Quand je suis entré dans le vestiaire, un couple était en train de faire l’amour, la femme à genoux en train de sucer la bite de son partenaire. Le type était particulièrement bien monté. La femme ne gardait que le gland entre les lèvres avant de renfoncer la bite au fond de sa gorge.
Je les ai regardés et je ne sais pas combien de temps ça a duré puis la femme s’est reculée et elle a tourné la tête et elle a vomi le sperme sur le sol puis elle s’est relevée et je suis entré dans le vestiaire comme si de rien n’était. Le type a mis ses mains devant sa bite. Je suis allé me laver les mains.
– Vous avez vu quelque chose, m’a demandé le type qui s’était posté près de moi ?
Il semblait vouloir se laver les mains lui aussi. La femme avait disparu dans une des cabines. Tout à coup, un râle a fait irruption dans la pièce.
– Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! Aaaaaaaaaaaaaaaaaaa ! Oh, oui !
Je pouvais voir le visage du type dans le miroir au-dessus du lavabo. Il avait l’air gêné et il a voulu se justifier en me disant que c’est sa femme.
A ce moment, la femme est sortie de la cabine. Elle avait rajusté le bas de sa robe mais l’arrière était resté coincé dans sa petite culotte. Elle ne s’en est pas aperçu tout de suite et on pouvait voir ses cuisses.
– Tiens, lui a fait le type qui l’avait rejointe, c’est la somme qu’on avait dite !
Il lui a fourré des billets dans la poche de sa robe. La femme a ramassé son sac et elle est sortie. J’ai eu l’impression de la suivre mais je voulais sortir de ce vestiaire.
– Deux cents euros, m’a dit la femme dans le couloir !
– Deux cents euros pourquoi, lui ai-je demandé ?
– Deux cents euros pour une pipe, m’a répondu la femme !
Je lui ai répondu que pour cette somme j’ai droit à beaucoup plus.
– Et quoi en particulier ?
– Je pourrais t’enculer !
– Rien que ça, s’est exclamé la femme !
Elle devait avoir la quarantaine, peut-être moins. En tout cas elle avait un joli visage et de jolis cheveux bouclés. Elle avait aussi une belle poitrine. Je ne sais pourquoi, je lui ai demandé si je peux voir ses seins. Elle m’a répondu que je n’ai pas encore payé, mais elle a tiré sur son décolleté et elle m’a montré le début de ses aréoles puis elle a tiré encore plus et j’ai vu son mamelon gauche en me demandant si ça me plaît.
– J’ai besoin d’argent, a encore ajouté la femme !
– D’accord ! Où ?
Elle m’a montré la porte du vestiaire.
– Non, pas là !
J’avais la main dans la poche de ma veste et je tripotais un trousseau de clé et je me suis souvenu que c’était celui d’un des appartements que je faisais visiter pour l’agence où je travaillais. Ce n’était pas très loin. J’ai proposé à la femme d’y aller et elle est partie devant moi. Je lui ai laissé un peu d’avance et je l’ai rejointe. Elle m’attendait dans l’ascenseur. J’en ai profité pour poser la main sur sa poitrine sans qu’elle s’émeuve puis j’ai ouvert la porte de l’appartement.
– Je vous préviens, je n’en ai pas fait un métier !
– Quoi ?
– C’est juste que j’ai besoin d’argent !
– Moi, jusqu’ici je n’y avais jamais pensé ! C’est tout à l’heure…
– Je me déshabille ?
Sans attendre ma réponse, la femme s’est déshabillée et j’ai pu voir qu’elle était encore mieux que je que j’avais imaginé même si ses seins avaient pas mal dégringolé mais ce n’était pas pour me déplaire. Ses mamelons lui arrivaient presque au nombril. Quand elle a surpris mon regard, elle m’a avoué qu’elle avait eu plusieurs enfants puis elle m’a dit de me dépêcher car elle doit aller les récupérer.
J’ai sorti ma bite. J’ai mouillé mes doigts et j’ai humidifié mon gland puis je l’ai enfoncé dans l’anus de la femme. Elle m’a dit que c’est la première fois. Je lui ai demandé si elle aime ça. La femme m’a répondu que ça fait mal mais j’ai insisté. Elle s’est mise à gigoter des fesses puis elle m’a dit que ça va mieux. J’ai limé pendant un bon moment. La femme m’a dit de me dépêcher et j’ai joui au fond de son anus. Elle s’est essuyée puis elle allait partir quand elle s’est rendue compte que je ne lui avais pas donné l’argent et elle me l’a réclamé. Elle a pris les billets puis elle m’a dit qu’elle emmène ses enfants tous les jours à l’école du quatier et elle a ajouté que je pourrais l’attendre à une heure et demie.
J’ai remis un peu d’ordre dans l’appartement et je l’ai laissée partir. J’avais touché mon bonus pour mon mois mais je ne voulais pas le gaspiller. Le lendemain je suis allé au rendez-vous. Ma femme était partie chez sa mère pour l’aider et j’étais seul et je m’ennuyais, non pas qu’elle me satisfasse. Après plusieurs années d’enchantements où c’était elle qui prenait le plus souvent l’initiative, elle s’était calmée, ce qui ne l’empêchait pas de se masturber en secret.
J’avais réussi à l’enculer plusieurs fois mais elle n’arrêtait pas de me demander quel plaisir je pouvais y prendre.
– Je dois être ici à cinq heures, m’a prévenu la femme ! Ça nous laisse un bon moment et pour trois cents euros, je fais ce que vous voulez ! Vous êtes gentil !
Je l’ai ramenée à l’appartement. La chambre à coucher était meublée et il y avait un grand lit.
– Alors, on fait quoi, m’a demandé la femme ? Je commence par vous sucer ? Pour le reste ne vous inquiétez pas, j’ai apporté des capotes !
Pendant qu’elle se déshabillait, j’ai regardé discrètement dans son sac et j’ai trouvé un godemiché et je lui ai demandé ce qu’elle fait avec ça. Elle m’a répondu sans hésiter que la semaine précédente, elle avait fait l’amour avec des femmes.
– Des femmes ?
– Oui, un couple de… vous savez bien… des lesbiennes !
– Ah, parce que tu aimes ça aussi !
Elle a eu l’air étonné par ma familiarité. Je me suis assis au bord du lit et elle s’est agenouillée entre mes pieds puis elle a entrepris de me sucer. Je lui ai dit qu’elle est doué mais comment aurait-elle pu me répondre ? J’ai posé les mains sur sa tête pour accompagner son mouvement. Ma femme ne m’avait jamais fait ça de cette façon. La femme engloutissait ma bite tout doucement et une fois bien au fond, elle attendait je ne sais quoi avant de la libérer et ça me rendait fou et elle recommençait.
– Tu aimes ça, m’a-t-elle demandé en m’envahissant ? Maintenant, tu es bien raide ! Tu veux me prendre dans la chatte ?
– On met une capote ?
Elle m’a dit qu’elle voit bien que je ne suis pas malade puis elle s’est penchée sur le lit et je suis venu derrière elle et je l’ai prise dans la chatte. Cette salope était déjà bien préparée J’ai limé un bon moment avant d’aller dans son trou du cul puis je suis revenu à sa chatte. Je n’en pouvais plus et j’avais envie de jouir mais je n’y arrivais pas si bien que la femme m’a terminé en me branlant puis nous sommes restés sans rien dire.
– J’ai eu l’impression que tu aimes mes seins, a ajouté la femme !
– J’aime bien quand ils pendent !
– Oui, j’ai compris, m’a répondu la femme ! Tu as le droit de les toucher !
– Et aussi de leur faire du mal ?
Elle m’a répondu qu’après tout ce n’est que de la chair. Elle s’est tournée vers moi et ses seins se sont écoulés sur mon bras. J’ai empoigné les mamelons et j’ai tiré dessus. Ça ne semblait pas lui faire du mal mais tout à coup, elle a poussé un cri.
– Quoi ?
– Tu bandes à nouveau ! Mets-moi ta queue !
– Dans quel trou ?
– Peu importe ! Tu as payé !
Je me suis lâché. Elle ne me suçait plus ; je la baisais dans la bouche. Elle empalait son cul et son vagin sur ma bite. Elle était complètement déchaînée. Plusieurs fois, elle m’a demandé de la faire jouir. J’observais sa main gauche. Aucun doute qu’une alliance avait laissé des traces. Je lui ai demandé si elle est mariée.
– Je l’étais, m’a répondu la femme ! Dieu l’a rappelé auprès de lui !
– Quoi ?
J’avais bien compris. Je lui ai demandé si elle risque quelque chose et comme elle ne répondait pas, j’ai joui dans son vagin que l’ai léché par la suite. La femme m’a dit que je suis gentil. C’était la première fois que je goûtais mon foutre. Après la femme s’est rhabillée. Je lui ai demandé pourquoi elle ne se lave pas et elle m’a répondu que j’ai déjà fait le travail. Quand nous sommes sortis de l’appartement, je lui ai mis la main au cul et elle m’a dit en riant que je dois payer.
L’appartement a été vendu le week-end suivant. J’ai continué à voir la femme, même quand ma femme est revenue. Ça me changeait les idées même si parfois ça me faisait baiser deux fois par jour. La femme me parlait de ses rencontres et je lui ai souvent dit que je préfère qu’elle se gouine et c’est devenu sa spécialité jusqu’au jour où elle m’a proposé de partouser avec une de ses clientes. J’ai fini par accepter mais quelle ne fut pas ma surprise de découvrir qu’il s’agissait de mon épouse mais comme elles ont insisté pour que je reste, nous avons fait ce pourquoi j’étais venu.
Elles se gouinaient devant mes yeux et j’en profitais pour m’enfoncer dans un des trous. Après nous êtes épuisées, nous sommes restés sur le lit sans dire un mot.
– Je voulais te dire que je l’étais déjà avant que tu ne me propose de t’épouser, a alors dit mon épouse !
– Et moi, je n’ai jamais eu le courage de le dire à mon mari, a ajouté la femme !
– Faut dire que chaque fois que tu m’enfonçait ta queue, tu me remettais à ma place, a ajouté mon épouse !
– Et de quelle manière, a fait la femme ! On aime les femmes et on aime aussi la bite !
La femme avait commencé à se caresser la chatte et mon épouse l’a aidée en y mettant sa main et du coup, c’est elle que la femme a masturbé.
– Cochon ! Ça t’excite, m’a-t-elle lancé !
Bien sûr que ça m’excitait. Je me suis mis debout devant elles et elles ont pu me branler avec leur main libre ou avec leur bouche et quand je leur ai dit que j’allais jouir, elles m’ont dit qu’elles aussi et j’ai joui sur leur visage et sur leurs seins.
– Elle te plaît, m’a dit ma femme en revenant chez nous !
– Beaucoup !
– Alors, on va continuer avec elle ! Je préfère savoir avec qui tu couches ! Oh, chéri, je suis si contente que ça te plaise !
Elle s’est penchée sur moi et elle m’a sucé et j’ai failli griller un feu rouge. Il y avait deusx femmes qui s’embrassant sur le passage piéton. Elle semblaient furieuses.
– Vous venez, mes chéries, leur a lancé mon épouse en abaissant sa vitre ? Pour vous, ça sera gratuit !
Quelle ne fut pas ma surprise de voir les deux filles monter à l’arrière de la voiture. Elles n’avaient guère plus de dix-huit ans et elles ne se sont pas gênées de continuer à s’embrasser et à montrer leurs seins pour qu’on puisse les voir dans le rétro. Après, elles sont montées chez nous.
– Vous êtes si jeunes, leur a dit mon épouse !
– Oui, c’est pourquoi on était si impatientes…
– Je veux vous baiser et mon mari vous paiera !
– Alors, ça sera gratuit, nous a répondu la plus jolie ! On verra ensuite pour la prochaine fois.
On s’y ai mis tous les quatre. Ça nous faisait de la chair fraîche. Alors que mon épouse baisait avec la blonde, son amie s’est approché de moi et elle m’a murmuré quelque chose à l’oreille.
– Quoi ?
J’avais eu peur de comprendre.
– Je veux faire un bébé et pour moi c’est le bon moment, m’a répété la fille ! Je promets de ne pas te faire d’ennuis !
Je me suis mis sur elle.
– Merci, m’a dit la fille !
– Je prends juste un bonus, ai-je ajouté avant de m’enfoncer dans son anus !
Elle m’a laissé faire avant de me demander de jouir par devant. J’avais bien compris.
– Fais-moi jouir quand même, m’a encore dit la fille !
Quand j’ai senti que ça venait, je me suis enfoncé dans son vagin.
– Ah chérie !
– Ça vient, m’a répondu la fille !
Ma femme continuait à s’amuser avec l’autre fille.
– Ça vient ça y est, m’a murmuré la fille !
Je le voyais bien et puis pour moi c’était pareil. Je n’ai jamais su si ma semence a été utile puisqu’on n’a jamais revu ces filles. Peu après ma femme est partie avec une de ses copines. Je suis resté seul puis j’ai fini par habiter avec un copain, mais aucune relation cette fois.
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