Journée de découverte pour Didier (1)
Son prof de philo étant absent, Didier, beau gosse de dix sept ans, se retrouve avec son après midi de libre. Il es t midi, il décide de rejoindre son père à la salle de sport toute proche, pour lui passer un petit bonjour.
Son père, Armand, un mètre soixante dix, reprend le travail à quatorze heure.
Didier entre dans la salle, et entend une violente altercation provenant des douches. Il entre baille la porte, et découvre son père en, slip, en train de se disputer avec Fred, son professeur, un black de un mètre quatre vingt dix, quatre vingt dix kilos de muscles, en slip lui aussi.
A voir la bosse de leur entre jambe, Didier comprend qu’il n’y a pas photo.
-Arrête de me prendre pour un con, dit Armand, je vais pas me laisser faire par un black.
-Dis, petit con, répond Fred, qu’est-ce-que tu as contre les black?
Armand est de dos. Fred s’avance, le saisit par la taille, et le soulève.
Armand agite ses bras et ses jambes pour se libérer, en vain.
-Lâche moi, ordonne Armand.
Fred tiens Armand d’un seul bras. Avec l’autre main, il écarte le slip, et lui saisit les couilles. Il serre légèrement.
-Aie..aie, hurle Armand, arrête connard.
– Tu veux pas qu’on s’amuse tout les deux, demande Fred, çà me changera un peu.
En un tour de main, il quitte le slip d’Armand.
Didier esr stupéfait par la facilité avec laquelle Fred, à ôté le petit vêtement. C’est la première fois que Didier voit les attributs de son père. Et c’est pas fini.
En un tour de main, le black fait son slip à ses chevilles, libérant un sexe énorme. Il se branle doucement, et, une fois en érection, il glisse sa queue entre les cuisses d’Armand. Le gland, entièrement décalotté, sors sous les couilles d’Armand.
Didier n’intervient pas, il attend la suite avec impatience, le portable à la main.
Armand essaie d’envoyer ses mains en arrière, impossible.Il lance ses jambes, et les crochette derrière les mollets de Fred.. Ce mouvement a pour effet d’écarter les cuisses d’Armand, s’offrant ainsi à son adversaire.
Avec un calme olympien, Fred soulève Armand, jusqu’à ce que son gland soit en contact avec son petit trou, et amorce une légère descente.
-Non, pas çà, crie Armand, s’il te plait, lâche moi.
Aie, arrête, tu me fais mal.
Impassible, Fred fait coulisser le corps d’armand sur son membre impressionnant, jusqu’au couilles.
-Aie, assez, pleure Armand, tu me déchire.
-Chut, calme toi, dit Fred. On est que tout les deux.
personne pour te venir en aide.
Didier n(en revient pas. Une queue pareille qui disparait dans le ventre de son père. Hallucinant. avec son portable, il zoome au maximum, et prend une photo.
Grâce a sa force herculéenne, Fred fait monter et descendre Armand le long de sa queue. Armand est en larmes.
-Je t’en supplie, dit-il, laisse moi partir. Pardon si je t’ai blessé.
– Tu aimes pas ce que je te fais, ironise Fred. Tu sens comme je t’encule.
D’un coup, Armand arrête de se plaindre. Il accepte la domination du black.
Mieux, Didier remarque que, petit à petit, la bite de son père se dresse à l’horizontale, et d’avantage. Elle doit mesure environ quinze à seize centimètre. Comparé aux vingt, vingt deux de Fred, elle parait minuscule.
Fred, qui joue avec les testicules d’Armand, s’aperçoit du changement. Il saisit la queue en érection, joue avec le prépuce, et décalotte le gland.
-Ben mon cochon, on se régale apparemment, Dit Fred. Une petite branlette, çà te dirai?
-Salaud, gémit Armand, gratte moi le bout, branle moi, s’il te plait.
Didier est sur le cul. Son père qui supplie son professeur de le faire jouir.
Fred accélère ses mouvements du poignet sur la queue d’Armand.
-Je crache salaud, ha..ha..oh putain, vas-y oui.
toi aussi tu viens, je le sens.
-Han..han, soupire Fred, tiens, prend çà dans le cul,petite tapette. Que c’est bon de niquer un blanc.
Fred allonge Armand sur la table de massage, et avance sa queue vers sa bouche.
-Allez, vas-u, nettoie le gland. Voilà, comme çà. A un de ces jours peut être.
-Quand tu veux, répond Armand, finalement, tu m’as régalé.
Didier, complètement abasourdi, prend une dernière photo, et quitte la salle de sport. Il est treize heure.
Toujours perdu dans ses pensées, Didier arrive chez lui vers quinze heure trente. Il a hâte de mettre ses photos sur ordinateur.
Bizarre, deux voitures sont garées dans la cour. Il entre doucement. Une fois dans le hall, il entend des bruits provenant du salon. Il s’approche, et là, sur le canapé, il surprend sa mère, Gilou assise sur un black, en train de se faire mettre un coup de queue.
-Quelle bite mon dieu, gémit-elle, çà fait du bien à ma chatte. Tu joui salaud, je le sens que tu te vides les couilles, vas-y, fais toi plaisir. Moi aussi ma petite minette va crachée. Ha..ha..oui..oui.., comme tu me maques.
-Sale pute, tu me fais éjaculer, crie le black, tu as intérêt à bien me nettoyer après, compris?
-De suite mon amour, fais voir ta grosse queue Gilou se met à genoux pour sucer le gland énorme du black.
Didier découvre le visage de l’amant de sa mère. C’est Fred.
le professeur de son père.
Aujourd’hui, il aura fait les deux.
Enculé le père, et baisé la mère.
-Cà c’est de la queue, dit Gilou. A côté du petit morceau de mon mari. J’aimerai que tu l’encule un jour, devant moi. Ce serai marrant.
Fred a un petit sourire en coin.
-Tu est prête à tout pour t’exciter, hein? salope.
Didier a pris soin de prendre quelques clichés.
Fred est dominateur, il prend Gilou à bras le corps, et la retourne.
-Allez, un dernier coup pour la route. Puisque ton mec te donne pas assez. Tu lui garderas un peu de sperme pour ce soir. Tu lui demanderas qu’il te nettoie. Tu as compris,
bordille.
-Oui mon amour, je lui dirai de me lécher la chatte. Caresse moi encore, s’il te plait, les seins aussi.
-Non, il faut que j’y aille. A plus tard petite pute.
Didier n’est pas mécontent de sa journée. Il a les photos.
Il réfléchit comment tirer profit de tout çà.
Il y a des surprises dans l’air.
Le lendemain, il ébauche des plans, tous aussi pervers les uns que les autres. Il veut pas se manquer.
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