Mes passions
Étrange… Voilà plus de trente ans que nous nous sommes séparés et la revoir m’a fait remonter tant de souvenirs. Nous nous étions quittés au bout de douze années de vie commune, sans être ennemis, mais le travail nous avait emmenés dans des villes différentes. Week-end, vacances, et puis des excuses : du travail ce week-end, je ne peux avoir mes vacances à la même période que toi, etc…
Le temps ternit les plus belles couleurs….. Alors nous avions fini par ne plus nous revoir.
J’ai maintenant soixante-six ans et elle avait trois ans de moins que moi. Aujourd’hui, nous nous retrouvions par hasard chez d’anciens amis communs que je revoyais de loin en loin. Elle était restée très proche du couple. Par eux, j’avais eu de ses nouvelles. Ils me disaient que toutes les femmes la jalousaient car le temps semblait n’avoir pas de prise sur elle.
C’était vrai… Une silhouette de danseuse, une façon de se déplacer qui fait se demander si elle glisse ou si elle vole. Elle s’était levée, était venue vers moi : c’était une liane, comme il m’en souvenait..
Bonjour, Julie.
Je ne trouvais rien d’autre à dire…. Sa bouche charnue, sa gorge, ses seins fermes, son ventre plat, son sexe presque glabre laissant voir des lèvres ourlées, ses fesses lisses et musclées fendues d’un sillon prometteur, des jambes sans fin… Chaque partie de son corps s’imposait tour à tour à mon esprit. Une impression d’ivresse… Je ne savais si c’était elle aujourd’hui ou si je ne voyais qu’un souvenir. L’embrasser, la serrer contre moi, lui faire sentir que mon désir ne s’était pas plus émoussé que sa beauté, voilà ce que je voulais.
Robert, je suis contente de te voir.
En disant cela elle s’était approchée pour m’embrasser. Elle a posé ses mains sur mes épaules. J’en ai fait autant. Nos corps ont fait plus que se frôler et elle n’a pas pu ne pas sentir mon état de tension. Ses bises au coin de ma bouche et la pression qu’elle y mit me le faisaient savoir – enfin c’est ainsi que je décodais cela.
Comme convenu, je restai manger. Ni elle, ni moi, ni nos amis ne jouâmes à « c’était mieux avant ». Chacun parla de sa vie, de ses projets. Julie expliqua qu’elle allait revenir sur la côte puisque la retraite était là. Sans enfant, libre, elle voulait profiter de la mer et du temps qui passe. On m’interrogea sur mes voyages en bateau et si j’avais de nouveaux projets. Mon excitation que j’avais contenue jusque là m’empêchait d’avoir un esprit très clair. Je n’avais pris qu’un verre de vin pourtant. Je ne pus que répondre que non, je n’avais pas de projet construit, peut-être revenir vers ici, sur la côte pour profiter d’avantage du bateau.
En fait,j’avais hâte de les quitter tous et de me livrer à mes jeux favoris après avoir été échauffé pa Julie. Ce fut donc avec soulagement que je vis la fin du repas arriver et que je pus prendre congé.
La route pour me rendre à l’hôtel était interminable. Heureusement les souvenirs des moments brûlants vécus avec Julie occupaient mes pensées, Ma décision était prise : je garderais la petite maison de la famille dont la vente était la raison de ma présence ici. Sur un terrain isolé, la bâtisse regardait la mer. Elle nécessitait quelques travaux : je les ferai moi-même autant que je le pourrai.
Ce fut avec soulagement qu’enfin je pus introduire la carte dans la serrure et que je pénétrai dans la chambre : j’allais pouvoir me livrer à mes passions du moment.
Nu devant mon ordinateur, assis sur une chaise recouverte d’une protection que je prévois avec mes « jouets » lorsque je suis en voyage, je viens de finir l’écriture du récit de ma soirée. J’ai un plug enfoncé dans mon anus : c’est la première chose que j’ai faite en arrivant. Je me suis filmé me défonçant dessus. J’aime me filmer lors de ces pénétrations. Je tourne le dos à la caméra et je vois les contractions de mes fesses correspondant à celles de mon anus. Il n’y a que ma salive comme lubrifiant mais il avance malgré ses sept centimètres de diamètre. J’adore le moment où les sphincters se referment sur le rétrécissement de l’engin et que je repère au sursaut provoqué au niveau des reins . Je me retourne alors pour faire face à la caméra et exhiber ma verge dressée que je caresse. J’ai ensuite éloigné l’objectif afin de montrer ma poitrine et mon sexe. On voit alors que j’ai dans les mains des pinces dont on se sert en plein air pour fixer des feuilles à dessin sur des planches. Puis je me place ces pinces sur les tétons. J’aime cette douleur. Cette video, je ne suis pas sûr de la mettre en ligne car la lumière n’est pas suffisante.Elle rejoindra ma collection. La caméra montre maintenant une coupelle devant moi avec des pinces à nourrice et des aiguilles baignant dans l’alcool. Je sens à cette vision une nouvelle érection durcir mon sexe. Je l’empoigne et me branle doucement. A l’écran, je saisis la pince sur mon téton droit de la main gauche et l’étire. Dans l’autre j’ai une pince à nourrice ouverte que j’approche de ma peau. On voit la pression qui en déforme la surface. Elle pénètre. Le souvenir de la douleur, de l’effort nécessaire pour que l’aiguille poursuive son chemin dans la chair, renforce mon érection. J’approche mon téton de la caméra de manière à faire voir la sortie de l’aiguille en dessous. En regardant la scène, je me triture ce téton et tire sur la pince à nourrice qui y est toujours plantée pour retrouver les sensations. Je sais que cette sortie, quand la peau doit être percée de l’intérieur vers l’extérieur est le moment le plus douloureux et jouissif de mes jeux d’aiguilles. La résistance du derme m’étonne toujours. Je suis la position de la pointe de l’aiguille, je tâte la peau hypertendue à cet endroit. J’appuie fortement, mais avec mesure pour que la peau ne cède pas brusquement. Je sens cette pointe traverser ma peau. Douleur mêlée d’un sentiment d’aboutissement. Ça ne saigne pas. Je me souviens de cet instant fixé par la caméra. Je veux, comme je dis, « équilibrer » en me perçant l’autre téton. Je m’entends haleter dans la vidéo, je vois le tremblement de mes mains à la préparation de la même scène pour l’autre téton. Le souvenir de cela me redonne envie de sentir à nouveau cette douleur. Je n’ai plus le plug dans mon trou entre les fesses. Une main serrant mon vit, quatre doigts de l’autre me pénétrant, je contracte et ouvre mon anus. Sous la pression de mes doigts, mon sexe me fait mal et je regarde les traces que les pinces à nourrice y ont laissé. Deux bleus : l’un à la base de la verge, l’autre dessous au milieu de la longueur. Là, une boule gorgée de sang se forme : une aiguille a percé la veine. Je traverse cette boule avec une grosse aiguille sans aucune précaution pour permettre au sang de s’écouler. J’astique avec vigueur ma queue, je sens le sang qui coule de ces blessures entre mes, sur mes testicules. Un mélange de plaisir et de douleur si intense me submerge et je ne peux me retenir : mon sperme jaillit. De l’autre main sortie de mes fesses, je le recueille puis l’aspire…
L’orgasme est si fort que lorsque je retrouve mes esprits, la vidéo a avancé et, justement, à l’image j’en suis alors au travail sur mon sexe. Je mets sur pause.
J’ai besoin de récupérer si je veux profiter des scènes suivantes…
Il est trois heures du matin et j’ai un rendez- vous à huit heures trente chez le notaire. Je me force donc à aller dormir. Demain, après le rendez-vous je passerai la journée sur la route, mais ensuite le temps sera à moi. J’ai hâte de voir la suite de mes jeux sur cette vidéo et mon esprit divague entre les sensations qui me restent et les souvenirs chauds des moments anciens avec Louise.
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