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La chandelle

La chandelle



Arles, Samedi 2 juin 2012

Comme tous les ans depuis six ans, nous passons Murielle et moi un weekend à Arles. Nous y avons nos habitudes et sélectionné deux hôtels et une chambre d’hôtes où nous logeons au gré de nos humeurs. Une fois l’un, une fois l’autre.
Nous passons la journée aux Saintes Marie de la Mer, faisons de grandes promenades dans les environs, sur la plage et dans les plaines de la Camargue où nous aimons nous perdre. Il est tard quand nous rentrons à l’hôtel, à l’entrée d’Arles et nous décidons de diner sur place.

Murielle s’habille d’une longue jupe fendue devant, au milieu des jambes. La fente monte très haut et j’aime ça. Cela m’excite beaucoup, me fait fantasmer ; j’aime à penser que son sexe n’est pas loin, facilement accessible mais cachée par sa petite culotte (elle ne porte jamais de strings). Elle porte un chemisier blanc, des chaussures à petits talons, pas de bas. Moi je suis habillé « casual », en jean’s.
Nous arrivons quasi à la fermeture du restaurant et le personnel est assez gentil pour nous accueillir malgré l’heure tardive.
Nous dînons en amoureux, nous sommes heureux. Je vois bien de temps en temps Murielle s’évader, le regard vide loin derrière mon épaule, un sourire aux lèvres pendant que je lui parle, mais je me dis que nous avons tous de temps à autre ces moments d’absence.

A la fin du repas, Murielle propose de prendre un dernier verre au bar. Je suis surpris. Il m’est arrivé plusieurs fois de lui faire ce type de propositions mais elle les a toujours déclinées, préférant rentrer directement à la chambre. Je suis donc content de cette initiative et j’accepte sur le champ.
Murielle prend une tisane, moi un whisky. Je l’embrasse avant de prendre ma première gorgée tellement je suis content.
Un homme nous rejoint au bar venant du restaurant. Je ne l’avais pas vu et pour cause, j’étais assis dos à la salle.
Il s’installe sur un tabouret à côté de Murielle. Il commande un Armagnac vieux. Nous faisons connaissance et nous nous mettons à discuter de tout et de rien. Soudain, Murielle quitte son tabouret et se glisse dans mes bras. Elle me fait un câlin ; je suis heureux. Elle susurre des mots doux à mon oreille. Je suis trop content, fière aussi de pouvoir montrer l’amour de ma femme aux personnes qui nous entourent, surtout à cet homme qui n’arrête pas de nous regarder. Soudain elle me glisse à l’oreille : « Ce type m’a dévisagé toute la soirée. J’ai envie de l’exciter ». Je reste interdit, j’ai l’impression de subir une douche froide, je pense avoir mal compris. Elle répète : » j’ai envie de l’exciter, de le chauffer ». « Tu veux lui faire l’amour ? », je lui demande, très inquiet, un nœud au ventre. (Dans ma tête tout se bouscule, ça recommence « ses pulsions incontrôlées » () « Mais non, seulement l’exciter, il n’est pas question de coucheries ». « T’es sûre ? », je lui demande, inquiet, nerveux aussi. « Oui, t’inquiètes ». « Mais tu vas t’y prendre comment ? ». « Tu verras » et elle disparaît avec son sac. Elle a dû prendre ma dernière question pour un consentement.
Je reste seul avec l’étranger, un peu gêné. La conversation reprend et nous arrivons rapidement à parler voiture, motos. Il semble s’y connaître en moto malgré qu’il ne soit pas motard lui-même. Du coup je le trouve sympathique, malgré sa barbe bien coupée et son aire suffisant. Il est plus jeune que moi, je lui donnerais l’âge de ma femme.
Murielle revient quelques minutes plus tard, le sourire aux lèvres, toute joyeuse. Elle reprend son tabouret. Quelque chose dans son habillement a changé mais je n’arrive pas à cerner quoi. J’ai décidé de la surveiller de près. Les conversations reprennent. Au début je participe, du moins, ils me laissent participer, de temps en temps l’homme s’adresse à moi, mais rapidement je suis mis à l’écart. Murielle se tourne de plus en plus vers l’inconnu et bientôt je ne peux la voir que de côté, presque de dos. Je découvre néanmoins que je peux les voir dans le miroir du bar. Cela me rassure, mais le sentiment d’être seul est difficilement supportable. L’envie de m’en aller me prend souvent, partir et rejoindre notre chambre plutôt que de rester la à tenir la chandelle, mais je ne veux pas laisser ma femme seule. Je reste jaloux, suspicieux.
Elle a les jambes croisées, bien visibles. Sa jupe d’ailleurs remonte assez haut, une belle vue pour moi, encore plus belle sans doute pour l’homme assis à côté d’elle. Soudain une main se pose sur un genou. Je suis surpris, je regarde Murielle, je fixe sa nuque dans l’espoir de lui insuffler en l’esprit l’idée d’une réaction, j’essaie de capter son regard dans le miroir, mais elle m’ignore complètement. Je vois qu’elle lui sourit, ils continuent à se parler, son regard à lui passe de son visage à sa poitrine. Sans doute parce qu’elle n’arrête pas de chipoter à ses boutons du haut. La nervosité ? Je panique un peu mais je me rappelle sa promesse : « Pas de coucheries ». Je ne quitte pas ses jambes du regard et ce que je craignais bien sûr arrive. La main bouge, caresse son genou, remonte le long de sa jambe, fait des aller retours, s’enhardit à remonter plus haut encore, se glisse sous le tissu, et toujours aucune réaction de Murielle. Si, elle décroise les jambes. Moi je subis les mêmes affres que les deux autres fois où j’ai vécu pareil expérience ( ; ): mal au ventre, une jalousie terrible au fond de moi et une érection superbe qui me trouble. Je me rends compte que non seulement je tiens la chandelle, mais en plus je vais jouer au voyeur. La main force Murielle à écarter les jambes, et disparaît complètement sous la jupe ou je vois des mouvements explicites. Ca me fait mal de voir cela, mais je me rassure en pensant que la culotte de Murielle fait barrage. Je vois dans le miroir que Murielle ferme les yeux de temps en temps, se pince les lèvres; je dois constater avec dépit qu’elle a du plaisir. Le regard de l’homme fait des aller retours entre le haut de son torse et ses jambes. Il se penche pour l’embrasser dans le cou mais Murielle ne le laisse pas faire. Elle l’écarte, repousse sa main et descend du tabouret. Elle se lance vers moi et se blottit dans mes bras. Je suis soulagé, oh, comme je suis soulagé. Enfin fini le calvaire. Je regarde l’homme avec un petit sourire de victoire. « Non, mais tu croyais quoi ? » Après quelques instants, Murielle se retourne et s’appuie tout le long sur moi. Je dois me retenir au bar pour ne pas me renverser. Elle a le dos appuyé contre moi, elle est presque couchée. Elle prend ma main, la pose sur son ventre, me fait comprendre que je dois la caresser. Je la regarde et je découvre ce qui m’avait intrigué lorsqu’elle était revenue des toilettes : elle ne porte plus de soutient. Ses seins sont libres, et pire, son chemisier est déboutonné jusqu’au nombril, ce qui n’était pas le cas à son retour. L’homme nous regarde, son verre aux lèvres. Murielle lui dit de se rapprocher s’il veut jouir du spectacle. Il s’installe sur le tabouret laissé par Murielle et se rapproche encore. Murielle balance son pied entre ses jambes et caresse son entre jambes. Je n’en reviens pas : » Mais qu’est-ce qu’elle peut bien avoir en tête. ? N’est-elle pas satisfaite déjà de ce qui s’est passé, il doit déjà être assez excité comme ça non ? » Elle murmure un « Oh, très promettant !». L’homme ne répond rien mais la regarde, du bas vers le haut. Le barman s’est rapproché. Il fait semblant de nettoyer un verre, le même depuis un quart d’heure. Je crois qu’il va nous demander de nous en aller, mais non, il reste là, à nous mater, ou plutôt, mater ma femme. Murielle lève la tête, att**** ma nuque avec son bras et me demande de l’embrasser, ce que je fais. Elle me fait aussi comprendre avec sa main que je dois reprendre mes caresses. Je suis installé très inconfortablement; j’ai des douleurs dans le dos et en plus je n’arrête pas de bander, ma queue serrée dans mon jeans. Je joue le jeu, je suis même heureux, car je ne redoute rien maintenant. Murielle est avec moi, rien ne peut arriver. Le baiser dure longtemps, elle me suce la langue, me retient en me serrant fort au cou lorsque je veux me retirer pour soulager mon inconfort. Elle commence à soupirer, je suis content, mes caresses lui font de l’effet, et surtout je fais la nique à l’autre con, là, réduit à nous regarder. Elle soupire de plus en plus pour soudainement me lâcher la bouche, la langue, et pousser un long râle de jouissance. Je n’en reviens pas de faire jouir ma femme ainsi, c’est bien la première fois qu’avec seulement des caresses elle prenne son pied mais je déchante vite. Lorsque j’ouvre les yeux, je vois le « con » accroupi, la tête et une main entre les jambes écartées de ma femme. Il lui broute le con. Sur ma droite, le barman. Il a sorti sa queue et se masturbe en se frottant sur la jambe droite de Murielle. Je suis abasourdi, assommé, KO. Murielle repousse gentiment la tête de l’enfoiré qui se redresse doucement tout en la dévisageant. Que se passe t’il entre eux ? Il me regarde aussi, mais furtivement. Murielle tourne la tête vers le barman qui maintenant se permet de lui ploter les seins. Elle se laisse faire. Moi depuis quelques minutes je ne bouge pas, je suis paralysé; je sens que plus rien ne va. Je ne contrôle plus rien, contrairement à ce que je pensais. De plus je me réalise que nous sommes au bar de l’hôtel, nous sommes à un endroit où il peut y avoir du passage, le bar étant situé entre l’entrée de l’hôtel et l’escalier menant aux chambres. Le barman défait les derniers boutons du chemisier de Murielle et libère complètement ses seins. Il se met à la ploter de plus belle. Murielle alors apostrophe le barbu : »Branle-toi ». L’homme en un premier temps ne bouge pas, puis, doucement, tout en ne quittant pas Murielle du regard se déboutonne la braguette et sort sa queue. Elle est grosse, je dirais même obèse, avec un gros gland, violet. Il se met à se branler mais cela ne suffit pas à Murielle. « Je veux voir tes couilles, sors moi tes couilles ». Je ne reconnais pas ma femme ; ce n’est pas ma femme, jamais je ne l’ai vue ni entendue ainsi. Bien que complètement perdu, déstabilisé, je ne peux m’empêcher d’assister avec fascination à ce qui se passe. Je regarde cette queue et presque que j’aurais envie de la toucher. L’homme a sorti ses burnes de son pantalon qu’il a défait complètement et baissé au niveau des chevilles. Pour être à l’aise, sans doute. Tout près, le barman continue à ploter Murielle et à se branler, se frotter la queue sur le haut de sa jambe ou sur son bas ventre. Murielle me prend de nouveau le cou et me presse de l’embrasser. Je résiste, je ne veux pas, je pense que c’est de nouveau une manœuvre, mais finalement Murielle a le dernier mot. Je me laisse m’embrasser, me sucer la langue, parfois de manière douloureuse, et vite je sens Murielle bouger, presser et relâcher son corps contre le mien. Des à-coups. Je dois mieux m’agripper au bar, je la retiens au ventre pour ne pas tomber, je devine ce qui se passe, mais à ce stade, je n’en ai plus rien à foutre. Qu’ils aient au diable. Je n’ai plus aucun plaisir, concentré que je suis à me retenir pour ne pas tomber. J’ai mal au dos, au cou, aux abdominaux.
Lorsque Murielle me libère pour geindre, gémir, râler de plaisir la tête appuyée sur mon torse, je vois le barman qui joue avec ses tétons, malaxe ses nibards, alternativement. Je suis étonné de voir les seins de ma femme aussi gonflés, les tétons dressés, durs. Jamais j’aurais pensé que je verrais de si près ma femme se faire tripoter par un autre. Je regarde le barman, mais il m’ignore complètement. Il regarde son autre main qui est posée sur le pubis de Murielle et avec les doigts il joue avec son clitoris. A moins qu’il ne regarde aussi fasciné que moi le sexe du barbu qui entre et sort en de longs mouvements du sexe de Murielle ? L’homme est debout entre les cuisses de Murielle, il lui a relevé la jambe gauche qu’il tient d’une main et la bourre à un rythme régulier. L’odeur du sexe m’assaille. Sa queue est luisante de mouille. Murielle gémit de plus en plus fort; moi je bande de nouveau, très fort à en avoir mal. Murielle halète maintenant fort et de plus en plus rapidement, elle ne doit pas être loin de jouir. Le barman tourne la tête et regarde Murielle. Son regard est fixe. Il abandonne les seins de Murielle et se met à se masturber, de plus en plus fort, de plus en plus vite tout en continuant à frotter le clitoris de Murielle de l’autre main. Lorsque dans un grognement sourd, il lâche son foutre, il déclenche un cataclysme que je n’aurais jamais imaginé. Tout se passe très vite. Murielle tressaille quand elle sent les premiers jets de sperme sur son ventre et le haut de la cuisse Elle pousse un gémissement fort, aigu « Ooooohhhhh ! ». Elle jouit. En peu de temps, ma femme a du sperme partout, sur sa poitrine, sur sa jambe, son ventre, j’en ai sur le bras et la main. Dégoûtant ! A l’instant où le barman nous arrose de son sperme, le barbu arrête de bouger, arrachant un cri de supplication, presque de douleur à Murielle. « Non, continue, continue ! ». Le barbu alors reprend un ou deux mouvements de va et vient pour s’enfoncer férocement au fond de Murielle et y rester. Il pousse lui aussi un gémissement « Salope, salope ! ». Il jouit bien enfoncé au fond de Murielle qui redécolle, son corps se tend, sa jambe droite également, elle crie, crie, crie à n’en plus finir. Quel truc ! Moi, j’ai les couilles douloureuses, la bite bien raide, mais enfermé dans mon Jean’s, immobilisé par le poids du corps de Murielle.

Le barman est le premier à quitter la scène pour finir de s’habiller derrière son bar. Murielle est toujours couchée sur moi, se respiration se calme. Je la regarde, je suis étonné par tout ce qui vient de se passer. La colère me prendra plus tard, quand je me mettrai à réfléchir. En attendant, le barbu, après s’être lui aussi rhabillé me jette un regard, me fait un clin d’œil et me jette : » Elle est sacrément bonne ta femme. Fais-moi signe quand tu voudras remettre ça ». Comme si j’y étais pour quelque chose (mais c’est vrai qu’il n’est pas sensé connaître les détails).
Quand Murielle a repris ses esprits, je la soutiens en la tenant par les épaules pour rejoindre notre chambre. Je jette un dernier regard autour de nous pensant récupérer sa culotte qui doit être jetée quelque part. Sans succès. Je soupçonne le barbu de l’avoir emportée comme trophée.

Dans la chambre, après s’être rapidement déshabillée, Murielle s’effondre sur le lit et s’endort. Je tourne en rond. « Me branler pour me soulager ou attendre demain pour faire l’amour à Murielle ? » Je choisis la deuxième option et je passe une très mauvaise nuit, très agitée, me réveillant souvent la bite érigée dans la main. Le matin, Murielle me réveille avec des caresses, elle me fait bander tout de suite, elle s’assied en califourchon sur moi et après quelques mouvements des hanches, elle me fait jouir. Je n’ai pas pu me retenir, trop de tension, les burnes trop remplies. Je suis frustré, malheureux, jaloux. Murielle m’embrasse tendrement en me chuchotant un « Je t’aime, tu es formidable ».
Je me rendors pour me réveiller dans l’après-midi. Nous devrons payer un supplément pour avoir gardé la chambre trop longtemps.

En fermant notre sac de voyage, je découvre les dessous de Murielle, soutient et culotte. Je suis surpris, perplexe. Alors, ce n’est pas le barbu qui l’a prise ? L’aurait-elle enlevée elle-même quand elle s’était éclipsée? Dans ce cas, était-elle sincère quand elle m’a affirmé qu’il n’y aurait pas de coucheries ?

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