Je suis une femme sportive, mince, de taille moyenne avec des yeux très bleus et des cheveux courts châtain clairs. J’ai un bon métier de secrétaire de direction mais je ne suis pas du tout intellectuelle. J’ai du sens pratique et j’aime l’action et le sexe. Élevée dans une famille nombreuse, et catholique j’ai dû sauver les apparences. Ado je me suis beaucoup masturbée. Avec les doigts bien sûr car je suis très clitoridienne mais aussi avec une cuillère à soupe qui me provoquait des pressions délicieuses sur mes lèvres écartées.
J’aimais les milieux masculins qui m’étaient accessibles par le sport où j’étais performante. Jeune fille je faisais beaucoup d’escalade en montagne avec des bivouacs en altitude. Souvent j’étais la seule fille de la cordée. Mes copains me désiraient et j’en avais autorisé un, étudiant en philo très baraqué, à me caresser le sexe avant de s’endormir. Je jouissais mais il ne m’a jamais pénétrée. Moi je lui suçais le gland pendant que les autres faisaient semblant de dormir.
Quand j’ai commencé à travailler je me suis beaucoup faite draguer car les hommes sentaient que j’aimais ça. J’ai eu une aventure avec un jeune père de famille passionné de vélo. Nous allions pique-niquer dans un jardin public au lieu d’aller à la cantine et il me caressait très bien sans que l’enlève ma culotte. Moi je lui faisais une pipe dans les toilettes du parc. Je retournais au travail toute mouillée mais nous n’avons pas fait l’amour.
Je me suis mariée tôt, encore vierge, avec un jeune homme bien élevé de mon milieu. C’était même un voisin. C’était un jeune ingénieur, raisonnable, réfléchi, rationnel, travailleur. Nous avons eu un enfant. Il travaillait beaucoup et se détendait en bricolant pour améliorer notre petite maison. Il me faisait l’amour en position missionnaire sans trop de préliminaires et rapidement car il ne tenait pas longtemps. Moi, j’attendais qu’il s’endorme pour me masturber et me faire jouir plusieurs fois à côté de lui. Sexuellement je m’emmerdais mais affectivement j’étais bien en famille et n’avais pas envie de casser ça.
J’ai trouvé un nouveau travail en ville ce qui me donnait de la liberté de mouvement. J’ai commencé à avoir des aventures à la pause de midi. Je cherchais des trucs sans lendemain qui ne mettent pas en péril ma famille et je trouvais très facilement car les hommes aiment les coups rapides et sans suite. J’ai de très jolies jambes et je porte souvent des vêtements au-dessus du genou voire plus court.
Je travaillais dans un quartier populaire et je faisais les vitrines en flânant. Quand un homme m’abordait j’étais réceptive et l’évaluais rapidement. S’il était propre, poli, assez physique j’acceptais de prendre un verre. Si la discussion montrait qu’il était intelligent et voulait juste s’amuser je donnais mon accord pour un rendez-vous le lendemain. Il y avait un vieux couple du quartier qui louait une chambre à l’heure pour améliorer le quotidien. C’était plus discret que l’hôtel et c’est là que je me suis faite baisée de nombreuses fois par une grande quantité d’homme car je n’acceptais jamais deux rencontres avec le même. La vieille dame me dit un jour discrètement « mais vous vous faites payer ? ».
J’ai donc beaucoup joui en utilisant mon corps dans toutes les positions. La seule chose que je n’aime pas c’est la sodomie. Pour tout le reste je demandais et les hommes me satisfaisaient. Avec toute cette expérience j’ai su rapidement ce qui m’excitait le plus et j’en ai vraiment profité. J’aimais les grosses queues bien raides, circoncises c’étaient mieux. J’aimais me faire prendre en levrette et sentir la frappe au fond de mon vagin et sur mes fesses pendant que je me masturbais le clitoris. J’aimais que ça dure longtemps et que l’homme soit épuisé après, en sueur c’était mieux. Les arabes étaient mes meilleurs amants et j’aimais bien quand ils me parlaient dans leur langue en me défonçant car j’imaginais les propos qui me stimulaient le plus.
A la maison la situation s’est dégradée car je n’avais plus du tout envie de sexe avec mon mari et les répercussions sur l’ambiance ont été rapides. Ça a craqué un jour d’engueulade où il me reprochait mon manque d’affection je n’ai pu m’empêcher de lui répondre « moi c’est de virilité dont je manque ». Nous avons divorcé et j’ai commencé une vie de femme libre qui dure encore.
J’ai rapidement cessé les aventures sans lendemain et j’ai pris pour amant le patron de ma boite dont je suis devenu l’assistante. Il travaillait beaucoup et avait de gros besoins de décompression. On baisait dans son bureau le soir presque tous les jours avant qu’il ne rentre voir sa femme et ses gosses. C’était lui aussi un sportif en forme, bon skieur, bon nageur. Il me secouait comme je crois qu’il n’avait jamais osé le faire avec sa femme car il voyait que j’aimais ça. En conséquence ma situation s’est améliorée j’ai eu des augmentations puis une promotion. Il m’emmène maintenant en déplacement lorsqu’il voyage pour affaires. Je lui suis devenue indispensable.
Le soir je pense des fois à ces hommes d’un jour en me disant que sans doute je peux les croiser dans le quartier sans être capable de les reconnaître.
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