J’accompagne Alain à un repas dans un restaurant, avec quelques uns de ses collègues ainsi que son patron, pour fêter la réussite d’un projet. Pour l’occasion, je porte une robe de soirée très chic et sexy.
Au restaurant, Alain se retrouve aux côté de son boss et moi à l’autre bout de la table avec d’autres femmes et un homme à mes côtés. L’apéritif délie les langues et je commence à discuter avec mon voisin de table. Au bout d’un moment, je m’aperçois qu’il regarde plus mon décolleté que mes yeux. Au lieux d’être choquée, je trouve ça plutôt agréable et même excitant. Dans ces moments là, j’aime beaucoup provoquer un peu pour étudier la réaction de l’homme.
Je prends mon smartphone et fais semblant de lire mes SMS, lui laissant tout le loisir de profiter de la vue sur mon anatomie. Du coin de l’œil, je devine qu’il ne s’en prive pas. Je sens son regard me déshabiller et j’adore ce jeu de séduction.
D’un air innocent, en lui adressant un sourire, je lui dit :
« C’est très agréable comme endroit je trouve, je ne regrette pas d’être venue. »
« Je suis bien d’accord avec vous. C’est bien agréable et votre compagnie illumine ces lieux. »
Je rougie légèrement au compliment et reprends :
« Vous me faites rougir cher monsieur. »
« Vous êtes très excitante et très aguicheuse à vous habiller et à vous comporter comme ça ! »
Je suis faussement choquée et lui réponds sur un ton de femme vexée :
« Aguicheuse ? Comment çà ? Je ne vous permet pas monsieur ! »
« Vous ne me permettez pas ? Alors que depuis tout à l’heure vous faite tout pour me laisser voir votre décolleté ? J’ai bien remarqué votre façon de vous pencher pour que je vois vos seins où la manière de croiser vos jambes à la Shron Stone. Vous savez comment j’appelle une fille qui fait ça ? »
Je suis troublée de son aplomb. Il me déstabilise avec une aisance incroyable. Alors je lui dis, d’une voix peu assurée :
« Oui allez-y dites le moi ! »
Il se penche légèrement et employant cette foi le tutoiement, il me souffle à l’oreille en posant une main ferme sur ma cuisse :
« Tu es une putain d’allumeuse ! Je suis sur que tu adores ça exciter, faire bander les hommes je me trompe ?»
Je me raidis un peu mais j’aime cette situation ambiguë. Pour seule réponse, j’écarte légèrement mes cuisses. Sa main baladeuse se rapproche de mon string et voyant que je ne me rebelle pas à sa caresse, il s’enhardit. Ses doigts écartent le bord de mon string et se glissent dans ma fente humide. J’essaye de ne rien faire paraître aux autres convive et je me mord les lèvres pour ne pas gémir.
« J’en étais sûr. T’es toute trempée. Une vrai petite salope comme je les aime ! » Me dit-il.
Voyant que ça m’excite, il introduit un doigt et commence à me fouiller ma chatte. J’ai beaucoup de mal à me contrôler. Comme si il lisait dans mes pensées il me dit :
« Tu vas aller aux toilettes et m’attendre là bas. J’vais t’montrer comment je traite les petites salopes comme toi ! Allez ouste ! »
Incapable de répondre quelque chose, je me lève et me dirige vers les toilettes du restaurant. Je me penche sur le lavabo et me refais une beauté comme si de rien était. C’est alors que mon voisin de table entre. Il me prend les seins à pleine mains et pousse son bassin sur mes fesses. Mon premier réflexe est de me cambrer pour mieux coller mes fesses contre la bosse qui déforme son pantalon. Il me dit à l’oreille :
« J’vais me faire un plaisir de t’baiser comme une chienne ! Mais avant taille moi une pipe ! »
Je me retourne et me mets à genoux. J’ouvre sa braguette, extirpe sa grosse queue prisonnière et commence à le sucer.
« C’est bien continue ! J’étais sûr que tu adorais sucer des bites avec ta petite bouche de pute ! Bon ça suffit ! Tournes-toi et appuies-toi contre le lavabo, je vais bien te baiser, je sais que tu n’attends que ça ! »
Je prends alors appuie sur le lavabo, mon cul bien cambré et je suis prête à le recevoir.
« Cambre-toi bien traînée ! Dis moi que tu veux te faire défoncer la chatte par ma grosse queue salope ! »
Trop excité, mon statut de bourgeoise est jeté aux orties et je lui crie presque :
« Baise moi fort avec ta grosse bite ! Je la sentir bien profond dans ma chatte ! »
« Espèce de petite salope, tu n’attendais que ça que je te baise! »
« Oui hummmmmm c’est bon !!! »
Il me défonce littéralement la chatte. Sa bite s’enfonce au fond de ma chatte et ses couilles tape contre mon cul. Je suis à sa merci. Je me laisse baiser comme une pute. Il me prend les cheveux et tire ma tête en arrière à chaque fois que sa queue s’enfonce profond en moi.
« T’aimes ça te faire baiser comme une pute. Cambre-toi bien, fais moi voir comme tu aimes faire la chienne ! »
Il accompagne ces paroles d’une pression sur mes épaules, m’obligeant à me pencher plus en avant.
« Regarde-toi dans la glace pendant que j’te baise petite salope ! »
Il continue ses va-et-vient profond dans ma chatte. La tête bien en arrière, je me regarde dans la glace, secouée d’avant en arrière par ses coups de bites. Je jouis comme une chienne en chaleur. Ma chatte est dégoulinante. Tout mon corps tremble sous ses coups de reins.
« Tiens t’aimes ça te faire défoncer dans des toilettes, comme une vulgaire pute ! »
« Oui j’adore, défonces-moi encore ! Baises-moi comme une pute ! »
« Bouffe moi la bite j’vais gicler. Oui c’est bien continue comme ça ! Bouffe-moi les couilles petite pute ! Oui ça vient ! J’vais arroser ta petite gueule de salope ! »
« Oui allez-y gicler moi dessus ! »
Alors que ma langue s’active à gober ses couilles, je sens une première giclée de sperme s’abattre sur mon front et mes cheveux. Il enfourne sa queue dans ma bouche pour me napper la gorge de son sperme.
« Nettoie moi bien la bite putain ! »
Je suis comme hypnotisée par sa bite. J’avale et je sens son sperme me couler doucement sur mon visage. J’agis par réflexe comme une pute soumise. Je lèche son gland et me régale du sperme restant. Puis il retire sa queue de ma bouche et commence à reboutonner son pantalon. Je reste à genoux devant lui à lécher les gouttes de sperme qui coulent sur mon visage et sur le bord de mes lèvres. Sans un mot, il part et me laisse là à moitié nue et le visage souillé de son liquide. Il m’avait traiter comme une chienne et j’avais adoré ça. Je me lève les jambes encore tremblantes de cette baise sauvage et me rhabille. J’essaye de remettre de l’ordre à mon maquillage et mes cheveux. Cette partie de baise qui m’a parue très longue mais n’a duré qu’une vingtaine de minutes. Quand je reviens dans le resto, je suis toute rouge. Mon mari s’en inquiète mais je le rassure tout va bien. Je me rassoie à côté de mon voisin qui fait comme si rien ne s’était passé. Au retour, je suis si excité que je suce mon homme dans la voiture et reçois avec plaisir son désir dans ma bouche.
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