Histoire totalement fantasmée, sans doute un peu longue, le plus trash ne commence qu’au Chapitre 4, enfin si j’arrive jusque là 😉
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Marie a 24 ans, elle est célibataire par manque de temps, un visage doux, de longs cheveux châtain clair légèrement bouclés, un mètre soixante-dix pour cinquante-deux kilos, elle possède une silhouette très agréable avec un cul bien proportionné et des seins encore bien ronds, qu’elle trouve trop petits, ornés de tétons qui prennent un volume difficilement dissimulable lorsqu’ils pointent. Rare sont les hommes qui résiste à son charme et à l’envie de se retourner sur son passage.
Cela fait maintenant un peu plus de trois ans que Marie travaille dans cette moyenne surface pas loin du centre-ville ; ce qui n’était au départ qu’un travail de caissière en tant qu’étudiante est rapidement devenu l’activité principale, reléguant des études peu motivantes au rang d’occupation. Et quand la proposition de gérer l’équipe des caisses à temps plein lui a été faite il y a un an, elle n’a pris que quelques heures de réflexion pour finalement accepter. Son poste, sous la direction du responsable du magasin, consiste à gérer les planning des caissières et caissiers en fonction de la fréquentation, vérifier les caisses en fin de journée, former les nouveaux arrivants et faire un peu d’administratif.
Peu de temps après sa prise de fonction il y a un an, le responsable alors en place a été licencié sans raison connue. Elle n’a pas vraiment été triste de le voir partir, elle supportait de moins en moins ses allusions toujours mal placées et ses regards insistants rarement dirigés vers ses yeux bleus. Alors qu’elle travaillait depuis deux mois elle avait même été à deux doigts de démissionner après la proposition de « travailler moins pour gagner plus » lui avait-il dit, en échange d’une heure ou deux dans son bureau par semaine pour … L’allusion, même discrète, était limpide, elle avait clairement refusé et la situation en était finalement restée là. Mais les regards libidineux et les remarques sexistes avaient continué. Le voir partir a été un soulagement, d’autant qu’il a quitté son poste très rapidement.
Ayant toujours de très bon retours du travail de Marie, la direction, qui n’avait encore trouvé personne pour remplacer ce départ, lui a proposée de prendre temporairement le poste avec un soutien régulier d’autres dirigeants de magasins. La mission ne pouvait être définitive mais pouvait représenter une bonne expérience et serait un véritable avantage si un jour elle désirait postuler un poste équivalent.
Après un entretien rassurant avec le service RH, Marie accepta. Finalement, au bout de quelques semaines, elle se dit que la situation lui convenait bien, il y avait certes beaucoup de travail administratif, de gestion des commandes, de contrôle, de RH, mais cela lui plaisait bien. En revanche niveau salaire, elle trouvait qu’il n’était pas à la hauteur du travail fourni. Elle décida donc d’arrondir ses fins de mois … Elle remarqua rapidement qu’elle était seule à vérifier la réception des commandes et un jour elle tenta de mettre de côté quelques produits alimentaire sans les faire rentrer dans le stock. Le soir, elle quitta le magasin avec de quoi manger pour le jour même, voire le lendemain.
Après quelques temps, elle avait rempli ses placards bien plus que nécessaire et a décidé d’en faire profiter les amis en leurs vendant quelques boites de conserve, ou bouteilles d’alcool à des prix défiants toute concurrence. Et ce qui n’était qu’un moyen de manger devint alors un petit commerce parallèle. Au bout de six mois, entre produits détournés à la réception et DLC un peu raccourcies, sa petite organisation lui rapportait dans les mille euros chaque mois.
Et puis un jour, comme elle s’y attendait, elle reçut un appel de la direction lui annonçant l’arrivée imminente d’un nouveau responsable de magasin. Le lundi suivant il était là, Marc, la quarantaine, plutôt propre sur lui, grand, mince, les cheveux grisonnant, assez banal. Marie a dû le former un peu, tout s’est bien passé, il était charmant en réalité et elle appréciait de travailler avec lui. Par chance, il laissa à Marie le soin de contrôler les réceptions, ce qui lui permit de reprendre rapidement son petit manège.
Un soir, alors qu’elle quittait le magasin pour rentrer, Marc l’interpela et lui demanda de le suivre dans son bureau si elle avait le temps. Ne se doutant de rien elle le suivit. Une fois dans le bureau, Marc la regarda d’une manière moins amicale que d’habitude, et quand elle vit les papiers des commandes et contrôle des stocks sur le bureau elle comprit pourquoi il voulait la voir.
« Marie, j’ai voulu vous parler pour essayer de comprendre ce qu’il se passe avec les stocks. Je constate une différence non négligeable entre vos commandes et la réception. Si nos fournisseurs ne livrent pas les quantités commandées je vais devoir les appeler. Mais je voulais voir avec vous avant. »
Elle devait bien s’y attendre, et certains de ses amis l’avait prévenue, un vol reste rarement impuni. Elle tenta rapidement d’élaborer un plan mais décida finalement de tout avouer, en minimisant les sommes. Si jamais Marc appelait les fournisseurs il risquait vraiment d’être surpris de la quantité de marchandise détournée. Elle prit alors son regard le plus charmant et coupable et lui expliqua :
« C’est moi. Avant que vous arriviez j’ai dû tenir le magasin et je ne gagnais même pas la moitié de ce que vous devez gagner alors j’ai décidé d’arrondir mes fins de mois et de récupérer ce que j’estimais être un dû. J’ai mis de côté quelques conserves et peut-être parfois une ou deux bouteilles. Je n’ai pas grand-chose à dire pour ma défense, quand vous êtes arrivés j’ai voulu arrêter mais je ne l’ai pas fait. Et puis j’ai eu des débuts compliqués avec votre prédécesseur et je n’ai pas vraiment eu de remord à me venger un peu comme ça. »
Marc n’en revenait pas, même s’il est habitué à ce genre de stratagème, il pensait que Marie, sa Marie comme il pensait, était vraiment parfaite et honnête. Car même s’il n’en a jamais rien laissé paraître il éprouvait beaucoup de tendresse et d’attirance pour cette très belle femme. Divorcé depuis 4 ans, sans enfant, il a même souvent fantasmé sur son corps et ses seins qu’il aime imaginer sous des chemisiers amples ou des tee-shirts moulants. Et la voir là devant lui, avec un visage d’ange ne le laisse pas indifférent. Il prit alors son ton le plus sévère possible, enfin celui qu’il pouvait avoir de plus sévère envers Marie …
« Je ne pensais vraiment pas que vous pouviez me faire un coup comme ça. Je sais que mon prédécesseur n’a pas été correct avec vous et avec d’autres caissières, c’est d’ailleurs pour cette raison qu’il a été licencié. Mais ce n’est pas une raison pour voler le magasin. Et vous savez que vous me mettez dans une situation délicate, si la direction s’en aperçoit, je saute aussi ! »
En quelques secondes Marie sentit qu’elle pouvait s’en sortir. Elle comprit à son ton faussement énervé que Marc n’allait pas être trop sévère.
« Je suis désolé Marc, je sais que ce que j’ai fait n’est pas bien, je voulais juste améliorer un peu ma situation. Je travaille beaucoup depuis que j’ai accepté le poste, et je n’ai que très peu de loisir, pas de copain et rarement l’occasion de voir du monde parce que je suis trop fatiguée le soir. Je ne sais pas ce qui m’a pris, si vous voulez me mettre à la porte je comprendrai. »
« Nous n’en sommes pas là. A combien s’élève la somme ? »
« Je ne sais pas, deux ou trois cents euros … Par mois … Peut-être moins. »
« Bon, écoutez, vous allez arrêter tout de suite de faire ça. J’ai confiance en vous sur le reste de votre travail et vous êtes vraiment un très bon élément, le magasin se porte mieux depuis que vous avez remplacé votre prédécesseur et l’ambiance entre les salariés semble très bonne, je ne veux pas me séparer de vous. Je vous propose un marché. Avant la fin de l’année il faut remettre la balance à zéro et donc rembourser les sommes. Dans les six mois qui viennent vous allez faire quelques heures supplémentaires, payées si je peux m’arranger, et vous allez me montrer comment fonctionnent les commandes et réception en détail pour remettre tout en ordre. »
Marie n’en revenait pas, elle n’était pas licenciée. Elle aurait été prête à faire n’importe quoi pour garder son poste et même bien plus que des heures supp’.
Les mois qui ont suivi elle a donc remis de l’ordre et arrêté ses bêtises. Une fois ou deux par semaine elle travaillait tard dans le bureau de Marc avec ce dernier pour lui expliquer tout le mécanisme. Elle arrivait même parfois à apprécier ces moments privilégiés avec Marc. Finalement il était vraiment droit, sérieux, et pouvait se faire séduisant. Parfois, elle s’amusait à venir en fin de journée dans son bureau vêtue d’un chemisier dont elle défaisait les trois boutons et sans soutien gorges. Elle remarquait que Marc avait du mal à regarder les papiers étalés sur le bureau quand elle se penchait pour lui expliquer certains détails. Marc de son côté s’aperçut que les sommes étaient plus importante et n’en profita que pour demander à Marie de travailler davantage avec lui. La tendresse qu’il éprouvait pour Marie commençait à se faire plus sensuelle et il lui arrivait souvent le soir, une fois chez lui, de se masturber en repensant aux jolis petits seins qu’il avait pu apercevoir entre les pans d’un chemisier trop ouvert, aux tétons larges et clairs qu’il imaginait roulant sous ses doigts ou sa langue.
Et c’est ainsi que la fin d’année approche, Marc et Marie ont presque tout remis au carré et continuent à travailler comme deux collègues qui se rapprochent un peu plus chaque jour.
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