Ma femme et moi étions très excités ce matin là. Après de longs mois de travail, nous avions enfin mérités nos vacances. Après avoir chargé la voiture, le départ était imminent.
Le mois de juillet était déjà bien entamé et le soleil était puissant et constant depuis quelques semaines dans toute la France. De superbes vacances nous attendaient, j’en étais persuadé.
Je m’occupais des derniers préparatifs sur la voiture quand mon épouse, Clara, me rejoignit le sourire aux lèvres, prête à partir.
Clara est une très belle femme, les cheveux longs et fins, couleurs châtains, 1m65 avec de jolies formes. De belles fesses rebondies, une poitrine généreuse avec de petites auréoles roses et un minou lisse dépourvu de poils.
Moi, Ludovic, 1m75, cheveux courts et châtains, plutôt sportif, ventre plat, fesses musclées et un sexe de bonne taille sous une petite toison pubienne entretenue.
Clara était habillée d’un haut blanc ample et légèrement transparent, une jupe estivale blanche qui était ballotée au gré du vent, et des sandales en cuir marron.
Nous nous étions rencontrés 5 ans plus tôt, durant nos études. Ses beaux yeux verts et coquins m’avaient fait craquer.
Après un baiser passionné et langoureux, nous prîmes la route.
Au bout de deux heures de conduite, je décidai de faire une halte sur une aire d’autoroute. Je fis quelques pas sur le parking pour me dégourdir les jambes pendant que Clara se dirigeait vers les toilettes.
Pendant la marche, je perçus des mouvements dans l’habitacle d’une voiture un peu plus loin sur le parking, proche des pins.
J’avançai en direction du véhicule quand je m’aperçus qu’il s’agissait de la tête d’une femme en mouvement au-dessus de l’entrejambe d’un homme assis côté passager, fermant les yeux.
Je m’approchai encore et vis ce couple d’une quarantaine d’années en plein ébat, la femme se tripotant les seins de la main gauche et masturbant son homme de son autre main. Ses mouvements de va-et-vient étaient parfaitement synchronisés entre sa main et sa bouche, engouffrant son gland mouillé de salive.
L’homme fermait toujours les yeux, un rictus de plaisir était de plus en plus visible sur son visage. Son pénis épais et parcouru de vaisseaux sanguins gonflés de désir allait et venait dans cette accueillante grotte humide aux lèvres pulpeuses.
Mon sexe se raidit dans mon short à la vue de cette jolie femme pompant goulûment la queue de son homme. Sentant l’excitation monter en moi, je regardai autour de moi pour m’assurer que personne ne m’observait et je fis rentrer ma main dans mon caleçon, me malaxant les couilles. C’était bon, vraiment bon… jusqu’à ce que l’homme ouvre les yeux.
Il me vit en train de les observer à côté de sa portière, ma main tripotant mon sexe durci.
Je retirai brutalement ma main. La honte m’envahit, je ne savais plus où me mettre.
L’homme tapota l’épaule de sa femme qui releva la tête, et me regarda à son tour. Ses yeux se posèrent sur la bosse de mon short, elle me sourit, se lécha la lèvre inférieure et retourna à sa tâche, enfournant la queue dans sa bouche. L’homme me fit un clin d’œil complice puis referma les yeux lorsque sa suceuse avala plus profondément la bite au fond de sa gorge.
Leurs sourires et clins d’œil m’avaient rassurés mais la gêne que je ressentais encore m’avait fait débander.
Je décidai donc de retourner en direction de notre voiture.
Clara sortait justement des toilettes et marchait vers moi, souriante, radieuse.
Une petite brise souleva sa jupe légère et son minou totalement épilée fit une brève apparition.
Il ne m’en fallu pas plus pour que ma queue se durcisse à nouveau.
« -Je vois que tu as oublié de mettre une culotte, ma chérie, dis-je à voix basse pour que personne d’autre que Clara ne m’entende.
-Ce n’est pas un oubli, je me suis dit que ça te plairait et puis c’est les vacances, déclara-t-elle, le regard coquin.
– Oui, ça me plaît beaucoup !
– Je vois ça, souffla-t-elle en regardant mon entrejambe. Reprenons la route, j’ai hâte d’y être. »
Je me remis au volant et nous reprîmes le chemin des vacances.Je repensais à ce qui venait de m’arriver et, avec du recul, j’en étais venu à la conclusion qu’un couple se donnant à ce genre d’activités sur une aire d’autoroute, à la vue de tout le monde, devait certainement être exhibitionnistes. Il semblait évident qu’ils étaient plus à l’aise dans ce type de situations que moi. Je n’aurais pas dû me sentir aussi gêné et j’aurais peut-être même pu profiter un peu plus de la situation, songeai-je avec regrets.
Clara était silencieuse, le nez sur son téléphone portable pendant que je conduisais, écoutant les tubes de l’été diffusés à la radio.
Elle posa sa main sur mon bas ventre, pressant légèrement mon pénis à travers le short. Agréablement surpris, je fis de même en insérant ma main droite entre ses cuisses. J’effleurais délicatement sa peau douce du genou au haut de sa cuisse lorsqu’elle écarta les jambes, m’ouvrant l’accès à son intimité. Ma bite gonfla promptement et se retrouva comprimée dans mon short. Clara la libéra, la caressa et la masturba sans précipitation, jouant avec mon gland après l’avoir décalotté. Elle regardait toujours son téléphone portable.
Je caressais lentement l’intérieur de ses cuisses jusqu’à ce que mes doigts rencontrent sa vulve, une vulve étonnement humide et ouverte. Je jouais avec sa chatte aux lèvres recouvertes de cyprine, si douces, chaudes et excitantes.
Ma main fut rapidement trempée, l’excitation était tellement intense que mon attention sur la conduite se dissipait un peu trop. Je replaçai ma main à contre-coeur sur le volant, laissant Clara jambes écartées, le minou dégoulinant et l’attention imperturbablement focalisé sur son smartphone.
« – Je ne sais ce que tu fais sur ton smartphone ma chérie, mais ça te fait beaucoup d’effet, dis-je en essuyant ma main droite trempée sur le volant.
– Je lis une histoire sur le site HDS, c’est super bien écrit et très excitant, me répondit-elle le souffle haletant,
– Je comprends mieux, ça parle de quoi ?
– D’un couple qui va bronzer sur une plage naturiste, ils sont entourés par d’autres couples qui les regardent en se tripotent. C’est de plus en plus chaud et ils rapprochent leurs serviettes petit à petit. Certains couples sont partis ensemble vers les dunes. Je n’ai pas encore lu la suite.
– Tu me raconteras la fin, ma petite cochonne ! »
Clara poursuivit sa lecture. Elle enleva sa main gauche qui était toujours sur ma queue et la fit disparaître entre ses cuisses. Elle commença à caresser son petit clitoris durci et ses lèvres roses enflées par l’excitation. Les caresses devinrent des frottements plus énergiques et intenses.
Sa respiration s’accélérait, le teint de son visage rougissait. Son envie de sexe grandissait et elle inséra son index dans la vulve dilatée et suintante de désir. Elle doigtait sa petite chatte, jupe relevée, sans petite culotte.
Cette situation me rendait fou de désir, j’avais tellement envie de glisser mon sexe prêt à exploser entre ses cuisses, pénétrer son minou en ébullition. Difficile de me concentrer sur la conduite…
Clara se masturbait maintenant avec deux doigts qui entraient et sortaient de sa fente rose de plus en plus vite, enduits d’un épais et chaud liquide. De temps en temps, elle passait sa main dans mon caleçon, me lubrifiant le pénis avec sa mouille abondante.
Elle finit par jouir bruyamment, les doigts profondément enfoncés dans son intimité.
« -Alors, l’histoire finit comment ? demandai-je après lui avoir laissé quelques minutes pour retrouver son souffle.
– Les couples se rapprochent encore, ils se touchent d’abord les uns devant les autres, puis les uns avec les autres, et ça finit en partouze dans les dunes. C’était top !
– Essaie de te souvenir du titre de l’histoire, je la lirai plus tard, ça a l’air bandant. »
Nous étions arrivés au camping quelques heures plus tard. Nos bagages étaient rangées dans le mobile-home, nous pouvions enfin souffler.
Clara proposa d’aller se détendre sur la plage pour récupérer du trajet, et ensuite de faire un tour au bord du littoral.
Nous avions préparé le sac de plage et pris le sentier menant à la plage.
La plage était mal indiquée mais nous avions réussi à rejoindre une jolie plage au sable fin et à l’eau transparente.
Les plagistes étaient nus, nous nous étions trompé de chemin et avions pris le côté naturiste de la plage.
« – Zut, on s’est trompé, c’est la plage naturiste, me dit Clara, sur le point de faire demi-tour.
– C’est pas grave, on peut essayer le naturisme ici, ça nous plaira peut-être, répondis-je, excité à l’idée de découvrir quelque chose de nouveau.
– OK, on peut essayer. Et je suis curieuse de voir une plage naturiste, comme dans l’histoire que j’ai lu pendant le trajet, me souffla-t-elle en me prenant la main.
– Je ne sais pas si ce sera aussi stimulant que dans l’histoire que tu as lu mais on verra bien. »
Nous nous étions allongés nus sur nos serviettes. Un couple d’une quarantaine d’années se trouvait à notre gauche. L’homme était grand et mince, les cheveux courts et légèrement grisonnants. Son pénis à la toison dense semblait plus petit que le mien mais un peu plus épais. La femme était brune, mince, de mignons petits seins aux tétons fermes et une jolie vulve sous un filet de poils noirs. Tous les deux avaient un magnifique bronzage intégral.
A notre droite se trouvait un homme seul de trente ans environ, en léger surpoids mais avec un gros sexe imberbe recouvrant des testicules volumineuses.
Clara me demanda de lui appliquer de la crème solaire, elle s’allongea sur le ventre.
Je pris la crème dans le sac de plage et l’étalai lentement sur son dos. Mes mains descendirent progressivement jusqu’aux fesses. Elle écarta légèrement les cuisses, me permettant d’accéder à sa féminité pour la première fois exposée au soleil estival sur une plage naturiste. Je massai ses fesses, effleurai sa vulve et sentit un doux fluide s’écouler de son vagin, ce qui ne tarda pas à agir sur la taille de mon pénis. Sentant les regards sur nous, je décidai de ne pas m’attarder sur la zone génitale de Clara. Je finis de lui enduire le corps, Clara fit de même pour moi, me malaxant le chibre et les bourses pour protéger cette partie de mon anatomie si peu habituée à recevoir autant d’UV. Elle sentit ma gêne quand ma queue devint ostensiblement excitée. Elle me sourit et stoppa ses caresses. Nous nous allongeâmes sur nos serviettes et savourâmes la brise parcourir nos corps dénudés. Mes paupières tombaient progressivement. Fatigué par le voyage, je m’assoupis.
Une secousse me tira de mes rêves, Clara venait de me donner un coup d’épaule et me murmurait quelque chose que mon cerveau encore somnolant ne parvenait à décrypter. Je repris mes esprits et approcha mon oreille de sa bouche et entendit :
« – Ludo, regarde le couple à côté de nous, me chuchotait Clara, étrangement euphorique. »
Je me redressai et tournai discrètement la tête vers le couple à quelques mètres de nous. La tête de l’homme était entre les cuisses de sa femme. Elle était sur le dos, la respiration saccadée, on pouvait presque entendre de petits gémissements. Lui, allongé sur le ventre, dévorait la moule charnue avec appétit. On apercevait par moment sa langue et sa bouche ruisselantes, maculées des sécrétions de plaisir de sa femme. La vue de cette scène fit enfler ma bite aussi rapidement qu’un airbag. Clara empoigna ma queue et commença à me branler. Toute gêne dans mon esprit avait disparue, laissant place à une irrépressible envie de soulager la tension sexuelle qui s’emparait de moi. Je plaçai ma main contre son clitoris et introduis mon majeur au fond de sa chatte déjà parfaitement lubrifiée. Je variais la pression de ma paume sur son bouton et mon doigt entrait, sortait de son trou humide, allait s’égarer sur son petit trou serré.
Son souffle s’accélérait, son envie grandissait. Elle m’astiquait de plus en plus vite.
La femme jetait un coup d’œil autour d’elle de temps en temps pour s’assurer que leurs ébats étaient au goût de ses voyeurs. Lorsque son regard se posa sur nous, explorant nos sexes, son plaisir sembla se décupler et nous entendîmes un cri de jouissance. De l’autre côté, l’homme seul se caressait le corps, plus particulièrement l’entrejambe et laissait ses doigts s’attarder autour de son anus, engloutissant parfois une phalange. Ses yeux alternaient entre le couple en plein cunnilingus et nous, en pleine séance de masturbation mutuelle.
Clara retira alors sa main et vint envelopper mon gland avec sa bouche baveuse et accueillante. Je sentis sa langue souple et expérimentée chatouiller mon bout rouge.
Tout était parfait, un paysage magnifique avec des voisins au comportement exhibitionniste et aphrodisiaque, ma merveilleuse femme me faisant une fellation sous ce soleil ardent.
L’homme redressa la tête, le visage recouvert de cyprine. Il nous adressa un clin d’œil complice et murmura à l’oreille de sa partenaire qui se mit à rire. Ils se relevèrent et prirent leurs affaires en nous fixant constamment. La femme nous fit signe avec son index de les suivre, et ils partirent en direction du parking. Sans même nous concerter, la réflexion complètement inhibée par l’excitation, nous les avions suivis. Ils se retournaient par moment pour vérifier que nous étions sur leurs traces. Ils s’arrêtèrent à leur voiture, posèrent leurs affaires de plage dans le coffre et se remirent en marche, toujours nus, vers une petit bois à côté du parking. Nous marchions derrière eux, main dans la main, dévêtus également.
Mon sexe était presque douloureux tellement il était proche de l’explosion et Clara, folle d’excitation, mouillait à grandes eaux. Je pouvais voir des gouttes provenant de sa chatte se répandre le long de ses cuisses.
Nous avions retrouvé le couple au cœur du bois. La femme à genoux sur le sol, taillant une pipe à son homme debout, nous matant avec un plaisir non dissimulé.
Clara me lâcha la main et s’agenouilla à côté de la suceuse, ôta le chibre de sa bouche pour l’enfourner dans la sienne. La femme, surprise au début, sourit et s’occupa des couilles du chanceux avec sa langue. La vision de ma petite Clara, suçant énergiquement et éhontément la queue d’un autre homme devant moi me fit perdre la raison, un soupçon de jalousie (ce n’est pas facile de voir la femme de sa vie sauter sur une autre bite que la sienne pour la première fois) noyé dans un torrent d’excitation.
Je me mis derrière la quadragénaire, la fis basculer en avant pour qu’elle se retrouve à quatre pattes et d’un mouvement brusque, pénétra son vagin qui s’offrait à moi, ouvert et dégoulinant de désir. J’allais et venais dans cette chatte inconnue qui épousait parfaitement la forme de ma bite tendue et gonflée à l’extrême. Ma belle partenaire en levrette encaissait superbement les assauts de ma bite et le ballotement de mes couilles contre son clitoris. Elle gémissait de bonheur en se faisant pilonner par cette jeune queue qu’elle n’avait encore jamais senti au plus profond de son con.
Clara pompait toujours le noeud du bel inconnu, léchait ses couilles, savourait ce moment d’extase. Parfois, elle tournait la tête pour me regarder empaler sa rivale avec ardeur.
Je voulais profiter au maximum, je sortis donc mon manche du trou brûlant pour ne pas éjaculer trop tôt. Clara mît fin à sa fellation et vint s’allonger sur le dos devant ma compagne éphémère qui, sans hésitation, commença à lui bouffer la chatte avec envie. Je ne savais pas que Clara avait des attirances envers les femmes mais l’excitation du moment poussait à découvrir de nouvelles expériences. Elle couinait sous les coups de langues précis de la quadragénaire en rut. Un bruit attira mon attention, je vis l’homme seul qui était sur la plage traverser le bois dans notre direction, son imposant sexe à la main. Il se plaça à nos côtés et se palucha en observant nos deux femmes à poil et proches de la jouissance. Le quadragénaire s’avança derrière la croupe de sa femme et lui introduit sa bite dans l’anus. L’anneau n’eut aucun mal à s’ouvrir sous la pression de cette grosse bite qui pénétra profondément et brutalement en elle. La sensation intense de la sodomie la coupa dans le cunnilingus sensuel qu’elle faisait à mon épouse. Clara se mit alors à quatre pattes et ses yeux me supplièrent de la prendre en levrette. Mon pénis s’engouffra sans difficultés dans son minou, plus étroit que celui de la quadra, et je l’emmenai au septième ciel, m’activant ds son bas ventre qui aspirait ma queue jusqu’à la garde. Son vagin avait soif de mon sperme.
Les deux femmes en levrette face à face, s’embrassèrent avec passion, leurs langues tourbillonnaient l’une autour de l’autre. Le trentenaire vint placer sa belle verge entre les deux bouches saliveuses. Il entreprit des va-et-vient au contact de leurs lèvres pendant que le quadra et moi, défoncions les orifices brûlants de nos épouses. Nos coups de boutoirs se répercutaient sur la pression qu’exerçaient les langues sur la queue de l’homme solitaire. Il ne tarda pas à déverser son abondant foutre sur le visage des deux sublimes cochonnes.
Elles se léchèrent mutuellement pour récupérer la sève chaude et blanchâtre offerte par cet inconnu.
C’en était trop pour nous, nous déchargeâmes en même temps notre sperme, lui dans le cul et moi dans la chatte de nos conjointes suffocantes de plaisir. Le flot important de foutre projeté dans leurs orifices secoués de spasmes les fit jouir simultanément. Leurs hurlements de bonheur furent longs et intenses, à la mesure de leurs orgasmes.
Après quelques instants, nous retirâmes nos bites ruisselantes d’un mélange de mouille et de sperme. Le souffle encore haletant, le corps tremblant, nous nous mîmes debout. Le trentenaire bien membré partit sans dire un mot.
Nous discutâmes longuement avec le couple, nus dans le bois. Ils étaient également en vacances dans le coin, dans une belle villa avec piscine. Nous échangeâmes nos adresses et nos numéros de téléphone. Nous regagnâmes le parking et ils partirent avec leur voiture, souriant et nous faisant signe de les contacter pour faire plus ample connaissance.
Nous retournâmes sur la plage afin de récupérer nos affaires, que nous avions oubliées dans le feu de l’action. Ouf ! elles y étaient toujours. Nous nous habillâmes et prîmes le chemin du retour vers le camping.
« – Ça t’a plu le naturisme, dis-je, connaissant très bien la réponse.
– C’était bien plus que du naturisme mais j’ai adoré, répondît-elle heureuse. Par contre, je suis désolée de m’être jetée sur cet inconnu sans te demander ton avis, ajouta-t-elle timidement.
– Tu rigoles ! Je n’ai jamais été aussi excité, et j’ai bien profité aussi. »
Nous marchions vers le camping, main dans la main, la jupe de Clara secouée par le vent.
« – On les rappellera ?
– Bien sûr qu’on les rappellera ! Les vacances ne font que commencer… »
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