Au BB Klub
Les deux esclaves se vêtirent de leur combinaison, masque et chaussures et montèrent dans leur « taxi ». Celui-ci démarra et les mena dans un club en Belgique.
Les deux esclaves furent libérées de leurs chaînes par le chauffeur et elles entrèrent dans la demeure privée. Une femme les accueillit pendant que le chauffeur descendait leur valise.
« Bienvenues au BB Klub privé. Maîtresse Aurore m’a informé que vous passeriez deux semaines ici. Je vais donc concocter un beau programme pour mes clients et vous serez l’attraction principale ! »
« J’ai organisé un dîner pour mes clients et vous servirez les Maîtres et Maîtresses à la table qui vous sera attribuée. Je ne veux pas d’écart ! Vous devrez mettre les vêtements et apparats qui seront dans vos chambres. Après le repas, vous serez l’attraction. Il y aura 10 Maîtres et Maîtresses à servir. Allez-vous reposer car la nuit va être longue. »
Sweet Pussy et N°1 furent conduites dans leur chambre par la Maîtresse de maison, suivies du chauffeur avec la valise. La Maîtresse attacha les deux esclaves à un anneau du lit et amena deux boîtes qu’elle déposa au sol.
« Je viendrai vous libérer dans 4 heures. Prête pour 21h30 »
« Oui, Maîtresse. » dirent en cœur les deux esclaves.
A 21h00, la Maîtresse vint les réveiller, les détacha et leur ordonna de se préparer. La Maîtresse prit une chaise et regarda les deux esclaves ôter leur combinaison et chaussures.
Les anneaux des deux esclaves tintaient lorsqu’ils s’entrechoquaient. La Maîtresse se délectait de voir ses corps équipés de la sorte : piercings, tatouage, tête rasée avec seulement une tresse au centre du crâne.
Sweet Pussy et N°1 enfilèrent leur uniforme : une petite robe de bonne en latex, qui une fois mise, arrivait juste sous les globes fessiers, des bas dim-up, des gants en latex, et des escarpins noirs en vinyle avec deux cadenas pour fermer les brides. Les seins des deux esclaves étant proéminents, leur poitrine gonflait, bombait même l’uniforme. Elles eurent toutes les peines à passer leur uniforme et à positionner leurs seins dans ce vêtement sous-dimensionné au niveau de la poitrine.
La Maîtresse les amena dans une grande salle où déjà, d’autres esclaves habillées comme elles attendaient debout le long d’un mur et les convives étaient attablés. Une des bonnes avait la tête complètement rasée, les sourcils avaient, eux aussi disparus. A la place étaient tracés deux traits de crayon noir. Une autre esclave était couverte de tatouages de la tête aux pieds ayant traits aux sévices corporels. Une autre avait les lèvres de sa bouche gonflées comme une pin-up et l’arc de cupidon de ses lèvres avait disparu suite à une opération de chirurgie.
N°1 et Sweet Pussy furent conduites auprès des autres esclaves. La Maîtresse fixa sur leur collier une médaille sur laquelle était inscrit un numéro. Sweet Pussy portait le numéro 8 et N°1 avait le numéro 10. De petits porte-d****aux avec des numéros trônaient sur chaque table. Sweet Pussy vit que « sa table » était sur le devant de la salle.
La Maîtresse claqua des mains et les dix esclaves prirent les chariots qui avaient été entreposés devant elles pour ravitailler les tablées. Le dîner se passa calmement, dans un certain brouhaha mais calme pour les esclaves comparé à celui qu’avait connu Sweet Pussy au château avec les attouchements et l’orgie qui en suivit.
Lorsque les esclaves eurent terminé de débarrasser les tables, La Maîtresse prit la parole.
« J’espère que ce repas vous fut agréable, mes chers convives ! Maintenant pour égayer la soirée, nous allons faire un petit concours de bondage. L’esclave qui a servi votre table sera votre soumise. Chaque table aura à sa disposition un coffre et un chevalet, vous devrez donc user de toute votre imagination pour gagner le lot surprise. Vous pourrez utiliser tous les ustensiles que vous trouverez dans ces coffres, toute posture de bondage est autorisée. Vous avez une heure à partir de..maintenant ! »
Les Maîtres et Maîtresse s’empressèrent d’ouvrir le coffre à « jouets » et d’installer le chevalet près de leur table.
Une des Maîtresses de la table de Sweet Pussy lui ordonna d’ôter sa robe et de monter sur la table sur le ventre. Pendant ce temps, les Maîtres et Maîtresses fouillaient le coffre et en sortaient des cordes, des colliers, des plugs. Une Maîtresse prit des cordes. Elle en passa une sous la cuisse droite de Sweet Pussy. Elle prit le pied de son esclave et replia le bas de la jambe contre la cuisse. Sweet Pussy grimaça lorsque la Maîtresse serra la corde qui accentua la posture forcée de sa jambe. La Maîtresse fit de même avec la jambe gauche. Elle ordonna à Sweet Pussy de passer les mains dans le dos, mains qu’elle lia fortement. Le souffle de Sweet Pussy commença à s’accélérer et elle ressentit doucement des fourmis dans ses jambes et ses bras. Un des Maîtres poussa contre la table le chevalet. Une cornière en bois vint se glisser sous les genoux de Sweet Pussy. Lorsque le Maître s’assura que les genoux de l’esclave étaient bien calés dans la cornière, il souleva Sweet Pussy et la plaqua contre le montant central du portique. Sweet Pussy ressemblait à un tableau sur un chevalet exposé dans un musée. La Maîtresse prit alors d’autres brins de cordes et entoura les seins de Sweet Pussy. Ses seins se gorgèrent de sang et devinrent encore plus énormes sous le serrage des cordes. Sweet Pussy fermaient les yeux lorsque la Maîtresse entourait ses seins. Un Maître prit du coffre deux plugs de gros diamètre qu’il vissa sur une barre de fer chromée en forme de L. Après avoir lubrifié les deux plugs, le Maître passa derrière l’esclave et enfonça sans ménagement les plugs. Sweet Pussy hurla sous l’intromission. La barre fut fixée à l’arrière du collier à l’aide d’une vis papillon.
« Cette esclave est plutôt bruyante. Il est temps de la faire taire. » Dit la Maîtresse alors que des cris venaient de toutes les tables.
Elle alla fouiller dans le coffre et en sortit une première boîte qu’elle ouvrit devant Sweet Pussy. Sweet Pussy vit alors divers piercings et anneaux et prit peur.
« Pitié Maîtresse. »
« Tais-toi ! » Répondit la Maîtresse aussitôt. Elle sortit un anneau et dévissa celui-ci du labret.
« Ouvre ta bouche de suceuse et tire la langue. » Sweet Pussy ouvrit la bouche et tira la langue timidement.
« Plus loin, la langue !! ». Sweet Pussy tira sa langue le plus loin possible hors de la bouche. La Maîtresse prit son organe entre ses doigts et demanda alors à un des Maîtres de dévisser un labret, celui du fond et de le retirer. La chose faite, elle donna l’autre labret au Maître qui enfila le nouveau labret dans la langue et vissa l’anneau sur le dessus de l’organe.
« Voilà qui est bien ! » dit la Maîtresse.
Le corps de Sweet Pussy commençait à s’ankyloser et elle en manifesta le mal-être auprès de la Maîtresse.
« Encore quelques minutes petite chienne. Je dois encore te décorer les seins. »
Elle prit de nouveau la boîte qui contenait les aiguilles et en sortit quelques blisters. La Maîtresse prit une petite aiguille et voulut la présenter au niveau du téton mais un Maître l’arrêta :
« J’ai une idée, Maîtresse Tatiana. Si on lui faisait un zip de sa chatte vers son cou comme si elle avait une combinaison! »
« Excellente idée de décoration, Maître James ! Et c’est parti ! »
Maîtresse Tatiana prit un gros marqueur noir du coffre et à l’aide d’une corde que tint un Maître, elle traça une ligne noire partant du sexe vers son cou en s’ouvrant en V. Sweet Pussy se retrouva avec une large ligne noire de 3 centimètres de large partant de son clitoris, passant entre ses seins pour s’ouvrir vers ses épaules.
Maîtresse Tatiana prit des aiguilles et les planta en quinconce dans la peau de Sweet Pussy pour obtenir une jolie fermeture éclair en commençant juste au-dessus du clitoris. Sweet Pussy pinçait ses yeux et inspirait à chaque aiguille plantée dans sa peau.
« Voilà, c’est presque terminé ! Nous allons maintenant te pencher en avant comme si tu flottais dans l’air. »
Deux Maîtres prirent les épaules de Sweet Pussy et penchèrent son corps en avant à 45°, la Maîtresse allait derrière le chevalet et attacha la barre des plugs que Sweet Pussy avait dans le dos à la poutre du chevalet. Une première fois au milieu du dos et plus au niveau du cou. Elle sécurisa la position en liant un brin à chaque jambe au niveau de la corde et une autre à chaque corde qui encerclait ses seins. Elle prit une autre corde pour fixer la tresse de Sweet Pussy sur le chevalet à 45° vers le haut. Maîtresse Tatiana prit deux autres brins de corde pour, cette fois, les attachés aux anneaux de ses tétons et fixer les brins à la table pour obtenir aussi un angle de 45°. Maître James recula pour aligner la tresse et les cordes des anneaux et fit un signe à la Maîtresse dès que cela lui sembla parfait. Sweet Pussy voyait ses tétons étirés par la Maîtresse qui cloua les cordes sur la table et grimaça. Un Maître prit deux brins de cordes et passa sous Sweet Pussy pour apporter sa touche personnelle. Il attacha un brin de corde à la base du chevalet et le passa dans le premier anneau de sa lèvre intime. Il fit de même avec les neufs autres pour que cette lèvre soit tendue à l’extrême et bien ouverte. L’autre lèvre subit la même manipulation.
Maîtresse Tatiana retourna au coffre et sortit une autre boîte. Sweet Pussy espionnait ce que faisait la Maîtresse mais ne vit pas grand-chose. La Maîtresse revint vers Sweet Pussy en passant sous une corde et posa la boîte près du chevalet.
« Ressort la langue et tire la au maximum, petite pute. »
Sweet Pussy obtempéra et sortit le plus loin possible la langue. La Maîtresse présenta alors dans sa main une sorte de bâtonnet très fin qu’elle passa au travers de l’anneau nouvellement posé sur la langue. Elle le positionna de façon à ce qu’il pointe sur les joues de Sweet Pussy tout en tirant au maximum la langue à l’extérieur. La Maîtresse prit un feutre et marqua les joues de Sweet Pussy là où le bâtonnet déformait les joues.
Sweet Pussy comprit alors ce qui allait lui arriver! La Maîtresse prit une grande aiguille qu’elle présenta devant les yeux de Sweet Pussy qui soufflait comme une bête sachant ce qu’elle allait subir.
« Inspire salope ! » L’aiguille traversa la joue droite de Sweet Pussy dans un grognement inaudible. La Maîtresse baissa la tête pour faire passer l’aiguille dans l’anneau de la langue comme un fil qui devait passer dans le châs d’une aiguille. L’aiguille ressortit par l’autre joue dans un nouveau grognement de la part de Sweet Pussy. La Maîtresse prit alors une longue barre chromée qu’elle passa dans l’aiguille. Elle ressortit l’aiguille pour passer la barre au travers des joues. La Maîtresse vissa alors une boule à chaque extrémité de la barre.
Sweet Pussy arborait un nouveau piercing au travers de la bouche. Sweet Pussy déglutissait pour évacuer la salive de sa gorge et essayait de rentrer sa langue. Elle ne pouvait plus rentrer sa langue qui était bloquée par la barre qui lui traversait le gosier. Un filet de salive coulait sans discontinuer. Le sang de ses joues nouvellement piercées s’y mêlait parfois. Des larmes coulaient sur ses joues.
« Puisque tu n’as pas arrêté de geindre, je vais quand même te décorer les seins ! »
Maîtresse Tatiana reprit deux aiguilles et planta la première à la base du téton droit et l’autre au téton gauche. Sweet Pussy grommela deux cris dans son gosier ouvert.
« Terminé ! » dit Maîtresse Tatiana à la Maîtresse de maison qui vint examiner le « tableau vivant ». Elle prit quelques clichés en souvenir.
« Il vous reste quelques minutes Maîtresse Tatiana si vous voulez peaufiner votre œuvre d’art. »
« Nous avons terminé. » assura Maîtresse Tatiana.
« N’oubliez pas que les portiques doivent être exposés pour que chaque esclave voient les autres. Les cordes sur la table seront enlevées. »
« Nous allons réfléchir à cela. »
La Maîtresse de Maison retourna dans la salle en regardant sa montre.
Maîtresse Tatiana et les autres Maîtres firent un conciliabule pour savoir comment ils pourraient conserver cette architecture sans la table. Maître James retourna au coffre et trouva deux cannes.
« Et si on fixait ses deux cannes sur le chevalet, ça pourrait marcher ? »
« Bonne idée, Maître James. »
Ils se dépêchèrent de fixer les cannes avant la fin du temps imparti.
Quelques instants plus tard, La Maîtresse de maison signifiait au micro la fin du concours à toutes les tables.
Un Maître de chaque table amena son « œuvre » et les dix esclaves se retrouvèrent par cinq face à face et se voyaient toutes.
Sweet Pussy cherchait N°1 et la vit dans une position toute aussi inconfortable qu’elle. Les Maîtres et Maîtresses de sa table avaient positionnée N°1 en hogtie par des cordes, reliés à un anneau. Des poids fixés à une chaîne pendaient à ses tétons et quatre autres poids pendaient aux barres qui traversaient ses seins. Un poids étirait aussi sa langue. N°1 était suspendue par des cordes qui passaient autour de son corps à différents endroits. Des aiguilles traversaient la base de ses tétons, plusieurs étaient plantées dans les lèvres de son sexe.
Toutes les esclaves étaient dans des positions toutes plus bizarres les unes que les autres. La gagnante fut la table N°2 qui, avec l’esclave la tête en bas et tendue comme une araignée sur sa toile, les lèvres de son sexe étaient tendues par des aiguilles qui passaient par les anneaux de ses lèvres piercées et un gros cierge planté dans son sexe se consumait lentement dont la cire coulait sur les lèvres et le corps de l’esclave depuis le début du concours. La cire chaude qui coulait sur la peau de l’esclave était la cause des fréquentes crispations de son visage. D’autres cierges avaient été fixés sur ses mains, pieds, base inférieure de ses seins et un sur son menton. La cire de ce dernier coulait sur le visage de l’esclave. Elle possédait encore ses cheveux qui étaient très longs d’ailleurs. Ses cheveux étaient tressés et un poids avait été fixé au bout de la tresse qui tirait vers le bas sa coiffe.
Le jury ayant délibéré, les Maîtres et Maîtresses retournèrent à leur table pour libérer leurs esclaves. Ces libérations ne se firent pas sans cris car lorsque les corps contorsionnés furent libérés de leurs liens, l’afflux de sang dans les membres des esclaves occasionnait de grandes plaintes. Sweet Pussy fut libérée de ses liens et lorsque la Maîtresse déplia ses jambes, elle hurla de douleur !!
« Voici le classement final, mes chers Maîtres et Maîtresses. Après d’âpres discutions pour désigner la table gagnante, c’est finalement la table N°2 qui remporte le concours d’une courte tête devant la table N°8. La table N°10 se classe troisième. »
Les esclaves étant exténuées ne firent même pas attention à leur classement. La joie des Maîtresses les informaient de leur place dans le concours.
« L’esclave gagnante aura le privilège de passer une semaine dans le château de Maître Pierre. Les esclaves classées seconde et troisième passeront une semaine dans la ferme de Maître Alphonse et de Maîtresse Marie. »
Sweet Pussy essaya de sortir de sa léthargie pour savoir qui étaient ces deux personnes lorsqu’elle vit un vieil homme bedonnant et une femme toute aussi âgée levaient la main en signe d’acceptation du lot.
Maîtresse Tatiana se leva de table et chuchota à l’oreille de Sweet Pussy qui gisait sur sa chaise comme une femme ivre.
« Eh bien, je te souhaite bon courage chez ces fermiers. Mais je tiens à te revoir esclave car tu me plais beaucoup. »
Maître Alphonse et de Maîtresse Marie arrivèrent à la table de Sweet Pussy déjà accompagnée de N°1, tenue en laisse par Maîtresse Marie. Maître Alphonse attacha une chaîne au cou de Sweet Pussy :
« Allez salope, on y va ! » dit-il avec un léger accent agricole.
Sweet Pussy et N°1 avaient encore du mal à marcher mais leurs propriétaires ne s’en souciaient guère.
Après une heure de route, elles arrivèrent à la ferme de leurs Maîtres par prêt. Elles descendirent de voiture et Maîtresse Marie les conduisit dans une dépendance de la ferme.
« C’est ici que vous dormirez pendant votre semaine ! »
Leur chambre n’était autre qu’une étable. Les murs étaient de pierre, le sol était de la terre battue avec de la paille, aucune commodité, bien loin de ce qu’elles avaient connu jusqu’alors.
« Vous serez élevées à la dure ici, fini le luxe bourgeois. » En disant cela, Maîtresse Marie attacha ces deux pensionnaires par le cou avec des colliers qui pendaient du plafond, des colliers en fer rouillé. Maîtresse Marie sortit de la pièce pour aussitôt en revenir avec deux gamelles remplie d’une espèce de pâtée. N°1 et Sweet Pussy virent la gamelle et n’y touchèrent pas.
« Mangez ! Pour des chiennes comme vous ici c’est de la nourriture pour chien qu’on donne ici et qu’il ne reste rien car demain il y a du taf ! Si je vois des restes dans vos gamelles, je vous gave comme mes oies !»
Sous cette menace, les deux esclaves se mirent à manger comme deux animaux leur pâtée pour chien difficilement et Maîtresse Marie quitta l’étable dans un claquement de porte violent et un bruit de chaîne qui informa les deux esclaves qu’elles ne sortiraient pas avant demain. Elles finirent leur pitance, puis se léchèrent pour que leur visage soit propre et se blottirent l’une à l’autre pour se réchauffer corporellement. Morphée les prit dans ses bras presqu’aussitôt.
Aux aurores, elles furent réveillées par Maîtresse Marie qui leur amena la même bouillie blanche à manger. Les deux esclaves mangèrent sous le regard de la Maîtresse. Elles nettoyèrent leur visage comme la veille.
« Faîtes-vous des papouilles que je vois vos langues s’entremêler. »
Les deux esclaves s’embrassèrent pour satisfaire la Maîtresse.
« Assez, maintenant debout que je vous libère pour aller bosser à la ferme. »
Maîtresse Marie sortit de sa poche une clé et ouvrit le cadenas qui fixait la chaîne des colliers au mur. Elles traversèrent la cour de la ferme. Si Maîtresse Marie portaient des bottes, les deux esclaves marchaient sur une terre boueuse qui passaient au travers de leur orteils. Elles furent conduites dans un hangar où les attendait un commis, habillé d’une combinaison bleue, de bottes, d’une casquette. Celui-ci était appuyé sur sa pelle et fumait une cigarette roulée. Le parfait petit fermier !
« Elles sont pas bien costaud ces deux-là. C’est pas avec des obus pareils qu’on travaille à la ferme ! C’est avec des bras. » Dit le commis avec un accent paysan qui fit sourire les deux esclaves.
« Silence ! » hurla Maîtresse Marie.
La Maîtresse leur tendit deux racloirs.
« Vous allez me nettoyer la porcherie de fond en comble. Je la veux rutilante. Voilà vos outils. Une fois que la merde sera à l’extérieur du bâtiment, dans la fosse qui est là vous laverez le sol.»
Les deux esclaves entrèrent dans la porcherie. C’était un grand bâtiment rectangulaire dans lequel des porcs étaient entassés dans des boxes. Les animaux mangeaient et couinaient à tout va. Une odeur pestilentielle monta à leurs narines.
« L’allée doit être nickel ! » ordonna Maîtresse Marie.
Les deux esclaves commencèrent à racler la paille mélangée à de la terre et à d’autres matières que ni Sweet Pussy ni N°1 ne voulaient connaître. Elles raclaient le sol et poussaient la merde de porc mélangée à la paille vers la fosse. Elles glissaient de temps à autre et leurs pieds s’enfonçaient dans les déjections.
Au bout de plusieurs heures exténuantes physiquement, le sol de la porcherie fut nettoyé. Le commis leur donna un tuyau d’arrosage et elles arrosèrent le sol. Puis au racloir, elles poussèrent une eau sale vers la fosse. Leurs corps en sueur étaient couvert de poussière et le bas de leurs jambes étaient couverts de matière fécales. Lorsqu’elles eurent fini leur tâche, elles se sentaient éreintées, vidées de toute parcelle d’énergie.
La Maîtresse arriva.
« Eh bien mes deux petites ouvrières, on a bien travaillé à ce que je vois ! »
Elle les emmena devant la fosse qu’elles venaient de remplir. Les deux esclaves virent alors la fosse en béton pleine d’une eau marron et de fétus de paille agglomérés aux déjections et à la terre. L’odeur de la fosse était infecte.
« Regardez, la fosse est pleine ! »
En disant cela, Maîtresse Marie poussa les deux esclaves dans le dos qui tombèrent dans la fosse.
Les deux corps plongèrent dans la boue immonde.
« Ah ah ah !!! Regardez-moi ces deux souillons recouvertes de merde. Vous pouvez remonter par cette échelle. » Sweet Pussy remontait de sa « piscine ». Alors qu’elle prenait appui sur la dernière marche, Maîtresse Marie posa son pied droit sur l’épaule de Sweet Pussy.
« Où vas-tu c****tte ? »
« Me laver Maîtresse. » dit Sweet Pussy doucement.
« Ton bain est là ! » dit Maîtresse Marie en montrant la fosse à purin. Maîtresse Marie poussa de son pied l’esclave qui replongea dans la fosse. Avec l’élan, tout son corps plongea dans la mixture.
Sweet Pussy et N°1 remontèrent de leur « piscine » après leur bain de boue.
« Allez retour dans votre étable. Je me suis assez amusée avec vous deux. »
Maîtresse Marie les suivait et regardait leur corps dégoulinant de merde qui commençait à sécher au soleil. Arrivées à l’écurie, Maîtresse Marie prit un tablier et des gants. Elle attacha les esclaves à leur collier.
« Demain, soirée spéciale. Repos toute la journée après un bon bain ! »
Maîtresse Marie apporta deux écuelles avec la même bouillie blanche.
« Allez, on mange ! »
N°1 et Sweet Pussy s’approchèrent de leur gamelle à quatre pattes et plongèrent la bouche dans l’écuelle. Elles mangèrent délicatement afin que la crasse qui recouvrait leur visage ne se mélange à leur pitance en s’humidifiant.
« Je ne veux plus rien dans vos gamelles. »
Maîtresse Marie se plaça entre ses deux esclaves et appuya sur le haut de leur crâne pour que leur visage s’écrase dans leur pitance.
Lorsqu’elles eurent fini de manger elles reprirent leur place.
« Nettoyez-moi la nourriture qui se trouve sur vos gueules ! Pas de gâchis ici ! » hurla la Maîtresse.
Elles se nettoyaient délicatement pour que leur langue ne touche pas la crasse qui enveloppait leur visage. Maîtresse Marie s’en aperçut et dans un accès de colère prit la tête des esclaves et les frotta l’une contre l’autre. La langue de Sweet Pussy racla le visage de N°1 et eut un haut de cœur lorsque sa langue et sa bouche touchèrent le mélange de merde et de boue. Elle vomit sur N°1.
« Vous resterez comme cela toute la nuit et la journée de demain ! »
Maîtresse Marie avait ordonné à son commis d’aménager l’allée de la porcherie pour y installer des sièges et une estrade. Une table avec tout ce qu’il fallait pour accueillir ses convives par un apéritif dînatoire avait été dressée. Les porcs avaient été emmenés dans un terrain afin de ne pas déranger par leurs couinements pendant la petite sauterie de Maîtresse Marie. Plusieurs Maîtresses étaient habillées de combinaison latex. L’une d’elles, assez menue était parée d’un short et d’un soutien-gorge. Elles portaient des cuissardes rouges et des gants d’opéra. Le short ouvert duquel dépassaient les lèvres de son sexe, le soutien-gorge et les gants étaient bordés de pointes en inox. Certaines Maîtresses tenaient en laisse un chien. Les Maîtres, quant à eux étaient tous en smoking. Maîtresse Marie prit la parole :
« Mes chers Maîtresses et Maîtres, prenez place s’il vous plaît. Vous allez assister à un spectacle particulier ce soir. Les deux esclaves que voici vont vous mettre en appétit. »
Les Maîtresses et Maîtres prirent place.
Le palefrenier tirait deux chevaux par leurs rennes et monta la rampe.
« Allez les deux putes, occupez-vous des chevaux ! Toi tu commences par AZUR et toi par ROYAL FRAME. »
Le palefrenier installa un cheval à côté de N°1 et un à côté de Sweet Pussy.
« Vous me sucez mes étalons pour récupérer leur sperme dans ces saladiers.»
N°1 prit l’organe et commença à le branler et à le sucer. Sweet Pussy ne bougeait pas et était horrifiée de ce qu’on lui demandait de faire et de voir N°1 sucer le sexe du cheval.
« Maîtresse Marie approcha de Sweet Pussy, les traits du visage tendus par la colère qui naissait en elle.
« Si tu ne fais pas ce que je t’ordonne tu vas tâter de ma cravache ! »
Sweet Pussy commença à masturber le sexe de l’équidé avec un certain dégoût et sans entrain.
N°1 suçait l’équidé et le branlait simultanément. Avec ces allers et venues sur le sexe du cheval, elle sentit la semence monter dans cette bite a****le et approcha le récipient. Le sexe lâcha de nombreux jets de semence qui vinrent s’écraser sur le fond du saladier.
Sweet Pussy, elle, branlait timidement et maladroitement son cheval. Des murmures se firent entendre dans l’assistance, ce qui exaspéra Maîtresse Marie.
« Je t’ai ordonné de sucer le sexe de mon cheval, pas de le branler ! Je vois que j’ai du mal à me faire obéir. Tu vas voir comment je traite les esclaves rétives ! »
Elle tira par le bras Sweet Pussy et l’entraîna au bas de l’estrade.
« Palefrenier, amène-moi la chaise métallique de reconditionnement. » Le commis disparut du hangar et on entendit ensuite un bruit de roulettes. Le palefrenier tirait une chaise métallique qu’il plaça devant l’estrade.
N°1 regarda Sweet Pussy du coin de l’œil alors qu’elle suçait son second équidé.
« Pitié Maîtresse, laissez-moi, je ne suis pas un a****l, je n’ai pas à faire ça, c’est dégoûtant!! »
« Ton impudence et ta désobéissance te coûteront chères, salope. Assieds-toi sur ce chevalet. »
Sweet Pussy était devant une espèce de chaise faite de tubes métalliques comme celle du château. Elle avait la particularité que l’on s’asseyait à l’inverse et que le dossier se trouvait donc sur la poitrine entre les seins. Sur le siège, deux énormes plugs étaient positionnés à dessein.
Sweet Pussy voulut s’assoir…
« Lèche-les comme une bonne petite pute que tu es ! »
Sweet Pussy lécha les deux plugs et les lubrifia abondamment en déposant sa salive pour faciliter le passage qui n’allait pas être sans mal se disait-elle.
« Allez, empales-toi sur ces bites d’acier ! »
« Oui, Maîtresse. »
Sweet Pussy positionna son cul et sa chatte pour que les plugs soient en face de ses trous. En prenant appui avec ses mains sur le dossier du chevalet, elle commença à onduler des fesses pour faire pénétrer les deux plugs. L’assistance ricana de voir ce cul tatoué bouger de la sorte. Sweet Pussy grimaçait en sentant les deux plugs emplir son fondement et son sexe car ils étaient de bons diamètres. Lorsqu’elle fut calée, Maîtresse Marie vérifia en appuyant sur les épaules de son esclave, qui couina, que les plugs étaient à fond. Maîtresse Marie prit les bras de Sweet Pussy et les attacha aux bracelets prévus à cet effet. Le cou de Sweet Pussy vint se positionner dans un demi-cercle métallique que Maîtresse Marie referma par un autre demi-cercle qui, une fois fermé, formait un collier. Maîtresse Marie pivota d’un quart de tour un papillon pour éviter toute ouverture fortuite. Ses seins prirent position dans un carcan métallique. Maîtresse Marie abaissa la partie supérieure et vissa les deux vis papillons des tiges filetées, ce qui bloqua les seins de Sweet Pussy et vint légèrement les comprimer dans les ouvertures, plus petites que la base de ses seins. Les chevilles furent aussi attachées ainsi que ses cuisses. Sweet Pussy se retrouva complétement immobilisée dans cet assemblage tubulaire.
Pendant ce temps-là, N°1 continuait à sucer les chevaux que le palefrenier lui amenait. Elle en était à sa sixième fellation et le récipient se remplissait des abondantes salves de sperme chevalin.
« Que mérite cette esclave, mes chères consœurs et chers confrères ? »
Des cris s’élevèrent de l’assistance :
« Marquez-la au fer rouge ! » cria un Maître.
« 100 coups de fouet pour cette salope ! » dit une Maîtresse.
En entendant cela, Sweet Pussy poussa un cri et essaya de s’extirper de son harnachement en gigotant comme elle pouvait. Maîtresse Marie prit alors un harnais équipé d’un ball-gag métallique qu’elle plaça sur la tête de Sweet Pussy. Ce harnais de tête était formé de fers plats et d’un anneau pour la bouche. Maîtresse Marie força le passage de la bouche en cognant le métal sur ses dents. L’esclave ouvrit la bouche et lorsque l’anneau passa entre les dents, Sweet Pussy ne put plus la refermer. L’anneau avait deux bouts de tiges filetées qui dépassaient vers l’extérieur. Maîtresse Marie prit deux fers plats vissés ensemble et les désaccoupla.
« Tire ta langue de suceuse de bite ! »
Sweet Pussy obéit et tira sa langue au plus loin. Maîtresse Marie, tout en maintenant la langue à l’extérieur, dévissa le piercing se trouvant au beau milieu de sa langue. La chose faite, elle posa un fer plat sous le dessous du membre, l’autre sur le dessus et enfonça l’écrou au travers de la langue de Sweet Pussy. Celle-ci cria en sentant l’écrou pénétrer sa langue car celui-ci était d’un plus gros diamètre que son piercing d’origine. Sweet Pussy se retrouva avec la langue pendante et alourdie par le métal. Maîtresse Marie connecta alors le harnachement buccal à l’anneau par les deux tiges et y fixa deux vis papillon. La langue de Sweet Pussy était tirée à l’extrême à l’extérieur et dardait comme une bite en érection.
« Attention, cette esclave n’est qu’en prêt, je ne peux donc pas la marquer à vie, ni la tuer, Maîtresse Aurore ne me le pardonnerait pas. Mais une bonne correction lui fera le plus grand bien et l’incitera à obéir aux ordres.»
Maîtresse Marie prit alors une canne de bambou et se positionna derrière Sweet Pussy qui ne pouvait voir ce qu’elle allait subir.
Un cri se fit entendre dans le hangar :
« ARRRRRGHHHHH ! »
Maîtresse Marie venait d’asséner un violent coup de canne sur les fesses de Sweet Pussy.
« Et compte chaque coup, salope ! »
« Huin. » fit en sanglotant Sweet Pussy.
« ARRRRGGHHH. »
« Dfeux. »
Sweet Pussy reçut cinq coups sur ses fesses tatouées qui maintenant étaient striées de 5 traces rouges desquelles perlaient des gouttes de sang. Et Sweet Pussy compta chaque coup. Maîtresse Marie s’approcha de son esclave et lui fit face.
« Tu vas m’obéir maintenant ! »
« Bvoui, Maîtreche. » fit Sweet Pussy qui poussa un autre cri lorsque Maîtresse Marie appuya sur la télécommande qu’elle tenait en main. Une courte décharge électrique traversa le corps de Sweet Pussy. Les plugs étaient reliés à une centrale d’électrostimulation bien dissimulée sous le chevalet, donc invisible pour l’esclave. Cette décharge contracta son anus et ses muscles vaginaux.
Quelques secondes plus tard, une autre décharge secouait le corps de la suppliciée. Puis une autre.
Les secousses s’arrêtèrent et Maîtresse Marie repassa derrière Sweet Pussy. Elle se crispa en attendant le coup sur son cul.
« AAAAARRRRRRGHHHHHHH ! »
« Fsife. »
« ARRRRRGGGHHH . » Une décharge électrique lui traversait le corps avant de finir de compter.
Maîtresse Marie repassa devant Sweet Pussy. Elle sanglotait, un filet de salive coulait de son anneau buccal. Sweet Pussy regarda du coin de l’œil la Maîtresse attendant avec appréhension sa colère. Maîtresse Marie appuya sur sa commande et une décharge électrique lui traversa les seins. Le visage de Sweet Pussy se crispa sous l’effet. Lorsque l’impulsion s’estompa, Maitresse Marie asséna un violent coup de canne sur les seins de Sweet Pussy.
Maîtresse Marie appuya sur sa télécommande et une impulsion électrique traversa sa langue. Elle reçut un coup violent sur ses seins et un autre aussitôt qui fit dire à Sweet Pussy :
« Affez Maitrèche. Pitchié, ve vais obvéir. Ve fais fufer les fevaux. »
« A la bonne heure pétasse. »
Maîtresse Marie délivra Sweet Pussy de son harnachement qui retourna doucement vers son « stand » avec les chevaux qui attendaient la traie. Sweet Pussy prit place sur le tabouret. Le fait de s’assoir la fit grimacer et lui rappela sa récente correction. Elle prit d’abord le saladier dans une main et le sexe du premier équidé de l’autre et suça celui-ci tout en le branlant. Avec ce traitement, le sexe du cheval ne tarda pas à prendre de la vigueur et une longueur conséquente. Quelques minutes plus tard, Sweet Pussy sentit la montée du sperme chevalin mais n’eut pas tout à fait le temps de retirer sa bouche pour recevoir le liquide séminal dans le saladier et son visage en fut quelque peu éclaboussé. Elle en reçut dans sa bouche, ce qui la fit cracher dans le saladier. Le palefrenier riait de voir les deux esclaves être autant avilies et souriait à chaque fois qu’il amenait un cheval pour sa traie.
N°1 finit de sucer son lot de chevaux. Elle regardait Sweet Pussy branler et sucer ses équidés. Lorsque le dixième cheval fut branlé et son sperme fut dans le saladier, Maîtresse Marie prit les deux saladiers. Deux chaises métalliques furent amenées. Ces chaises avaient, bien sûr des bracelets et deux plugs de bonne taille se dressaient sur le siège.
Maîtresse Marie, d’un claquement doigt, fit se lever les deux esclaves. Lorsque la Maîtresse pointa du doigt les deux chaises, N°1 et Sweet Pussy se dirigèrent vers les chaises et s’installèrent sur celles-ci. Sweet Pussy ressentit une douleur sur ses fesses meurtries lorsque celles-ci se posèrent sur le métal froid. Les culs des esclaves s’empalèrent sur les plugs. Maîtresse Marie bloqua alors leurs poignets et leurs chevilles. Elle prit alors un tuba transparent qu’elle enfonça dans la bouche de Sweet Pussy et serra fort les courroies derrière la tête. N°1 reçut le même équipement.
Pour s’amuser, Maîtresse Marie serra les narines de Sweet Pussy qui fut obligée de respirer par le tuba. Puis Maîtresse Marie obstrua le tuba. Les yeux de Sweet Pussy s’écarquillèrent cherchant l’air donateur de vie. La Maîtresse regardait dans les yeux son esclave qui suffoquait, ses doigts s’agitaient sur la chaise et de vagues grommellements sortaient du tuba. Maîtresse Marie rendit possible la respiration en ôtant ses doigts du tuba. Elle prit alors deux entonnoirs transparents qu’elle raccorda sur le tuba de chaque esclave. Les deux esclaves surent alors ce qui allait leur arriver. Le palefrenier fut mis à contribution et, avec Maîtresse Marie, versa le contenu des saladiers dans les entonnoirs. Maîtresse Marie ouvrit simultanément les vannes des tubas et le liquide séminal se déversa dans la bouche de chaque esclave.
« Buvez-moi ce breuvage, mes deux salopes. Ah ah ah. Et toi, Sweet Pussy, tu avales car je ne suis pas Maîtresse Aurore, tu n’auras pas de seconde chance. Tu avales ou tu crèves !»
Les mains des esclaves se crispèrent sur les chaises. Sweet Pussy avait les larmes aux yeux. Elles burent le liquide séminal jusqu’à la dernière goutte. L’assistance applaudit lorsqu’elles eurent fini de boire.
Maîtresse Marie démonta les tubas et les harnais. Du liquide coula de la bouche de N°1 et Sweet Pussy éructa plusieurs fois du goût acre du sperme chevalin et rota une fois ce qui fit hurler de rire l’assistance. Elle pleurait amèrement. Maîtresse Marie posa un collier au cou des esclaves.
« Bien mes deux putes, maintenant vous allez servir d’esclaves sexuelles à mes convives. Que pas un n’ait de remarque à me faire sinon je vous corrige. »
« Oui Maîtresse. » firent les deux esclaves.
Maîtresse Marie conduisait ses deux esclaves en laisse dans l’assistance. Une Maîtresse stoppa l’avancée de Maîtresse Marie.
« Je prends celle-ci. » Dit la Maîtresse en pointant du doigt N°1.
Maîtresse Marie donna le bout de la laisse à la Maîtresse qui l’emmena à l’écart de l’assemblée. Maîtresse Marie continua d’avancée quand une Maîtresse se positionna devant Maîtresse Marie. Sweet Pussy reconnut Maîtresse Tatiana.
« Je la prends, puisqu’il ne reste qu’elle. »
« Faîtes-en bon usage Maîtresse Tatiana. »
Maîtresse Tatiana s’en alla en tirant sur la laisse. Sweet Pussy avait du mal à suivre sa nouvelle Maîtresse et en passant entre les convives, elle sentit que des mains lui touchaient les fesses et le sexe.
Maîtresse Tatiana alla dans un coin de la pièce. Elle écarta les pans de son short ouvert en tirant sur la laisse:
« Lèche-moi la chatte salope ! »
Sweet Pussy obtempéra et commença à lécher les lèvres de Maîtresse Tatiana.
« Allez, esclave, plus profond. Je veux sentir tes piercings loin dans mon vagin ! »
Sweet Pussy s’activa pour contenter sa Maîtresse temporaire.
N°1 quant à elle, se trouvait au centre de l’allée à quatre pattes, le visage contre le sol en béton, les fesses pointant vers le ciel. La main d’une Maîtresse se trouvait dans son sexe tandis qu’une autre main était plantée jusqu’au poignet dans son fondement. Les traits du visage de N°1 étaient tirés au maximum car les intromissions étaient violentes. Elle poussait des cris stridents qui raisonnaient dans le hangar. Maîtresse Tatiana prit la tresse de Sweet Pussy d’une main et lui tourna la tête en direction de l’autre attraction.
« Après ce sera ton tour, une main dans chaque trou, on va vous exploser les trous ! Vous aurez de vrais garages à bite après un traitement pareil ! »
Les deux Maîtresses retirèrent leurs mains de N°1. Son anus restait grand ouvert. Une Maîtresse apporta une batte de base-ball et une cartouche de graisse. Après avoir enduit de graisse sa batte, la Maîtresse l’enfonça dans le cul de N°1 qui hurla de douleur par cette intromission brutale et énorme. Sweet Pussy prit peur à la vue de cette scène et se cacha le visage. N°1 était toujours face contre terre, le cul en l’air avec une batte de base-ball qui pointait vers le ciel. La Maîtresse prit la batte de base-ball et commença à la faire aller et venir dans le cul de N°1. Ses doigts grattaient le sol comme pour s’agripper à quelque chose, son visage était déformé par la douleur.
« Sweet Pussy ! Viens ici. » Hurla la Maîtresse.
Sweet Pussy décolla sa bouche du sexe de Maîtresse Tatiana.
« Viens ici te faire défoncer ton cul, salope. Je viendrais y mettre ma main ! »
Sweet Pussy avança à quatre pattes et se positionna face contre terre juste à côté de N°1. Elle était toujours en position, le cul ramoné par la batte de base-ball.
La Maîtresse commença par prendre la pompe à graisse que tenait le palefrenier. Elle enfonça l’embout dans le cul de Sweet Pussy et actionna la pompe. Après quelques coups de pompe, La Maîtresse retira l’embout et enduisit l’anus d’une bonne couche de graisse. La Maîtresse prit alors un gant comme ceux des vétérinaires lorsqu’ils inséminent une jument ou une vache et mit en pointe ses doigts pour les enfoncer dans le cul de l’esclave. Elle commença alors à travailler l’anus de Sweet Pussy qui s’ouvrit doucement comme une fleur. Les doigts s’enfoncèrent doucement dans le cul. Sous l’effet conjugué des doigts et de la graisse, le cul s’ouvrit plus et bientôt ce fut la main complète qui disparut dans le fondement de Sweet Pussy qui gémissait et qui ouvrait la bouche pour happer de l’air comme pour se soulager de la douleur qui lui traversait le corps. La Maîtresse posa son autre main sur le sexe de Sweet Pussy et l’enfonça dans son vagin. Après quelques va et vient, la Maîtresse ôta ses mains gantées et prit la seconde batte de base-ball posée contre le mur. Elle prit aussi la pompe à graisse qu’elle actionna pour badigeonner l’anus de Sweet Pussy puis la batte elle-même. La Maîtresse positionna la batte contre l’anus de Sweet Pussy qui sentit doucement la poussée de l’engin contre ses fesses.
« Allez salope, ouvre ton cul sinon !!! »
Sweet Pussy poussa en crispant les traits de son visage et la batte commença à étirer son anus qui se dilata petit à petit pour parvenir à engloutir le bout de la batte de base-ball.
C’est dans un soulagement non retenu que la batte pénétra le cul de Sweet Pussy sous les applaudissements de l’assistance. Les deux battes de base-ball pointaient vers le ciel et la Maîtresse prit en main les deux battes et ramona simultanément les deux culs.
Lorsque la Maîtresse en eut assez de labourer leurs trous, Maîtresse Marie les emmena sur l’estrade. Elle pinça et étira les mamelons des deux soumises qui grimacèrent. Maîtresse Marie passa derrière elles pour leur attacher les mains dans le dos, leurs bras furent à l’équerre. Elle fixa à leur pied une barre d’écartement. Deux barres fixées à une poutre métallique descendirent. Quatre chaînes terminées par un crochet pendaient à ces barres. Maîtresse Marie passa les quatre crochets sous les barres des piercings qui traversaient leurs seins. Puis elle actionna un bouton et un bruit de moteur se fit entendre. Un treuil éleva les barres. Les chaînes tirèrent sur leurs seins et pour soulager la pression, elles se mirent sur la pointe des pieds. Le treuil continua son action et les deux esclaves se retrouvèrent pendues par leurs seins. Les deux esclaves crièrent lorsque leurs pieds quittèrent le plancher des vaches car le poids de leur corps fut soutenu par les épaisses barres des piercings de leurs seins qui s’en trouvaient étirés et déformés. Les seins changèrent de couleur et virèrent au cramoisi au bout de quelques minutes. Les deux esclaves étaient pantelantes. Des larmes coulaient de leurs yeux. Puis elle poussa les deux corps qui se balancèrent au bout de leurs chaînes sous les cris ininterrompus des esclaves. Leurs visages étaient déformés par la douleur. Leurs fesses reçurent des coups de cravaches. Maîtresse Marie passa ensuite devant elles et malgré la douleur qui traversaient leurs seins, elle asséna de violents coups de cravaches sur leurs seins. A chaque coup, un cri strident emplissait le hangar suivi par des applaudissements ou des rires des Maîtres et Maîtresses. Les piercings des seins commençaient à être stretchés naturellement.
Dix minutes de ce traitement eurent raison des deux esclaves. Elles étaient au bord de l’évanouissement. Maîtresse Marie appuya de nouveau sur le bouton pour commander le treuil. Les deux corps pantelants touchèrent le sol mais les deux esclaves n’avaient plus aucune force pour tenir debout et elles s’écroulèrent sur les planches de bois de l’estrade. L’assistance applaudit la prestation de Maîtresse Marie qui la remercia par des courbettes et des signes de la main. Elle congédia son assistance par des convenances.
Maîtresse Marie détacha les deux suppliciées et les emmena dans leur cellule.
« On a fini en beauté avec vous pour votre dernière journée. C’est pour que vous vous souveniez de votre passage ici les bourgeoises ! »
Maîtresse Marie leur donna leur gamelle mais elles n’eurent aucune force pour manger.
Elles s’endormirent presqu’aussitôt sur la paille dans les bras l’une de l’autre.
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