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le cul rempli

le cul rempli



Il m’a donné rendez-vous au bord d’un canal, un chemin fréquenté le jour par les coureurs et autres promeneurs. mais là, il faisait nuit. Proche d’une maison abandonnée je m’habituais à l’obscurité en tentant de découvrir ses lieux inconnus afin de découvrir un endroit ou m’abriter au cas ou quelqu’un viendrait à passer. Je choisi de m’éloigner de la maison abandonnée pour m’enfoncer dans les premiers arbres. Rapidement l’attente se fit longue, pour me préparer à l’ambiance j’enleva mes habits qui se limitaient à un t-shirt et un bermuda, je restai en slip qui avait la particularité de laisser mon trou disponible sans l’enlever ;). Soudain j’entendis le gravier s’animer sous des pas, c’était le Mâle qui voulait me baiser ! Mon coeur s’est mis a battre, mais quand il m’a dit de le suivre pour aller plus loin je l’ai suivit, en slip ouvert mon t-shirt et mon bermuda à la main. Secrètement j’avais envie qu’il en profite pendant qu’on s’éloignait un peu, mais il ne fit rien :(. dans la pénombre on finit par s’éloigner un peu du chemin en traversant les arbres jusqu’à tomber sur une sorte de petit chemin sans gravier à la parallèle du principal. Il faisait très noir, c’était l’endroit rêvé.

En marmonnant, il sortit sa bite, d’une taille moyenne j’avoue que j’étais un peu déçu. Cela ne m’empêcha pas de me ruer dessus pour la prendre en bouche. Elle était bonne et gonflait rapidement, je le sucé tout en le laissant caressait mes fesses. Controllant mon cul il me demanda si j’avais du lubrifiant, aimant me faire prendre à sec j’avais pris soin de ne pas en prendre. Visiblement lui préféré en avoir et me dit qu’il utiliserait le sien :(. Je continuait donc à le sucer, en sachant qu’il préparait la suite, je mis donc plus d’ardeur dans l’art du pompage à l’idée qu’il allait m’enculer. Puis il étala le lubrifiant sur mon trou en y glissant un seul petit doigt au passage. Je le pompait toujours, mais il me demanda de me retourner. Malgré que le slip soit ouvert sur l’arrière il me le baissa un peu avant de présenter son gland à mon trou du cul. Je prenais appuies sur le sol avec le main pour tenter de l’aider à m’enfiler. Il me la mise d’un coup, un peu fort assez pour me faire lâcher un cri, son chibre ressorti rapidement de mon trou désormais élargit et un peu douloureux. il présenta de nouveau sa queue à mon trou et m’encula à nouveau. La douleur s’éteignait tandis qu’il me labourer le fion. De bons gros coups, je couinais de plaisir, il me baisait comme un lapin en me traitant de pute. Il finit par ralentir pour chercher ma queue qu’il prit dans sa main, il secoua la nouille molle et me dit que là elle ne servait à rien, que je devrais me branler en rentrant de cette baise. Je lui répondit oui. il me dit qu’il n’allait pas trop vite pour ne pas venir. Ses mains remontèrent jusqu’à mes seins qu’il pelota en s’étonnant de pouvoir me peloter ainsi. Que j’aime quand un mâle me pelote les seins, je me sens femelle. Puis il me demanda si j’étais une pute, je répondit oui ! J’étais en train de me faire enculer, peloter et insulter de pute, qu’est-ce que j’aime ça. Il me dit d’autre chose mais sa queue bien dure me labourait bien et mes propres cris couvrait sa voix marmonnante. J’étais exité, une vraie petite femelle en chaleur, sa queue coulissait désormais facilement dans mon trou devenu doux comme un vagin. Puis il me dit qu’il m’avait promis une surprise, je lui répondit qu’il pouvait jouir dans mon cul s’il le souhaitait et il le souhaitait le salaud. Il se déchargea d’un coup dans mon trou béant. J’aurais aimait le sucer encore un peu pour le nettoyer et aspirer tous le restant de son jus, mais il se rhabilla rapidement et commença à rejoindre son véhicule. Je tentais de faire pareil mais je remarqua que les couilles vide son pas s’est pressé sur le gravier. La baise était fini, j’en profitais pour ralentir et lui laisser de l’avance. Je me sentais pute, j’avais le cul plein de sperme. J’en ai profité pour me racler la raie en remarquant que mon trou était encore bien ouvert, pour recueillir tout le sperme qui en avait débordé pour le porter à ma bouche et goutter à ce sperme. Hummm que c’est bon, j’étais une pute, j’étais sa pute.

Maintenant j’écris ses lignes, et je vais me branler comme il me l’a demandé. 😉

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