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Ici ça se Corse

Ici ça se Corse



Je trime dans une agence de voyage au bas de la rue. Les premiers rayons du soleil m’ont d’un coup précipité une ribambelle de clients. Ce sont pour la plupart des couples et des célibataires sans enfants. Ils sont susceptibles de se jeter sur la bonne occasion et de remplir le soir-même la valise. Si je n’étais moi-même flanqué d’une nana et d’un môme j’aurais sûrement profité d’une de ces promos. Je devais me contenter de celles de Juillet et d’août pour ainsi dire médiocres. Un séjour sur Ajaccio s’était arraché en peu de temps. Le rapport qualité/prix était, il est vrai imbattable.

Un couple d’amis s’était cassé le nez dessus. J’avais fourgué une heure avant les derniers billets. La nana du pote le prit mal. Lui philosophe me demanda de le prévenir de la prochaine fois. Je l’assurais que je le ferais volontiers pour lui et sa nana eu égard au dépit que celle-ci manifestait. Elle était très jolie. Je n’en savais pas moins que c’était une coquine voire une salope. Elle couchait avec tous sauf la petite cohorte dont j’étais. Quelque part je n’était pas mécontent que cette prétentieuse fut mouchée. Ce genre de reine se croit tout permis. La Corse lui passait sous le nez.

Je ne sais comment elle sut mais il y eût deux désistements. En effet il n’est pas rare qu’au dernier moment on se décommande. On peut volontiers infliger une sanction pécuniaire mais il plus loisible de passer dessus et de fourguer les billets d’autant que ceux-ci trouvent souvent preneur. Je soupçonnais ma collègue de s’en être ouvert à la coquine. Elle lui eût volontiers vendu les billets mais c’est moi qui en disposait. Bref elle vint tout sourire me faire du rentre-dedans. Au départ je crus qu’elle venait pour une autre destination. Elle était assise maintenant peu loin de moi.

Elle avait comme souvent sa jupe courte, ses longues jambes et ses noirs escarpins dont elle jouait d’un pied mutin. Elle ne manqua de m’offrir ce ballet tandis que je servais avant elle deux couples. J’eus droit à ce spectacle durant de longues minutes. J’avais du mal à me concentrer. Les autres clients eurent été fort surpris de savoir que je bandais tandis que je babillais. J’avais peine à ne pas hasarder là-bas mon regard. Je guettais entre autre le moment de voir sa culotte saillir entre ses cuisses. Celle-ci était rouge cramoisie et sûrement transparente. Je suais ici sang et eau.

Je lui fis signe enfin qu’elle pouvait venir. Il était tard. Nous avions dépassé le midi. Je saluais la collègue après que celle-ci eût tiré le rideau pour aller déjeuner. Il n’était pas rare que nous fîmes du rab avec un dernier client. En l’espèce il s’agissait d’une jolie femme et ma collègue me fit ainsi un clignement d’œil que je pris mal. J’aimais à passer en effet pour vertueux et incorruptible. N’empêche j’avais rarement été en tête avec cette garce. Je mesurais le caractère unique de ce moment. Je n’en baissais pas moins la tête, penaud. Elle ne s’en offusqua guère et même s’en réjouit.

Elle mit d’emblée les pieds dans le plat. Je sursautais. Je ne supportais pas qu’on vendit la mèche. J’eus sur le champ étranglé la collègue. Il était indubitable que celle-ci avait bavassé. Que pouvais-je faire à présent ? Oui j’avais récupéré depuis hier des billets. Personne n’était venus encore les réclamer. Certes avais-je pris l’engagement de prévenir le copain si une occasion se présentait. Je ne pouvais que céder et obtempérer donc. Cependant j’eus un sursaut de mauvaise foi. J’annonçais en forme de fable qu’un autre couple convoitait à l’instant les mêmes billets.

Je la vis devant moi se défaire. Il était vraisemblable et je ne sais pourquoi que ce voyage lui tenait tant à cœur. J’eus presque pitié. J’étais prêt à me raviser et à lui lâcher le morceau. Heureusement si je puis dire, elle prit à son tour le taureau par les cornes. Elle m’abjurât de tout faire pour écarter le couple rival et m’adressant un regard et sourire peu équivoque elle rajouta : « Je te revaudrais cela. Tu sais. » A ce moment je jetais un coup d’œil hâtif sur ses cuisses qu’elle croisa plus haut marquant son frémissement. Un accord ainsi se scella entre nous. Langage des gestes et silence des mots.

Je découvris toute la résolution de cette fille. Mon petit doigt me dit que souvent devait-elle procéder ainsi avec d’autres. Elle ne me proposait pas moins de venir chez elle pour déjeuner. Il eût été plus convenable et classique que je l’invitas à déjeuner en quelque estaminet et que je la sautas après dans la bagnole. Je songeais particulièrement à mon pote cocu. Elle n’avait peur ni de scrupule à violer l’intimité de son toit conjugal. Honteux je lui emboîtais le pas. Ils habitaient peu loin. Nous fîmes un détour afin de ne rencontrer ni de voisins ni d’amis. Nous formions un couple de rôdeurs.

Juchée sur ses talons, elle les faisait claquer sur le pavé. J’adorais ce déhanchement sensuel qui faisait chavirer tant d’hommes du pays. J’étais pas peu fier qu’elle fit cela pour moi au moins une fois. Cette garce allait m’appartenir. Elle tournait sa tête des fois avec un sourire d’apprêt sur son visage comme pour s’assurer que j’avais mordu. Que je ne lui échapperais point. On eût dit une prostituée ramenant un client. J’eus un dernier scrupule qu’on nous vit. Ses voisins devaient être familiers qu’elle ramena un mec sous le toit. Comment mon pote pouvait-t-il supporter cela ?

Je ne remarquais en ces gestes aucune réticence. Tout se procédait en fluidité. On eût dit de ces danseuses et femmes légères qui emportent en leur valse frémissante le mâle harponné peu avant. Moi-même étais-je sous le charme comme enivré. Pourtant je n’avais rien bu. Je prenais cela comme un beau voyage comparable à celui de la Corse dont celle-ci rêvait. J’eus envie de lui avouer qu’elle ne me faisait pas moins plaisir que moi lui concédant son billet convoité. Échange de bons procédés nous n’avions rien à regretter. Nous étions des malotrus faisant une bonne affaire.

Il y avait pour tout déjeuner une salade de tomate et de thon et une bière fraîche extirpée du frigo. La miss n’avait rien d’un cordon bleu ce que je concevais. Elle avait d’autres talents à offrir. Elle m’invita à m’attabler tandis qu’assis dessus un petit canapé elle tirait déjà avec nervosité sur sa cigarette, cuisses croisées et battant l’air d’un petit pied marquant la mesure d’une musique invisible. Finalement j’avais sous-estimé sa nervosité ou son agacement. Elle voulait vraisemblablement expédier la chose. Il était acquis que je lui concédas la Corse. Elle voulait être sautée rapidement.

Assuré de mon cadeau je n’en voulais pas moins en profiter un peu et la faire mariner. Notamment je lorgnais maintenant sans façon ses cuisses superbes. J’étais éberlué que son copain lui laissât porter un tel genre de minijupe qui ne laissait rien au hasard. On savait qu’elle portait des bas. Sa belle chair blanche et succulente affleurait à la naissance de ceux-ci. Pour tout dire c’était impudent et limite scandaleux. Je concevais que les autres femmes tempêtassent devant une pareille impudeur. Elles savaient que leur bonhomme irait courir à la soupe. Comment résister à tout cela ?

J’eus à peine une pensée pour mon amie. Celle-ci depuis longtemps fermait les yeux sur mes écarts. Je n’en conservais pas moins le respect de faire cela discrètement et de refuser de m’afficher avec mes conquêtes. De toute façon de bonnes âmes s’employaient à la renseigner souvent. Je balayais cela d’un revers de main invoquant des pures calomnies. N’empêche je n’eus voulus pour rien au monde qu’elle sut que j’étais ce midi avec cette créature qu’elle haïssait tant. Elle eût été déçue que je ressemblas tant à tous ces mécréants qui couchaient avec elle en l’appelant : Putain.

Je fis signe à ladite putain de venir me ravitailler d’une autre bière. J’étais déjà sur un petit nuage. Je parvenais à une effronterie dont je m’étonnais moi -même. Je la pris par la taille enfonçant mon groin dans son ventre chaud. Elle eût un rire faux de contentement. J’étais à point. Enfin allais-je disposer d’elle et de pouvoir prendre mon dû. Elle s’assit cavalièrement sur mes genoux. J’eus ses lèvres collées bientôt sur les miennes. Nos langues se mêlèrent. Je glissais une main leste dans sa culotte. Celle-ci était chaude et humide. Je pus pétrir son sexe. Elle gloussait d’aise.

En un instant elle fut à genoux ouvrant avec dextérité ma braguette pour en extirper cet objet convoité. Elle affecta de marquer la bonne surprise que je fus bien pourvu. Elle s’enquit rapidement de branler et de sucer cette queue. J’observais du dessus la crinière de celle qui me pompait. Ma bite nageait déjà en l’indicible bonheur de sa bouche. Quelle vaillance. Elle ne laissait point sa part aux chiens. On eût qu’il en allait pour elle de la vie et de la mort. J’étais sensible à tant d’abnégation. Indubitablement elle aimait cela. Elle savait honorer un amant. Que de bons points pour elle.

Elle se leva soudain pour s’appuyer contre une commode peu loin. Elle avait levé sa jupe par ailleurs si courte pour m’offrir ses fesses magnifiques. D’un doigt elle écartât le fil ténu du string pour m’offrir l’un l’autre trou. Elle se comportait en chienne. Ainsi devait-elle faire avec d’autres ce qui étayait sa réputation sulfureuse. J’avais entendu maintes fois les copains dessus. Je pourrais juger sur pièce. Il m’était donné à mon tour d’entrer au Paradis. Ivre de mes bières, je ne me fis faute de la prendre debout derrière et de lui administrer mes coups de boutoir. La garce encaissait stoïque.

Nous trouvâmes plus commode de finir plus loin dans le lit de leur chambre qui depuis le début semblait nous ouvrir les bras. Je n’avais cure qu’elle y dormît chaque nuit avec le pote. Ce lit était manifestement devenu un baisodrome. J’escomptais qu’elle eût au moins la pudeur d’en laver les draps après notre forfait. En attendant elle obtint de moi de la bourrer sous toutes les coutures. Notamment pus-je impunément la sodomiser ce qu’elle semblât priser. On y entrait en son cul facile et sans préliminaires. On eût dit une autoroute empruntée trop souvent. Je l’enculais joyeusement.

Elle tint à me sucer une fois encore et yeux grands ouverts et avec une joie mauvaise je la vis avaler sans coup férir mon foutre. Peu de femmes concédaient à ce genre de fantaisie ou du moins si résolvaient de mauvaise grâce. Elle faisait cela comme si elle eût avalé un café noir. Peu après elle fumait au bord du lit conversant placidement avec moi. Nous convînmes que je lui adressas les billets par e-mail. Elle me confirma qu’elle avait connu la Corse avec un premier béguin. Elle voulait renouer avec ce bon temps. Elle m’assura que je pourrais la baiser dès son retour.

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