LU SUR LE NET
J’ai l’âge de mes artères et cela fait bien longtemps que je trainouille sur ce site que je trouve particulièrement nase. Mais bon, comme je n’ai rien d’autre à faire de ma pauvre vie, je me complais dans des processus d’érotisation forcenée qui ne font que renforcer un peu plus mon désespoir grandissant et mon dégoût de la personne humaine.
1m80, je dépasse 80 kg pendant les période où je bouffe comme un goret, mais là je suis plus proche de 73 kg car je suis à la diète. Je ne pratique guère qu’un sport, le sport en chambre et encore beaucoup plus rarement que ce dont j’aimerais bien me vanter, tellement rarement d’ailleurs que je ne m’en souviens guère.
S’il y a bien quelque chose qui me choque sur ce site, ce sont tous ces gens qui nous les brisent avec de piteuses histoires soi-disant réelles mais tout aussi sinistres que leur propre désespérance, alors qu’ils feraient mieux de nous conter de beaux et jolis fantasmes complètement irréalisables qui auraient au moins la capacité de nous faire rêver en nous transportant vers des mondes enchanteurs.
Je préparais le concours d’entrée à l’ENA après avoir fait polytechnique, science Po, centrale, les mines et l’école nationale d’administration… Malheureusement, comme j’ai toujours eu une petite faiblesse en lecture, je devais prendre des cours de rattrapage avec les élèves d’un lycée technique d’une zup défavorisée. (Et pour me bizuter, ces petits coquins m’avaient fait bouffer ma cravate).
Y-avait donc une prof de français qui nous faisait cours plusieurs fois dans la semaine. C’était un cours horrible, car il y avait des tonnes de lettres qui se mettaient à faire des mots, puis avec les mots des phrases toutes entières, je vous dis pas !!! On n’y comprenait strictement rien, le vrai casse-tête chinois, à vous dégoûter d’aller à l’école !
Heureusement, Bernard posait pour nous les vraies questions :
– Euh m’dame, dis, tu nous les brises avec tes lettres ! Ton mari se tire des chèvres ou quoi ? T’as des bouchons dans la chaudière ?
Ce qui avait inévitablement l’effet de provoquer l’hilarité générale et des sentiments de liesse proches de l’exaltation. Suite à cela, il y en avait toujours quelques-uns qui se mettaient à divaguer :
– Tu t’étonnes qu’il n’en veuille plus ? T’as vu sa gueule de déterrée, son gros cul et ses loches molasses ?
– Ouais, j’ai déjà vu des boudins, mais des mochetés pareilles ça court pas les rues…
– Tu parles, celui qui la baise, il doit vomir dessus.
Et tout ça sans gêne, de vive voix et pour bien lui foutre les boules…
Le seul qui riait pas trop ou qui riait jaune c’était moi. Je passais toujours pour un trou du cul coincé auprès de ces sacrés blagueurs.
Et pourquoi je riais pas ? Non pas que j’eus pitié de cette matrone plutôt fadasse… et puis moi aussi elle me les brisait avec ses séances de lecture à la mord moi le nœud : « B, a , ba, baba. B, e, be, bebe ». J’y entravais que dalle à toute cette dérision. Non, moi je riais pas parce que quand ce n’était pas d’elle qu’ils se foutaient, c’était souvent de moi, avec ma gueule de tanche et ma vue basse. Donc inévitablement cette attitude chez eux m’évoquait de mauvais souvenirs.
Le fait est que la malicieuse n’était point d’une absolue beauté si l’on s’en réfère aux canons de Navarone. She was big, fat and ugly (je perfectionne mon anglais). Avec des énormes lorgnons qui avaient bien 100 ans d’âge, des gros cheveux graisseux et une paire de grosses tétasses qui pendaient dans ses chaussettes. Ceci dit, que croyez-vous donc que pense une tribu d’Aliens quand ils croisent des Top Models dans un couloir ? Ca leur donne envie de gerber, tout simplement, c’est pour ça qu’ils nous bouffent les couilles ces enflures ! Si ça se trouve ils rencontreraient ma prof de lecture qu’ils la trouveraient « moins pire que les autres ».
– Bip bip…. Celle là au moins elle est moins pire que les autres… bip bip… On va pas l’étriper… bip bip… On va l’ensemencer… bip bip… et la coller dans un zoo sur Mercure… bip bip
Du coup elle resterait la seule représentante de l’espèce humaine, et tous ses enfoirés de branleurs de la zup, il l’auraient bien profond dans le cul. Mais avec un peu de chance, les aliens, ils feraient peut-être pareil avec moi sauf que, pour ma part, je n’avais pas trop envie de me faire sodomiser par un gros alien vicieux, baveux et dégueulasse.
Bien sûr ça m’aurait jamais pris d’aller discuter avec la prof de peur d’amplifier encore les moqueries dont j’étais l’éternelle victime, moqueries qui n’auraient pas manqué de s’accentuer sur ma modeste personne. Néanmoins, cette femme, si ce n’est le fait que ce soit une sale conasse de prof, ne méritait nullement mon inimitié.
V’la t’y pas donc qu’un de ces soirs j’me r’trouve au bal d’un village où je traînais mes guêtres. Pilier de bar que j’étais, pendant que les autres s’ébrouaient sur la piste. Et qui je vois face à mes yeux, assise toute seule dans un coin sur une chaise, je vous le donne en mille : la prof !!! Putain, mais qu’est-ce qu’elle fait là ?
Euhh ! J’discute cinq minutes avec le barman, j’fais mine d’être très occupé, j’voudrais pas qu’elle croie non plus que je passe ma vie à siroter et que pour les cours c’est vraiment peine perdue avec un dégénéré de mon espèce…
Et puis, l’air de rien, nos regards se croisent incidemment « Oh, euh, c’est vous ». « Oh, que faites vous là ? ». Et donc je vais la rejoindre à sa table. « J’peux m’asseoir là ? « . « Mais faites-donc, cher ami ».
Comme ça au moins j’ai quelqu’un à qui parler et je vais pas passer la soirée tout seul comme un con comme je fais à mon habitude.
Bon, c’est vrai, ce n’était pas une beauté. Elle n’avait véritablement rien de bien attirant, tout du moins dans son apparence immédiate. En plus elle était mal fagotée, mal peignée et elle portait encore ses horribles lunettes. Mais un peu de compagnie ça obligeait pas non plus à draguer. C’est là que j’apprends que son mari l’a plaquée. Elle sanglote presque en me racontant tout ça.
– Après 10 ans de mariage, il m’a fichue à la porte, avec comme seul prétexte qu’il en avait marre de voir ma gueule.
Dur dur, il y en a qui se font pas chier ! Je lui aurais bien passé mon mouchoir mais il était vraiment trop dégueulasse car le matin même je l’avais utilisé pour m’astiquer.
– Euhh, vous voulez danser ? (pour lui changer les idées)
Le problème c’est que je danse à peu près aussi bien que le croisement d’une patate avec un fer à souder. Alors je lui monte copieusement sur les pieds et puis à la fin : bardada, j’m’écroule sur ses nichons et j’l’entraîne avec moi dans ma chute. Nous nous retrouvons tous les deux par terre, complètement estomaqués au milieu des autres qui continuent à danser. Et loin de m’en vouloir elle rigole, c’est la première fois que je la vois rire de la soirée…
Et puis cette proximité… V’la t’y pas que je me mets à bander… Elle est chaude, juste à côté, sa présence me fait bander… J’essaie de réprimer cette idée, si mes copains de classe me voyaient je serais encore la risée. Et puis elle doit bien avoir 15 ans de plus que moi. Mais rien à faire, je trique comme un malade. Faudrait pas qu’elle s’en aperçoive quand même, qu’est-ce qu’elle pourrait penser ?
Je l’aide à se relever et nous regagnons sagement nos places.
– Je suis vraiment désolé, je ne suis pas doué.
– C’est pas grave, c’était marrant, vous m’avez bien fait rigoler.
Et puis elle me fait un si grand sourire, elle semble si différente, presque transformée.
– Vous voulez que je vous apprenne à danser ?
– Euh… non… de toute façon je ne…
– On peut aller ailleurs si vous préférez. Je pense que sans tous ces gens vous vous sentirez plus à l’aise.
– Euh… oui
– Je vous invite chez moi, j’habite à deux pas…
Et nous voici partis chez elle, et moi de me dire « Flutte de flutte ! Comment je vais faire pour m’échapper ? ». Il faut dire que je n’ai aucune envie de danser, parce que ça me fait chier et que je ne me sens pas à l’aise dans mes gaules. Donc durant tout le trajet je me fais un sang d’encre.
– Allez-y, entrez ! Vous voulez boire quelque chose ?
Elle allume les lumières, branche la chaîne et nous voici assis sur le canapé à bavasser. J’essaie de la brancher sur un maximum de trucs en me disant « Elle va oublier ». Mais soudain, alors que je viens juste de finir mon verre, elle se lève :
– Allez, venez, c’est un slow, c’est parfait pour commencer.
Je n’ai pas trop le choix, elle repousse la table basse et m’attire sur le tapis.
– Tout d’abord, tenez-moi mieux que ça. Et vous pouvez vous approcher. Vous avez vu la distance où vous vous tenez. Vous devez faire corps avec votre partenaire sans pour autant trop la serrer… Une main là, allez-y je ne vais pas vous manger… Et une autre là, voilà comme ça… Maintenant, laissez-vous guider… Pour cette fois c’est moi qui pilote, il faut que vous appreniez à sentir la musique… Et ne soulevez pas trop les pieds, ils doivent glisser, ça vous évitera de marcher sur les miens…
Et voilà mon calvaire, une danse, deux danses, trois danses. C’est excessivement compliqué et je me sens toujours aussi à l’aise.
– Allez, on se repose un peu et on recommence après. Vous voyez, peu à peu, ça vient, vous faites des progrès…
Progrès, mon cul, quand va-t-elle enfin s’apercevoir que ma nullité est irrémédiable ?
– Un peu moins de lumière, comme ça on sera dans l’ambiance… Allez, gros faignant, finissez votre verre, on reprend… Et maintenant c’est vous le pilote, vous suivez la musique et vous me guidez.
Foutue merde !
Je la prends comme elle m’a montré… et… je ne sais pas… est-ce la lumière tamisée… Non le contact de son corps contre moi, je me mets immédiatement à bander méchamment. Et les sensations de frottements ne font encore qu’amplifier ! Allons, stop, je dois me concentrer sur cette danse, suivre la musique, faire attention à mes pieds, la tenir correctement et je suis perturbé par cette bandaison inappropriée…
Ohh ce disque est interminable… et… j’ai envie, très envie d’elle, ça devient peu à peu une obsession, mon sexe ne désarme pas ! Je la serre de plus près, d’encore plus près, ma main glisse un peu plus vers le bas.
– Oh, vous voyez que vous y arrivez. Je suis sure qu’avec un bon entraînement je pourrais faire de vous un bon danseur.
Nous regagnons à nouveau le canapé. Mais mon sexe fait mine de ne pas s’en apercevoir, il est toujours fier et dressé. Je suis dans un état second, cette femme je la trouve, sinon belle, en tout cas attirante, irrésistible… Cela me fait faire des folies comme par exemple poser une main sur sa cuisse et commencer à la caresser. Je pourrais bien me faire sermonner ou même prendre une claque mais… rien… ma main remonte lentement le long de cette grosse cuisse épaisse…
J’ai osé relever la tête, risquer un regard vers elle, elle me souriait. Alors ma bouche s’est approchée et nos langues se sont soudées. Et à ce moment là, point de laideur, elle était belle et appétissante, pleine de désirs et d’envies et je le sentais et ça m’excitait et j’avais salement envie d’elle tandis que ma main agile s’affairait entre ses cuisses.
Mais nous n’en restâmes bien sûr pas là. Tandis que nous embrassions elle prit l’initiative de libérer mon sexe qu’elle sentait énorme tout prêt d’elle et elle se mit à me branler comme une folle. Je lui rendis la pareille et me mis à chercher l’entrée de sa culotte. Elle était fort poilue, de très longs poils bouclés qui débordaient de partout, une toison large, abondante et touffue. Et moi, tandis qu’elle continuait de me branler, je la faisais languir en m’attardant au bord de sa chatte avant de repartir vers ses grosses cuisses ou vers d’autres contrées.
A la fin, elle n’en pouvait plus, elle lâcha ma queue, saisit cette main frivole et la porta d’elle même vers sa chatte poilue, l’invitant à la pénétrer. Elle dégoulinait d’envie, sa chatte était trempée d’un jus chaud et poisseux. Dans cette position, je la branlai quelques minutes, écoutant attentivement ses soupirs d’extase.
Puis elle décida de passer à la vitesse supérieure, m’aida à me déshabiller avant d’avaler mon sexe on ne peut plus dressé avec une réelle voracité. A la voir comme ça en cours, c’est vrai qu’on aurait eu du mal à croire qu’elle puisse être comme ça aussi cochonne.
Ce fut alors mon tour de la déshabiller… Ses seins étaient énormes, très lourds et tombants… et elle était horriblement poilue de partout, sa chatte ressemblait véritablement à une forêt vierge et de longs poils noirs émergeaient de sous ses aisselles. Mais curieusement, toutes ces particularités contribuaient à son charme et la rendait inexplicablement attirante… et j’avais surtout très envie de devenir l’explorateur de son corps.
J’ai donc plongé vers cette forêt vierge, y hasardant ma bouche goulue. Son odeur était délicieusement forte et entêtante, une odeur âpre et poivrée qui me donna immédiatement envie de la sucer comme un malade. Je plongeai ma langue dans son antre dégoulinant de mouille et je me mis à aspirer tout son jus avant de me consacrer entièrement à son gros clito turgescent. Elle se laissa faire pendant de longues minutes parvenant peu à peu juste au bord de la jouissance. Mais au dernier moment, elle se dégagea et vint se mettre en 69 sur moi, ses grosses cuisses autour de mon visage, sa chatte poilue sur ma bouche. Elle se pencha en avant et engloutit d’un seul coup ma bite.
Puis elle se fit plus vicieuse et je sentis son doigt explorer mon anus. Je lui rendis la pareille tout en continuant à la bouffer de façon frénétique… Nos doigts allaient et venaient désormais dans nos petits trous et de façon frénétiques, bientôt rejoints par nos langues. Nous nous bouffions le cul avec amour.
Un court passage entre ses gigantesques mamelles pour voir ma bite coulisser entre ses grosses tétasses. Mais il était temps de passer aux choses sérieuses. Elle me voulait en elle, elle voulait que je la défonce ce que je fis avec fébrilité tout en tournant les pages du Kama-sutra.
Sa chatte dégoulinait comme une fontaine et elle jouissait sans cesse à répétition et elle criait comme une folle, complètement déchaînée, complètement débridée jusqu’à ce que je me vide enfin en elle et que je la remplisse de toute ma semence. Enfin rassasiée, elle s’écroula enfin sur moi en m’écrasant de tout son poids. Nous restâmes ainsi de longues minutes, emboîtés l’un dans l’autre…
Impossible d’y échapper, je voulais également défoncer ses belles grosses fesses. Elle ne tarda pas à comprendre et se mit d’elle même à quatre pattes pour que je la lèche et que je la doigte encore un long moment…
– Dans la table de nuit, il y a du lubrifiant, vas-y prend-le…
Du lubrifiant mais aussi un god énorme. Hummm la cochonne, elle ne devait pas s’ennuyer seule dans sa chambrette…
Je l’ai bien lubrifiée avant de m’enfoncer lentement en elle, dans son énorme fessier… Son cul était confortable et elle décida d’imprimer elle-même son propre rythme. Bientôt, tout en continuant de la sodomiser je décidai de lui remplir également la chatte pour la prendre en sandwich…
Elle devint bientôt comme une chienne, me demandant d’y aller plus à fond, plus loin, plus fort. Elle ne pouvait plus se contenir. Elle tournait vers moi un visage ravagé aux yeux vitreux, cette garce là voulait jouir. J’accélérai les mouvements jusqu’à ce qu’elle éclate dans des spasmes incontrôlés, encore et encore, ça ne semblait pouvoir s’arrêter, elle continuait de jouir…
Au dernier moment je me retirai avant d’arroser copieusement son gros cul !
Par la suite, nous avons dormi dans les bras l’un de l’autre, tendrement enlacés… Et le matin nous avons recommencé.
– Je crois qu’il faudra que nous restions discrets et faire comme si rien ne s’était passé, me dit-elle lorsque nous nous séparâmes.
Néanmoins elle consentit à me promettre que nous pourrions nous revoir… et à nouveau danser.
Le lendemain, lorsque je l’ai vue passer dans la cour pour rejoindre le cours, je n’ai pas pu résister. Oubliant toutes les consignes de prudence et faisant fi de ce que nous avions décidé, je me suis approché d’elle et l’ai enlacée pour un baiser d’amoureux passionnés.
Derrière mon dos je sentais planer le regard des autres, incrédules et méprisants… J’allais en prendre pour mon grade, ça c’est certain, mais cela ne m’empêchera jamais de l’embrasser.
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