Voilà que je me retrouvais seule avec mon beau frère dans sa piscine (et celle de ma soeur, forcément). C’était pas la première fois que je me retrouvais seule avec lui, mais c’était la première fois qu’on profiter de la piscine que tout les deux. La chaleur écrasante et étouffante nous a motivés à se rafraîchir dans sa piscine. Ce fut la même raison qui lui fit sortir quelques bières fraîche. Au bout de quelques heures, si j’avais été raissonable sur la boisson à cause de reprendre le volant plus tard, il descendit plusieurs bières rapidement, n’ayant pas les même contrainte que moi étant déjà chez lui et ne devant pas bouger jusqu’au lendemain. C’est ainsi que je découvrais Pierre loin d’être ivre, mais avec un bon coup dans le nez.
C’est ainsi que la discussion se concentra sur moi. Il me dit que j’avais changée et que malheureusement je n’étais plus cette jeune femme docile et soumise. On se rappelait le temps où on était jeune et que je les suivaient à obéir au moindre de leurs désirs. C’est ainsi que j’appris que depuis la naissance de leur premier enfant, le sexe était devenu très rare et encore bien plus rare voir quasi inexistante depuis la naissance du deuxième. Étant très proche de ma soeur, je suis certaine qu’elle est toujours folle amoureuse de son Pierre et qu’elle lui reste toujours fidèle. Cependant la discussion avec mon beau frère confirma les confidences que ma soeur m’avaient fait une fois ou l’autre, sur le fait que le sexe, c’est absolument pas du tout son truc. Je la croyais à moitié pensant qu’elle ne voulait pas parler de sa vie intime, mais au final c’est le cas, le sexe pour ma soeur , c’est juste poir la reproduction ou presque (pourtant ma soeur est vraiment une très belle femme, très bien proportionné physiquement. Mais je suis peut être pas totalement objective).
Après cette courte confession de sa part sur son manque de vie sexuelle avec ma soeur, il me dit regretter que je sois plus cette femme docile et soumise et que mon mari n’avait pas fait une bonne chose sur se point. Je fus quelque peu honteuse de lui avouer que c’était quelque chose qui me manquait. Que sexuellement ma vie était très loin d’être vide avec mon mari, mais que c’était très monotone malgré ses efforts pour toujours me faire jouir et qu’il manquait se côté merveilleux de se sentir utilisée pour offrir du plaisir. Que je ressentais pas se désir ultime dans les yeux de mon mari et que malgré notre vie sexuelle active (2 fois par semaine environ. Parfois plus parfois moins, même si souvent parfois moins), j’étais quelque peu frustrée malgré mes jouissance.
Pierre commença à me parler de mon ex, ressortant les confessions que je lui avais dit quelques années auparavant. Mon ex était chanceux que chaque jour après le travail, il me voyait me mettre à genoux pour que je le suce à peine rentré etc. Plus il me parlait du comportement de mon ex envers moi, et plus il se rapprochait de moi jusqu’à sentir ses mains se poser sur mes seins. J’étais paralysée entre la peur, l’excitation et la honte. Il sortit mes seins lentement tout en continuant de me parler. Je me suis retrouvée seins nue devant lui, puis il commença à me les caresser de moins en moins doucement que j’ai finir par gémir de plaisir contre mon gré.
Il me traita de grosse salope, me disant que je m’étais laissée mettre seins nue et que je gémissais à me faire tordre les tétons. Il m’insulta sans retenue tout en palpant mes seins fortement, m’humiliant sur ma passivité et mes gémissements. Il me fit remarqué que j’étais une femme mariée et que je prenais plaisir avec un autre homme. Que non seulement j’étais en train de rendre mon mari cocu mais que ma grande soeur, celle qui fut toujours là pour moi, qui m’a accueillie et aidée alors que j’étais au plus mal, je la rendais elle aussi cocue à prendre ainsi plaisir avec son mari. Il m’humilia tellement que je commençais à en pleurer à chaude larmes tellement j’avais honte. Pourtant je continuais à le laisser toucher sans retenue ma poitrine.
Lorsqu’il passa sa main sur ma chatte, je commençais, entre deux sanglots, à le supplier de me laisser et que cela s’arrête là. Mais lorsque je sentis sa queue me pénétrer lentement, je répétait en boucle « non pitié » jusqu’à que sa queue soitt totalement rentrée en moi. Il se mit à rire, me disant que j’étais ridicule à demander pitié non stop à en perdre haleine, alors que je l’avais pas repoussé une fois, et que, j’avais même écartée mes cuisses pour lui me prendre plus facilement. Il appréciait de plus que je me laisse faire alors qu’il avait pas de capote.
Avant de commencer à bouger en moi, il me regarda comme jamais on m’avait regard. Ses yeux étaient remplis de désir et d’amour. Sincèrement, jamais on m’avait regardé avec un tel plaisir, mais peut être ne suis toujours pas objective puisque j’ai toujours été folle de désir pour Pierre. Lorsqu’il m’embrassa, je répondis à son baiser immédiatement. Je le suppliais de me laisser quelques secondes plus tôt car j’avais trop honte de mon comportement qu’il avait décrit, mais j’étais enfin à lui. Mon plus grand fantasme était en train de se réaliser et impatiente de le sentir jouir, je m’accoudais comme je pouvais au rebord de la piscine pour moi bouger sur sa queue. Il éjacula très vite en moi et il comprit que j’avais pas jouie mais que j’étais extrêmement heureuse et comblée de l’avoir fait jouir.
C’était que le milieu de l’après midi et il restait encore 3 bonnes heures avant que ma soeur rentre avec ses enfants
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