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Louise

Louise



À l’époque où ces faits se sont passés, Louise avait déjà 63 ans et moi tout juste 19 ans.

Mes parents venaient d’acheter une maison de campagne dans ce petit village perdu au centre de la France, un coin hyper-paumé où il n’y avait rien à faire… Encore une idée de mon père !

Et moi, cette année-là, je n’avais pas pu échapper aux vacances en famille dans ce trou perdu. Je venais de rater mes examens et je devais les repasser en septembre. Alors, inutile de dire que le paternel ne m’avait guère laissé le choix, et c’est avec tristesse que j’avais vu partir ma copine en Espagne où nous devions faire une virée avec des amis.

J’étais donc coincé au beau milieu de nulle part. Je passais mes journées à tourner en rond. Je n’avais guère envie de bosser, je remettais toujours toutes ces satanées révisions au lendemain. Pour tuer le temps, je passais mes journées à me balader ici et là, sur les sentiers de randonnée, ou alors j’allais à la pêche. Il n’y avait guère que ça à faire dans ce bled paumé.
Au mieux, en fin d’après midi, j’allais au troquet pour boire un godet ou pour manger une glace. Je rencontrais parfois quelques jeunes désœuvrés qui avaient eu la malchance d’atterrir là, tout comme moi. Quelques jeunes branleurs, mais pas de quoi faire la fête. Pour la plupart c’était des fils de paysan qui étaient étudiants à la ville, ils venaient passer un peu de temps avec leurs vieux…

Et dire que ma copine m’envoyait des cartes postales ensoleillées ! Il y avait vraiment de quoi être écœuré.

La première fois que j’ai rencontré Louise, c’était un soir après dîner. Nous étions voisins et ma mère l’avait invitée par politesse à venir manger le gâteau.
Il faut dire que maman était un peu comme moi, elle commençait vraiment à s’ennuyer ferme dans ce trou à rats et elle recherchait désespérément la compagnie des voisins.
Pourtant Louise n’était pas le genre de femme dont elle aurait pu se faire une amie. C’était vraiment une paysanne pure souche, elle n’avait jamais quitté sa vallée et n’avait même pas la télé.
Quant à ma mère, tout au contraire, c’était une parisienne convaincue qui passait son temps devant le petit écran.
Autant dire que les deux femmes n’avaient pas grand chose à se raconter.

Petite, râblée, un peu boulotte, Louise avait de longs cheveux gris qui lui donnaient l’aspect d’une vieille femme. Vêtue sans grâce, à la paysanne, souvent avec un tablier, elle n’était bien entendu ni maquillée ni même peignée, et ne faisait aucun effort pour se mettre en valeur.
Pourtant, malgré ses rides et son teint fané, des traits fins indiquaient qu’elle avait dû être jolie à une certaine époque.

Cette voisine n’étant guère causante, ma mère en eut vite fait le tour.
Tout juste apprit-on que ses parents étaient originaires de Bretagne, et qu’ils avaient atterri là on ne sait trop comment, quelques mois avant la naissance de la petite Louise.
Et puis, l’année de ses 16 ans, on l’avait mariée à un voisin plus âgé qui possédait quelques arpents de terre. Ils avaient vécu heureux mais n’avaient pas pu avoir d’enfant. Et son pauvre mari n’avait pas eu non plus le loisir de profiter de sa retraite, un cancer l’ayant terrassé en quelques mois, il y a de ça presque 10 ans.

Louise ne s’ennuyait pas ici, elle avait deux ou trois amies au village, fréquentait assidûment le bibliobus et surtout adorait se promener dans la campagne et flâner dans les bois.
Comme je faisais la moue en ayant l’air de dire que je me faisais chier à cent sous de l’heure, elle nous invita, ma mère et moi, à venir faire une promenade avec elle le lendemain. Elle nous dit qu’il y avait de très jolis petits coins à visiter dans la région. Mais ma mère, qui n’est vraiment pas une marcheuse, et qui préfère de loin les salons à la cambrousse, déclina l’invitation.

— Et vous Éric, vous viendrez ?

Me voici donc le lendemain vers quatorze heures à frapper à la porte de cette voisine. Elle finit par ouvrir, les cheveux en bataille et la robe à moitié débraillée. Visiblement je l’aavais réveillée, elle était en train de faire sa sieste. Je m’en excuse, elle m’invite à entrer, me propose un café.

— Oh Éric, il est un peu tôt pour partir en promenade, surtout sous ce soleil de plomb, je pensais plutôt y aller vers les 4 heures. Mais puisque vous êtes là, vous allez me tenir compagnie.

Je m’assois donc dans le fauteuil et elle sur le canapé. Sa robe à moitié dégrafée laisse entrevoir un soutien-gorge ordinaire et le haut de ses seins est relativement rebondi.
Ça n’a pas l’air de la gêner outre mesure de se présenter ainsi débraillée. Pour elle je ne suis sans doute qu’un jeunot et elle une vieille femme, et il n’y a donc rien de sexuel entre nous.
Mais, en ce qui me concerne, à 19 ans, rien que de voir un bout de nichon, même si c’est celui d’une vieille femme flétrie, ça m’émoustille au plus haut point.
Il faut dire, à ma décharge, qu’après plusieurs semaines de solitude, j’ai des envies salaces et les couilles prêtes à exploser.
Tout en discutant, je ne peux m’empêcher de revenir régulièrement sur son bout de sein.

Elle est beaucoup plus causante que la veille, sans doute ma mère l’a-t-elle intimidée. Elle me parle de ses centres d’intérêt et en particulier de ses lectures… Elle me demande si j’aime lire. Non, j’ai horreur de ça, mis à part les bd et les romans de science-fiction. Mais je me sens en confiance avec elle, à tel point que je finis aussi par lui avouer que je lis aussi des livres de cul et des revues pornos. Elle n’a pas l’air de s’en formaliser. Malgré son âge, elle semble très compréhensive.

De fil en aiguille nous en arrivons à des sujets plus personnels. Je lui parle de ma petite amie. De mon côté, très indiscret, je cherche à savoir si elle a quelqu’un dans sa vie. Elle me dit que « non », qu’elle n’a vraiment personne.
Très franche, elle m’avoue, sans ambages, qu’elle n’a eu qu’une seule aventure sans suite depuis son veuvage. C’était il y a quatre ans avec un vacancier de passage mais, après les vacances, elle n’a plus jamais eu de ses nouvelles.

— De toutes façons, je suis une vieille femme, et ces choses-là ne sont plus de mon âge.

Je lui assure que « non », qu’on peut faire l’amour à tout âge et qu’elle est encore très désirable.
Elle sourit gentiment :

— Merci, Éric, pour ce joli compliment, mais je me vois dans la glace, je suis réaliste.

Non, justement, elle ne se voit pas, et moi je la trouve encore très «bandante». Ce mot de bandante s’échappe de ma bouche, j’essaie de le récupérer et, du coup, elle éclate de rire.

— Voyons Éric, ne soyez pas gêné, la spontanéité est l’apanage de la jeunesse, exprimez-vous comme bon vous semble, je ne fais pas œuvre de censure.

Et nous rions cette fois tous les deux lorsque je réitère mon compliment. Mais cette fois je parle très fort et très distinctement :

— Oui, Louise, c’est vrai, je vous trouve très bandante avec votre tenue débraillée et la vision de ce sein que je trouve si excitant.

Du coup elle se rafistole prestement.

— Allons Éric, petit coquin, voyons, calmez-vous, je ne suis qu’une vieille femme.

Elle se lève et se prépare à partir en balade.
Mais en a-t-elle vraiment envie ou est-ce uniquement pour faire diversion, parce qu’elle a peur que ce genre d’allusion ne tourne mal ?
Et moi, je ne sais pas ce qui me prend, est-ce le fait d’avoir parlé ainsi, mais je me mets vraiment à bander à fond pour cette vieille femme.

Nous partons en excursion par cette journée radieuse. Elle a mis un pantalon en toile et des grosses chaussures de marche, ce qui lui donne un aspect encore moins féminin. Et, en haut, une vieille liquette à carreaux.

Elle file bon train le long d’un petit sentier vallonné. Finalement, je dois reconnaître qu’elle a une sacrée santé alors que moi qui ne suis pas très sportif, j’ai bien du mal à suivre.
Enfin parvenus de l’autre côté de la montagne, nous descendons vers le ravin. L’endroit est plus frais et très verdoyant, le torrent qui glousse en contrebas nous incite à accélérer le pas pour nous désaltérer.

Nous arrivons en bas, et c’est vrai que le cadre est magnifique. À cet endroit, le torrent s’élargit et forme un petit lac d’eau très claire, avant de replonger à nouveau en contrebas, dans une cascade tonitruante.

Engoncé dans la montagne, protégé du soleil par une végétation luxuriante qui contraste avec l’aridité du plateau, ce lieu est à proprement parler paradisiaque et nous y sommes seuls au monde. Louise retire ses chaussures de marche pour faire trempette dans l’eau glacée. Je l’y rejoins, l’eau froide est vivifiante. Après avoir soigneusement relevé les jambes de nos pantalons, nous avançons un peu plus avant dans cette petite piscine naturelle creusée dans la roche.

Et puis soudain, catastrophe ! Louise glisse sur une pierre, essaie désespérément de se retenir à moi mais, trop tard, elle plonge de tout son long dans l’eau glacée, heureusement peu profonde à cet endroit.
Elle se relève, elle est mouillée de la tête aux pieds, elle grelotte à moitié. Je l’entraîne vers la berge en lui frictionnant le dos. Mais ça ne suffit pas, ses vêtements détrempés vont lui donner la crève. Je lui propose mon t-shirt et mon jean. Dessous je suis en caleçon et, avec un peu de chance, ses habits vont sécher rapidement.

Sur ses injonctions, je me retourne pudiquement pour qu’elle puisse se changer.
Puis nous nous asseyons sur une pierre après avoir étendu ses vêtements au soleil ; culotte et soutien-gorge compris, tout était trempé.
Elle est là près de moi, dans mes habits trop grands pour elle, les seins nus sous mon t-shirt et la foufoune à l’air dans mon jean. Je ne peux pas m’empêcher de penser à tout ça et ça me donne la trique et, comme je suis en caleçon, j’ai un peu de mal à cacher mon état. Ma bite se redresse inexorablement.
Dire qu’elle est là, à quelques centimètres de moi, entièrement nue sous mes habits, je ressens presque sa chaleur. C’est fou l’effet que ça me fait…
Mais, restons calme, cette femme a quand même l’âge de ma grand-mère !

— Ça va, Louise, vous n’avez plus froid ?
— Oh non, ça va. Je me réchauffe au soleil.
— Vous aimeriez que je vous frictionne ?
— Je crois que ce ne serait pas très raisonnable dans votre état.

Je rougis jusqu’aux oreilles. Merde, elle a remarqué. Percé à jour, je baisse les yeux, gêné et honteux de mes pensées salaces.

— Ecoutez Éric, je vais vous confier un secret, mais il ne faudra jamais que ça se sache
— Que ça se sache, quoi ?

Et là, l’incroyable se produit ! Elle se relève devant moi et ôte le t-shirt. Je n’en crois pas mes yeux, ses seins lourds et tombants sont entièrement nus devant moi. Elle me regarde fixement et son regard pétille.

— Alors, ils vous plaisent ?
— Enormément.

Quelle poitrine d’enfer, ils ont beau être tout ce qu’il y a de plus tombants, ils sont néanmoins terriblement excitants. Mes yeux ne se détachent plus des appendices mammaires.

— Ne me dites pas que votre copine n’en a pas de plus beaux.
— Les vôtres sont diablement excitants !

En disant ceci, je suis vraiment sincère. Louise a beau avoir les cheveux tout gris, elle n’en est pas moins femme et attirante.

Et la voici maintenant qui laisse tomber le pantalon sur ses chevilles, qui s’offre entièrement nue devant mes yeux émerveillés. Sa chatte est très poilue et grisonnante, son bassin est large, ses fesses sont encore remplies mais un peu molles…
Je suis aux anges, émerveillé de la voir ainsi s’exhiber entièrement dans ce décor champêtre. Et j’ai très, très envie d’elle. Je la trouve tellement bandante.

Serait-ce une invitation ?

Ma bite est très dure et bien dressée. Je me relève et enlève mon caleçon à mon tour pour lui montrer mes attributs. Nus comme des vers sur le rocher, nous nous regardons un long moment. Elle regarde fixement mon jeune dard qui pointe vers le soleil.

— Louise, vous voyez l’effet que vous me faites, vous voyez comme je vous trouve bandante !

Bien sûr qu’elle le voit, elle ne voit plus que ça.
Certes, elle n’est plus toute jeune, certes elle a vécu sa vie, certes elle est un peu abîmée par le temps, mais je n’en bande pas moins comme un ours pour elle.

Je m’approche d’elle, je l’enlace, elle tend sa bouche vers moi, je lui roule une pelle passionnée en caressant ses seins, comme j’aurais fait à une copine. D’ailleurs je ne fais plus vraiment la différence.
Elle a très envie, ça se sent. Elle est très chaude et sous l’emprise d’un désir fou.

Sans hésiter une seule seconde, la voici qui s’agenouille devant moi et engloutit mon vit sans sourciller. Elle me pompe avec entrain. Hum ! Cent fois mieux que ma copine, elle est plutôt douée, elle fait ça bien. Je baisse les yeux vers elle, elle me regarde avec envie en léchant mon bâton avec appétit. C’est particulièrement excitant de se faire sucer ainsi.

C’est tellement bon que je lui prends la tête et l’attire à moi en gémissant. Elle me branle en me léchant, je ne vais plus pouvoir tenir longtemps. Elle est folle, à ce rythme, je vais jouir très rapidement. Je la sens de plus en plus excitée, de plus en plus gourmande.
J’atteins le point de non-retour. Elle me ressort au dernier moment et s’asperge copieusement le visage tout en fermant les yeux. C’est merveilleux, elle est couverte de sperme, sur la bouche, sur la figure et dans les cheveux. Des gouttes de jus roulent sur ses joues…

Le temps de reprendre mes esprits…

C’est alors à mon tour de la faire allonger sur la roche et de me mettre entre ses cuisses. Son odeur est très âcre, presque entêtante. Mais, loin de me faire fuir, cette odeur m’excite au plus au point.
Je ne me reconnais pas, moi qui ne veux jamais manger l’abricot de ma copine lorsqu’elle n’a pas pris sa douche. Mais aujourd’hui cette vieille chatte poilue très odorante me rend fou.
Je le bouffe sans retenue, j’écarte ses lèvres pendantes et aspire le jus de sa chatte comme s’il s’agissait d’une huître. Je suis vorace, plein d’appétit, j’ai envie de tout bouffer. Me voici même en train de lui sucer le cul en pétrissant ses fesses. Elle me rend fou.

Je continue à la dévorer comme ça encore de belles minutes jusqu’à ce qu’elle jouisse dans ma bouche, secouée par une série de spasmes impressionnants. Elle laisse échapper de son sexe un liquide chaud et acide dont je me délecte avec ravissement.
La jouissance est telle qu’elle ne peut plus se retenir. La voici qui me pisse carrément dans la bouche. J’avale tout, j’adore son jus, j’adore sa jouissance.

Remise de ses émotions elle tente vainement de s’excuser de cette débauche de liquide mais je lui réponds que j’ai adoré qu’elle m’éclabousse de son jus chaud.

La tornade est passée, mais j’ai à nouveau envie de la toucher. Je caresse ses seins lourds, je les pétris, je les soupèse, je les tête aussi. Ses gros nichons me font bander, c’est plus fort que moi, les bouts sont durs, c’est merveilleux. Je m’acharne sur sa poitrine :

— J’aime vos gros nichons, vos gros nibards me donnent la trique.

Je suis peut-être trop vulgaire, mais ça a l’air de l’exciter. De nouveau la voici entre mes cuisses en train de me sucer. Mais c’est une vraie goulue… Pendant quelques minutes je lui prends la tête et je lui baise la bouche. Aucune protestation. Bien au contraire, des gémissements de satisfaction à chaque coup de bite. Son plaisir n’est pas feint.
Ensuite je me retire, je ne voudrais pas jouir à nouveau dans sa bouche. J’ai trop envie de la baiser. Mais elle me retient, elle est comme folle, elle cherche à m’agripper. Elle lèche mon gland, elle lèche mes couilles, elle me lape, elle m’aspire. Elle est complètement débridée.

— Baisez-moi, Éric, baisez-moi profondément avec votre gros sexe. J’ai très envie de vous sentir en moi. Défoncez-moi. Remplissez-moi.

Je ne me fais pas prier.
Ma trique rentre en elle comme dans du beurre et je me mets aussitôt à la ramoner profondément, avec vigueur. Elle répond à mes à-coups par d’autres coups de reins. Elle en veut toujours plus, cette cochonne.
Par la suite, je lui fais changer de position, penchée sur le côté contre un rocher puis carrément à quatre pattes par derrière. J’accélère les mouvements en la traitant de tous les noms. Je l’entends jouir encore une fois, puis une autre. Désormais je la pilonne sans retenue en lui promettant de lui remplir la chatte de foutre, ce que je fais bientôt en hurlant à la mort. Et je me vide enfin, sans retenue, dans la cramouille de cette vicieuse.

Nous nous sommes finalement rhabillés, de vilains nuages venaient d’obscurcir l’horizon. L’orage menaçait.
Nous avons ramassé prestement nos affaires et avons pris le chemin du retour.
Ses vêtements étaient loin d’être secs. Du coup, c’est elle qui a enfilé mon caleçon, mon jean étant vraiment trop grand pour elle. Je lui ai aussi laissé mon t-shirt tandis que moi je suis rentré en jean et torse nu.
Arrivés près du village, nous avons coupé à travers bois pour être sûr de ne rencontrer personne et nous sommes rentrés chez elle par le jardin.

Et là, nouvelle partie de jambes en l’air. La voir ainsi à moitié nue au beau milieu du living-room dans mes vêtements détrempés…bon sang…!
Je l’ai prise tendrement dans mes bras et ai commencé à la caresser partout en arrachant fébrilement ses frusques.
Ça s’est terminé sur son lit et cette fois-ci nous avons fait l’amour plus calmement, avec beaucoup de tendresse aussi. Et nous avons terminé en prenant une douche ensemble.

Les jours qui suivirent furent à proprement parler idylliques. À la moindre occasion je filais chez Louise et nous faisions l’amour sans aucune retenue, comme deux jeunes amoureux avides de sensations nouvelles.
Je recevais toujours des cartes postales d’Espagne, mais ce courrier me semblait désormais fade et insipide. Tout mon amour et toutes mes attentions se tournaient désormais vers Louise, et uniquement vers elle.

En ce qui concerne mes examens, je les ai encore ratés en septembre.
D’ailleurs, cette année-là, septembre fut vraiment un très mauvais mois : d’abord nos adieux avec Louise qui furent particulièrement pénibles et pathétiques, ensuite les examens ratés, enfin cet accident de voiture stupide où je faillis perdre la vie et qui me laissa deux longs mois dans le c***. Deux mois de c*** et six mois de rééducation, je m’en suis bien tiré, le copain qui conduisait a eu nettement moins de chance.

J’avais promis à Louise que nous nous reverrions rapidement. Mais la vie en a décidé autrement. À l’hôpital, j’ai fait la connaissance d’une très jolie jeune femme avec laquelle je suis toujours.

Quelques années plus tard, lorsque j’ai eu enfin l’occasion de passer par là-bas, je n’ai pas eu le courage de retourner voir Louise. J’ai eu trop peur de lui avoir causé une peine immense en la laissant si longtemps sans nouvelles. Evidemment, elle a eu des nouvelles par mes parents, mais ce n’est pas pareil.

J’espère de tout cœur que durant toutes ces années elle aura eu l’occasion de rencontrer de nouveaux amants et de s’éclater un peu… Parce que vraiment elle le mérite…

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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