ses yeux glissant vers le bas, vers ce short minuscule qui ne peut cacher les courbes bien pulpeuses de notre fille. Aurélie a l’air surprise du regard de son père mais je remarque un sourire, à peine perceptible, se dessiner sur ses lèvres alors qu’elle observe son père qui la fixe des yeux.
– Oh Salut papa, j’ignorais que tu étais là,
dit-elle modestement sans même essayer de cacher quoi que ce soit avant de s’assoir rapidement à la table et je me place à coté d’elle. Je me demande quand même si c’est un accident ou si elle est descendue volontairement ainsi habillée.
– Oups, Désolée papa, si j’avais su que tu étais là, j’aurai passé un peignoir.
Paul lui sourit et passe sa main dans ses cheveux en soupirant.
– Pas de problème, ma puce, ce n’est pas la première fois que je te vois à moitié à poil depuis que tu es née.
Ca c’est sure ! Quand elle était toute jeune, OK, mais maintenant c’est une jeune femme très sexy avec un corps de rêve qui ferait bander plus d’un homme juste en la regardant. Je me demande d’ailleurs dans quel état est mon mari en cet instant.
– Merci papa. J’ai juste besoin d’un café, c’est tout. Mais il faut que je pense à ce que je vais faire pour l’anniversaire d’Eric…, des idées ?
Aurélie se penche sur la table avec ses seins en appui sur le bord et regarde son père avec un sourire chaleureux. Son petit haut ne suffis pas à masquer une bonne partie de ses seins fermes, qui sous la pression de la table remonte vers le haut à la limite de sortir du chemisier. Les yeux de Paul s’agrandissent, il détourne son regard, mais lentement… très lentement, ses yeux reviennent sur ses seins magnifiques et il commende à prendre des couleurs comme celles des aréoles roses d’Aurélie. Maintenant je sais qu’elle le fait exprès.
– Aurélie chérie, peux-tu me resservir du café ?
Je veux épargner à mon mari le rouge de la honte devant sa fille.
Aurélie me jette un regard déçu mais prend ma tasse et se dirige vers le pot de café. J’évite à Paul d’être embarrassé devant sa fille mais malheureusement il fixe maintenant le cul de notre fille. Son mini short est perdu entre ses fesses laissant son cul complètement exposé. Quand je regarde mon mari il détourne immédiatement les yeux du cul d’Aurélie.
– As-tu demandé à ton frère ce qu’il veut ?
Et en posant cette question je réalise que c’est moi maintenant, qui regarde son cul alléchant.
Aurélie se retourne avec ma tasse de café en main et remarque ou se porte mes yeux. Elle hausse des épaules avec un sourire complice sur son visage.
– Non, je ne sais pas très bien quoi lui offrir. Quelque chose pour sa voiture peut-être…
Elle reste debout ou elle est, exhibant son corps devant son père qui ne la quitte pas des yeux.
Je me demande si mon mari a la trique et discrètement je pousse ma petite cuillère sur la table qui tombe par terre. Paul ne fait même pas attention, tellement obnubilé par sa fille à moitié nue devant lui.
Je me penche pour la ramasser et jette un coup d’œil sous la table. Son pyjama est complètement déformé vers le haut avec une belle et évidente érection !
Je ne suis, bien sûre, pas surprise, voir même, d’une certaine manière, soulagée. Je me suis souvent interrogé moi-même sur mes sentiments pour mon fils qui m’ont transformée en une monstrueuse salope et avec les relations sexuelles débridées que j’ai avec lui, je suis devenu quelque chose de pire qu’une pute à bon marché. Maintenant, voir mon mari avec une érection rien qu’a regarder notre chaude petite fille est une sorte de soulagement. Aurélie réussi évidemment à allumer et exciter son père tout autant qu’Eric m’a allumée et transformée en salope de maman.
Nonchalamment, elle s’approche de la table en balançant ses hanches sexys et me tend ma tasse de café alors qu’elle fait les yeux doux à son père.
« Je me demande comment sa bite est dure en ce moment. Serait-il prêt à baiser sa fille si je n’étais pas là ? »
Je supprime rapidement ces pensées inappropriées et i****tueuses de mon esprit.
– Bon, Il faut que je me dépêche un peu. J’ai promis à Barbie d’étudier avec elle aujourd’hui.
Barbie, cette copine mystérieuse qui a contribué à me sauver des griffes perverses de Frank en aidant Aurélie à récupérer mes photos compromettante.
– Quand vas-tu nous présenter Barbara ? Je serais ravi de la rencontrer. Pourquoi ne pas l’inviter pour le dîner ?
Aurélie me fait un rapide sourire et un clin d’œil tout en restant debout en face de nous à moitié nue.
– Je sais maman, je vais le faire, je te le promets mais pas aujourd’hui. Aller, a plus.
Et Paul ne se gène plus du tout à regarder son cul se balancer d’un côté à l’autre au rythme de ses pas. Je me tourne vers lui en secouant ma tête.
– Il va falloir que je lui parle de sa façon de s’habiller ! T’as vu sa culotte !
Paul tousse et se racle la gorge et je reconnais là un de ses signes de nervosité.
– Oui, j’ai vu. C’est comme si elle ne portait rien du tout.
– Huuummm, mais ça ne t’as pas déplu apparemment ?
– Kate, c’est notre fille ! J’ai juste… juste jeté un coup d’œil puisque qu’elle était devant moi…
Rapidement, je me penche vers lui et je tâte sa bite à travers son pyjama et je referme mes doigts autour de sa queue toute dure et je chuchote dans son oreille.
– Ah bon ? Et qu’elle est la cause de ceci ?
Sa respiration s’accélère et son visage devient rouge. Il est prit en défaut sur le fait qu’elle a réussi à lui donner une énorme érection rien qu’en lui dévoilant son corps.
– Kate, je…je…
Il essaye de dire quelque chose mais je lui serre sa bite et commence à le branler doucement.
– Aller, c’est bon. Je sais comment elle est et ça n’a jamais tué personne. Tu peux regarder, mais pas touche !
Il est vraiment surpris par mes paroles. J’appuie mes lèvres sur les siennes, tout en continuant de lui branler sa bite et je le sens gémir dans ma bouche. Je suis un peu mal à l’aise sur ce que j’ai dit car je me sens comme une maman pervertie qui donne la permission à son mari de regarder la nudité de sa fille. Peut-être que je suis fatiguée d’être la seule dans cette famille à faire des choses inappropriées ? Quoi qu’il en soit, il m’est difficile de résister dans certaine situations et je sens d’ailleurs une humidité naissante entre mes cuisses. Si je ne me retenais pas, je me baiserais immédiatement sur cette belle bite que ma fille à réussit à faire bander en quelques secondes. Mais je m’éloigne sachant Eric ne va pas tarder à descendre.
Je prends ma douche et quand je redescends mon mari me donne une nouvelle décevante. Il doit partir pour son boulot, son patron vient de l’appeler.
– Je suis désolé bébé, je ne peux refuser, c’est très important. Je te promets de ne pas rentrer trop tard. Passe ta journée avec Eric, je me sentirais beaucoup mieux si quelqu’un contrôle un peu ce qu’il fait comme séance photos.
Eric et Aurélie ont descendu les escaliers et Paul lui a donné son cadeau qu’il a tout de suite apprécié comme Paul l’avait prédit.
– Eric, C’est un bel appareil photo, que vas-tu prendre comme photos avec ça ?
Dit Aurélie en riant et l’observant.
Il tourne l’appareil vers elle et la prend en photos rapidement.
– Elle crie comme une petite fille en essayant de se cacher de lui.
– Non pas maintenant ! Je suis moche et pas maquillée.
– Pourquoi pas ? Tu es superbe, répond Eric en reprenant des photos.
– Très belle ma puce ! Tu peux te laisser prendre en photos sans soucis. Dit son père.
Aurélie a donne à son père un sourire mais se tient à l’écart d’Eric.
– Viens avec moi, Aurélie, je prendrais des superbes photos de toi.
En l’entendant dire ça je serre les mâchoires. La première fois que j’ai posée pour Eric dans mon bikini minuscule j’ai vu le genre de photos qu’il aime prendre et surtout à quoi cela nous a conduits.
– Laisse-là, Eric, elle ne veut pas que tu la prennes en photo.
– Ça ne me dérange pas maman, mais pas maintenant et pas n’importe comment. Je ne suis pas prête.
– Eric cesse de la prendre et ;
– OK, si ce n’est pas maintenant… alors quand ?
Aurélie réfléchie un instant, à quoi pense-t-elle ?
– Que dirais-tu de ce soir ? Je ne rentrerais pas trop tard.
Mon dieu ! Maintenant il va prendre des photos d’Aurélie ? Je dois empêcher cela sachant le danger et les photos qu’il aime prendre et en plus l’attirance qu’a Aurélie sur sa bite qu’elle a accidentellement vue il y a quelques semaines.
– Que diriez-vous si nous nous réunissions ensemble pour une séance photo de famille ce soir. Il a un moment que nous n’avons pris des photos ensemble.
Eric et moi échangeons un regard rapide mais il ne dit rien.
Aurélie ramasse ses affaire et en se sauvant,
– Nous verrons ça ce soir. Nous aurons suffisamment de temps pour nous préparer et on verra comment s’habiller.
Paul frappe dans ses mains et dit,
– Accord conclu ! Ce soir à neuf heures, session photo de famille. Tout le monde doit être là.
« Mais qu’a voulu dire ma fille par… on verra comment s’habiller.
Puis tout va vite, Paul monte se changer et file voir son patron, Aurélie est partie avant que son père ne redescende et je me retrouve seule avec Eric. Seul avec Eric !
Je me demande s’il va encore avoir envie de moi comme ce matin, malheureusement, on sonne à la porte et j’ai la surprise de voir arriver Gina.
– Salut Kate, mon homme est à maison ?
Je n’aime pas qu’elle appelle mon fils « son homme » mais je laisse glisser.
– Salut Gina, il est à l’étage.
Je marche derrière elle, et je vois Eric descendre l’escalier.
– Salut mon cœur, mais tu n’es pas prête ?
Gina lui sourit et lui donne un rapide baisé.
– Je ne vais pas me réparer avant que tu ne sois prêt. Je garde le meilleur de moi pour ton appareil photo.
Je la regarde surprise.
– Tu vas poser ?
Eric se retourne, sourit et me fait un clin d’œil.
– Gina est d’accord pour poser en bikini pour nous aujourd’hui. Attends… tu ne fais rien de spécial aujourd’hui maman…pourquoi ne viens-tu pas avec nous ?
« Une séance photo en petite tenue ? Par dieu, oui je vais y aller. »
– Ton père m’avais suggéré de t’accompagner mais je ne vaudrais pas vous gêner en quoi que ce soit.
Gina me regarde interrogative mais Eric me sourit.
– Aucun problème mais toute personne dans le studio peut être contrainte à se faire photographier, m’averti-t-il.
Je hausse les épaules sachant que Gina va être le centre des attentions. Je viens juste avec eux pour m’assurer que ça ne dé**** pas trop.
– Bon alors on y va ! Quand il faut y aller… faut y aller. Et il pousse Gina vers sa chambre.
– Attends, tu vas dans la mauvaise direction ! Ou m’emmènes- tu ? Dit Gina en se mettant à rire.
Pendant qu’ils se taquinent en se caressant je monte dans ma chambre pour me préparer.

– Maman ! Nous sommes prêts, on t’attend maintenant !
Crie Eric 10 minutes après.
Je viens juste de finir mon maquillage et je me regarde dans le miroir. Mes longs cheveux sont réunis par une agrafe dans le dos, exposant ainsi mon cou avec seulement une mèche de cheveux descendant le long de mes oreilles. Mon petit chemisier prend bien mes seins laissant mes épaules et mon ventre nu avec aucun soutien-gorge dessous. La jupe mi-cuisse mais en valeur mes longues jambes sans trop en montrer. J’ai en main un string en dentelle et je n’arrive pas à me décider si je dois le mettre ou non.
Ca doit être la journée de Gina mais pourquoi ne devrais-je pas m’amuser un peu entourée de ces jeunes taureaux. Ça devrais être excitant de me pavaner devant eux sachant que je n’ai même pas de slip. Je jette mon string dans le tiroir et fini mon ensemble avec une paire de sandales confortables. Il fait chaud dehors, et je veux être à l’aise.
Je descends pour apercevoir Gina habillée d’un Jeans extrêmement serré et d’un chemisier en cretonne, très lâche. Le jeans enserre tellement son cul que lorsqu’elle se retourne je vois nettement la fente de sa chatte et je suis sûre qu’elle ne porte pas de slip dessous. Son chemisier flotte librement laissant une vue plongeante dans son généreux décolleté.
– Maman, tu es superbe !
Me dit mon fils et je lui souris, appréciant son commentaire.
– Aller, on y va. Mes potes nous attentent.
– Je suis prête, et toi Gina ?
C’est la première séance de photo pour Gina et Eric la convaincu de se laisser photographier dans un minuscule bikini. D’après mon expérience devant la caméra, ça va être une surprise pour elle étant donné que tous les garçons qui sont à la séance photos sont de jeunes petits salauds. Elle me regarde souriante et toute excitée.
– Ooohh, oui, ça va être amusant. Eric et ses potes vont mettre ces photos sur leur site web pour se faire de la PUB. Ils ont dit aussi que ça pourrait me faire connaitre en tant que modèle. Pouvez-vous imaginer… moi un modèle, dit-elle en me saisissant ma main.
Je dois me l’avouer, la pensée de m’exhiber devant une caméra ça m’excite toujours. Surtout devant l’appareil d’Eric. Je sais cependant que je ne pourrais jamais montrer mon corps devant tout le monde comme je le fais avec mon fils sans… sans un sac sur la tête pour que personne ne me reconnaisse. J’ai vite appris de mon expérience avec Frank que ce genre de photos peut nous entraîner plus loin que l’on le souhaite et vite dé****r.
– Totalement Gina, tu es magnifique et je pense que tu seras excellente comme modèle.
– Oh, Merci. Et toi ? Tu as exactement le look d’un Top Modèle.
Je regarde Eric qui me fait un rapide clin d’œil avec son sourire de jeune loup.
– Oh non ! Je suis beaucoup trop timide devant une caméra, dis-je regardant toujours Eric.
Je sais ce qu’il pense. Il doit songer à toutes ces photos érotiques qu’il a prises de moi dans la tenue d’Eve.
– Tu devrais quand même essayer Kate. Les amis d’Eric auront sûrement envie de prendre des photos de toi quand ils vont te voir !
Moi, de nouveau devant la caméra ? Je ne peux m’empêcher de me sentir excitée à cette idée. Je suis aussi surprise que Gina ai accepté en sachant qu’elle allait se faire photographier dans son bikini minuscule.

A suivre

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