L’été dernier, un samedi matin, comme je me leve toujours de bonne heure, je me prépare un bon déjeuner, oeufs, bacon, feves au lard, toast, et un bon café, prépare le tout et sort sur le patio avec la musique des oiseaux. Fred apparait sur la porte patio,
– bonjour, mon petit papa d’amour
– bonjour ma belle fille, bien dormi ?
– oui, je pensais invitée Catherine pour venir se baigner, je peux ?
– bien sure, je suis toujours content de la voir, je l’aime bien
Elle rentre prend son cell,
– Catherine, c’est ok, tu peux venir, je te l’avais dit
Elle raccroche et ressort avec un café et vient s’assoir pres de moi, dépose une main sur ma cuisse et fouille dans mon assiette
-si je comprends bien, c’était déja planifié, ma coquine, dis-je en riant
On termine MON déjeuner, elle disparait dans sa chambre, moi je débarrasse le tout et ressort avec un autre café. Toc toc toc, je me tourne vers la porte de la cour, c’est Catherine
– rentre mon amour
Elle vient vers moi et dépose un bisou sur ma joue
– bonjour, ca va ? ou est Fred ?
– dans sa chambre
Elle passe sa main sur mon dos et disparait. Elles reviennent, en bikini, mais vraiment mini. J’adore ca, ben oui, meme si c’est ma fille, elle est belle. Elles sautent a l’eau et s’amusent a s’arroser pendant de longues minutes. Moi je rentre pour faire quelques recherches sur le net. A un moment , je n’entends plus rien, ma chambre qui donne sur la cour, je me leve pour voir ce qui se passe. Je vois les deux qui s’enlace en s’embrassant a pleine bouche. Bang, ma queue qui veut sortir de mon boxer. Je la sors pour me masturber légerement. Je vois Catherine défaire le haut de Fred pour sucer ses seins et vice-versa. Je me crosse frénétiquement jusqu’a exploser, les deux salopes. Je ferme l’ordi va a la salle de bain pour me nettoyer, ajuste mon boxer et vais m’assoir sur le patio,
– papa a tu aimé notre petit jeu ?
– quoi ?, je ne sais pas ce que tu veux dire
– du coin de l’oeil, je t’ai vu debout avec des gestes sur ta bite, papa coquin
Je rougis,
– j’avoue que je me suis masturbé en vous regardant, bon je vais aller faire quelques commissions, aller vous rester toutes la journée ?
– oui, papa, parce que nous avons une petite surprise pour toi
Je ne pose aucune question et vais m’habiller pour les courses. lors de mon retour, personne dans la cour et tout est ouvert, je range mes achats, me mets en boxer, prends une biere et m’assois dehors. A un moment, j’entends des gémissements venant de la chambre de Fred. Je bande a nouveau, les imaginant se manger mutuellement. Encore une fois, je glisse ma main sous mon vetement et me caresse la queue en me fermant les yeux. je me crosse en m’imaginant les filles dans des positions plus cochonnes les unes que les autres.
– ne te gene pas, fait comme si on n’était pas la
Je sors vite ma main de mon boxer et me redresse sur ma chaise.
– papa, je t’ai dit qu’on avait une surprise pour toi, alors vient dans l’eau avec nous
Sans que je n’aie le temps de dire quelque chose, Catherine me prends par la main et m’amene dans la piscine. Les filles se regardent et se mettent a poil.
– toi aussi papa et ne me sort pas l’argument que tu es mon pere, immoral, bla bla bla, aller a poil, vite
Je regarde Fred et je me demande comment réagir, elle me donne des ordres.
– aller qu’est-ce que tu attends, avant que maman ne te gronde
Ok je commence a réaliser ce qui ce passe, a partir de maintenant je suis l’enfant.
– ok maman je vais me déshabiller, je vais faire ce que tu me demanderas, je serais sage
Doucement, j’enleve mon vetement et le lance sur le patio.
– approche de maman que je te caresse les cheveux
Je m’approche de Fred, Cath se place derriere moi et me caresse les bras, Fred devant moi, vois bien que ma queue est bien tendue.
– voyons, fils, qu’est-ce que c’est ca, tu bandes devant ta mere, tu n’a pas honte, grimpe sur le rebord de la piscine
Je m’exécute en placant mon ventre sur le rebord, ainsi mon cul est en l’air. Fred s’approche et me claque une main sur la fesse, je pousse un cri.
– je vais te faire passer l’envie de bander sur maman
Et une deuxieme claque, puis une troisieme
– excuse moi maman je ne voulais pas, mais tu es tellement belle
Une quatrieme claque,
– tu trouves maman belle, mon petit chou, descends
Je me remets debout avec une petite face de garcon qui demande pardon.
-bon, ok, maintenant, nous allons sortir pour te laver, faut te nettoyer du chlore
Nous sortons de l’eau, Catherine rentre dans la maison pour ressortir avec savon et serviette.
– Chéri, tient toi debout, maman et ma tante Catherine vont te laver, ok ?
Je suis partant en essayant de ne pas bander. Voila que maman prend le savon et commence a me le passer sur le corps, elle débute par le haut, me savonne les cheveux, la figure mais ne rince pas de suite.
– chéri, ne bouge pas, écoute-moi, ne bouge pas
Je suis la debout, il ne se passe rien, sauf que j’entends a nouveau les gémissements de tout a l’heure. Pas capable, je bande a nouveau. Plus un son, ouch, une douleur me vient de ma fesse, une nouvelle claque.
– petit cochon
C’est la voix de Catherine,
– tu ne pense qu’a ca, on va te dresser
Moi je commence a avoir une drole de sensation, allons-nous trop loin dans ce petit jeu. Je sens quatre mains qui me lave, agréable sensation et heureusement ma queue reste au repos. Un jet d’eau froide me rince, je saute sur place, j’ai froid.
– maman, l’eau est froide
– c’est bien pour ton zizi, mon lapin, il restera tranquille
J’ouvre les yeux, Catherine prend la serviette et me seche doucement
– je t’aime ma tante
– moi aussi mon petit loup, mais ce n’est pas avec tes petits compliments que tu ne vas pas y passer
Je me demande ce qu’elle veut dire par la. Je vois Fred sortir de la maison avec de la corde et un foulard.
– chéri, mets tes mains dans ton dos
Comme j’hésite, j’ai droit a une nouvelle claque. Je m’exécute, Fred m’attache les mains. Le reste de la corde sert a m’attacher les pieds.
– mets a genoux
Je ne prends pas de chance, je fais ce qu’elle me dit.
– alors comme tu as l’air d’aimer nous regarder nues, nous allons te fare plaisir, nous allons baiser devant toi. Je sais bien que tu vas encore bander, petit vicieux, la c’est le contraire si tu bandes pas, c’est la claque. Mais tu ne bouges pas, tu restes la comme tu es, tu bouges, c’est la clauqe, tu parles, idem, compris ?
– oui maman, promis
Elles se placent devant moi, Catherine se couche, maman se place dessus en ’69 et commence a se brouter la chatte, moi ce n’est pas long, ma queue leve au point de me faire mal. Je vois ma fille baiser sa meilleure amie, Catherine leve sa tete pour lui manger le cul et introduire un doigt, puis un deuxieme, Fred ne bronche, comme si elle était habituée de se mettre des choses dans son petit cul. Catherine commence a gémir, mais vraimentt beaucoup au point ou un moment donné, elle se raidit, elle éjacule, ma fille la fait jouir, je capote.
-oui, les filles, c’est beau a voir
Elles s’arretent et me regardent.
– qu’est-ce qu’on t’avait dit ?
Oups, je pense que je viens de faire une erreur. Elle se levent s’approche de moi, Catherine me descend une gifle, pas tellement forte mais je la sens passer. Fred elle, c’est mon cul qui en prend pour son rhume, une, deux, trois, quatre, elle n’arrete pas.
– maman, arrete, stp tu me fais mal, stp
Et je me met a pleurer
– maman, excuse-moi je ne voulais pas te contarier, escuse-moi
Fred arrete, me regarde pleuré, elle et Catherine ne bouge plus. Catherine me prend la figure entre ses mains, de ses doigts essuye les larmes, dépose un baiser sur mon front.
– lapin, si on agit ainsi , c’est parce qu’on t’aime
Fred me colle dans ses bras.
– plus tard tu comprendras tout ca, mon petit coco d’amour.
– il est temps de te détaché et te nourrir
Fred me détache les bras et Catherine les pieds.
– pendant que nous préparons ton repas, tu peux écouter la télé, sois sage
– oui maman
Je m’installe au salon, j’allume la télé mais n’écoute pas, je repense a la situation et j’avoue aimé cette situation.
– chéri, c’est pret, va te laver les mains
Obéissant, je fais ce que maman dit, j’arrive a la cuisine.
– assied toi, je vais mettre ta bavette.
Elles n’ont rien oublié, bavette, ustensile en plastique, verre avec un bec. Je prends place, Catherine me met la bavette et commence a me faire manger. Fred se palce a coté de Cath et je vois bien sa main passée sous la table. Je vois Cath écartée les jambes, moi je me dis, comme je suis assis le ventre collé a la table, je bande, ca ne se verra pas, alors je me laisse nourrir et laisse bander. Je vois ma tante qui commence a avoir des respirations saccadées. Je finis mon assiette.
– bon garcon, comme tu as fini et bien manger, tu as droit a une collation, et ta récompense est de téter l’une de nous deux
Je regarde Fred, elle me sourit tendrement, je ne suis pas sure d’avoir bien compris et elle le voit bien.
– oui oui, tu as le droit de boire a nos seins, bon ok nos seins sont pour toi, amour, on va s’installer au salon
Nous voila parti au salon, on s’installe sur le divan, moi entre ces deux magnifiques filles.
– maman je peux commencer par toi
– oui mon lapin
Je ne sais pas si je dois, mais je regarde ces seins, pas tres gros mais si mignons, j’approche ma bouche, prends le mamelons et commence a teter doucement. La douceur de sa peau m’enivre de bien-etre, je crois redevenir bébé, je me ferme les yeux et savoure cet instant magique. au bout de quelques tetées,
– ma tante, je peux boire
– mais oui chéri
Je me déplace pour teter cette paire de seins double de volume que ma fille, meme sensation de bien-etre. Une main me caresse les cheveux, une autre me caresse le dos, les jambes, les cuisses. Je me place les jambes pour cacher la queue qui ne pourra rester molle bien longtemps. Je sens une main qui m’écarte les jambes offrant une bite bien dure.
– maman, ma tante, je m’excuse, je ne voulais pas, svp, je m’excuse
Et voila que des larmes coulent le long de mes joues
– Chéri, excuse nous, en te caressant partout, on ne s’est pas rendu compte, on n’oublie ca, ok
Tout en me donnant un baiser sur le front.
– bon c’est l’heure de la sieste
Je vois mes deux meres qui sourient, Catherine va a la chambre de Fred, revient avec un gros sac. Elle en sort une couche, de la poudre, un grand pyjama en flanellette avec des pattes.
– couche toi sur le tapis
Comme je suis toujours nu, je me place comme demandé.
– place tes jambes pour te soulever tes fesses
Je fais comme demandé, maman place la couche sous mes fesses, elle prend la poudre en met sur mes fesses et ma queue.
– redescends tes petites fesses
Elle attache la couche, je me sens bizarre mais j’aime beaucoup.
– maintenant debout qu’on mette le pyjama
Je me mets debout, Catherine prend le vetement me tend une patte, je mets une main sur son épaule glisse une jambe a l’intérieur, puis l’autre. Elle se leve, monte le tissu, je passe un bras, l’autre, ajuste le tout, et monte la fermeture éclair.
– bon dodo, voila ta suce
elle me met la suce dans la bouche me prend par la main et m’amene dans sa chambre, me couche, me couvre de ses draps, me donne un bisou sur le front me dit bon dodo et si j’en fais un gros dodo, a mon réveil , j’aurais droit a une grosse surprise
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