Ça y est ‘il’ est dans l’avion, ‘il ‘ c’est James, mon mari depuis cinq ans, c’est notre première séparation de quinze jours pour raison professionnelle
Je reviens rapidement vers le parking où est garée ma voiture pour satisfaire à la main l’envie que mon mari a éveillée juste avant de partir, j’ai le cœur gros et une certaine difficulté à marcher … mon string est passé entre mes lèvres, c’est James qui l’a fait avant de descendre de voiture, il tenait a s’humecter les doigts afin de garder mon odeur le plus longtemps possible , il a récidivé dans l’entrée des toilettes au risque de nous faire surprendre
j’écartais les jambes pour l’inciter à me prendre debout, qu’il me gorge de foutre chaud, hélas ce n’était pas possible il y avait trop de mouvement de foule , c’est pour cela que je n’ai pas eu le temps de remettre ma culotte correctement sur ma chatte
En ce moment je l’imagine humant discrètement mon parfum de femelle, peut-être est-il assis à côté d’une belle femme ? il va peut-être lui en faire autant ? ne pense pas à ça Karine, James est un homme fidèle ! Ah, voici enfin la voiture garée entre d’autres dans la pénombre dans laquelle je m’engouffre rapidement, je ne pourrais démarrer qu’après avoir jouis, je baisse les vitres avant à cause de la chaleur moite de juillet, ma jupe est relevée, mes genoux sont largement séparés, je dépatte deux boutons à mon corsage sous lequel mes seins sont libres
Avachie sur le siège, une main sur un sein, l’autre va direct entre mes cuisses, une fois mon slip passé sur le côté mes doigts s’enfoncent aisément dans ma motte liquéfiée, les yeux fermés je soupire d’aise, mon téton s’allonge, mes doigts ne peuvent évidemment pas remplacer un membre mais ils peuvent apaiser ma grosse envie de baiser
Soudain mon sixième sens en alerte m’avertit d’une présence … une ombre se profile à ma portière, je suis prise en flagrant délit de masturbation non dissimulée, je trouve la force de lever les yeux pour découvrir un buste ou plutôt le bas d’un buste… et ce n’est pas tout … une main manipule lentement une queue raide décalottée
– Bonsoir … vous êtes ravissante… ne vous arrêtez pas, je ne vous veux aucun mal, bien au contraire
– Laissez-moi tranquille !
– Vous aussi avez laissé un être cher partir dans ces maudits avions ?
– Ça ne vous regarde pas
– Nous pourrions unir nos chagrins ?
– Cessez de vous masturber devant moi
– Si vous me remplaciez cela irait plus vite, ma verge ne vous plait pas ?
– Ce n’est pas la question…
– Laissez-moi monter à côté de vous …
Avant que je n’aie pu dire ‘ouf’ l’homme s’installe sur le siège passager, la lumière fugace du plafonnier a éclairé un instant son visage.. bel homme… belle queue …son bras est déjà passé derrière mon repose tête, son autre main s’est posée sur ma cuisse, tétanisée je ne lui refuse pas l’accès à mon minou, mes doigts laissent la place aux siens, je renverse la tête lorsqu’il débusque mon clitoris, son visage se penche sur ma poitrine … quelle audace ….quel bonheur d’être fouillée et tétée par un inconnu …subjuguée par son aplomb je suis prête à faire n’importe quoi en sa compagnie
– Démarrez, nous allons chez moi
– Mais ?
– Vous en avez autant envie que moi, si ce n’est pas plus, avouez ?
– Vous habitez loin d’ici ?
– Cinq minutes
– Vous n’avez pas de voiture ?
– Transports en commun
– Juste une minute alors
– Le temps de jouir ensemble, je retire mes doigts de votre chatte ?
– Non, je suis habituée à rouler ainsi
– Biiiieeeennnnn ! soulève tes fesses je vais te débarrasser de cette serpillère, t’as de beaux nichons, je défais encore un bouton
– NOOOONN !!
– C’est fait, regarde les briller à la lumière, réflexion faite si nous allions au sauna ? j’ai envie de faire de toi ma pute d’un soir
– Au sauna ?
– Tu connais ?
– Non…
– Alors raison de plus, tu vas te faire palper par de nombreuses mains et aussi par de belles bites
– C’est vrai ?
– Je ne te promets pas que ce ne seras que des apollons
– J’ai trop envie de baiser
– Tourne à droite c’est à cinq cent mètres
– Je ne dois pas être belle à voir …
– T’inquiète c’est vachement tamisé
James m’avait déjà parlé de ces établissements mais il ne se sentait pas encore prêt pour me laisser en pâture à de gros vicieux, il me guide vers l’entrée et sonne, un judas s’ouvre avant qu’un énorme vigile black ne nous fasse entrer
– Salut Rémy
– Bonsoir madame, salut Didier, y’a du monde ce soir, amusez-vous bien
– Je crois que c’est bien parti ! a plus Rémy ?
– Ça marche … passez une bonne soirée madame
Une fois dans le vestiaire, matée par des yeux sortis de leurs orbites il me dirige vers une piscine à bulles où je me débarrasse de mon peignoir avant de descendre les trois marches et m’assoir dans un recoin isolé car cinq hommes se prélassent dans le jacuzzi attendant sans doute l’arrivée d’un ‘gibier’ féminin … je suis la seule femme …
– Détend toi …
– Pas facile …
– Ne t’effarouche pas si un mec vient se glisser prés de toi, d’ailleurs en voilà un
– Deux mecs tu veux dire …
– Ça va aller
– Il touche ma cuisse
– C’est bien ce que tu veux non ?
– …. Ouuiii …
Devant la passivité de Rémy qu’ils prennent pour mon époux les hommes s’enhardissent, un qui me colle en avançant sa main sur ma hanche, l’autre à mes pieds qui essaie de séparer mes genoux, je suis là pour ‘ça’ donc j’écarte les cuisses, Rémy me prend la main pour la déposer sur sa trique, me voilà aux prises avec trois mâles, malgré ma détermination je panique et me réfugie à cheval sur les genoux de Rémy face à lui… mal m’en a pris …croyant que je veux baiser avec lui il dirige sa queue sur ma chatte et m’enfile sans autres préliminaires, les deux autres gus en profite pour m’assaillir, un sur le côté pour peloter mes seins et l’autre entre mes fesses largement écartées par ma position ,trouvant ma moule obstruée par la bite s’en prend à mon anus qui, émoustillé par un jet puissant commence à se dilater
– Y’en a un qui va me sodomiser …
– Tu veux accepter ?
– J’sais pas …
– Alors laisse-le s’amuser, suce donc celui qui te pelote les miches
– Tout ça à la fois ?
– Tu veux t’éclater ou non ?
– Oui…
– Alors laisse-toi faire, entre parenthèses j’apprécie l’exiguïté de ta chatte
– Merci
– Elle risque d’être plus relâchée quand nous partirons
– J’m’en fous, mon mari est parti pour deux longues semaines !
– Si tu préfères un matelas nous pouvons migrer dans une pièce plus intime
– Non, je veux découvrir le vice… Ooooohhhh ! il force mon anus
– Pousse, relâche tes sphincters, ne cherche pas à le freiner
– J’ai envie de péter …
– Lâche-toi, ça passera inaperçus avec les autres bulles !
– Il a une grosse pine
– Effectivement, je la sens sur la mienne
– AAAIIIIIEEEE ! non ça ne va pas dans l’eau
– Allons dans une alcôve, ce sera plus sympa
– Ils vont nous suivre ?
– Tu choisiras ceux qui te plairont, ensuite je ferme à clé Combien en veux-tu ?
– Trois à la suite dans ma chatte
– Avec moi ça fait quatre ?
– C’est largement suffisant pour une première fois
– Appelons ça un mini gang bang
Nous déambulons dans le couloir étroit suivit par une meute de chiens exaltés, Didier s’arrête devant une porte et me fait entrer avant de s’interposer et filtrer les entrées
– Toi, toi, non, pas toi, lui,
– Pourquoi ?
– Parce qu’elle aime les beaux membres, et toi, voilà messieurs c’est terminé, désolé
Allongée sur le lit, encore protégée dans ma sortie de bain j’entends un brouhaha de réprobation, de trois acceptés c’est passé à quatre … le bruit de la clé dans la serrure me détend juste un instant car je suis littéralement entourée d’hommes nus exhibant dans leurs mains des verges bandées ou en devenir
– Laissez là respirer messieurs
– Elle est belle
– Que veut-elle qu’on lui fasse ?
– Organisez-vous, avant de la pénétrer deux sur les tétons, un dans sa bouche, un autre pour lui picorer l’abricot, tu permets que je retire ta sortie de bain ? aide-moi …
– J’ai peur …
– Allez-y les gars, mais doucement sans quoi je vous vire ? qui veux-tu dans ta bouche chérie ?
– Celui-là ?
– Approche jeunot
– Et toi ?
– Je passerai après, je suis un peu voyeur
– Ah …
Et c’est la curée, mes seins sont mis à rude épreuve par des mains viriles, les tétons sont étirés par des succions sonores, mes jambes ouvertes et relevées pour laisser une langue agile ravager ma chatte, je dois ouvrir la bouche car un gland n’arrête pas de passer et repasser dessus , le jeune homme me baise carrément la gorge, je suis obligée d’interposer une main pour limiter la longueur, l’autre a été réquisitionnée pour masturber un ‘téteur’, jamais je n’ai été autant sollicitée par quatre mâles , euphorique, c’est à peine si je perçois les commentaires obscènes de mon ‘protecteur’
– Dépêchez-vous à la baiser les gars, toi, arrête de lui bouffer la chatte et enfile-la
– Elle est baisable, je lui ai ouvert le con avec ma langue et le cul avec mes doigts
– Bien, ça va surement servir
Enfin mon vagin est investi par une queue acceptable, je la devine noueuse, longue, et recourbée vers le haut, je positionne mon bassin de façon à en faire profiter mon point G, distraite par mon baiseur celui qui se rassasie de ma bouche éjacule sans préavis, mes seins sont délaissés au cas où ‘une place de choix’ serait disponible, finalement je branle mes deux suceur afin qu’ils jouissent sur mes seins, comme promis ils se sont succédé dans ma chatte devenue un réservoir à foutre, julien a refusé catégoriquement qu’ils se servent de mon anus, seuls les doigts étaient les bienvenus …
Soudain alors que j’étais à quatre pattes en pleine saillie, l’ombre d’une bite se profile au-dessus de ma tête, elle est monstrueusement noire …en une fraction de seconde je réalise à qui elle appartient … le vigile de l’entrée, c’est à peine si je suis surprise de sa visite, je ne sais même pas si au fond de moi-même je ne l’attendais pas !
– Suce-moi un peu en attendant que la place soit libre
– C’est que …MMUUUUUMMMMMMMMMM
Je lui ai avalé le gland avec une voracité flagrante, il intime à mon dernier amant de se dépêcher de décharger ou de quitter la pièce, ce dernier ne se fait pas prier et se retire de mon con la queue encore raide, le pieux que je tétais sort rapidement de ma bouche, le black m’entraine sur lui pour une position que j’adore, julien jubile et passe une main entre mes cuisses afin de séparer mes lèvres qui sont déjà assez ouvertes pour accepter n’importe quel calibre
– Assied toi sur ce pic ma belle tu m’en diras des nouvelles
– Je suis lasse ….
– Tu plaisante ? la soirée ne fait que commencer et pourtant nous ne somment plus que deux à ton chevet
Mon vagin est étiré en tous sens, mes muqueuses sont ravies de cette présence démesurée et me fonts savoir qu’elles vont exploser rapidement, cerise sur le gâteau le seul trou qui a été épargné jusqu’à présent est sollicité par la bite de julien qui s’est posté derrière moi, docile, je m’affale sur le vigile qui stoppe tous mouvements
– Tu l’encule ?
– Ouais, j’en crève d’envie depuis deux heures
– Où as-tu déniché cette bonne femelle ?
– Ce soir à l’aéroport où je vais draguer tous les samedis ….
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