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Petite-fille et fille, perverses ou nymphos. CH.8

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Chapitre 8 : Claude et son fils.

L’après-midi ma petite-fille se prélasse à moitié nue au bord de la piscine, c’est-à-dire sans soutien-gorge et juste en string. Mes yeux se fixent sur sa chatte qu’on devine par la bosse de ses lèvres intime qui tendent le tissu du minuscule string.
Elle semble dormir et pour m’amuser, je tire tout doucement sur son slip pour voir sa réaction. Elle ne réagit pas ou fait semblant, mais j’ai maintenant ma merveilleuse petite-fille à poil, complétement nue, sous mes yeux.
Je caresse du bout de mes doigts ses tétons roses et Laurine soupire puis geint tout doucement, mais elle ne montre aucun signe de réveil. Je glisse ma main entre ses cuisses pour trouver sa chatte légèrement entrouverte et déjà mouillée par mes caresses sur ses tétons. C’est toujours surprenant pour moi de voir, à quelle vitesse son corps réagit aux attouchements, et avec quelle rapidité sa magnifique petite chatte devient humide.
Je fais courir un de mes doigts le long de sa fente avant d’aller effleurer son petit bouton d’amour. Laurine ne geins plus, elle gémit doucement en bougeant légèrement sa tête.
D’un seul coup mon attention est attirée sur la haie du fond. Il m‘a semblé voir deux têtes avant qu’elles ne disparaissent de ma vue.
A tous les coups c’est mon voisin Claude qui nous mate et il ne doit pas être tout seul.
Une idée perverse traverse mon esprit et je prends une main de Laurine pour la poser sur sa chatte et je pose l’autre sur ses seins. Sa nature reprend son droit et c’est Laurine qui se caresse maintenant toute seule.
Et je m’éclipse discrètement pour aller prendre un viagra (au cas où…) pour revenir derrière un bosquet et voir ce qui va se passer.

Quand Laurine gémit un peu plus fort, mon voisin et son compagnon sortent de la haie et s’approchent à pas de loup.
Laurine à une sorte d’orgasme quand elle enfonce ses doigts dans sa chatte et du coup elle émerge de son rêve érotique. Elle entrouvre légèrement ses paupières pour voir deux mecs qui la regardent avec une belle bosse dans leur short d’été.
Reconnaissant l’un d’entre eux comme son voisin Claude qui l’a si bien baisé, elle continue de faire semblant de dormir.
Je ne sais pas très bien ce qui va se passer mais mon esprit pervers me dit qu’il est temps que je réapparaisse de derrière mon buisson. Je leur dis en faisant semblant d’être surpris.
– Salut… je peux peut-être vous aider ?
– euh… Ahh… Désolé de vous déranger mais je ne savais pas que vous étiez là.
Me dis Claude tout en continuant de regarder le corps nu de ma petite fille.
– OK, pas de soucis. Et surtout ne vous gênez pas.
– Excusez- moi mais je l’ai regardé se caresser. C’est une jeune fille drôlement chaude !
– Très chaude…et vous en savez quelque chose …il me semble…
– Ah ! Elle vous a dit ?
– Oui, ma petite fille ne me cache rien. Et c’est ma petite salope à moi aussi.
– Quoi ! Dis le plus jeune. Vous couchez avec ?
– Oui, mon grand, je suppose que tu es le fils de Claude.
– Exact. Dédé… pour vous servir.
– Vu l’état de ton short j’ai plutôt l’impression que t’as plutôt envie de te faire ma petite-fille.
– Elle a l’air si jeune… mais quel corps ! Elle dort encore ?
– Sûrement. Elle a un sommeil très profond. Vous voulez la toucher ?
Pas besoin de réponse à voir sa bite qui gonfle encore plus son short.
– Vas-y, caresse là, même dans son sommeil c’est une vraie salope.
– Vraiment!? Dit Dédé un peu incrédule.
-Tu ne me crois pas ? Regarde.
Je reprends la main droite de Laurine et je la place entre ses cuisses avec ses doigts sur les lèvres de sa chatte. Je prends un de ses doigts et je m’en sers pour caresser légèrement son clitoris pendant quelques secondes. Laurine gémit un peu, et d’elle-même elle joue avec sa chatte devant les yeux ébahis de mes deux compères.
Laurine enfile un de ses doigts dans sa fente et pousse un gémissement de plaisir.
– Waouh ! Quelle salope ! Dit le fils de Claude. Elle doit être bonne à baiser !
– Sur ! répond son père. Une merveille de lubricité !
– Vous croyez qu’elle dort vraiment ? Dit Dédé.
– Oui. Il en faut beaucoup plus que ça pour la réveiller. Vous avez envie de la baiser, Dédé ?
– Oooh, ouiiiii.
– Alors chauffons-là un peu plus. Occupez-vous de ses seins.

Dédé et Claude se mettent à genoux de chaque côté de Laurine, qui gémit de plus en plus avec ses doigts qui fouillent sa chatte et je vois qu’elle me fait un coup d’œil discret.
Ils pelotent à tour de rôle sa belle poitrine aux tétons tout roses et tous durs, et moi je commence à avoir une belle trique. Laurine geint assez fort et Dédé bande comme un taureau et je me dis qu’il doit avoir une aussi grosse queue que son père. Dédé très excité me demande.
– Je peux toucher sa chatte,
– Bien sûr ! Mais si tu la fait jouir elle va se réveiller.
Il s’installe entre ses cuisses et pousse la main de Laurine pour mettre deux de ses doigts à la place de ceux de ma petite-fille. Quand ses doigts glissent entre les lèvres de sa chatte et commence à la branler, Laurine gémit plus fort et arque un peu son dos. Claude baisse son short, prend la main de Laurine pour la poser sur sa grosse bite et Laurine, mécaniquement, commence à la branler. Dédé a ajouté un troisième doigt pour lui fouiller sa chatte et son pouce a trouvé son clito.
Je sors ma queue et je pose l’autre main de Laurine dessus qui me branle immédiatement. Elle joue encore l’endormie mais je vois bien aux petits soubresauts de son ventre qu’elle va jouir.
Elle jouit en roulant sa tête de droite à gauche, le corps arqué pour s’enfoncer les doigts de Dédé autant qu’elle peut, et Claude et moi pinçons ses tétons pour augmenter son orgasme.

Remise de son orgasme, elle ouvre les yeux et balbutie.
– AAaaahhh… mais…que… Papy ! Qu’est-ce qu’ils font !
– Ils t’ont vu entrain de te caresser et n’ont pas résisté à franchir la haie pour mieux assister à ce spectacle enchanteur.
– Papa m’a dit que tu es une sacrée petite salope, et j’ai voulu voir par moi-même, dit Dédé.
– Moi je leur ai dit qu’on pouvait te faire jouir même quand tu dors et, que s’ils y arrivaient, ils auraient le droit de te baiser et même de t’enculer.
-Huuummmm, mon papy sait comment faire plaisir a sa petite fille !
Du coup, Dédé plonge sa tête entre ses cuisses et commence à lécher la chatte juteuse de Laurine tout en remettant ses doigts dedans.
– Ooohh, ouiiiii, Oui ! Ne vous arrêtez pas ! Je ferai tout ce que vous voulez !
Crie-t-elle en se tortillant sous langue de Dédé.
– Et n’oublie pas ma bite dit Claude en l’approchant de sa bouche.

Laurine suce la grosse bite de Claude plusieurs fois, puis retourne sa tête vers moi et c’est mon tour de me faire sucer par ma perverse de petite fille. Elle pousse un cri quand Dédé attaque son clito de sa langue.
– AAaaahhh, oui ! Mais je veux vos bites ! Prenez-moi maintenant, vite, avec vos bites !
Laurine se laisse tomber sur la pelouse et se met à quatre pattes. Claude et moi, à genoux à côté de sa tête présentons nos bites et cette garce prend celle de Claude dans sa bouche.
Dédé, hilare, est en admiration devant le cul de Laurine qui s’agite devant lui et surtout sa chatte luisante, un bijou dans l’écrin de ses belles fesses.
– Whaou ! Quelle chatte ! Il ne faut pas la faire attendre !
S’exclame Dédé caressant sa bite aussi grosse que celle de son père et qui la présente entre ses lèvres glissantes. Dédé pousse lentement sa bite dans le sexe de Laurine, qui pousse un miaulement de chatte en chaleur comblée, malgré la bite de Claude dans sa bouche.
– Putain ! Elle est serrée sa petite chatte, mais tellement humide que ça rentre sans problème!
Dédé n’en revient pas de baiser aussi facilement cette jeunette. Une fois en buté au fond de sa chatte brûlante, il commence à la baiser lentement puis il accélère progressivement.
De son coté, Claude apprécie de se faire sucer par Laurine.
– Une sacrée suceuse, ta petite-fille ! Elle avale même les grosses queues comme la mienne !
« D’accord, et moi alors. »
– A mon tour !
Laurine a bien entendu malgré les coups de bite de Dédé et laissant la bite de Claude, elle tourne sa tête vers moi en disant.
– Muuumm, sa bite est bonne mais j’aime autant la tienne papy.
Et elle me l’avale entièrement d’un seul coup !

Nous continuons comme ça pendant un certain temps avec Dédé qui la baise par derrière en tenant ses hanches à deux mains pour enfoncer sa bite dans sa chatte avec des bruits humides, puis Claude s’écrie.
– Dédé, laisse ta place à ton père ! J’ai envie de sa chatte.
– OK, Pa ! Viens, elle est super étroite ! Mais sacrément accueillante !
Claude se couche par terre et dit.
– Viens sur moi, Laurine. Je t’offre ma queue !
A suivre

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