Tout d’abord, excusez moi pour la qualité de mon texte, c’est ma première histoire.
Tout c’est déroulé, il y a maintenant 3 mois. Nous étions le 15 Avril quand j’ai reçu un MP Facebook, de la copine d’un vielle ami. dans ce message elle m’expliquait organisé un anniversaire surprise pour lui, et serait ravie que je lui fasse la surprise. Habitant la région parisienne et lui Lyon, il était évident qu’il fallait un minimum d’organisation. Elle m’avait prévenu que des lits étaient disponibles et m’avait prévenu de la présence de leurs parents respectifs.
Ayant un travail absorbant la majorité de mes weekends, j’était obligé de décliner mais devant son insistance j’acceptais de m’y rendre une semaine après l’anniversaire.
Le jour J, je prit un billet de train et me rendais sur Lyon. Arrivée à la gare je fit la connaissance de Cecile, petite ami de Tristan, qui sauta littéralement de joie en me voyant arrivé. On marcha jusqu’à sa voiture j’en profitais pour mieux la détailler. Cécile doit mesurer un bon mètre 65, ce qui doit trancher par rapport au 1m95 de Tristan, c’est une blonde de 25 ans, très joviale, avec des yeux verts, une petite poitrine et globalement un petit corps. La première pensée qui me vient fut de me demander comment une telle minuscule chose avait pu avoir des jumeaux tellement elle faisait juvénile.
Nous fîmes plus amples connaissance durant le trajet, elle et Tristan s’étaient rencontrés sur leur lieux de travail, ils étaient tout deux comptable, et cela avait été l’amour au premier coup d’œil, elle se plaint du désastre qu’avait eu son accouchement un an plus tôt sur sa silhouette, je la complimentait, et du coin de l’œil je la senti rougir. N’importe qu’elle femme de n’importe quel âge est définitivement frustrée de son corps …. Bref.
Arrivé au domicile, elle me fit attendre sur le pas de la porte et me demanda d’attendre cinq minutes avant de frapper. je m’exécutais. Puis vint le temps des retrouvailles, il faut dire que nous nous étions pas revu depuis 3 ou 4 ans, alors que nous avions passé notre enfance ensemble. Cecile resta en retrait la majorité de la journée, puis vers 18h, elle prit les jumeaux et les emmena chez ses parents, elle nous ordonna de continuer à discuter et nous annonça avoir programmé une soirée emplie de « larmes »
Elle revint une heure après et nous demanda de nous préparer, nous devions aller manger dans une pizzeria, et y retrouver d’autres amis.
Arrive au restaurant qu’elle ne fut pas ma surprise de constater que les Amis étaient en réalité les parents de Tristan, effectivement les larmes ont coulés des deux côtés, ces derniers avaient quitté la région 10 ans auparavant et demeuraient désormais sur Chambéry. Ils avaient voulu me faire la surprise ce qui était bien évidemment réussi.
J’étais littéralement hypnotisé par la mère de Tristan, Véronique. Il faut dire qu’elle l’avait eu très jeune, et qu’elle faisait aujourd’hui parti des très jeunes grand mère, elle venait de fêter ses 46 ans. Et on peut dire que la nature l’avait plus que gâté, d’origine latine, une brune au yeux verts, avec des mensurations de rêves, une poitrine généreuse mais encore très ferme, et un cul rebondi travaillé par des heures passé à la salle de sport.
D’un coup tous mes fantasmes d’adolescent remontaient à la surface.
Après le restaurant nous sommes rentrés à la maison tout les 5, ne buvant jamais d’alcool, j’ai prit le volant et constate que j’étais le seul en état convenable, Tristan et son père dormait littéralement tandis que Cécile et Véronique gloussaient à l’arrière du véhicule sans discontinué.
Arrivée à la maison, Tristan tenta de me tenir compagnie mais il a très vite abandonné, son père fidèle à son habitude était déjà parti se coucher restait que Cécile Véronique et moi.
Véronique dans un élan d’ivresse lança pour idée d’aller en boîte, ce qui eut pour effet d’achever Cécile qui rejoignit Tristan.
Je me retrouvait seul en tête à tête avec Véronique et j’étais plus que gêné mais absolument pas fatigué. J’avais du mal à détourner mon regarde de ses formes et elle semblait s’en amuser :
» – Bon et alors, ta vie à Paris ? Tu as une chérie au moins tu n’en as pas parlé ! Me dit elle
– Effectivement je préfère éviter le sujet, non je n’ai personne et la vraie rupture est récente, il y a 3 semaines et c’est encore fais est pour ça.
– La vraie rupture ? Elle semblait réellement concerné par mon mal être, et plus elle me regardait plus je ne pouvais pas arrêter de plonger mon regard sur ses seins magnifiques, Je lui expliquait avoir rompu et m’être remis avec désormais mon ex plus de fois que Ross et Rachel, elle ria à la référence. Et la elle me posa une question déconcertante.
– Et sexuellement alors, c’est la misère ? Je vois bien que tu reluques mes seins depuis tout à l’heure … Ça fait longtemps ??
Jamais je n’avais eu plus honte de ma vie ! J’avais du devenir tellement rouge, j’avais chaud au visage jusqu’en haut des oreilles …. Tellement qu’elle enchaîna :
– N’ai pas honte ! C’est toujours très flatteur de voir que je plait encore à mon âge ! Tu sais tes regards sont malgré tout plus discret que ce que tu avais à 15 ans ….
La ce fut le coup de Grace, je prit ma tête entre mes mains un rire nerveux m’échappa :
– Si il y a de quoi avoir honte ! Je ne savais pas que j’étais aussi peu discret étant jeune et aujourd’hui encore ! Pour répondre à ta question oui c’est la misère, car je ne suis pas en état à me remettre en couple, et malgré leurs grandes gueules générales les femmes ne sont pas plus que ça adeptes des plans fesses ! Ou alors je ne dois pas leur plaire, Toujours est il que oui j’ai faim ! Assez pour reluquer une grand mère !
Je vis littéralement du feu dans ses yeux ainsi que de l’amusement ! Elle dit prendre ma dernière pique comme un défi, elle se leva se mît face à moi et remonta doucement sa jupe et me montra le bout de tissus de son String bleu, elle défit également deux boutons de son chemisier ce qui me donna un aperçu de sa poitrine qui devait bien faire son 95D …. Elle me dit :
– Une grand mère s’habillerait comme cela ??
J’étais totalement vaincu, excité, et terriblement gêné de la situation …
Je lui confirma qu’elle avait raison d’être fière de son corps et Je prit mon courage à deux mains et ne voulant pas commettre un impair impardonnable, je me leva et déclara aller me coucher tout en souriant de la situation, excepte que j’avais oublié un détail …
– En tout cas je semble te faire de l’effet encore ! Désignant la bosse dans mon pantalon …
– En effet je ne peux le nier … Bon ce fut une longue journée ! Et une longue soirée bien amusante mais je dois vraiment me coucher je suis exténué.
Elle me dit alors bonne nuit et je monta dans la salle de bain afin de me brosser les dents, au bout de 5 minutes je l’entendit, alors que j’avais la tête dans le lavabo, elle me demanda :
– j’aimerais te poser une question et je voudrais que tu me répondes avec toute ta franchise.
Je releva la tête et l’aperçut dans le miroir, en string et soutif bleu rien de plus, je bandais comme un âne j’eus juste le courage de lui répondre oui.
– Quand tu étais jeune il t’ es déjà arrivé de te masturber en pensant à moi ?
J’avais promis … Merde …
– Oui … De nombreuses fois …
– Comme c’est mignon me déclara t’elle ! Elle vint me faire un baiser sur la joue, très près des lèvres et me dit Bonne nuit avec un clin d’œil et désignant de nouveau la bosse de mon pantalon …
Je finis par aller me coucher, en repensant au tournant bizarre qu’à ai pris cette soirée, et j’imaginais dans la chambre sa côté véronique nue, qui allait sans doute se blottir contre son mari ….
Les minutes avançait et je n’arrivais pas à trouver le sommeil, une érection incontrôlable me tenais éveille mais je me refusais le moindre plaisir solitaire vu que je dormais sur un matelas de fortune dans la chambres des jumeaux …
Puis je me leva, j’allais discrètement jusqu’à la porte d’a côté, actionnais la poignée quand je revint à la raison … Je ne pouvais pas rentrer comme ça dans la chambre des parents de mon ami en caleçon avec une érection monstre … Je repartis me coucher et ferma les yeux.
C’est la que je senti une main remonte le long de ma cuisse puis se poser sur mon paquet … Étais je en train de rêver ? Je ne savais pas de qui il s’agissait même si je souhaitait ardemment que ce fut véronique. La main glissa dans mon boxer et entreprit des vas et vient langoureux … J’allais littéralement péter un câble quand je senti son corps se blottir contre moi, la il n’y avait plus aucun doute, ses seins imposants me caressant le visage je compris
– Tu as bien fait de ne pas être entre tu aurais réveillé mon mari, sa masturbation était juste divine
– on ne devrait pas, mais je pensait tout le contraire
– Tu en as envie, et moi encore plus, lâche toi laisses toi aller.
De la elle m’embrassa a pleine bouche, mes mains pose sur ses seins, elle commençait à gémir ….
mes mains descendirent progressivement jusqu’à son intimité entièrement trempé, j’entamais un massage langoureux de son clitoris ainsi qu’une pénétration de mes doigts, je la sentis électrisé sous mes caresses, mais elle était pas en reste, ses doigts me caressait maintenant les testicules, et mon souffle coupe je gémissait à mon tour.
Après une bonne dizaine de minutes ou il me fallu énormément de concentration pour ne pas éjaculer elle me dit
– je n’en peut plus je veux te sentir en moi, et joignant les gestes à la paroles elle se mît à califourchon sur moi
La réaction ne se fit pas attendre, une minute plus tard l’excitation était trop grande je jouissais à l’intérieur d’elle
Je sentis sous souffle revenir et un sourire dans la voix,
– et bien tu semblait excité dis moi, en tout cas c’était bon !
– et c’est surtout pas fini je lui fit remarquer ! Elle me regarda interloqué, je portais sa main à ma verge et elle constata qu’elle avait ouvert la boîte de pandore, je la mît à quatre patte et repris mon assaut avec un peu plus de v******es.
Elle se morda les lèvres et hurla à travers le coussin qui ne retenait pas grand chose, la peur d’être surpris mélanger à l’excitation me donna encore plus de courage, je lui pénétrais l’anus d’un doigt, et vu comment il s’y engouffra je compris qu’elle était habitué à ce genre de pratique, je me retira et lui prépara l’anus, je m’y enfonçait jusqu’à la garde, des petits cris de douleurs puis des longs râles de jouissance par l’action combine de mes coups de rein et de mes doigts sur son clitoris finirent par l’achever la tête toujours enfui dans le coussin, je me déversa une seconde fois en elle. Elle se tourna m’embrassait de nouveau à pleine bouche puis se leva sans un mot puis parti …
Je trouva le sommeil beaucoup plus facilement après cela.
Le lendemain matin je me leva et alla prendre mon petit déjeuner, tout le monde était debout, excepte Tristan, tout le monde déjeuna en silence, j’esquivait le regard de Véronique qui avait l’air de rien.
Puis le père de Tristan s’adressa à Cécile :
– Je sais que mon fils doit être une bête, il doit tenir ça de moi … Mais vous pourriez vous retenir quand vous avez des invites ! Il lui dit un clin d’œil, Cecile qui avait sans doute entendu les bruits compris de suite et me regarda rouge de honte, me sourit très largement tandis que véronique impassible l’air de rien devait bien rire de la réflexion de son mari.
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