Mon histoire se situe à l’époque mycénienne, aux environs de la guerre de Troie, soit environ 1200
avant JCH.
Les protagonistes sont :
Éction roi du royaume de Thrace orientale
Xander son fils
Andromaque sa fille
Bénoclès et Cliadès des amis et garde corps du fils
Paleste sa mère
Zidantas un chamane mystique
Achille, Héros grec
Le cadre :
Un petit royaume de Thrace orientale, peu avant la guerre de Troie. Sur le territoire on note de
fréquentes incursions de Mycéniens qui préparent l’envahissement de la Dardanie et par là de Troie.
Dans la douce moiteur de l’automne, une troupe de chasseurs sont à la recherche d’un sanglier qui
fait de nombreux ravages. Entourés d’une meute de molosses, plus dressés pour la guerre que pour
la chasse, mais on fait avec ce que l’on peut.
– Ici, je vois des traces dit Cliades en se penchant sur l’encolure de son destrier.
– On le traque, elles sont toutes fraîches. Cliadès, tu vas à droite et Bénoclès à ma gauche,
moi je vais tout droit.
Ainsi fut fait et chacun descendant du cheval avec un épieu à la main s’avance vers la bauge du
sanglier. Brusquement la bête surgit et fonce sur Xander et malgré l’épieu enfoncé dans le gras du
cou, il réussit à l’encorner dans la cuisse.
Ses camarades venant à la rescousse constatent les dégâts. Ils fabriquent un charroi tant pour le
sanglier que pour le prince qui perd du sang. Cliadès a déchiré sa chemise et fait un pansement pour
essayer d’enrayer la blessure.
Arrivé au château, le roi fait quérir le yatros [médecin en grec ancien] pour soigner son fils unique,
Il refait le pansement et met des herbes qu’il connaît pour arrêter l’infection.
Quelques jours plus tard, la jambe commence à noircir et des purulences apparaissent. Le fils perd
connaissance. Le roi désespéré, faisant fi de la dispute qu’il a avec le chamane et le fait mander
pour soigner son fils.
Rentrant dans le mégaron, le chamane dit:
– Je peux sauver peut-être ton fils, si il n’est pas trop tard. Mais tu me devras un service, il sera
un an tout à fait à mon service.
– Je n’ai pas les moyens de m’opposer à ta demande. Tu as ma parole.
Là dessus, le Chamane s’approche de la couche du blessé, défait le pansement et constate que le mal
est déjà bien avancé.
– Je pense qu’on pourra le sauver je vais mettre des asticots qui draineront le pus et je
reviendrais dans une semaine pour voir l’état.
– Tu n’y penses pas, un fils royal.
– Si tu veux que ton fils meure, je laisse en l’état, mais tu ne te plaindra pas.
– Fais supplie la reine. C’est mon fils unique.
Une semaine après, le jeune prince a donné le tour et sa jambe semble sauvée, il est sorti du c***
très affaibli. Le chamane découvre la plaie géante et avec une pince en bois sort un à un d’énormes asticots qui
se sont gavés du pu de la blessure.
– Je vais en remettre une couche pour finir avec cette infection.
– Il faudra le faire beaucoup boire. Du jus de caroubier de préférence.
Mais malgré sa sortie de c***, l’état général de l’adolescent ne s’améliore pas, son moral baisse
considérablement. À la visite suivante du chamane, après les soins, mettant du miel pour finir de
cautériser la plaie, recousant les bords de la plaie, constate l’état psychique du malade qui va à la
dérive.
– Ce pauvre garçon est en train de se diriger vers la route sombre. Il faudrait un choc amoureux pour qu’il reprenne goût à la vie
– Voila, j’ai fait ce que je pouvais pour sa jambe, mais l’âme, c’est pas mon domaine, dit-il en prenant ses affaires. Je viendrais le chercher dans une année.
À tour de rôle, la mère et la fille se relayent au chevet du malade.
Rencontre avec Achille et ses mirlitons.
Traversant la forêt de chênes, Benoclès vit une troupe de cavaliers habillés de noir qui s’approchait.
– Bonjour Messieurs que me vaut le plaisir de votre visite.
A ce moment là, un guerrier gigantesque s’approcha avec un bon sourire.
– Salut, peux tu me dire si le mégaron du roi est encore éloigné. Je suis le fils du roi de Thessalie.
– Le célèbre Achille ?
– Oui, c’est bien cela.
– En suivant ce sentier, vous y serez dans la soirée.
– Merci, bonne journée.
Dans le mégaron, quelques temps plus tard.
– Bonjour Roi Éction, j’ai une requête de la part de mon père. Serait-il possible que vous nous fabriquiez 10 à 15 galères pour passer l’Hellespont.
– Quel support peux-tu m’apporter ? J’ai juste un mauvais forgeron.
– Nous te prêterons notre royal forgeron.
– Et quand désires-tu avoir les bateaux et combien ?
– Selon Agamemnon ce sera pour le printemps prochain.
– Cela vous coûtera 2 livres d’étain.
– Marché conclu.
Le soir, dans un délire violent, le prince Xander enchaîne cauchemars sur cauchemars. Sa mère en
sait plus à quel saint se vouer. (même si ils n’existaient pas à cette époque, on peut remplacer les
saints par les Héros dont la fin de l’ère approche. )
Discrètement, elle se couche dans la couche de son fils et le prend dans ses bras en le berçant
doucement. Elle sent contre son ventre un sexe très dur qui bat au grès des cauchemars.
Le chamane n’a-t-il pas dit qu’il lui faut un choc amoureux pense-t-elle en saisissant cette tige
d’airain. Ection a un peu oublié le terme érection, ce serait le moment de profiter de la situation,
surtout qu’Oedipe ne viendra que beaucoup de siècles plus tard.
Elle se couche sur le dos et prend son fils sur le ventre en écartant les jambes. Ni une ni deux,
toujours dans ses cauchemars qui se transforment en rêve, Xander pénètre violemment cette antre
accueillant , il sent sous lui cette poitrine généreuse qui l’a nourri étant nourrisson. Lentement sous
l’effet du plaisir, il s’éloigne du Styx de ses eaux noires d’où nuls ne revient normalement.
Brutalement, il décharge le trop plein de ses couilles dans la fente maternelle qui pousse un grand
cri de jouissance. Lentement, son sceptre perd de sa puissance et finit par dégorger de la fente
maternelle.
Doucement la mère se retire de la couche de son fils avec la sensation du devoir accompli.
Le lendemain, sa soeur Andromaque vient visiter son frère et est surprise de le voir tout souriant,
avec la vie qui revient.
– Tu m’as l’air d’aller mieux ce matin.
– Je ne sais ce qui s’est passé cette nuit, j’étais au bord du Styx et un ange ou une déesse est
venue et m’a pris par la main pour m’en faire sortir, mais j’ai l’impression que ce fut sexuel, car ma
couche sentait fortement la femme.
– Déjeune bien et reprends des forces mon frère.
Elle s’en va à la cour et annonce la bonne nouvelle que Xander semble avoir quitté le chemin
sombre qui mène aux enfers.
Les semaines passent et l’état de Xander a des hauts et des bas. Sa mère est un peu au désespoir, vu
que son ventre s’arrondit de plus en plus. Elle prend Andromaque à part.
– Tu sais pourquoi Xander est sorti des rives noires du Styx ?
– Non, je ne vois pas.
– Tu as pourtant l’explication sous les yeux en désignant son ventre arrondi, je me suis
dévouée pour le faire sortir de l’enfer et j’ai du composer avec le roi. Ne te dévouerais-tu pas pour le
sortir définitivement d’affaire ?
– Mais c’est mon frère !
– Oui, mais c’est un excellent amant. Je n’ai jamais joui aussi fort de ma vie.
Le soir venu, Andromaque va dans la tente avec le souper du malade. Doucement elle lui caresse le
front.
– Pourquoi ton état ne s’améliore pas ?
– J’ai fait un rêve qui ne s’est pas renouvelé. Je broie du noir en espérant que à nouveau je vais
entrevoir les bords de l’Olympe.
– Je comprends et j’ai vu les résultats de ton rêve !
– Comment cela ?
– Tu n’as pas vu la taille de mère, elle est enceinte et elle m’a confier que c’est de toi, c’est ton
cadeau de l’enfer.
– Je vais être père et frère, c’est incroyable. Mais cela ne résout pas mon problème.
– Détends toi mon frère, dit Andromaque en lui caressant la poitrine.
Elle se met à chantonner un complainte pour endormir les enfants.
Doucement la fatigue fait son effet et Xander s’allonge sur le dos et la main curieuse de sa soeur se
glisse sous la couverture à la recherche de son épée de chair. Elle est stupéfaite pas la taille, vu que
jusqu’à présent, elle ne l’avait entrevu qu’au repos. Elle le caresse doucement et cela prend de plus en
plus de volume.
Elle ne voit qu’une chose à faire, profiter de la situation pour calmer ses ardeurs,
mais contrairement à sa mère, étant Andromaque, elle grimpe sur son frère, lui saisit cette tige de
chair bouillante et la dirige vers sa fente. Elle s’assoit dessus et profite de la pénétration lente de son
frère, perdu dans ses rêves. Elle monte et descend sur ce mat de Cocagne elle caracole sur ce
merveilleux étalon et sent la pression qui monte et suppose que son frère est sur le point d’éclater.
Elle ne veut pas avoir d’enfant pour le moment, elle le ressort de sa fente accueillante.
Xander pousse un rugissement de désappointement. Que faire ? La turlute Houtou n’ayant pas
encore été inventée, elle est obligée de faire preuve d’initiative et elle embouche cette mantule au
bord de l’explosion dans sa bouche et commence à tailler une pipe historique. (le tabac d’Amérique
et le calumet de la paix n’ont pas été encore inventé et l’on voit qu’à cette époque, il avait l’esprit
d’invention) De gros bouillons de crème de couilles envahit la bouche Andromaque qui déglutit ce
cadeau de son frère.
– Est-ce que mon frère se sent mieux, maintenant que j’ai purgé ses roustons ?
– Andromaque, c’était merveilleux, on va recommencer.
– Taratata petit coquin, si c’était bon pour toi, moi, je suis encore sur ma faim et ton machin, il est hors service.
– Ma chère soeur, je vais utiliser quelque chose que m’ont montré les filles de Lesbos. (avant le krach financier grec) Viens sur moi place tes jambes de part et d’autre de mes oreilles et tu t’accroupis comme pour pisser ou déféquer.
Andromaque suit à la lettre les instructions et présente sa moule devant le visage de son frère en se demandant ce qu’il va faire, jusqu’au moment où elle sent une langue qui lui fouille le bas ventre à la
recherche de sa petite queue qu’elle a extraordinairement développée pour une fille.
Son frère lui rend le même service et lui suce sa petite bite, mais là, rien ne sort, si ce n’est plus bas,
un flot tumultueux inonde le bas du visage de Xander qui finalement promène sa langue au milieu
de ce miellat.
– Soeurette, tu m’avais caché que tu avais de si bonnes choses à déguster.
– Continue sur mon bouton, je ne suis pas encore venue, lui répond-elle en lui secouant la bite
qui commence à reprendre forme.
A ce moment-là, la porte de la chambre s’entrouvre pour laisser passer la reine mère avec son ventre
proéminent.
– Je vois que mes enfants jouent bien.
– Mère, j’aimerai savoir si ton miellat est aussi bon que celui d’Andromaque.
La reine écarte un peu le bas de sa robe et elle vient se placer sur son fils en lui présentant sa moule
qui est beaucoup plus développée, mais avec un plus petit bouton. Consciencieusement Xander promène sa langue sur les grandes lèvres et provoque de ce fait une humidité savoureuse à goûter.
– Mère ton miellat est plus fort que celui d’Andromaque qui s’escrime toujours sur la gaule de son frère dans l’espoir d’un orgasme qui tarde un peu à venir.
– Vous ne voulez pas échanger les positions ?
– Oui, répondent-elles et elles entament une rocade avec la mère qui vient s’emboucher sur
cette belle bite qui vibre comme il faut.
Xander retrouve les sensations qu’il avait connues lors de son retour du Styx. C’était donc sa mère
l’ange gardien qui l’a fait revenir parmi les vivants. Il ne peut se retenir et pousse un grand coup qui
inonde la grotte maternelle.
Achille contrôle l’avancement de sa commande.
Les frimas de l’automne ont envahi la Thrace orientale, mais le chantier naval a bien avancé. Les
haches en bronze ont débité de nombreux mélèzes qui ont été tractés par les chevaux royaux
jusqu’au bord de l’Hellespont et là, ils sont débités et assemblés pour faire d’énormes radeaux, avec
un mat ancrés au centre, les champs d’orties ont été dévastés par les esclaves pour faire les cordes
ainsi que les champs de chanvre du chamane.
– Je vois que la construction a bien avancé, dit le puissant Achille qui est accompagné d’une vingtaine de cavaliers bardés de bronze.
– Oui, mais ce serait mieux si on avait un peu de bronze pour fixer les raidisseurs.
– Joliades, cours au palais pour amener ce qu’ils veulent, si les épées et boucliers sont
importants, il est encore plus important de traverser en toutes sécurité.
Achille se rend au mégaron d’Éction en chemin, il rencontre Xander :
– On m’a dit que tu avais eu un grave accident de chasse
– oui, j’ai failli y rester.
– On m’a dit que vous avez un très grand guérisseur ?
– Oui, il m’a sauvé, je rentre à la prochaine lune à son service pour un an
– J’aimerai le prendre avec nous, nous avons besoin d’un bon guérisseur
– Il faut voir avec lui, je ne serais que son serviteur
Arrivé au palais d’ Éction, Achille renouvelle sa demande pour prendre le chamane et son fils comme guérisseurs.
– Le Chamane sans problème, il sera un peut moins fourré dans les jupes de ma femme, mais mon fils est pour le moment unique, il ne faut pas l’engager dans des combats désespérés.
– D’après ce que j’ai compris, il sera l’apprenti du chamane pendant ce temps là. Donc il l’assistera dans le soin des blessés. Je compte faire la traversée après la fête d’Apollon, je les prendrai donc deux et je te promets de prendre un soin particulier d’eux.
Pendant ce temps là, Patrocle le fidèle compagnon d’Achille visitent le Chamane Zidantas. Il rentre dans une masure sombre, remplie de différents pots amphores, peaux de serpents.
– Salut Zidantas ! Comment vont tes poules ?
– Salut effronté, en te voyant, elles sont parties se cacher, elles ont eu peur que ton Priape ne se suffise pas d’Achille. Bonjour Xander ! Que me vaut votre visite ?
– Achille vient regarder l’avancement de sa commande et par la même occasion envisage de te prendre comme guérisseur.
– Oh oh Cela va précipité ta venue à mon service dit-il à Xander, il faut que je voie avec le roi.
Il faut aussi que ta mère vienne avant notre départ pour préparer les sortilèges d’accouchements.
– Dis moi Patrocle, c’est vrai ce qui se dit, « Achille a une toute petite biloute »
– Oui, mais je ne m’en plains pas, cela fait moins mal quand il a envie de me monter. Il ne prend pas souvent de la graisse de cerf pour préparer.
– Bon. On retourne au palais, il faut que je mette au point deux ou trois choses.
Chemin faisant, Zidantas s’arrête devant une plante ou une fleur et explique à Xander le rôle
et l’utilité de chaque et il les glisse dans sa besace.
Arrivés au palais, Le souper est prêt dans le grand mégaron et Zidantas d’entrée apostrophe le roi :
– Salut toi roi Éction, que le Dieu de la fortune te bénisse. J’ai quelques demandes à formuler,
– il faudrait que Xander vienne à mon service plus tôt, il a beaucoup à apprendre et bien avant mon départ, il faut que je fasse les sortilège de l’accouchement à la reine. Que nous sachions si c’est une fille ou un garçon. Je proposerai, si ta grandeur est d’accord, de commencer après demain.
– D’accord, venez vous asseoir pour déguster ce magnifique daim que Xander a chassé ce matin avec Bénocles.
Le repas est délicieux et tout le monde se prépare à la nuit. Au solstice, on ne tarde pas trop en soirée.
– Achille mon hôte, qui veux-tu pour réchauffer ta couche, ma femme, mais elle est enceinte ou ma fille qui est une sacré bougresse. Tu pourrais l’essayer pour voir si elle se tient bien et en faire ton épouse.
– Normalement, mon bon Patrocle me tient au chaud, Mais je ne saurai refuser ton offre généreuse, d’autant qu’Andromaque me plaît beaucoup avec son air pas trop efféminé.
– Je t’en prie.
– Andromaque, tu satisferas notre hôte dans le moindre de ses désirs.
– Oui père.
Allongés sur une belle peau d’ourse, Andromaque se laisse conter fleurette, mais finalement décide de ne pas trop traîné, elle enlève l’armure et le reste d’Achille et se retrouve avec une petite biloute dans la main et elle commence à la flatter gentiment.
– oh comme elle est mignonne cette petite chose.
– Ne te moque pas.
– Je ne me moque pas, je vais bien m’en occuper comme m’a appris papa et tu verras elle va bien grandir.
Là-dessus elle embouche cette petite virgule qui au miracle grandit, grandit.
– Tu vois quand on la traite gentiment elle prend de l’importance.
– T’occupe et continue le traitement.
– Attends, je vais dans la réserve de papa chercher de la graisse de cerf (jeleni ludj) parce que je pense que tu ne veux pas te perdre dans ma forêt.
– Vas, mais je pense que de partout, je vais assiégé ta citadelle.
De retour avec le précieux onguent, Andromaque :
– Là, si tu peux bien me préparer la pastille, je te réserverai encore d’autres surprises.
– Si tu veux, cela commence à bien me plaire.
Et gentiment, il lui oint l’oeillet de Hades et prépare à faire une pénétration.
– Tu es sûr que ta biloute est assez préparée. Il ne faut pas que j’y remettre un peu de câlin?
– Oui, c’est bon quand tu me câlines, dit-il et il présente son dard pas encore avec une dureté Brinel suffisante,
Elle le reprend en bouche en tirant sur le prépuce pour bien dégagé le gland qu’elle s’amuse à titiller tout en lui caressant la corolle de son trou du cul. Du coup, étant grec. Cela lui fait un effet titanesque et sa bite, on ne peut plus parler de biloute, est prête pour investir la place en un tour de main, il place Andromaque à 4 pattes devant lui et l’embroche sans façon.
– Ouf, c’est bon, tu es bien, maintenant, il te faut un peu mener bataille et il serait bon que ton glaive charcute un peu mon fondement.
A ce moment là, discrètement Patrocle entre dans la chambre et se place derrière Achille, sexe tendu
impressionnant et vlan à sec il perce la pastille d’Achille qui pousse un Han, de bûcheron,
Oh! mon salaud, tu n’y vas pas de main morte aujourd’hui. Ton massage de mon cul va me faire partir.
Et sans attendre longtemps, il ensemence le jardin secret d’Andromaque.
– Ah putain que cela fait du bien après cette longue chevauchée. Je pense que la petite serait contente si tu t’occupais de son entrée principale. Attends, je vais te nettoyer un peu ton ustensile et sans attendre, il se retourne et embouche son ami qui présentait des traces de frein non négligeable.
– Voila, ton glaive est prêt pour la bataille
– Je peux aussi y goutter, demande cette coquine d’Andromaque,
– Mai oui et pendant ce temps là, je vais m’abreuver à la source d’Éleusis. Dit-il en écartant les cuisses d’Andromaque et en avançant une lippe curieuse de son sanctuaire bien mouillé du reste.
– Hum quel délice ce petit con bien assaisonné.
Il commence à lécher quand il tombe sur une petite pine juste devant son nez.
– Ouah toi aussi tu as une petite biloute, tu penses que je vais réussir à la faire grossir comme tu l’as fait pour la mienne ?
– Essaye toujours, cela me mange pas de foin.
– Tu sens quand je la caresse avec la langue ?
– Oui, c’est très bon, encore.
Patrocle pendant se temps là s’intéresse aux nichons de la belle et est surpris de constater un manque de poitrine si ce n’est d’énormes tétons qui ne demandent qu’à être sucés.
– Tu vois pourquoi je suis bonne au tir à l’arc, J’ai le profil pour, mais j’ai aussi ce qu’il faut pour téter pour bien préparer le réceptacle quand tu viendras ensemencer mon conin.
– Tu veux que je te mette en cloque ?
– Tu peux essayer, mais demain, j’ai ma lune, cela m’étonnerait que cela donne quelque chose.
– Ah bon alors je peux y aller sans me retirer.
– Oui, tu peux déverser ton eau bénite dans mon bathysphère.
Délaissant la poitrine, il se redresse, prépare l’instrument d’insémination naturelle pour faire une intromission dans cette matrice. Vlan, d’un puissant coup de rein, voila sa mantule qui s’enfonce Alphonse jusqu’aux couilles.
– Ouah ! C’est pas mal, on va voir si tu tiens autant que mon frère qui est très endurant.
– On va voir, si Achille ne vient pas promener son plumeau dans mes intestins, en principe je tiens bien la route.
Achille entendant ceci, qui ne tombe pas dans l’oreille d’un sourd qui a mis un casque, se place bien comme il faut derrière son ami Patrocle et Vlan au carré, il enfile son aiguillon dans le fion de Patrocle et avec cela commence à lui masser la prostate, ce qui a pour effet de le faire partir au grand Galop.
– Halte là crie Andromaque qui voit que si cela continue, elle va devoir se finir à la main.
Elle se désengage et bouscule la pyramide de corps qui étaient sur elle et Achille se retrouve
dessous, toujours emmanché jusqu’au trognon avec Patrocle par dessus qui a flamberge au vent.
– C’est bon dit-elle, maintenant, je vais vous montrer ce qui fera ma célébrité, la position Andromaque.
De ce fait, elle enjambe les deux corps imbriqués l’un dans l’autre et va s’empaler sur Patrocle.
– Comme cela, tu ne partiras peut-être pas trop vite, retiens toi que je puisse aussi en profiter.
– Mais tu es une femme, ton plaisir ne compte pas normalement.
– Au contraire, tu verras que c’est nettement meilleur quand c’est partagé.
Quelques Orgasmes plus tard, les 3 cons battants sont écrasés de fatigue en travers du lit endormis quand subitement Andromaque se réveille brusquement. :
– J’ai fais un vilain rêve. Patrocle tu seras tué par Hector car tu vas désobéir à ton roi et toi Achille, vous allez vous entre tués avec Hector, trahis par Agamemnon le fourbe.
– C’est des fadaises que tu nous racontes là !
– Je sais, tout le monde ne me croit pas, mais cela se réalise toujours.
– Bah ! Mourir sur le champ de bataille, c’est un honneur qui ouvre les champs Élysées. Mon rêve de mourir en héros.
Le lendemain, nos héros se lèvent un peu courbaturés par les excès de la nuit et ils reprennent le chemin de la Trace occidental pour rapporter au roi le résultat de la visite.
Deux jours plus tard, prenant la route qui mène à la « tanière » de Zidantas, Andromaque raconte son rêve à Xander.
– il faudra le dire à Zidantas, pour qu’il le traite.
– Tu as raison, d’autant qu’il m’a drôlement arrosé le Patrocle pendant qu’Achille l’enculait.
– Quoi, il se faisait enculer pendant qu’il baisait avec toi, c’est pas vrai.
– Oui oui, c’est même pas mal du tout, on reçoit les secousses à double et rapidement j’ai solutionné le problème de surcharge pondérale, je me suis mise dessus comme à mon habitude, c’était très bien.
– Soeurette tu me surprendras toujours. Voila on arrive.
– Alors les enfants, je vois que votre mère n’est pas venue comme je l’avais suggéré !
– Non, ce matin, quand on est parti, elle dormait encore. Je pense qu’Éction a pu placer le re pour avoir une érection car cela ronflait fort du coté de la chambre parentale.
– Bon Xander tu poses ton barda dans le coin et tu prépares ton coin pendant de je m’entretiens avec Andromaque.
– Raconte-moi Andromaque chérie, comment s’est passé cette nuit avec petite biloute.
– Bien, mais quand on le masse bien, finalement il arrive à obtenir quelque chose d’honorable, mais ces 2 grecs, ils se sont empapaoutés comme de vrais grecs. Mais après que Patrocle m’aie ensemencé, j’ai eu un rêve bizarre, les deux héros vont mourir cette année dans la guerre contre Troie.
– Je vais voir avec mes osselets si ton rêve est prémonitoire. Et sans attendre une réponse, il vas dans la tanière et prend ses osselets de poulet et pintade, les secoue violemment et maugréant des incantations et d’un coup les lâche.
– Eh oui, tu vois ils font comme une swastika, ce qui peut être interprété comme positif, ils ne retraverseront pas l’Hellespont. Mais quand ils vont mourir, on ne peut le savoir, cette guerre peut durer longtemps. Troya a de bonnes murailles et est très riche.
– Autre chose, si tu regardes ce groupe de 3 osselets, il semble indiquer que tu risques d’être enceinte, ce qui n’est pas bien d’un futur mourant proche. Je vais te donner un petit paquet d’herbe à consommer dans 3 jours si le sang lunaire ne vient pas, cela le déclenchera.
– Voila Xander tu t’es installé, tu peux dire au revoir à ta soeur, on ne va pas la revoir d’ici 3 semaines, on part en campagne pour la récolte tardive des simples. Je vais faire de toi aussi un guérisseur pour me succéder éventuellement, on verra si tu possèdes aussi le don de voyance, mais il faut que je renouvelle ma provision de champignons, de chanvre et de miel.
– Andromaque, pendant que j’y pense, dit à la reine si je ne la vois pas qu’il faudra faire beaucoup de tissus très simple avec du lin ou des orties battues pour soigner les blessures de cette guerre.
Les adieux à la reine
Le soir même, la reine, traînant son gros ventre, vient rendre visite à Zigantas et à son fils.
– Bonsoir mon amour de reine, la salue Zigantas.
– Bonsoir Zig. Alors j’ai appris que tu vas partir dans les montagne avec Xander. Même si personne le sait, n’oublie pas que c’est aussi ton fils et prend bien soin de lui.
– Oui, mais je vois que tu es enceinte et que je serai peut-être plus là quand tu arriveras à terme.
– Combien de temps comptes-tu t’absenter ?
– Environs un mois à un mois et demis, je serai rentré avant les grands froids.
– Puis-je savoir qui est l’heureux futur papa ?
– Tu ne devines pas, je pensais que tu avais l’art de la voyance.
– Oui, mais cela me parait un peu gros pour que ce soit vrai, déjà notre histoire est tirée par les cheveux, mais là, tu as fait très fort.
– C’est toi qui a bien dit que pour arracher des griffes de l’enfer, il fallait un choc amoureux, alors en bonne mère, je me suis sacrifiée.
– Bon alors, on va procéder au contrôle avec notre fils. Vas pisser sur ce bol rempli d’épis d’épeautre. Ce serait mieux avec du blé, mais dans nos montagnes, le blé ne pousse pas et il est trop cher ce qui viendrait d’Égypte.
Relevant ses robes, elle s’assied sur le bol et l’inonde d’un jet puissant de pisse.
– Pourquoi me demandes-tu de faire cela.
– C’est pour voir ce qui va venir et si tout se passe bien. Je t’enverrai un pigeon avec le résultat , car je vais le prendre avec moi. Maintenant, mets toi à plat sur la table que j’inspecte ton moineau.
– Devant Xander ?
– Bien évidement, parce que si c’est le prince héritier, le savoir le plus complet est indispensable. Il ne sera pas obligé de faire appel à un chamane quand je quitterai ce monde, je veux tout lui apprendre.
– Je t’aime.
– Vas, allonge-toi qu’on t’inspecte à deux. Surtout que je complète son instruction, car il faut qu’il améliore ses connaissances amoureuses.
Elle s’allonge sur la table et nos deux compères admirent cette magnifique moule. Zigantas,
d’un index désigne tout d’abord le clitoris qui n’est pas trop développé.
– Là, Xander, pour une bonne partie des femmes, se trouve le bouton du plaisir, normalement,
on peut commencer à le prendre avec la peau qui l’entoure et commencer à faire comme si tu
le traits, C’est très aimé des femmes. Ensuite, si tu es très amoureux, tu peux si elle a pris un bain de siège avant, mettre ta langue dessus et jouer avec, c’est encore meilleur pour la femme. Essaye donc, à ce que j’ai compris tu n’as pas pratiqué quand tu es revenu des enfers.
– Non, pas la première fois, mais après, soit avec ma soeur, soit avec Maman, je m’en suis
donné à coeur joie.
– Oh. le polisson, cela je ne l’avais pas vu dans les cendres. Bon alors c’est moi qui vais le faire, parce que cela fait longtemps que je ne lui ai pas apporté ce plaisir et cela ne gêne pas pour le bébé. En plus, suivant l’odeur, tu peux juger si tout se passe bien. Renifle quand même pour voir si le goût n’a pas changé depuis la dernière fois.
Xander approche de la moule maternelle et tout d’abord promène son nez un peu partout sur cette toison ou perlent encore quelques gouttes d’urine.
– Non, j’aime toujours cette odeur et elle n’a pas changé, juste un petit supplément dû à l’urine.
– Laisse moi aussi essayer.
Là, Zigantas, promène son long nez sur cette luxuriante fourrure et respire ces parfums capiteux.
– Tu as raison, d’après mes souvenirs, c’est bien toujours le même parfum, mais qu’en est-il du goût ?
Là-dessus, il tire sa langue et commence à d’abord sucer le clitoris qui se développe sous la caresse linguale.
– Chérie, je vois que tu es toujours bien réactive.
– T’inquiète et continue. Lui répond-elle entre deux spasmes.
– Il faut que je goûte l’ensemble pour voir si c’est tout en ordre.
– Fais donc, vieux vicieux.
– Non, c’est de l’art et de la science.
Et Zigantas promène sa langue sur les grandes lèvres, écarte un peu cette toison et montre à Xander :
– Tu vois cet orifice, c’est par là qu’elle pisse et plus bas, c’est là que tu as fourré ton pistil et que tu as fécondé ses étamines. Le goût a un peu changé à mon avis, un peu moins acide que d’habitude, mais c’est normal.
– Je peux aussi goûter ?
– Mais oui, ou il y a de la gène, il n’y a pas de plaisir. Répond Zigantas, anticipant des siècles de prose.
Xander avance sa langue et à son tour l’enfonce dans le vagin de la reine qui commence un peu à gémir avec tous ces attouchements pas très innocents.
– Maintenant, je vais te montrer comment il faut prendre une femme enceinte pour ne pas risquer de décrocher le guignol qui est dans le tiroir.
– Voila, je me mets sur le dos et elle grimpe sur toi et elle s’enfile sur ton manche.
– Ah ! C’est la position préférée d’Andromaque.
– Intéressant, à notre retour, il faudra aussi que je l’entreprenne avant de partir, notamment comment faire pour éviter de tomber enceinte.
– Maintenant, pour améliorer la chose, tu peux caresser la rondelle de ta mère, elle appréciera.
– Quelle rondelle ?
– Son trou du cul, et quand tu as bien caressé autour, tu mouilles ton doigt soit dans ta bouche soit en passant sur sa moule.
– Oui, je vais le faire.
– Oh ! C’est bon, j’avais un peu oublié comme c’était bon de te baiser, je sens que mon jus est entrain de venir. Xander mets moi le doigt dans le cul.
– Mais…
– Il n’y a pas de mais, n’oublie pas que tu es à mon service pendant une année.
– Bon. Si tu veux. Et il plante son doigt médian dans le cul de Zigantas qui part d’un énorme
spasme qui rempli la grotte maternelle de ce bon jus de couille.
– Maintenant, à ton tour de continuer le travail, jusqu’à ce que ta mère soit satisfaite.
– Xander un peu anxieux se couche sur le dos sur la table et sa mère lui grimpe dessus pour s’empaler sur ce vit jeune et vigoureux.
– Il y a pas photos entre une bite jeune et vigoureuse, bien dur et une bitte qui commence à
marquer son age. Oh c’est bon.
Zigantas à ces mots, plante un doigt profond dans l’anneau culier de Xander et commence à caresser la
bite de son fils à travers la paroi utérine.
– Ouah la sensation, s’écrie-t-il, c’est meilleur que tout ce que j’ai connu. Tu vois fiston, il te reste encore beaucoup à apprendre.
– C’est au tour de la reine de décoller et de planer dans le domaine des Dieux de l’Olympe, les deux dans un orgasme bien comme il faut termine cette joute amoureuse.
A la recherche des simples
Le lendemain, Zidantas et Xander se mettent en route pour l’arrière pays, le dos chargé d’un
porte charge pleins de différents pots. Après avoir marché 4 heures, ils arrivent dans un petit
village de 5 maisons et demande l’hospitalité pour manger la moindre. A ce moment là, le
chef du village vient et demande au chamane si il peut voir sa fille qui a des problèmes.
– Après avoir bien mangé, ils se dirigent vers le milieu du village, la plus belle maison et
entrent. Là dans un coin se serre une jeune fille, charmante.
– qu’est-ce que tu as ? Demande Zidantas.
– Je ne peux pas le dire.
– Zidantas se tourne vers le père et lui demande d’aller chercher un bol de lait frais et 2 tiges de caroubier.
Une fois le père sorti, Zidantas reprend :
– Et maintenant, tu peux me le dire.
– Oui, j’ai couché avec le fils du forgeron et mon père et son père ne peuvent pas se sentir.
– Ouille. Cela fait combien de temps ?
– Un mois et mon sang lunaire n’est plus venu. Mon père va me tuer si il apprend cela.
– Xander, Voila la première fois que tu vas apprendre comment résoudre ce problème. Fille,
dis à ton père que je vais revenir avant le soir avec la solution de ton problème.
– Les deux partent dans la forêt et cherchent une fleur bien particulière Ruta graveolens.
Après 10 minutes Zidantas s’arrête et dit :
– regarde bien cette fleur, elle a beaucoup de propriété, mais est assez dangereuse, il faut la
cueillir avec une serpette et la toucher avec des gants.
– C’est quoi des gants.
– C’est une deuxième peau qu’on met sur ses mains, ils sont fabriqués avec des boyaux de
lapins que l’on doit traiter spécialement, peut-être que cet hiver on en fabriquera.
Les voila de retour, ils demandent au chef un cruchon de bronze d’eau bouillante et pendant
que cela cuit, Zidantas avec son coutelas écrase 2 fleurs pour en faire sortir le jus, puis les
jette dans le cruchon.
– Demain matin, tu en prendras un plein bol, tu vas être un peu malade dans la journée, mais
ton problème sera résolu la nuit suivante, n’oublie pas de t’équiper comme pour les lunes
– Mais c’est pas tout, on est trop tard pour repartir, si vous pouviez nous héberger pour la nuit.
– Ici, on est un peu serrer, mais Ilmalda a perdu son mari, il y a 6 mois et sa maison est grande. A priori, elle vous accueillera volontiers.
– Les trois, le chef, Zidantas et Xander se dirigent vers la hutte pour la nuit avec un petit cortège d’enfants, tous contents de voir le chamane..
– Arrivé sur place, le chef entame les négociations pour que cette veuve puisse les héberger, mais il ne négocie pas trop, il impose plutôt.
– Cela joue, mais je manque de paillasse, si tu peux m’en fournir une.
– Xander, tu retourne et rentre avec cette paillasse.
– Pendant ce temps là, la veuve, prend sa fronde et va dans le sous bois et revient avec un lapin qu’elle a estourbi.
– Voila le souper, avec quelques topinambours pour accompagner. Dit-elle en allumant le foyer.
Xander revient avec une botte de paille fraîche sur son épaule et il commence à la disposer dans un recoin de la pièce.
– J’ai entendu que votre homme est mort il n’y a pas longtemps ? Que c’est il passé ?
– Il était parti vers le bois quand un ours l’a attaqué malgré sa hache. Les 2 sont morts et la peau de l’ours finit de sécher, elle me tiendra chaud cette hiver. Plus que mon mari.
– Une fois, le repas avalé, nos deux voyageurs s’étendent et s’endorment rapidement. Au milieu de la nuit Xander sent une présence à ses cotés surpris et effrayé il se lève près pour se défendre.
– Idiot, j’ai juste besoin d’un peu de chaleur, revient.
– Tu m’as fait peur, je dormais et je ne savais pas ce qui m’arrivait. C’est bon et il se recouche en tournant le dos à cette femme.
Mais elle ne l’entend pas de cette oreille et a bien envie de goûter à jeune sorcier. Elle passe son bras sous le bras de Xander et commence à caresser son ventre, ce qui ne le laisse pas de marbre. Il se retourne :
– Tu veux quoi ?
– Depuis que mon homme est mort, je n’ai pas souvent l’occasion d’un peu de douceur. Dit-elle en empoignant la bite bien dressé de Xander, Comme tu as de belles dispositions, j’aimerai bien en profiter.
– Bien pourquoi pas, mais j’aimerai goûter ton miela, mets toi à genoux sur moi et ta moule en face de ma bouche.
Là, lentement, il flaire cette femme qui vient s’offrir, l’odeur est forte mais pas désagréable. Doucement, il avance une langue sur le bouton du plaisir qui n’est presque pas visible, mais très réactif au passage de la langue.
– Oui, ça on ne me l’a jamais fait, c’est très bon, dit-elle en commençant un mouvement de balancier sur la langue qui la fouille, ce qui crée un vrai déluge.
– Mais tu pourrais quand même te tenir, ne pas me pisser dessus.
– Mais je ne pisse pas.
– Comment cela, mais c’est tout mouillé.
– C’est parce que c’est très bon.
Ces chuchotements finissent par réveiller Zidantas et qui éveille sa sexualité en pensant à tout le plaisir qu’on peut en tirer.
– Xander, c’est ce que l’on appelle une femme fontaine
Discrètement il commence à lui fouiller le creux des reins, avec une idée grecque derrière la tête.
– Mais je ne suis pas un homme, se rabroue la veuve, c’est de l’autre coté qu’il faut agir.
– Penses-tu, je connais mon affaire et tu n’auras pas à le regretter, on va y aller avec Xander les deux en même temps, tu te souviendras longtemps avec nostalgie de notre passage et peut-être sur le chemin du retour, on viendra pour ton plaisir.
Il récupère un peu de miela pour bien préparer l’oeillet en vue de son perçage, met un doigt, doucement, continue à bien masser et encore masser, met un deuxième doigt qu’il a plongé au préalable dans la fontaine des délices, puis le troisième et la veuve commence à apprécier ce traitement et se trémousse de plus en plus du cul. C’est bientôt bon pour y placer une bite.
– Xander, maintenant, il faut l’empaler par devant et moi je me chargerai de la porte de service.
Ainsi fut fait, Xander approche son dard en vue d’une moule bien baveuse qui ne demande
qu’à se faire mettre. D’un coup la veuve s’enfile jusqu’aux roustons et commence à pomper.
– Du calme chérie dit Zidantas j’aimerai aussi participer.
Il présente son phallus devant son anus.
– Doucement, cela va faire mal
– Un peu, au début, mais après, c’est très bon.dit-il en enfonçant son gland dans l’anneau culier.
– Oups, c’est gros et pas très plaisant.
– Attends un peu, il faut que tu t’habitues et que tes muscles se relâchent un peu.
– Lentement, Zidantas continue sa progression, doucement jusqu’à toucher le fond.
– Là j’y suis, ça va ?
– Oui, cela commence à aller, tu peux maintenant aussi bouger.
– A ce moment là, les deux en cadence commencent à limer.
– Jeune homme, tu n’es pas obligé de ressortir, je n’ai jamais eu d’enfants et c’est pas faute d’avoir essayer, je pense que je suis stérile et si jamais, ce serait un bonheur.
Le remue ménage continue et continue et au bout d’un moment, elle part dans une frénésie en se ramonant les deux trous simultanément.
– oh oui, c’est diantrement bon, encore encore plus vite, je viens mioulle-t-elle en inondant le pubis de Xander.
– Moi aussi, brâme-t-il en déversant à répétition d’énormes giclées de jus de couilles.
Zidantas qui lui est plus endurant continue à limer et quand Xander une fois son pensum fait se retire, il investit la place de devant et continue de limer comme un forcené. La veuve part dans un deuxième et un troisième orgasme quand enfin Zidantas libère aussi une belle quantité de jus fécondateur.
– Oh éh bien messieurs, je peux dire que je me souviendrais de votre passage. Repasser quand vous serez sur le chemin du retour
– Nous n’y manquerons pas. Dirent-il, mais maintenant, il nous faut dormir, la journée de demain sera longue, nous devons rejoindre la passe du trou percé avant que la nuit tombe.
– Reposez- vous bien, je vous préparerai un petit encas pour la marche et une outre d’oïnos.
– Bonne fin de nuit dirent-ils en retournant sur leurs couches.
On retrouve nos deux compères le lendemain, après avoir pris des nouvelles de la fille du chef qui leurs affirme que ce fut une dure nuit, mais que sa lune a commencé tôt ce matin, ils entament une longue marche, au pied d’un défilé montagneux,
– Voila où nous allons passer les 3 semaines qui vont suivre. Tu vois cette caverne à mi-hauteur, ce sera notre logement, mais on risque d’avoir une surprise, elle est prise normalement par une ourse qui souvent s’y réfugie avec son petit, mais on se connaît et on s’aime. Elle est très affectueuse, il faut qu’elle apprenne à te connaître, ainsi que son ourson que tu pourrais adopter.
– Ils continuent à grimper dans les éboulis quand tout à coup se dresse une énorme ourse un peu menaçante.
– assieds toi, murmure Zidantas, il faut que je l’apprivoise à nouveau.
– Alors ma chérie, tu ne reconnais plus ton Zidantas ? Dit-il avec un grand sourire convainquant.
Petit à petit, les grognements de défis se transforment en soupires et Zidantas monte jusqu’à elle et commence à la caresser gentiment et même les soupires se transforment en ronronnement comme si c’était une grosse chatte.
– Voila ma belle, il faut que je te présente mon fils.
– Xander, tu peux venir maintenant, elle m’a reconnu, elle ne te fera pas de mal, il faudra cependant qu’elle puisse s’habituer à toi, elle aime particulièrement quand on lui caresse gentiment la fourrure sous le coup. Viens !
– Xander, pas trop rassuré se rapproche de l’énorme bête et commence à lui caresser le cou et les mamelles. L’ourse à ce moment la tourne la tête vers lui et commence à lui lécher le visage.
– Ça y est, je crois qu’elle t’a adopté.
Lentement, le trio se dirige vers la caverne, mais l’ourse pousse un braiment d’avertissement.
Qu’est-ce qu’il y a ma belle, ah je vois, il y a ton fils ou fille qui est à l’intérieur, il serait bien qu’il ou elle vienne pour faire connaissance.
À ce moment là, une oursonne sort de la grotte et vient se réfugier dans les pattes de sa mère en regardant curieuse ces deux drôles de bipèdes.
– Des ourses sans poils, pense-t-elle, cela ne doit pas être commode en hiver, mais ils ont comme un drôle de peau flottante.
– Xander, à toi de faire sa connaissance et de te lier avec elle.
À ce moment là, Xander tire de sa besace quelques racines savoureuses et lui les tend, ce qu’elle accepte et doucement commence à lui caresser le cou, ce qui entraîne un ronronnement comme celui de sa mère.
– Voila, je pense que le problème de cohabitation est résolu. Je te raconterai plus tard, comment j’ai réussi à l’apprivoiser.
Les deux compères entrent dans la grotte qui est immense avec plusieurs couloirs qui
débouche sur des galeries et boyaux étroits.
– Dans le fond, il y a une pierre qui doit rester au froid sinon elle se transforme en liquide, elle a une odeur très forte, mais a plusieurs qualités. Il faudra qu’on en prenne si on va à la guerre pour calmer les ardeurs sexuelles des guerriers. On les mettra dans une petite amphore.
Dans une niche du fonds, inaccessible à un ourse, ils commencent à aménager leurs coucher, fait de branchage et de diverses peaux d’animaux. Le lendemain, commence la récolte des simples, Ambroisie, Sauge, bourse à pasteur le tout est mis sécher aussi hors de portée des ourses, dans un boyau avec un fort courant d’air chaud.
En fin de semaine, Zidantas emmène Xander dans une partie qu’il n’a pas encore visitée, il s’agit d’une source d’eau chaude naturelle. Des fois j’y amène mon ourse pour qu’elle puisse se laver, quand elle est en chaleur et qu’il n’y a pas d’ours mâle qui puisse la calmer. Alors je joue à l’ours mâle et je lui met le poing dans le vagin et c’est pour cela qu’elle m’aime bien, cela dure plus longtemps qu’avec un ours normal, elle prend vraiment bien son pied quand je lui caresse les ovaires.
– Après le bain, Zidantas lui raconte comment il a apprivoisé cette ourse, ce ne fut pas facile,
Il était dans la caverne quand elle est venue pour la première fois et elle a essayé de l’att****r, mais il s’est faufilé dans un boyau étroit et elle est restée coincée sans pouvoir l’att****r.
– Alors, j’ai fait le tour par un autre boyau bien décider de la tuer pour avoir sa fourrure et d’autres parties très intéressantes pour un chamane. Mais en arrivant derrière elle, toujours coincée, j’ai remarqué qu’elle émettait une odeur de femelle en chaleur. Par curiosité, je me suis dit que j’allais m’amuser un peu et j’ai commencé à lui caresser la chatte, qui n’est pas très différente de celle d’une femme, si ce n’est que c’est plus grand et tout d’un coup, j’ai mis tout mon bras dedans, ce fut comme pour une femme, une longue série de gémissements
d’orgasmes et de plaisir pour elle, moi par contre pas grand chose, si ce n’est qu’à la fin, n’y tenant plus, je l’ai aussi enfilée et me suis libéré dans elle, c’était pas mal.
– Ensuite, j’ai commencé à l’aider à ressortir et je n’avais plus l’idée de la tuer, mais je me posais la question comment elle allait prendre la chose.
– Tu ne vas pas me croire, mais quand j’ai réussi à la décoincer, elle m’a jeté un regard tellement doux que j’ai compris que j’avais atteint son coeur et courageusement je me suis approché et elle m’a léché le visage. Depuis régulièrement, je lui caresse les ovaires quand elle est chaude et elle m’adore.
– Je pense sérieusement prendre avec moi l’oursonne, mais je ne sais pas ce qu’il faut faire pour me l’attacher.
– joue avec et caresse la beaucoup. Quand on sortira, si elle commence à te suivre, c’est bon signe. Tu peux aussi essayer de la séduire avec des gâteries, exemple si on trouve des abeilles, on va prendre le miel, qui est un désinfectant puissant et également un bon remède contre les rhumes etc. On lui en donnera un peu. Tu sais, dans les peuplade du nord est, le miel se dit med, et les ours medvied. C’est pas pour rien.
– Tu en sais des choses, tu as été chez eux.
– Oui, c’est un de leurs chamane qui passait chez nous qui a découvert mes dons et je suis parti avec lui pour améliorer mes connaissances. Mais chez eux, les meilleures sont les femmes, j’en ai connu une qui a laissé un souvenir impérissable qui a failli me forcer à rester chez eux. Là-bas, ce qui commande, c’est la chamane, quand j’y suis allé, la chef s’appelait Libuse, elle était déjà bien de plus âgée que moi, mais je lui dois tout, yc la science amoureuse. J’y suis resté 5 ans, lorsqu’ elle a eu un accident et elle ne s’en est pas remise, elle en est morte, je n’avais plus de raisons de rester avec eux, surtout que la nouvelle
chamane ne m’avait pas à la bonne et je suis rentré.
Au bout de la deuxième semaine, l’oursonne commence à être très attachée à Xander, elle se
frotte souvent contre lui et Zidantas comprend qu’elle est amoureuse ou plutôt qu’elle est en
chaleur et qu’il faut agir et il prend Xander à part pour lui expliquer ce qu’il faut faire dans ce
cas là.
– Tu fais un peu comme avec une femme, tu lui caresses beaucoup les mamelles, puis tu
commences à lui caresser aussi le bas ventre, mais tu n’es pas obligé de lui lécher la moule.
Par contre quand c’est bien chaud, tu commences à mettre un doigt, puis un deuxième etc
comme tu le ferais pour un cul et la une fois qu’elle est bien chaude, tu mets carrément le
poing dedans et tu commences à ramoner jusqu’à ce qu’elle rende les armes.
– Tu crois que cela marcheras ?
Si tu n’essayes pas, tu n’y arriveras pas, c’est sur. Moi pendant ce temps là, je câlinerai maman ourse.
Le lendemain, c’est le dernier jour et après demain, les réserves de simples étant terminées, ils vont
rentrer au bercail, mais avant, il faut aller chercher le miel pour ne pas avoir de problème, c’est là
que les gants vont être utiles ainsi que tout un attirail pour ne pas être piqué. Zigandas a fait
fabriquer sur un métier à tisser un tissu très lâche où on voit à travers, mais où les abeilles ne
peuvent pas passer, il prend aussi un soufflet pour pouvoir enfumer les abeilles pour un peu les
endormir.
L’année a été bonne, il lui suffit de ne prendre que le tiers du miel pour arriver à ce qu’il veut avoir
pour réserve et il va dans une deuxième ruche sauvage pour prendre un cadeau pour ses ourses.
– Ce soir, c’est la fête, on verra si mon ourse sera triste quand sa progéniture partira avec nous
(si elle part, mais je pense qu’elle viendra)
Le lendemain matin, nos compères se mettent en route suivi de l’oursonne et au surprise, la mère les
accompagne aussi, mais Zidantas sait que ce ne sera pas très longtemps, mais comme le temps du
sevrage est terminé depuis un bon moment, il est temps que la fille dégage pour trouver un autre
horizon. Donc après pas mal d’heures, ils arrivent près du village et là les adieux se font et la mère
repart seule après avoir dissuadé sa progéniture de la suivre.
Là, ils voient une drôle de scène, au milieu du village, l’ensemble des villageois, un bonne dizaine
entourent de manière menaçante une femme que nos acolytes reconnaissent comme la veuve qui les
avaient bien accueilli.
– Oh ! Là braves gens que se passe-t-il ? Dit Zidantas pendant que Xander, plus pragmatique a
déjà sorti son épée.
– Cette femme est une sorcière, nous allons la brûler ! Dit un excité.
– Là vous allez avoir affaire à nous et je vais vous jeter un sort horrible si vous ne la relâcher
pas immédiatement.
L’air décidé de Xander avec son air martial décourage les volontés les plus aiguisées.
– Bon, mais prenez la avec vous, on a déjà saisi son logement. Dit l’excité.
– Bien pour ce soir, vous serez délogé, c’est moi qui vous le dit.
Les trois, accompagnés de l’oursonne, se dirigent vers la maison pour reprendre leurs
quartiers.
– Les salauds, ils m’ont tout pris. Dit-elle. Ce qui leur manquait c’était la maison.
– Attends, je vais faire le nécessaire.
Et Zidantas ressort et apostrophe la foule. Dans une heure, tout ce qui était dans cette maison sera
remis en place, sinon je ferai raser le village. Vous me connaissez, je suis l’oreille du roi.
Peu de temps après, un fouillis, s’accumule au centre de la maison.
– On va vous laisser la maison et le reste de ce que l’on ne prendra pas, mais en échange et
pour votre punition, on va vous prendre un cheval et un charroi pour transporter ce qu’on
désire garder.
Pendant la nuit, plusieurs fois, des ombres menaçantes se sont profilées pour essayer d’attaquer,
mais un grognement de l’ourse qui a déjà une belle taille les a dissuadés.
Le lendemain, le chef du village arrive avec une haridelle bien maigre et deux grands bois reliés par
des courroies.
– Voila c’est tout ce que je peux vous offrir, On en a un autre, mais il est en prêt d’un seigneur
du roi.
– C’est bon, je pense que cette haridelle fera bien son travail et peut-être si je suis dans un bon
jour, je vous permettrai de la récupérer. En attendant, donnez lui un sac d’avoine pour lui
redonner des forces.
Suite La traversée de l’Hellespont
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