Petit résumé,
Moi, c’est Véronique, fille unique de Gaëlle et de Luc. Nous sommes en vacances dans un petit hôtel, chambre unique, 2 lits, le paternel occupé à sodomiser maman en lingerie sexy et moi en collant (sans slip) et top, occupée à les regarder et à me sentir de plus en plus excitée. J’ai des envies de participations, ce que maman ne veut pas entendre, mais très soûle, je pense que papa va la convaincre.
Je suis assise sur le lit bien décidée à jouer la provoc, ils m’ont excitée ces deux-là à baiser et de les regarder me rend lubrique, oh oui, ça va être une chaude nuit, super !!! C’est donc cuisses légèrement écartées que je me tourne vers mon père en lui dévoilant, sous mon collant, ma chatte rasée, je sais ça fait gamine, mais j’en suis encore une, enfin dans ma tête ce soir, la petite fille de son papa jalouse de sa maman car celle-ci peut profiter de la belle bite de mon papa chéri et moi pas. Mon dieu, je déconne un max, mais ce sont eux qui ont commencé ! Petit à petit, j’ouvre mes jambes et lui montre mon entre cuisses avec un air très provoquant, je le regarde droit dans les yeux, je sors la langue et me lèche les lèvres très sensuellement, je suis définitivement une salope.
Mon père soutient mon regard et sourit, il est subjugué par mon audace et ne perd pas une miette du spectacle qui lui est offert, il regarde mon con imberbe, sourit à nouveau et se lèche également les lèvres, c’est fait, il est tombé dans mes filets, je vais y passer, enfin j’espère qu’il ne va pas m’enculer, j’abomine cela, lui a l’air d’adorer, beurk. On verra maintenant comment cela va évoluer.
Maman n’a rien remarqué de notre petit manège, elle se fait toujours enculer et semble adorer cette intrusion.
Tiens, je l’entends à nouveau, comme si depuis mon petit jeu je n’entendais plus rien, tellement prise à mon propre jeu.
– Ah ! …… Ah ! ……..Hoooooo ouiiiii ! Luuuuuc c’est bon, continue, ohh oui, je vienssssssss
Excitée à mort, je décide de prendre l’initiative, mais quand même pas très rassurée de ce qui va suivre, mais je me lance, j’ose :
– Papa, je….. je peux participer moi aussi ? Enfin si tu veux ?
– Pardon ?
Il semble ne pas croire ce que lui disent ses oreilles ….
– Tu vois Gaëlle, Véro voudrait s’amuser avec nous.
– Mais non enfin ! C’est ta fille ! Je te laisse me baiser devant elle, mais non, elle ne fera rien avec nous.
– Je veux bien te sucer papa, j’ai envie, vous m’excitez grave.
Maman n’est pas complètement soule et se retourne en me fusillant du regard.
– Bon Véro, non, c’est non. Contente-toi de regarder, c’est déjà pas normal que nous baisions devant toi mais un truc à trois c’est pas correct de faire ça entre nous, en famille, c’est de l’i****te, tu comprends ?
– Ecoute Gaëlle, on est trop excité maintenant, c’est que pour ce soir, allez, pour une fois qu’on peut s’amuser un peu, moi j’ai envie et si Véro est consentante, pourquoi pas, personne ne le saura, ça reste entre nous.
Et de continuer en me regardant :
– Viens Véro ma petite chérie, viens sucer papa.
Voilà le moment de vérité est arrivé. Je dois me décider et assumer mes actes. Je me relève, sors du lit et me dirige vers les parents toujours occupés à forniquer ! Maman en prend plein le cul, papa est déchaîné et la bourre avec force, comment peut-elle aimer se faire enculer de cette façon, son trou de balle doit être totalement dilaté, demain elle ne saura plus s’assoir.
Puis, horreur, je me rends compte que je lui propose de le sucer, sa bitte qui va sortir du cul de ma mère, ah non, impossible, pas comme cela, c’est trop dégueu, je pourrai jamais, il doit la laver avant, ça risque de casser l’ambiance, tant pis, c’est ça ou rien, je regrette déjà mon audace, quelle conne je suis.
Maman subit les assauts du père, elle est secouée d’avant en arrière et à chaque coup, ses gros seins se ballottant dans le mouvement inverse.
Ma mère la tête posée sur son oreiller ne voit pas que derrière elle mon père lève une main pour venir me toucher les fesses, puis continuer vers l’avant pour finalement arriver sur ma chatte et carrément introduire un doigt dedans mais un rien bloqué par le collant. Je frissonne, c’est super électrisant, son doigt, le collant et c’est mon papa qui me doigte.
– Papa, tu me fais du bien, tu aimes ma petite chatte ?
– Tu veux remplacer ta mère un instant ?
– Hé hé hé vous deux, ça va pas la tête, j’ai déjà dit non, Véro dégage, allez vas t’en.
– Gaëlle ! Ferme-la, tu fais chier, Véro a des envies, moi aussi, on va s’amuser à trois, alors arrête.
Je m’attends à une réaction de maman, à une engueulade, à quelque chose quoi, rien, maman ne dit rien ! Enfin, si, elle s’arrête de bouger, le visage très triste et me regarde presqu’en me suppliant de ne pas aller dans cette direction. Cela me refroidit d’un coup, l’ambiance est cassée, j’ai un doute, j’ai honte, mon visage le trahit, décidément, je suis une conne et une fameuse.
– Désolée maman, désolée, je déconne, pardon, je pensais pas que ça te ferait aussi mal et je sens des larmes couler le long de mes joues.
– Hé les filles, c’est quoi ce bordel, on baise ou quoi ? demande-t-il furax ?
Décidément, comme disait maman, les hommes pensent avec leurs bites et pas leurs cerveaux …..
– Véro ma chérie, me demande doucement maman, tu veux vraiment avoir une relation sexuelle avec tes parents, ton père et ta mère, c’est ça que tu veux, insiste-t-elle ?
– Maman, je suis désolée, je suis conne, à vous voir, ça m’a donné envie, je suis excitée, j’ai envie de jouer avec vous, j’ai plus de petit copain depuis des mois, il m’a larguée je sais même pas pourquoi, tu sais que je suis plus vierge aussi, alors pourquoi ? Je suis assez bonne au lit, enfin c’est ce qu’on dit, et il m’a larguée, et je fonds en larmes.
Comme toutes les mères, elle me prend dans ses bras et me console, embrasse mes joues, me réconforte, ses doigts caressent mon dos et petit à petit, sa bouche se rapproche de la mienne pour finalement venir m’embrasser sur les lèvres et devant ma stupeur, elle introduit tout doucement sa langue dans ma bouche. Je suis subjuguée par son audace, il y a à peine 2 minutes elle criait au scandale et à présent elle me roule une pelle et quelle pelle, sa langue virevolte dans ma bouche et me pénètre carrément, et elle fait ça bien, mieux que la plupart des garçons.
Je remarque alors que ses mains ne sont plus dans mon dos, l’une est sur un sein l’autre entre mes jambes et s’approche tout doucement de mes cuisses. Puis elle se penche entre mes cuisses et me lèche la chatte à travers mon collant. Quelle surprise, maman aime les femmes et quelle langue, elle me fait du bien, bien plus que les garçons qui ont accepté de me lécher le minou, et pas beaucoup, les cons.
J’aime quand maman se penche entre mes cuisses grandes ouvertes et me lèche si intensément et si longuement mon minou; sa langue se faufile entre mes lèvres vaginales, virevolte sur mon bouton, elle me suce, elle me lèche, elle me mordille, elle me boit car oui, je mouille, comme jamais, mon dieu, le pied. Elle me caresse tellement que cela provoque des orgasmes encore inconnus pour moi et des sensations intenses et extraordinaires. Jamais je n’ai été léchée de cette façon et si profondément ! J’ignorais que maman était aussi salope, aussi passionnée mais aussi vicieuse, et quelle une gouine, si expérimentée.
Les doigts de maman se font de plus en plus précis et découvrent mon clitoris. Ses doigts sont précis et un mouvement tournant sur mon petit bouton fait monter une onde de plaisir tout le long de ma colonne vertébrale, je me contracte sous ses caresses.
J’ouvre les yeux, le père nous mate en s’astiquant le manche, il bande dur, le salaud, ses yeux sont injectés de sang, à mon avis, même dans ses rêves les plus fous, jamais il n’aurait imaginé un tel spectacle, sa femme et sa fille se guignant devant lui. Sa respiration est saccadée, ses yeux sont fous, son cœur doit battre à du 100 à l’heure, tellement il est excité.
Devant l’impudeur du geste de maman et la masturbation de papa, je jouis à plusieurs reprises pendant qu’elle me pistonne la chatte. J’en profite pour insérer sous mon collant une main et je m’astique le clito comme une folle alors que sa langue et ses lèvres ont pris possession de ma fente. Je jouis comme une fontaine, j’expulse de grandes giclées de mouille que maman avale avidement avec de grands bruits et des râles de plaisir.
Je ne peux plus voir maman comme une maman mais comme une amante douée et très vicieuse, les choses ont vraiment changé à partir de cette soirée-là, et pour notre bien, et surtout pour moi, la douceur d’une amante et la virilité de mon géniteur.
– Hé les filles, hou hou, j’existe, je suis là, vous pouvez penser à moi aussi, j’existe, j’ai envie de baiser et d’être sucé, alors fini vos jeux, il y a un mâle en rut ici !
Maman arrête son léchage, se redresse et lui demande de se calmer, qu’il va être servi mais qu’avant, je donne du plaisir à ma fille, je lui apprends à jouir et surtout que son amant doit être un virtuose de la langue et savoir la lécher en lui donnant beaucoup de plaisir.
Puis, s’adressant à moi :
– Véro chérie, que dirais-tu de sucer ton père ? Je suppose que tu as déjà sucé un garçon, non ?
– Oui maman, j’ai déjà sucé un garçon, même plusieurs et je suis assez douée, enfin selon eux, ils en redemandent, toujours et toujours ….
– Je m’en doutais bien, je suis contente pour toi. Regarde la bite de ton, père, il a très envie de ta bouche et de cracher son bon jus.
J’ai compris, je vais devoir le sucer à fond et avaler son foutre ! Pas grave, cela ne me dérange pas, au contraire, j’adore assez avaler le sperme du mec que je suce, ça m’excite surtout quand sa bite gonfle et crache, c’est chaud et crémeux, le pied, quoi !
En revanche, ce que j’ignore, c’est que maman a horreur de se faire juter en gueule, elle suce, bien sûr, mais pas question de jouir dans sa bouche et encore moins de lui demander d’avaler, jamais, elle abomine ! Ainsi donc, pour que son mari, mon père, puisse enfin se faire sucer à fond et s’épancher dans une bouche, maman m’utilise, enfin, ma bouche ! Pas bête, hein ! Elle se fait enculer mais refuse d’avaler ! Tous les goûts sont dans la nature.
Tout à coup, le père se réveille :
–Véro ma chérie, tu voudrais venir me sucer ?
– Oui papa, dis-je en regardant maman, je suis d’accord, je vais te sucer. Mais, tu pourrais pas aller la laver avant ?
Interloqué, il me demande :
– Pourquoi ? Qu’est ce qui ne va pas chez toi ? Tu casses l’ambiance ! C’est quoi ton problème maintenant, dit-il assez furieux.
– Je veux te sucer, mais avant, tu faisais quoi ? Ta queue elle était où ??? J’apprécie pas vraiment cet endroit, donc s’il te plaît, fais-moi plaisir et va te nettoyer, ensuite, je te suce, promis.
Radouci, il comprend enfin et s’excuse, se rend à la toilette et revient rapidement vers moi. Effectivement, il a bien nettoyé sa queue, elle reluit même et est toute propre.
Gentiment, il me demande :
– Et tu voudrais aussi avaler mon sperme ?
– Oui papa, j’ai envie de goûter ton sperme, j’ai vraiment envie, j’espère qu’il est bon et crémeux.
– Dis donc ma fille, tu as des exigences et on dirait que tu sais de quoi tu parles, non ? Ainsi ma fille a déjà sucé et avalé, tu m’étonnes, je ne pensais pas que tu étais aussi coquine, mais j’apprécie, allez, viens, j’ai envie de ta bouche sur ma queue.
Et il ajoute,
– Je vais m’assoir sur le lit et tu viendras te mettre à genou devant moi. Ensuite tu mettras ma queue dans ta bouche. Tu veux bien faire cela pour ton gentil papa ?
– Oui papa.
– Allez Véro, suce-moi maintenant !
Je le regarde, les yeux brillants de désirs.
Maman s’agenouille derrière moi et glisse deux doigts sur ma chatte, toujours protégée par mon collant, me caressant d’un large et doux mouvement. Je ne peux retenir un petit gémissement de volupté vite étouffé par la queue de papa qui envahit ma bouche. Il accéléré son mouvement de va et vient et ajoute :
– Véro chérie, il me semble en effet que tu as de vraies dispositions pour sucer une bite et la faire jouir, surtout continue, tu es géniale.
Je ne dis rien, je souris simplement, sa remarque est plaisante, j’ai envie de le faire cracher, et vite.
Sa bite continue de pilonner ma bouche.
– Ho oui ma fille, tu me sembles vraiment douée, tu devras avaler mon plaisir sans en recracher une seule goutte, hein, je vais tout te donner, tu vas tout boire, tu vas voir tu vas aimer.
Il n’a pas capté que j’ai déjà sucé, maman oui, lui pas, il n’écoute pas ou quoi ? Il se fait peut-être un cinéma, c’est vrai, c’est sa fille qui le suce ….
J’ai déjà pratiqué pas mal de fellations, j’ai presque tout le temps avalé le sperme des mecs, mais cette fois, c’est différent, c’est mon père, un adulte, j’espère qu’il n’en aura pas de trop, surtout pour sa première fois.
J’imagine les pensées du père, surtout à le voir les yeux fermés, respirant comme une locomotive :
Finalement, ma petite fille chérie me suce divinement pour sa première fois, enfin avec moi ! Je me demande à quoi elle pense maintenant, ce n’est pas n’importe quelle queue, c’est celle de son paternel !! Je la guide et elle prend de l’assurance, je l’encourage à me faire une super bonne fellation. Oh oui, j’ai envie de cracher dans la bouche de ma fille, quel père n’a jamais phantasmé sur cela ? A la fin, elle me suce très bien tout en me masturbant. Je lui ai demandé de me prendre les boules en main et de les rouler entre ses doigts. Oh oui, tu me suces si bien que je suis presqu’au point du non-retour.
– Véro ma chérie, que c’est bon, tu suces superbement, papa va jouir. Avale ma chérie. Avale-moi, bois toute ma semence, c’est celle qui t’a mise au monde.
Je ne réponds pas. Normal, sa bitte dans sa bouche m’en empêche. Ma tête monte et descend sur sa queue, je salive abondamment et mes bruits de succion l’excitent au plus haut point. Il va bientôt juter, j’attends ce moment avec impatience. Il va se répandre dans ma bouche, il va décharger son sperme au fond de ma bouche ! Je suis si excitée et impatiente que j’en vois des étoiles.
Tout à coup,
– Véro, oh oui, je viens, je viens, continue, suce, ouvre ta bouche, bois mon sperme ma chérie, vas-y régale-toi, n’en perds pas une goutte, oh oui, je viens, c’est bon, c’est super, je viens, ouiiiii
Voilà, pour la première fois de ma vie je vais avaler le sperme de mon paternel, dire que maman lui refuse cette gâterie, dommage pour elle, tant mieux pour moi, car il va vouloir d’autres pipes d’ici très bientôt, il doit être frustré que sa femme le lui interdise, mais maintenant que sa fille dit oui, il va pas se priver, le salaud ….
Je sens le foutre exploser au fond de ma gorge. Papa continue quelques mouvements pour se vider et je découvre le gout de son sperme onctueux, chaud et épais dans ma bouche gourmande. Mais il continue de cracher sa semence, mon dieu, quelle quantité, s’il continue je sens que je vais vomir, tellement il y en a ! Alors j’avale au fur et à mesure, enfin avec du retard. Je sais qu’il aurait aimé voir la sauce blanche dans ma bouche, sur ma langue et il aurait certainement aimé me demander d’avaler, mais je ne peux plus attendre, je dois avaler sa décharge.
Avec des bruits de succion, un rien exagéré, j’avale, j’avale, je le regarde en souriant, il me sourit également, il a enfin une bouche à disposition dans laquelle il peut jouir !
La suite au prochain numéro …..
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