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Le Graal….Touché.

Le Graal….Touché.



              Jusqu’à mes dix-huit ans, rien d’intéressant, quelques unes avaient osées poser une main sur ma braguette, très peu avaient déposé un timide baiser sur mon gland, une s’était couchée.

Et à dix-huit ans et six mois, j’ai touché le Graal, elle se prénommait Eloïse, elle avait trente-deux ans, s’était ma prof de français, une petite blonde d’un mètre cinquante cinq, sans talons, pour quarante kilos, elle était magnifique, toujours souriante.

En novembre, elle avait invité la classe, nous étions quinze jeunes hommes, à prendre un verre chez elle, afin de créer un plus grand esprit de groupe, cinq avaient répondu à l’invitation.
Blessé à une cheville j’avais eu le privilège de monter derrière elle sur sa moto, une Honda 450 Four, à l’arrêt ses pieds posaient à peine le sol, le reste de la troupe faisait le trajet en transports en commun, deux heures de route.
Arrivés dans son appartement, séparée de son mari, sans enfants, elle y vivait seule, nous avions eu le temps de  préparer, boissons, amuse bouche, etc, elle de prendre une douche, de se changer.
Elle vint me rejoindre dans le salon vêtue d’une combinaison noire fermée pas entièrement par une fermeture éclair, manifestement sans soutien gorge, les pieds nus, les ongles vernissés de blanc. Me servit un jus, elle deux whisky coca
Alors que nous étions dans la cuisine, elle les mains dans l’évier, j’osais la prendre par la taille, pas d’esquive de sa part me sentant encourager, plié en deux, j’osais un baiser sur sa joue, elle tourna son visage vers moi, me regarda dans les yeux un petit sourire aux lèvres, j’en déposais un autre sur ses lèvres, pas de rejet, un autre auquel elle répondit, puis le suivant nos bouches s’entrouvrirent, nos langues se découvrirent, s’enroulèrent l’une à l’autre, toujours en apnée, je la soulevais pour l’asseoir sur la table, une coup de sonnette nous fit reprendre notre souffle.

La soirée fut très agréable, ponctuée de rires, d’anecdotes et quand il ne resta que des miettes et que des bouteilles de jus et coca vides, celle de whisky pratiquement vide, vint l’heure du départ pour ceux venus en transport.
L’équilibre d’Eloïse était plus que précaire quand elle fit la bise aux copains, la porte refermée, je la pris dans les bras, elle m’indiqua la chambre et la déposais sur son lit, d’une petite voix j’entendis « reste ».

Après avoir remis de l’ordre dans le salon, je revins dans la chambre, je trouvais Eloïse se débattant avec une manche de sa combinaison qui ne voulait pas libérer son bras, je lui expliquais qu’il fallait descendre le zip de la fermeture, elle me répondit « trop compliqué, peu pas, fais le ».
Je descendis le zip, libéra un bras puis le second, découvris deux tétons, grands de plusieurs millimètres, posés là sur deux petits monticules, petite poitrine mais ravissante, je la soulevais d’une main pour glisser l’habit sous elle, elle avait une taille fine, des hanches minces, un petit toupet blond sur le mont de Vénus, une chatte rose au clito légèrement sorti de sa cachette, toute fine et lisse, des jambes finement musclées, des petits pieds, l’ensemble faisait qu’elle était divinement proportionné et un visage d’ange, yeux marrons en amande, nez fin, bouche fine et bien dessinée, elle était d’une grande beauté, je la laissait là et avec sa permission je pris une douche. Elle dormait les bras en croix quand je revins dans la chambre. Je m’étendis près d’elle nous recouvrant de la couette.

Je fus réveillé au petit matin par une douce caresse, j’ouvris les yeux et vis ma prof donnant consistance à mon membre qui disparaissait tout entier dans sa bouche mais alternant aussi avec sa langue qui courait sur toute la longueur de celui-ci ou agaçait le gland, parfois elle gobait les couilles, je savourais ce délicieux traitement.
Satisfaite de son œuvre, elle tourna la tête vers moi, de la salive avait coulé sur son menton, sa bouche toute humide d’avoir sucé, elle rampa jusqu’à mon visage « Bonjour Phil, merci pour hier soir et de n’avoir pas profité de la situation », m’embrassa, recula jusqu’à ma queue, s’y empala lentement.
Son bassin était d’une souplesse diabolique, telle une vahiné elle le faisait tourner dans tous les sens et quand elle le mit au repos de grands coups de reins prirent la relève Ce fut ainsi jusqu’à ce qu’une vague la submerge. Elle s’affala sur moi puis reprenant ses esprits me demanda si j’avais pris mon plaisir, je lui répondis tel un galant homme que mon plaisir avait été de lui en donner et de la voir prendre le sien, alors sa petite tête blonde descendit jusqu’à mon membre, elle n’eut pas de peine à lui redonner de la vigueur et me fit jouir dans sa bouche, elle avala le nectar sans en perdre une goute.

Il s’avéra au fil des semaines qu’elle adorait le sexe, toutes les positions, mais deux particulièrement.
Moi debout, je la portais face à moi, mes deux mains la soutenant par les fesses, je plaçais sa chatte au dessus da ma queue et l’empalais brusquement, il ne fallait pas longtemps pour qu’elle prenne son pied et ses yeux dans les miens elle en redemandait « j’adore, encore ».

Une autre version, toujours moi debout, mes mains sous ses fesses, les écartant, elle face au mur, ses pieds posés sur un petit meuble, ma bite pénétrait son fondement très lentement, laissant son trou du cul s’habituer au diamètre puis mon membre entier jusqu’aux couilles à l’intérieur, la danse sodomite commençait lentement, puis la cadence accélérait de plus en plus vite, la tête blonde se balançait de droite à gauche, Eloïse jouissait, elle était comme possédée en redemandait encore et encore, toujours plus fort. Je jouissais à l’intérieur de son cul, elle tournait la tête, les yeux hagards »c’était divin, démoniaque, jamais connu une pareille chose »et réclamait ma bouche, ma langue, mon sperme coulait de son petit trou et tombait au sol dans un son mat.

Nos ballades printanières, qu’elles soient à moto ou pédestres étaient souvent très coquines, il est arrivé que je la fasse jouir en pleine journée alors que étions assis sur un banc face à Notre Dame, elle sans culotte sous sa jupe, soit par défi ou pari perdu, idem pour la tenue en classe.

Elle n’était pas fan des mots qui nous excitaient Annie et moi, c’est donc avec parcimonie que je la traitait de salope, de pute.

Très discret, personnes ne sut quoi que ce soit, j’avais droit à aucun privilège en cours.

Et puis  en mai, son mari se manifesta de nouveau, il souhaitait reprendre une vie de couple, passa donc en mode reconquête. En juin, peu avant mon examen notre histoire prit fin.

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