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Alice au pays de la soumission chapitre 6

Alice au pays de la soumission chapitre 6



Buvant son verre, Paul a tout loisir d’observer sa cliente opéré sur le corps d’Alice qui, soi-dit en passant, prend un plaisir monstre à se laisser faire. Les mains de cette femme aiguisent la curiosité d’Alice qui se demande si cette femme est bi ou pas. Très vite, Alice a la réponse, les mains de cette femme glissent entre ses fesses. Elle sent ce majeur qui s’appuie sur son anus. Alice se détend davantage. Paul semble même encourager cette soumise à bien s’occuper de sa protégée. Soudain, il se lève, va ouvrir une armoire et en sort une longue cravache. Sur le cul de l’esthéticienne, il frappe par petit coup, à un rythme soutenu. Elle ne crie pas, voutant son dos pour mieux offrir son postérieur à ce Maître qu’elle considère comme le meilleur. Cette femme en a connu des dominateurs, mais comme Paul, jamais. Dans son for intérieur, elle regrette tout ce temps perdu avec ces soi-disant as du martinet. Alice relève ses fesses, le majeur de la femme s’enfonce encore plus loin. Paul ne cesse de flatter ce corps avec cette cravache. Puis, il ordonne, exige. La femme se plie en deux en guise de soumission et commence la longue et totale épilation de ce jeune corps de 24 ans.

– Prends tout ton temps, Babette. Là où il y a des poils, tu les arrache un par un.

– Bien monsieur Paul.

– Alice, si j’ai demandé ça à cette brave Babette, c’est parce que c’est la dernière fois que tu seras épilée. Elle fera la même chose à tes cheveux, mais, comme je veux que tu te sentes encore plus soumise, elle le fera aux yeux et à la vue de tous, derrière la vitrine. Ainsi, tous les clients qui passeront devant cette boutique verront ton crâne devenir nu et doux comme tes belles petites fesses.

Alice lui adresse un sourire qui en dit long sur son désir d’affirmer sa soumission. Paul s’approche de sa soumise, lui donne sa queue qu’elle se met à lécher, sucer toujours avec cette vigueur qui la caractérise. Babette commence à retirer les poils l’un après l’autre. De soumise, elle devient sadique, le temps de l’épilation intégrale. Alice subit de plein fouet cette mise à nu de son corps, surtout quand c’est autour de son anus. Paul sent que sa petite salope est un peu plus tendue. Il en profite pour lui caresser sa longue chevelure appelée à disparaitre, elle aussi. Ne voulant laisse aucun moment de répit à sa petite salope, Paul frappe les seins de Babette en lui ordonnant d’aller plus vite. Poil après poil, le corps d’Alice se dénude lentement mais sûrement.

Après près de deux heures quelques éjaculations, Paul exige le rasage intégrale du crâne d’Alice. Pour parfaire cette humiliation et cette exhibition, Alice est solidement sanglée sur un fauteuil de coiffeur, le corps presque dénudé. Derrière la vitrine, elle peut voir les clients aller et venir. Déjà, certains s’arrêtent, intrigués par ce qui passe dans la vitrine. Une tondeuse à la main, la réponse saute aux yeux de ces passants. Très vite, d’une petite dizaine de personne, c’est près d’une cinquantaine qui s’agglutine devant la vitrine. La tondeuse passe et repasse sur la tête d’Alice. Elle voit ses longs cheveux tomber sur le sol, sur ses cuisses ou sa poitrine. Son visage est rougi par la honte qu’elle a d’être ainsi donnée en spectacle.

Quand Babette étale la mousse à raser, la populace a encore doublé. Alice découvre l’humiliation. Paul, quant à lui, est ravi par le comportement de sa soumise qui prend une nouvelle leçon. La lame du rasoir fait son office, Alice peut voir dans le reflet de la vitre que son crâne est mis à nu. Babette semble même prendre beaucoup de plaisir à humilier cette salope qui lui prend la place qu’elle convoitait. Paul ne perd rien et rappelle à l’ordre Babette. Le crâne nu, on passe cet appareil bizarre sur toute la surface. L’appareil détruit sans douleur les racines des cheveux d’Alice. Maintenant, la tête et le corps d’Alice ne verront plus aucun poil pousser. Le temps de prendre une douche, de laisser les petits branleurs s’en aller. Alice est prête à affronter ces inconnus qui vont la regarder comme une curiosité. En laisse, les mains menottées sur son ventre, Alice suit son Maître. Il profite de la gêne palpable d’Alice pour l’assoir sur un banc et de lui ordonner de se masturber. Alice rougit encore plus en fixant son Maître. Il lui sourit.

– Cela fait toujours partie de ton éducation, ma petite salope.

– Que Monsieur se rassure, je ne vais pas reculer.

– J’y compte bien. Aller, on y va et pose bien ton pied sur le rebord du banc.

– Monsieur, cela me gêne beaucoup !

– Pas de discussion, exécution !

La voix à changer, Paul n’a plus sa douce voix, mais celle du Maître autoritaire. Derrière sa vitrine, Babette ne manque rien du spectacle qu’offre Alice au client du centre. Seulement, cela ne dure pas, déjà des gardes de la sécurité s’approchent d’un peu partout. Paul donne le signal du départ, il connait ce centre comme sa poche, cela lui est facile de semer les gardes.

Dans la cage, Alice est en boule. Au volant, Paul grimpe déjà la rampe qui le mène vers la sortie. Soudain, il ordonne sèchement à Alice se coucher bien au fond de la cage. Il vient de voir des véhicules de la police locale qui les recherchent très probablement. Une fois dans la ville, il demande à Alice de se relever et de se tenir fièrement droite, assise comme une chienne. Pour parfaire l’illusion, Alice parvient à passer la laisse à travers les barreaux et à l’accrocher à un suspend. Elle garde son regard sur l’arrière, ne tournant plus la tête pour voir ce qui se passe autour d’elle. Bien que menottée, Alice parvient, avec l’habitude et son savoir-faire, à retirer sa robe entièrement. Quand Paul voit la robe atterrir sur la banquette arrière, c’est plus fort que lui :

– Bravo ma salope. Tu t’es comportée comme je m’y attendais. Comment trouves-tu mon ami Karl ?

– Il ferait assurément un bon Maître. Il baise bien, il possède une queue un poil plus petite que la vôtre mais tout aussi bonne que celle de Monsieur.

– Et pour Babette ?

– Elle était jalouse que je sois auprès de vous définitivement. Sinon, c’est une très belle femme qui sait aussi se faire douce et lascive.

– Jalouse, tu n’as pas idée à quel point. Elle mérite l’âne espagnol à sa prochaine visite, dans deux semaines.

– Monsieur est bien sévère.

– Je le sais et m’en targue. Tu devrais le savoir depuis un mois.

– Un mois déjà que Monsieur m’éduque, que le temps file vite.

– Ton comportement mérite une récompense. Que dirais-tu d’une petite dizaine d’homme à satisfaire.

– Que Monsieur est trop bon avec sa pute.

Paul fait un détour, il s’arrête dans une ruelle pratiquement déserte. Tenue en laisse, Alice voit l’enseigne discrète d’un sexshop. Paul pousse la porte, le lourd rideau rouge vif et salue la compagnie. Derrière Alice est prise d’une irrésistible envie de s’abandonner à cette dizaine de client. Dans le lot, elle voit deux femmes qui choisissent des godemichets. Paul salue le patron comme si c’était un vieil ami.

– J’ai une salope à dégourdir. Y a-t-il quelqu’un, homme ou femme qui veut se la faire ?

– Moi, je veux bien ! Dit un petit homme avec une belle bosse à son pantalon.

– Ok, pas de coup, pas de gifle, à la limite une fessée. Alice, obéis à cet homme sur le champ.

– Bien mon Maître.

Devant des clients médusés, Alice retire sa robe mal mise. Elle s’agenouille devant le petit homme, lui sort son sexe et s’extasie sur sa grosseur surprenante. Elle fixe le petit homme, lui sourit.

– Monsieur préfère me baiser, m’enculer ou que je le suce ?

– Je vais t’enculer, ma belle salope.

– Merci Monsieur.

Paul s’installe sur le comptoir, croisant ses jambes pour mieux profiter du spectacle. Alice se met en position, relève ses fesses en écartant ses fesses au maximum. L’homme n’y tient plus, il s’enfonce d’un coup sec, arrachant une vilaine grimace à Alice. Puis, lentement, le petit homme va et vient.

– Ne laissez pas la bouche de cette jolie petite pute sans rien ! Vous, madame, venez vous faire lécher par cette salope, elle aime tout.

– Monsieur, s’il vous plait, c’est un être humain que je sache.

– Alice !

– Je l’étais, Madame, je ne suis plus que l’humble pute soumise de mon Maître, désormais.

– Ah bon, ça existe, t’en pense quoi Marie-Madeleine ?

– À ta place, je ne perdrais pas de temps à penser, si tu veux mon avis.

Intimidée, la cliente abaisse sa culotte et s’avance près d’Alice. Elle relève d’un peu sa longue robe, laissant le champ libre à Alice. Dès les premiers coups de langue, cette femme s’agrippe à son amie.

– Putain, jamais femme ne m’avait lécher comme elle. même qu’elle me lèche mon cul cette salope. Plus forte petite pute.

Alice ne répond pas, elle lèche. Habile, elle parvient même à faire en sorte que la femme se pose sur le sol pour mieux lui dévorer sa chatte et son cul. La femme hurle de bonheur quand Alice enfonce sa langue dans son anus. Elle n’a plus de mot pour complimenter l’éducation d’Alice. Quand elle jouit, c’est en même temps que le petit homme et Alice. À peine le petit homme retiré qu’un solide gaillard prend la place vacante. La queue est plus petite et moins longue que celle du petit homme. Dans son sexe, Alice la sent pourtant bien. Paul arrange encore les clients. Des hommes se masturbent autour d’Alice, Marie-Madeleine remplace son amie. À peine Alice donne ses premiers soins à cet entrecuisse, que la femme veut aller uriner.

– Non, ne bouger pas, Alice est aussi dressée à vous recevoir dans sa bouche de salope.

Ne pouvant plus se retenir, cette Marie-Madeleine se soulage dans la bouche d’Alice qui la boit sans autre, caressant même les belles fesses dodues de la femme. Sur son dos, du sperme s’écoule d’un peu partout. Les presser de l’orgasme, les précoces viennent pratiquement tous de jouir sur le dos et la tête d’Alice. Paul leur fait signe de quitter le sexshop sur le champ. L’énorme gaillard lui, semble prendre son temps. Les deux clientes profitent de l’absence d’autre client. L’une s’en va sucer et se faire baisée par le patron des lieux quand à Marie-Madeleine, elle vient quémander l’autorisation à Paul de le sucer. Paul découvre en elle, une belle soumise et juste à point. Il la met à quatre pattes près d’Alice et l’encule, mais en préparant soigneusement son cul.

Alice est comblée par ce solide gaillard. Elle jouit même plusieurs fois avant que l’homme ne jouisse à son tour. Alice, plus que comblée, se retourne, prend cette queue dans sa bouche. derrière le comptoir, le patron vient de jouir, bien trop vite se dit Paul. il taraude le fion de cette Marie-Madeleine, quand elle commence à émettre de petits gloussements de plaisir. Paul se met alors à la lourdement la fesser. La femme hurle en jouissant.

– Espèce de salope, t’es bien comme ma chienne, une putain qui ne demande qu’à être prise en main et éduquée.

– Le Maître ne devrait-t-il pas la prendre à son service quelque temps ?

– Pas maintenant, ma petite salope. Termine avec cet homme ! Quand à toi, je me demande si ta copine sait que tu n’es qu’une salope pire que la mienne.

– Je l’avoue, c’est la toute première fois que je la vois ainsi.

– Alors, Madame, prenez ce martinet et flatter son corps avec.

Convaincue par Paul, la femme prend le martinet montré par Paul et vient lacérer le dos de son amie qui ne cesse de crier son bonheur. Alice, pour la faire taire, lui colle sa chatte sur sa bouche.

– Bien joué ma petite salope. Ça c’est un joli coup. Après, tu pourras te choisir un compagnon qui te fera jouir pendant mes absences.

– Merci Maître.

– Je peux lui pisser dans sa bouche ?

– Mais, mon bonhomme, Alice est dressée pour ça aussi, lâche-toi, mon grand.

Le solide gaillard se soulage dans cette bouche si avenante. La femme continue à lécher Alice, tentant même de lécher son anus avant de renoncer. Seulement, sa copine ne l’entend pas de cette oreille et l’oblige à nettoyer le cul d’Alice en profondeur.

Il est tard quand Paul en termine avec ses conseils pour éduquer cette femme. Marie-Madeleine l’implore de lui donner son adresse pour venir lui présenter sa nouvelle soumise. Paul accepte et lui file une grande partie de son programme, le même qu’il utilisait avec Alice.

Une fois de retour, Alice est envoyée se doucher. Elle jubile en se caressant son crâne tout lisse. Elle se sent d’attaque pour recommencer dès que le Maître le lui commandera. Du reste en plein milieu de sa douche, elle va le prendre par la main. Dans la salle de bain, elle dénude lentement son Maître avec des gestes pus que gracieux. Elle l’entraine sous la douce, le lave pendant que Paul caresse le crâne lisse de sa soumise. Il la relève, l’embrasse comme jamais il ne l’avait embrassé auparavant. Elle succombe à ce baiser. Elle relève sa jambe gauche, guide le pénis de son Maître dans sa chatte quémandeuse. Sous la douche, ils font l’amour, ils se donnent l’un à l’autre comme jamais Paul ne l’avait fait avec une femme. il vient lui aussi de prendre une leçon, celle d’aimer et d’être aimé en retour.

Dès l’aube, Alice est à la tâche, préparant le déjeuner de son Maître. Sans qu’elle ne le voie, il arrive par derrière, l’enlace de ses bras musclé.

– Il te plairait d’avoir une compagne qui serait comme toi ?

– Tout de vous me plaira, Maître Paul. Une compagne, je ne dis pas non si elle est aussi salope et soumise que moi. Seulement, pardon Maître, mais je veux être la seule à vous aimer.

– Que voilà quelque chose qui me touche, ma belle Alice. Je ferais en sorte qu’elle me craigne. Je vais même essayer de nous trouver une lesbienne. Seulement, dans ce cas, il te faudra lui faire son éducation.

– Tout ce que vous désirez Maître Paul.

Il l’emporte, la couche sur le canapé et ils baisent comme des cochons toute la matinée.

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