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Le stage d’Elodie 8

Le stage d’Elodie 8



Le stage d’elodie, suite et fin.

Voilà ma vie au cachot se résume très rapidement, être isolée, attendre le bon vouloir des gardes essayer de dormir, être restreinte en permanence dans les mouvements, le bruits des chaînes quand on bouge le fait de devoir se soulager dans un trou à même le sol et surtout je ne l’avais pas remarqué tout de suite il y a une caméra qui nous espionne en permanence donc avec ceci aucune intimité et je ne peux pas me cacher de par ma nudité mais aussi par l’étroitesse de la cage en barreaux. Je suis vraiment prise au piège. J’attends le peu de promenades qui me sont accordées et même là l’humiliation continue car nous devons sortir nue bien sur mais pendant les rares moment à l’air libre nous sommes attachées par une longe reliant les fers des mains à un piquet planté dans notre enclos donc nous ne pouvons tourner qu’en rond et en faisant très attention de ne pas s’enrouler autour du poteau ce qui réduit encore nos mouvements. Ensuite c’est le retour dans le cachot et l’attente qui reprend.
Enfin voilà mes deux jours et demi qui tirent à leur fin la Maîtresse vient m’ouvrir les portes du cachot, puis me retire les chaîne des poignets pour les remplacer par les traditionnelles menottes et me conduit toujours en laisse vers la cellule, que je retrouve avec bonheur. Je retrouve aussi ma blouse qui même si elle ne cache pas tout au moins me permet de ne pas être entièrement nue. Je peux aussi bénéficier d’une bannette toujours plus confortable que la natte au cachot. Une fois la garde repartie je m’allonge sur la bannette d’Audrey je n’ai pas la force de monter au dessus et je m’endors. Je ne suis réveillée que par l’ouverture de la cellule pour faire rentrer Audrey après son travail du matin. Nous nous retrouvons toutes contentes et je lui raconte ce que j’ai vécu mais comme elle l’a aussi vécu c’est beaucoup plus facile. Puis c’est le tour des plateaux repas le train-train quotidien reprend et l’après midi je sors pour aller sur le chantier et je suis à l’empilage des bûches pour l’hiver. Même si cela est dur cela fait du bien de pouvoir faire un peu d’exercice. J’en suis même contente. Je fais très attention de ne pas froisser le couple dominant afin de ne pas retourner au cachot. Un séjour me suffit.
La fin du travail arrive et je suis contente de retrouver ma cellule ou à peine arrivée je m’écroule de fatigue surtout nerveuse et je dors. Je suis réveillée par Audrey pour le plateau repas, puis je me rendors aussi vite jusqu’à l’appel obligatoire; Ensuite, je me rendors comme une souche jusqu’au réveil en ayant même pas été réveillée par les rondes régulières qui se sont déroulées traditionnellement.
Par contre le lendemain matin, nous subissons comme d’habitude appel fouille et lavage, puis Audrey s’en va aux chantiers et la Maîtresse me dit que je vais être libérée aujourd’hui et que je n’aurais pas de travail. Cela me fait plaisir. Donc en tout j’aurais passé cinq jours complets en détention. Ce n’est pas long mais très éprouvant quand même. Maintenant je m’imagine mieux le fait d’être condamnée ne serait ce qu’à une année de privation de liberté et enfermée entre quatre murs.

Donc je reste seule en cellule dans l’attente du bon vouloir de mes gardes pour procéder à ma libération. J’aurais bien voulu que la séparation avec Audrey soit moins brutale mais je n’ai pas eu le choix. Nous nous sommes juste embrassées et chacune de son coté.
Au bout d’un moment le garde arrive me passe les menottes à travers le guichet puis déverrouille la porte de la cellule. Je le suis en étant assez contente de la fin de mon stage. J’ai l’impression de moins tirer les pieds et que les menottes sont moins lourdes aussi. Nous sortons et faisons en sens inverse le trajet vers la maison principale ou nous entrons comme d’habitude par le sous sol. Le même couloir que lors de mon arrivée et il me place dans la même cellule ou j’ai été enfermée avant mon placement en cachot. Elle est toujours aussi petite mais je suis heureuse quand même. Il referme la porte et j’entend ses pas s’éloigner. Je retombe dans le silence et l’attente qui ne va pas durer très longtemps.
Des pas résonnent puis la porte se déverrouille et voilà la Maîtresse qui me prend en charge pour m’emmener dans la salle de fouille du premier jour. Nous ne sommes que toutes les deux. Je dois encore monter sur l’estrade la gardienne m’enlève les menottes et me dit de me foutre à poils. C’est toujours aussi difficile mais nous allons le supporter. Je m’exécute et me voilà dans le plus simple appareil, puis sous son ordre je dois me placer pour une énième fouille corporelle. Elle enfile les gants et je subis strictement la même fouille que lors de mon arrivée. En entrant je comprend à la rigueur mais en sortant c’est ridicule, je ne vois pas ce que je pourrais faire sortir au pire un message d’une autre détenue c’est tout.
La fouille se termine et la Maîtresse ressort le carton de mes affaires avec le registre. Elle me redonne le chemisier que je ne tarde pas à enfiler puis le pantalon. Devant mon étonnement au manque de slip elle me dit que mes petites affaires string bijoux et montre sont dans un sac scellé que je devrais ouvrir en rentrant chez moi. J’enfile le pantalon au moins je vais être présentable puis mes chaussures. Tout doucement je reprend une apparence de femme et moins de prisonnière.
Une fois mon habillage fini je descend de l’estrade pour signer le registre que j’ai récupéré mes affaires et que je suis libre. La Maîtresse me tend alors la pochette ou il y a mes petites affaires c’est une poche plastique transparente scellée avec d’un coté un carton ou se trouve le numéro d’écrou en gros et en dessous nom prénom et date de naissance et de l’autre coté il y a mon string bien plié en évidence. Je récupère la pochette en étant bien gênée car d’un coté comme de l’autre je ne peux pas vraiment cacher son contenu. La Maîtresse sort une paire de menottes, je suis étonnée je pensais que l’on allait me mettre dehors comme cela, à moins qu’il faille attendre une certaine heure. Ce sont des menottes classiques sauf qu’il y a un seul maillon entre et sur ce maillon soudée une poignée en « T » pour être maintenue. Elle me referme donc les menottes et en prenant la poignée me tire vers l’escalier. Nous remontons d’un étage et débouchons dans un vestibule qui doit donner sur l’extérieur. Il y a un banc en bois ou je dois m’asseoir. Une fois cela fait elle me passe une chaîne de chevilles entre le banc et mes pieds. Je ne peux que rester assise. Elle s’en va j’ai tout le temps d’admirer la décoration qui est faite avec très bon goût. C’est très silencieux, je n’entend que quelques secondes un tintement de clochettes mais tout cela est fugace. J’essaie de regarder l’heure sur ma montre scellée dans le sac mais je n’y arrive pas je suis toujours dans l’incertitude de l’heure et aussi du jour. D’après mes calculs ce sont bien 5 jours qui se sont écoulés depuis mon arrestation à la gare.

Le temps coule un peu différemment puisque je ne suis pas en cellule mais je suis quand même encore contrainte. Tout à coup j’entend dans le couloir arriver des pas avec le bruit de clochettes se rapprochant. Je tourne la tête et je découvre la femme soumise venant vers moi elle est en train de faire le ménage car elle est avec un corset seins nus et les clochettes sont attachées à ses seins. Elle porte aussi un bâillon. Elle s’approche rapidement du banc en me fixant des yeux. Ils n’y a qu’eux qui peuvent vraiment s’exprimer et malgré son bâillon je constate qu’elle me fait un sourire auquel je répond bien sur. Je découvre qu’elle porte aussi une ceinture de chasteté en métal avec un séparateur de fesses en cuir tressé rond. Cela m’excite vraiment et je sens mon entrejambe se mouiller en vitesse. Je savais qu’elle en avait une depuis notre douche ensemble mais je ne l’avais pas vue mise en place définitivement et bouclée. La serrure est style commande d’alarme donc inviolable. Elle voit ma réaction et s’approche pour que je puisse passer mes doigts dessus. Son contact m’électrise rapidement. Le métal est froid. Il lui est parfaitement ajusté. Je lui demande si elle a des plugs et me montre deux avec ses doigts.

Elle est vraiment cadenassée on ne peut pas passer un doigt entre la peau et la ceinture.
Je la trouve sublime avec cet appareil de torture car cela ne doit pas être drôle en permanence. Je lui demande si je peux avoir un verre d’eau car j’ai la gorge sèche. Elle s’en va et revient rapidement avec mon verre en attendant que je le finisse, elle est toute proche de moi et je peux laisser glisser mes doigts la ceinture fait plus que de me fasciner, j’en reste presque bouche bée.
La soumise est partie depuis un moment quand le couple dominant arrive. Le Maître me détache les chevilles du ban et je dois me lever. Une fois effectué j’ai à nouveau les entraves de chevilles. Nous sortons sur le perron que j’ai gravi lors de mon arrivée mais avec la cagoule. En bas il y a une camionnette qui nous attend avec la porte latérale d’ouverte. C’est sûrement celle que nous avons prise lors de mon arrestation.

Je descends difficilement les marches à cause des entraves de chevilles, mais me voilà devant le fourgon qui, je l’espère, doit me ramener à la gare. Je monte à l’intérieur et je redécouvre la cage, je m’assoie sur le banc et la maîtresse referme la porte de cette cage puis la porte extérieure. Je découvre, comme je n’ai pas de cagoule que ce ne sont que des vitres fumées mais comme il y a un film dessus on voit de l’intérieur mais pas de l’extérieur j’en suis rassurée. Le fourgon démarre et nous faisons le chemin inverse à mon arrivée. Voilà la ville et la gare se dessine sur la gauche. J’ai une boule à l’estomac de descendre ainsi du fourgon, j’espère que l’on va retirer les entraves. Il s’arrête à quelques mètres de l’entrée de la gare le long du trottoir. Le moteur se coupe et la Maîtresse ouvre la porte latérale. La Maîtresse ouvre la porte de la cage, puis m’intime l’ordre de sortir mais avant que je ne descende du fourgon elle me retire les entraves de chevilles. Je lui tend les poignets mais elle ne fait que prendre la poignée en « T » pour me tirer à l’extérieur. Nous voilà donc sur le trottoir je suis honteuse et j’ai peur mais cela me fait toujours autant d’effet. Nous nous dirigeons vers le halle de la gare et je tente de demander à la Maîtresse de m’enlever les menottes mais sans aucun effet. Nous entrons je baisse la tête de peur du monde à l’intérieur, ouf le hall est presque vide à part quelques voyageurs mais qui ne nous regardent pas. Je me colle le plus près de la garde de façon que mes bras ne soit pas tendus par l’avancement. Nous nous dirigeons vers le distributeur automatique de billets. Que l’attente est longue ainsi en épiant tous les passants pour voir si eux ils ont vu quelque chose. Après l’attente les billets sortent enfin, et nous allons nous asseoir sur un banc dans le hall juste en son milieu, si cela n’a pas été fait exprès je ne sais pas. Je suis obligée d’écarter mes jambes afin d’essayer de cacher mes mains menottées mais avec la courte chaîne de conduite la main de la Maîtresse se retrouve pile au bon endroit.

Quelque passagers passent mais sans faire attention à ce drôle d’équipage et c’est tant mieux pour moi. Malgré la peur je suis trempée et cela commence à imbiber mon pantalon. Au bout d’un moment ce sont deux jeunes filles tout juste majeures je pense qui passent mais une me regarde avec insistance, pendant que je baisse la tête; en passant devant nous elle dit à sa copine « tu as vu la femme a des menottes »; devant l’incrédulité de sa copine elles repassent encore une fois devant moi. Je suis honteuse et je pourrais me cacher dans un trou de souris.
Heureusement, l’heure de notre train s’annonce et le couple décide d’aller sur le quai pour l’attendre. Je me lève mon entrejambe est poisseuse, je suis la Maîtresse pour monter sur le quai. C’est le même que lors de mon arrivée donc passage dans le tunnel escalier pour arriver à l’air libre. Il n’y a pas de voyageurs sauf malheureusement les deux filles qui sont déjà là et qui me voit arriver en haut de l’escalier puisqu’elles sont appuyées sur le garde fou. Je ne peux absolument pas cacher maintenant mes menottes. J’entends une des filles dire »c’est une criminelle que l’on emmène en prison ». C’est mots sont comme une décharge électrique j’ai instantanément les jambes coupées. Nous allons nous asseoir sur le banc pour attendre le train.
Heureusement celui-ci ne tarde pas et nous montons à bord direction le lieu de la correspondance. Il n’y a pas beaucoup de voyageurs en ce début d’après midi, mais les deux filles montent dans le même wagon et s’installent de façon à toujours pouvoir me mater. Je vois leurs regards être très insistant surtout quand je bouge mes mains entravées.

Le trajet dure environ une heure ou je suis exposée à la vue de tous.
Voilà nous arrivons à la correspondance. Nous descendons du wagon et direction la fin du quai. Une fois là bas à l’écart de la foule des voyageurs la Maîtresse me retire enfin les menottes redonne mon ticket de train du retour ainsi que la pochette transparente. Nous nous saluons puis chacun s’en va de son coté. Pour ma part j’attends anxieuse ma correspondance tout en essayant de cachet la pochette. Puis mon train arrive, mes geôliers sont depuis longtemps repartis. Je monte dans le train et trouve un compartiment vide, heureusement celui-ci le restera jusqu’à l’arrivée en gare de Metz. Je me fonds maintenant dans les voyageurs et il ne me reste plus qu’à prendre un taxi pour rentrer chez moi. Avant je déchire la pochette pour récupérer mon argent afin de payer la course.
Retour chez moi et tout de suite passage à une douche très chaude et aussi une masturbation pour calmer le feu qui règne depuis pas mal de temps entre les jambes.
FIN

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