Valerie perdait complètement la notion du temps. La capitaine lui avait dit qu’elle serait son invitée le soir même, et il lui semblait que plusieurs journées étaient passées. Le noir était total. Elle entendait souvent marcher, de l’autre coté de la porte, des bruits de bottes qui claquaient contre le sol, et des discussions dont elle ne comprenait pas le sens. Déjà, c’était un parfait brouhaha, et en plus, elle ne comprenait pas la langue.
Le battant s’ouvrit dans un grand grincement, et le soldat poussa encore plus fort la porte qui résistait. Il saisit Valerie par l’épaule. Elle se leva avec peine en fronçant les yeux face à la lumière qui l’éblouissait. Elle sortit de la pièce en chancelant un peu, et traversa un couloir jusqu’à l’escalier qui montait aux étages. Elle reconnut le hall principal, où elle était arrivée le premier jour. Ca lui semblait tellement loin, alors qu’elle ne devait être ici que depuis quelques 4 ou 5 jours au maximum.
Au premier étage, le couloir était mieux aménagé. Il y avait un tableau au mur, représentant un officier, mais Valerie était incapable de l’identifier. Le tableau semblait d’ailleurs dater d’une bonne dizaine d’années.
Le soldat ouvrit une porte, et Valerie entra dans une salle de bain. Elle n’était pas très propre, mais elle était fonctionnelle et suffisamment équipée. Une douche, un lavabo, un bidet, une serviette, et des habits propres posés dans un coin. Elle vit également du savon posé à coté du pommeau de douche.
Valérie mit un pied dans la douche. C’est bête, mais elle se rappella qu’elle était déjà nue. Elle fit couler l’eau. Il n’y avait pas de rideau. Elle attrappa le pommeau, et fit couler l’eau sur son corps. Ca lui produisit un bien être immédiat. Elle prit le savon, et commença à se frotter le ventre et les bras.
Le soldat restait dans la pièce et la regardait. Il n’en perdait pas une miette, surtout quand elle se frotta les seins, et ses parties intimes. Elle continua de faire couler l’eau encore un moment, pour profiter de cet instant de bien-être. Puis, elle tourna le robinet, et attrapa la serviette. Le soldat s’approcha, et lui montra le bidet du doigt.
– C’est bon, fit Valerie, qui n’était pas adepte de ce genre d’objet.
Le soldat insista, et se montra vite menaçant. Valerie, pour calmer la situation, posa la serviette, et alla s’assoir sur le bidet, en faisant couler l’eau. Le soldat ouvrit un petit tiroir et sortit un flacon qui sembait être du savon intime. Valerie tendit la main pour le prendre, mais le soldat resta à distance. Il ouvrit le flacon, fit couler du savon transparent sur sa main, et s’approcha. Valerie comprit vite. C’est le soldat qui allait lui faire sa toilette intime. Il s’agenouilla à coté d’elle, et passa sa main entre sa chatte et le bidet. Il prit un peu d’eau avec le savon, et commença à agiter sa main sur sa chatte. Sa toison moussa rapidement. La main s’agitait, les doigts cherchaient sa fente, et son clitoris. Elle sentit d’ailleurs qu’il commençait à s’y attarder. Elle ne voulait pas montrer de réaction et resta neutre. Mais au bout de plusieurs minutes de masturbation continue, elle jeta son regard vers le soldat. Ce dernier fit une petite mimique satisfaite, et elle sentit des doigts glisser en elle. Deux ou trois, elle ne savait pas. L’homme tapait dans sa chatte, faisant aller sa main de haut en bas, le plus vite possible.
Valerie poussa un soupir, puis, ne pouvant se retenir, se mit à haleter. Le soldat s’arrêta brusquement, enleva ses doigts, prit à nouveau un peu de savon dans sa main, puis remit cette dernière en place. Valerie sentit les doigts parcourirent sa fente, puis glisser doucement en direction de son anus. Elle regarda le soldat en faisant non de la tête, ce dernier lui fit un petit sourire, et elle sentit un doigt plein de savon et d’eau chaude glisser lentement dans son cul, rejoint par un second doigt. La sodomie n’était pas vraiment quelque chose qu’elle appréciait, déjà culturellement, elle condamnait cela, et puis elle n’y avait trouvé aucun plaisir quand son mari avait essayé avec elle. Il n’avait du coup jamais retenté.
Les doigts du soldat allaient et venaient dans ses fesses. Il savonnait, et rinçait. Et il lui doigtait le cul en même temps. Deux doigts, bien fermes et rapides. Il les agita, les rinça, les agita encore, les rinça, puis les agita une dernière fois, et sortit sa main du bidet pour mettre ses deux doigts dans sa bouche. Il sembla satisfait.
Il fit signe à Valerie de se lever et de finir de se préparer. Elle se leva, attrappa la serviette, finit de se sécher, et attrappa les vêtements laissés à son intention. Il sagissait d’une grande blouse orange, qui tombait jusqu’aux chevilles. Elle n’avait pas de sous vêtement. Elle remarqua aussi qu’il était impossible de fermer la blouse, les boutons avaient été retirés. Elle la porta donc ainsi, avec les seins et la chatte apparents. Le soldat prit une brosse, et la coiffa, un peu séchement, elle avait beaucoup de noeufs et il ne se montra pas tendre. Puis, il rangea ses affaires, et fit signe à Valerie de le suivre.
Elle sortit de la salle de bain, et longea le couloir jusqu’à une autre porte, où se tenaient deux gardes en faction. Le soldat tapa à la porte, et ouvrit. Il fit signe à Valerie d’entrer, et ferma la porte derrière elle en partant.
La pièce était richement décorée, avec une grande terrasse, et une longue table sur laquelle se trouvaient de nombreux fruits, et diverses boissons. Le capitaine fit signe à Valerie de s’approcher, et lui demanda ce qu’elle souhaitait boire. Il la laissa manger un fruit, puis prit la parole.
– Ecoutez, je ne vais pas aller par quatre chemins. Je ne veux pas négocier avec votre gouvernement.
Valerie se sentit anéantie.
– Vous… Vous voulez quoi alors ?
La capitaine prit une datte et la mangea avant de répondre.
– Je préfère négocier avec votre famille.
Ah… Voilà… Il avait du se renseigner. La famille de Valerie avait beaucoup d’argent, surtout ses grands-parents. Ils pairaient sans doute plus facilement pour sa liberation que le gouvernement.
– J’aimerai enregister une vidéo… avec mes revendications…
Il montra une camera dans un coin, installée face à un tabouret. Il tendit une feuille à Valerie. Elle lut le début, mais le capitaine la pressa.
– Debout s’il vous plait, j’aimerai envoyer cette vidéo rapidement à votre famille. Vous lisez le message. Vous n’ajoutez pas un mot. Ah, et une dernière chose…
Valerie s’asseyait face à la camera. Deux soldats vinrent s’installer autour d’elle, le visage caché, avec des armes à la main.
– Oui une dernière chose… Si vous arrêtez de lire, si vous changez d’avis… Vous n’aurez plus d’autre chance d’être libérée, et vous finirez ici, dans la cellule que vous connaissez. Je suis bien compris ?
– Oui, fit Valerie…
Elle redevenait confiante. Elle savait que sa famille pourrait payer, si la somme n’était pas totalement déraisonnable. Elle n’avait pas eu le temps de tout lire. Le capitaine alluma la camera et fit signe à Valerie de parler.
– Bonjour à tous. Je suis en bonne santé. Nous sommes le 16 Juillet 2019. Mes conditions de détention sont bonnes actuellement, mais peuvent rapidement se déteriorer, si vous ne remplissez pas les conditions que je vais vous citer. Ils n’ont pas de revendication politique, et ne souhaitent pas d’argent…
Valerie, surprise, marqua une pause, puis continua de lire, découvrant avec stupéfaction les revendications du capitaine.
– … mais je veux une vidéo de ma fille Sonia se deshabillant….
Elle jeta un coup d’oeil au capitaine qui lui souriait à grandes dents. Sans s’arrêter, elle continua de lire.
-… et se masturbant la chatte pendant une heure face à une camera…
Elle fut parcourut par un frisson en lisant la suite.
-…son père doit être présent à coté d’elle pendant tout l’enregistrement, et lui pincer les seins regulierement… Puis… il se fera sucer par sa fille, jusqu’à ce qu’il jouisse…. Si vous envoyez cette vidéo avant le 20 juillet sur le serveur qui vous sera indiqué en bas d’écran, je serai libérée… Sinon, ma vie est menacée… Je vous aime…
Le capitaine arrêta la camera. Valerie éclata en sanglots, horrifiée par la demande qu’elle venait d’enregistrer. Tellement de choses se bousculaient dans sa tête. Mais elle pensait surtout à Sonia. Elle regarda le capitaine avec colère. Ce dernier était détendu et mangea à nouveau une datte.
– Et maintenant, si vous allions montrer votre beau corps à vos amis ?
A suivre
(Merci de laisser des commentaires ou des 1 si vous souhaitez une suite rapide à cette histoire et si elle vous plait)
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