L’autre jour, je rangeais la cave au restaurant où je travaille, j’ai 25 ans, je fais ce métier depuis 2 ans, le patron est venu pour m’aider, un gars d’une quarantaine d’années, marié, 1m80, mince mais musclé, on rangeaient la nouvelle livraison de vin et il a débouché un grand cru pour le goutter, pas mal le vin, ça nous a égaillés et on s’est mis à déconner sur les femmes puis le sexe, à un moment où j’était penché en avant à ouvrir des caisses, il m’a mit la main aux fesses en riant et en me disant que j’avais un joli petit cul, j’étais un peu gêné mais comme ont rigolaient, je n’ai rien dis mais il a recommencé et la , il m’a massé les fesses plus fermement en me disant que si je voulais, il pourrait me sucer, nous étions à la deuxième bouteille de dégustation et une certaine langueur me poussait à me laisser aller.
Je lui dis quand même que je ne suis pas homo, il me répond, pas besoin pour se faire du bien et il me saisit le paquet à pleine main, je ne sais pas si c’est l’intimité du lieu, le vin ou ses caresses, mais je me mets à bander.
– Tu n’es pas homo mais tu as l’air d’aimer ce que je te fais?
– Je crois que c’est le vin, lui dis-je
Il ouvre mon pantalon, le baisse et se met à fouiller dans mon slip
– Tu as l’air bien monté me dit-il en me massant le sexe et les testicules
Je bande de plus en plus et il sort ma queue en s’agenouillant à mes pieds, il la regarde, la lèche sur toute sa longueur et baisse mon slip.
– Beau morceau que tu as là, tu sais que tu pourrais me faire plaisir
– Comment ça patron, je n’ai jamais….
– comme avec les femmes, tu me fais comme tu leur fais, tu as déjà pris la petite porte avec elles, non?
Il me branle doucement, sans décalotter en massant mes couilles, j’ai envie de me faire sucer, mais quand même, un mec
– Oui bien sur, mais je ne suis pas….
– Je sais, ferme les yeux, pense à une femme et laisse toi faire, tu vas aimer
Il m’embouche et me décalotte avec ses lèvres, la vache que s’est bon, il descend jusqu’au pubis et remonte
– Tu sens la pisse, ça m’excite et il se remet à me pomper, il le fait bien et en fermant les yeux, je crois être sucé par une copine, il a passé une main derrière et me pelote les fesses puis ses doigts glissent dans ma raie, je me contracte sous l’attouchement
– Tu es puceau du petit trou, me demande t’il?
– Ben oui
– Pas moi, me répond t’il, tu veux pas me la mettre?
– Patron, c’est gênant
Il se retourne quand même, prend appuis sur une pile de caisses et me tend ses fesses
– Viens, met la moi, une belle tige comme cela, tu vas bien me ramoner et d’une main, il s’écarte les fesses pour me montrer le chemin de son anus, sa raie est velue et l’orifice marron palpite au milieu de sa forêt capillaire, il prend plusieurs fois de la salive à sa bouche et se tartine la rosette, il se rentre même un doigt dans le cul pour préparer le passage, je suis éberlué par son attitude et en même temps, je bande comme un phoque, j’ai envie de fourrer.
Je me colle à son arrière train et positionne ma verge, le gland contre son trou, il pousse de lui même vers ma queue et s’empale en deux secondes, toute la longueur de ma bite disparait dans son sphincter.
Il a poussé un râle de plaisir, il en a vraiment envie, de se faire enculer
– Vas-y maintenant, défonce-moi, me dit-il
Je me mets en mouvement, son conduis est chaud et serré mais bien lubrifié par la salive, ma verge coulisse bien et je le ramone comme je fais avec mes copines, je ressors entièrement ma queue par moments pour mieux lui la renfoncer, ça lui déchire la rondelle à chaque fois, il couine sous la douleur-plaisir que lui procure ces pénétrations, je lui lime le cul en profondeur puis juste l’entrée, avec mon gland.
– Ahhh, salaud, t’encule bien dit-il dans un râle, fais moi dedans
Je comprends à ses paroles, qu’il veut que j’éjacule en lui, j’accélère le ramonage et sent mon plaisir monter, encore quelques coups de reins et je lui lâche ma purée dans les intestins, il pousse un crie de plaisir, il a du sentir le sperme couler en lui, ma bite fait des flocs-flocs dans son sphincter, encore quelques allés-retours et je me retire doucement de son cul, sa rosette est béante et du jus s’en écoule, ma queue est souillée et je reste comme ça, à pas savoir où m’essuyer
Il se retourne, je vois un filet de jus blanchâtre qui s’écoule de sa verge molle, a-t’il jouit?
– Alors, tu as aimé, un cul de mec ?
– Oui, merci patron, c’était aussi bon qu’avec les nanas
– Oh, mais ton dard est tout sale, attend, je vais appeler ma femme, elle va te nettoyer ça
– Ca va pas patron, pas vôtre femme, quesqu’elle va dire?
Il l’appelle avec l’interphone et lui dit de descendre avec le nécessaire, un code entre eux sans doute.
– T’inquiète, elle le sait que j’aime ça, quand j’ai personne sous la main pour me le faire, c’est elle qui me prend, d’ailleurs elle aime regarder aussi quand je me fais enculer, elle participe, c’est une vicieuse, elle me branche sur des hommes parfois, rien que pour regarder des mecs s’enfiler en se touchant la vulve, tu vas voir, quand elle va te laver, elle va te tester.
Sa femme arrive dans la cave avec un trousseau de toilette et un récipient d’eau chaude
– Ah, bien, je vois qu’on prend du bon temps ici, qui s’est fait fourrer aujourd’hui?
– C’est moi, dit le patron, le jeune est puceau des fesses
– Faites voir vôtre attirail, jeune homme, il a du vous chocolater le bâton, mon cochon de mari?
Je lui tends ma verge crottée entre les doigts
– Holà la, il s’est lâché sur vous, je vais vous débarbouiller ça, elle prend une lingette, la passe dans l’eau savonneuse et me nettoie le sexe, elle rince et me lave les testicules aussi, c’est bon, c’est chaud, sa main part entre mes cuisses et elle me lave la raie en frottant doucement mon anus, je trouve de suite la caresses agréable
– Alors comme ça, vous êtes vierge de derrière?
– Oui Madame, je ne suis pas homo
– Ce n’est pas grave ça, pas besoin de l’être pour aimer prendre une verge dans les fesses, vous avez bien sodomisé mon mari non, et pourtant il ne l’est pas?
– Ah, oui?
– Ca ne vous dis pas d’y goutter, il vous ferez ça très bien, de plus, je peux vous préparer à le recevoir en vous, une femme sait faire ce genre de chose
Elle a continuée à me laver et me sécher pendant qu’elle me questionnait, me touchant plusieurs fois l’anus avec insistance, comme pour le tester, son mari m’avait prévenu
– Je vais vous mettre un peu de crème d’hygiène intime sur le sexe, c’est une crème pour femme mais ça marche sur les hommes aussi
Elle prend un tube dans la trousse de toilette et dépose une grosse noix de produit sur mon gland, elle l’étale en me massant des deux mains, elle masse bien, ses mais massent aussi mes couilles et je me remets à bander
– Ah, popaul se réveille dit-elle, beau morceau, le patron doit être content d’avoir eu un truc comme ça dans le cul, hein chéri?
– Oui, pas mal, il m’a bien baissé, je l’ai sentie passer dit-il en nous regardant, la verge à la main, se branlottant pour retrouver de la vigueur
Elle a passée une main entre mes cuisses et m’étale maintenant de la crème dans la raie, elle touche du doigt ma rondelle et la masse en cercle, j’aime cette caresse et je me détends de l’orifice, elle en profite pour appuyer un peu et une phalange me pénètre, je sens que la crème me lubrifie et que je ne pourrais pas l’empêcher de rentrer en moi, c’est ce qu’il ce produit, un doigt entier vient de passer ma barrière virginale
– Et ça, vous aimez?
– Heu, oui Madame, vous le faites bien
– Attends, je vais voir si tu es accueillant, tu veux bien?
– Je ne sais pas Madame, quesque vous voulez me faire?
– Je vais voir si tu peux prendre plus que mon doigt
Et là, je sens qu’elle en rentre un deuxième, c’est moins agréable que le premier, je me sens écartelé, je pousse un petit crie de surprise
– Ho la pucelle, elle a mal avec seulement deux doigts, attend un peu que j’en rajoute un de plus pour pleurer
Le patron a l’air bien excité par la scène, son sexe a pris une taille de plus, son gland est mauve et gros, je le vois quand il se décalotte, une verge bien bandée qui me fascine, par moment j’ai envie de la toucher.
Il a du sentir mon attirance car il s’approche de moi et me la met dans la main
– Touche comme elle est dure et chaude me dit-il
Je la prend à pleine main et commence à le masturber, dans mes fesses, la patronne a remis de la crème et ses doigts coulissent sans douleur, elle me masturbe aussi et l’envie de ma faire sodomiser commence à poindre en moi, son mari m’appuie sur la tête pour me faire comprendre qu’il veut que je le suce, je me courbe pour le prendre en bouche, sa femme en profite pour passer derrière moi et un troisième doigt rejoint les deux autres, je suis déchiré du cul mais je ne proteste pas, j’ai une verge dans la bouche.
Le sexe du patron sent aussi l’urine, ça m’excite à mon grand étonnement, je le pompe comme mes copines me le font, je lui masse les couilles, elles sont grosses et velues et je les imagine pleines de foutre, je n’ai jamais avalé de sperme
– Chéri, viens voir ce mignon petit trou, il va te faire envie
Le patron passe derrière moi et s’accroupit pour me mater l’orifice fouillé par les doigts de la patronne
– A ça, c’est un bel anus de puceau, je suis sur que je serais bien dedans
– Ecoutez jeune homme, dit la patronne, vous êtes bien préparé, vôtre anus est à présent très accueillant, offrez le à mon mari, vous goutterez ainsi à ce plaisir que vous lui avez donné tout à l’heure, vous ne le regretterez pas
– D’accord, j’ai murmuré, honteux d’accepter d’être enculé par un homme, mais le désir est là, je veux maintenant savoir ce que procure une verge dans l’anus, je m’offre à la sodomie, je veux être dépucelé du cul.
La patronne a retirée ses doigts et les essuies avec une lingette
– Va y chéri, il est prêt, encule le
Elle a descendue sa culotte sur ses chevilles et, jambes écartées, se paluche la moule, son mari me saisit aux hanches et place son énorme gland contre ma rosette, il se frotte un peu pour récolter de la crème et lubrifier son braquemard, sa femme, les yeux hagards, le presse de me prendre
– Vas-y chéri, pète lui le cul, fourre le à fond, remplis lui la broîte, je veux l’entendre pleurer de plaisir
Je sens qu’il pousse pour forcer le passage, mon anus ne résiste pas, déjà bien ouvert par les doigts de sa femme, la verge me pénètre d’une traite et rentre profondément dans mon sphincter, je miaule de douleur.
Je suis envahis, la chose est énorme en moi, elle progresse au plus loin qu’elle peut, je dis, stop, arrêtez, c’est trop gros mais le dard est en moi et le patron me maintient fermement.
Sa femme se doigte, penchée sur mes fesses, à regarder la queue de son mari me perforer, elle donne des coups de langue sur sa verge et sur mon anus, il se met en mouvements, doucement il se retire puis se renfonce, il fait ce que je lui ai fait, il sait bien enculer aussi, plusieurs fois, il est ressortit entièrement et m’a remis son gland dans le cul, jouant avec le bourrelet, il me baise comme si j’étais une femme.
La sienne a saisie une bouteille et se la rentre dans la vulve, elle se masturbe violement en encourageant son homme à mieux me fourrer.
– Baise le bien chéri, fait lui un souvenir de sa première fois, casse lui le cul
– Je suis bien dedans, dit-il, il est serré, je vais lui faire dedans
– Non, dans la bouche, fait lui dans la bouche
Le patron me besogne, je ne suis plus qu’un trou pour sa queue, je ressens quand même du plaisir, le frottement sur ma prostate est de plus en plus jouissiffe, je vais éjaculer sans me toucher.
La patronne a posée la bouteille sur le sol, elle s’accroupie dessus et se la rentre dans l’anus, elle glisse sur le goulot qui la pénètre entièrement puis elle pousse pour faire rentrer le reste, elle est comme une folle à se déchirer la rosette, elle s’astique vivement le clitoris, le jus coule de sa vulve formant une flaque à ses pieds, elle pousse des petits cris à chaque centimètre entrant dans son sphincter.
Son mari me travail le boyau en férocité, je sens l’orgasme rectal arriver, je ne retiens rien et le sperme me coule du sexe, je prends un pied comme je n’en ai jamais pris, une sensation totalement nouvelle.
Il se met à gueuler qu’il va venir et se retire de mes fesses avec un bruit de bouchon,
Il vient devant moi et me présente sa queue souillée, je ne peux pas faire ça, trop pour aujourd’hui, je me détourne, dégoutté, mais c’est sa femme qui vient le nettoyer avec la bouche et la bouteille dans son anus, elle avale tout, ça n’a pas l’air de la gêner.
C’est une bite propre qu’il me fait sucer, je le pompe, l’astique, le branle et le liquide séminal m’arrose le palais et la gorge, je goutte à son jus de couilles épais, salé et sucré à la fois, en le mélangeant à ma salive , j’arrive à l’avaler.
La patronne se finie en gueulant des trucs obscènes et se met à pisser par terre en se défonçant l’anus avec la bouteille.
J’ai le cul en feu, un goût de sexe, de sperme et d’urine dans la bouche mais je reste quelques instants dans les vapes, j’ai été bien secoué, dans tous les sens du terme,
Une révélation pour moi, savoir que je peux prendre du plaisir par derrière me fait entrevoir l’avenir différa ment.
Le patron a ouvert une troisième bouteille pour arroser mon dépucelage et, tous les trois, nous nous sommes promis des parties de fesses pour le futur.
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