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Claudia – La grosse étudiante cochonne

Claudia – La grosse étudiante cochonne



Une grosse cochonne

C’est la fin des partiels, plus qu’un TP de physique lundi et mon année universitaire est finie, vu mon passé avec la physique ce n’est qu’une formalité. Malgré tout je décide de rester dans ma chambre d’étudiant le week-end afin de me reposer et d’assurer lundi.
En plus je suis de nouveau célibataire Florence ma copine depuis le lycée et moi avons rompu notre relation de deux ans n’étant basée que sur le sexe.
Les copains eux rentrent chez eux et prévoient de faire la fête. Il n’y a donc que très peu de monde au restaurant universitaire en ce samedi.
Une jeune fille est attablée et trois « petits cons » s’en prennent à elle la traitant de grosse vache folle. J’ai horreur des moqueries gratuites et méchantes je mets donc fin au supplice de la malheureuse et m’assois pour manger avec elle après avoir chassé les inopportuns.
« _ Merci me dit elle les larmes aux yeux.
_ Je t’en prie ce n’est rien et ne pleure pas ne va pas abîmer un si charmant visage.
C’est vrai que son visage n’est pas ingrat comme beaucoup de femmes rondes elle a une tête charmante.
Elle rougit et me sourit. Je prends le temps de la regarder, des cheveux longs soigneusement attachés, un peu de maquillage, des yeux superbes, du vernis ; on voit qu’elle prend soin d’elle.
Elle porte des vêtements amples pour cacher un max sa silhouette mais vu sa stature elle dépasse allégrement le quintal.
Ravi de te rencontrer malgré les circonstances, je m’appelle Stéphane.
_ Réellement enchantée moi c’est Claudia. »
On discute alors de nos cursus respectif et j’apprends que si elle reste à la fac c’est qu’elle n’a pas de voiture et qu’elle rentrera dans sa famille quand son père sera en vacances et pourra la chercher.
Elle habite également à 3 km du RU, chevalier servant jusqu’au bout je me propose de la ramener chez elle dans ma voiture.
Je raccompagne Claudia à son appart où elle me propose d’entrer prendre un café, ce que j’accepte volontiers.
A peine rentrés chez elle, elle ferme la porte à clef et glisse la clef dans son encolure.
« Hop la clé est en sécurité, si tu veux sortir tu sais où la prendre dit elle en rigolant.
_ Méfie toi je pourrais essayer je réponds rentrant dans son jeu.
Et nous rions.
_ Mets toi à l’aise et visite pendant que je prépare le café. »
C’est un petit appart pour étudiant comme en trouve beaucoup, un coin cuisine, une pièce de vie et une chambre.
Tout est bien rangé par rapport au bazar dans ma chambre.
« Tu peux voir ma chambre si tu veux ! Elle va te plaire. »
Je rentre j’aperçois d’abord l’armoire avec ses grands miroirs, le bureau avec son pc allumé, puis un lit king size et deux grandes étagères.
J’ai du mal à croire ce que j’y vois, des dvd pornos soigneusement classés, des godes de toutes les tailles et divers boîtes de capotes de toutes tailles et toutes marques.
« Je collectionne tout ce qui a un rapport au sexe me confie t elle malheureusement je ne joue pas souvent avec mes jouets et tu es le garçon le plus beau qui ne soit jamais entré.
J’espère que je ne t’effraie pas et que tu ne vas te sauver ! et non j’ai la clef. »
Son invitation est claire que faire ? Elle ne m’attire pas vraiment en plus.
Je gagne du temps.
« Non ne t’inquiète pas c’est sympa ici et je suis flatté que tu me trouves beau. Mais prenons déjà un café. »
Elle retourne à la cuisine et s’affaire autour de la cafetière son énorme cul se dandine mais en fait je trouve ça sexy.
Et si j’essayais de récupérer la clé après tout elle m’y a invité. Je ne veux pas lui laisser le temps de réagir et je lui saisis les seins par derrière.
Ils sont énormes au moins aussi gros que ma tête, je ne trouve pas la clef mais le contact de ses énorme obus et son cul qui se tortille sur ma queue me font bander bien vite. Elle a gagné je m’en fous de sa clef maintenant.
Elle se retourne pour m’embrasser, sa langue experte cherche la mienne.
Quand nous reprenons notre souffle, elle enlève sa tunique et je peux à loisir regarder sa poitrine soutenue par du bonnet h (fait sur mesure dans une boutique de Nantes).
Elle a un peu de ventre mais son corps est harmonieux je commence à la trouver belle.
« Allons dans la chambre vite ! me crie t elle. »
Nous nous installons sur le lit et nous nous déshabillons mutuellement.
Je lui enlève son énorme soutien gorge ce qui fait tomber la clé. Mon tee shirt et mon pantalon sont vite expédiés au sol par Claudia.
Je suis fasciné par une aussi grosse paire de seins et je les caresse longuement avant de titiller ses tétons avec ma langue pour sa plus grande satisfaction.
Une fois bien excitée par mes caresses elle s’empresse de baisser mon caleçon.

Elle caresse mon sexe avec ses tétons puis me branle entre ses deux obus. Ma queue disparaît entièrement ce qui ne l’empêche pas de grossir.
Elle me prend la bite et me branle d’une main, elle me caresse les couilles avec l’autre main et s’occupe de mon gland avec sa bouche et a langue. Mon gland est en feu au moment où je pense avoir atteint le point de non retour elle arrête subitement sa merveilleuse fellation.
« Pas de sperme ! dit elle si tu veux jouir prend une capote ! Seul mon petit ami officiel peut me faire goûter à sa semence».
J’ai compris le message je me calme un peu et m’occupe d’elle. C’est à mon tour de lui baisser la culotte. Je découvre alors qu’elle est complètement rasée. Je me régale de ses lèvres et de son clito dans ma bouche.
« Oui, oui lèche moi fort ! Mets les doigts aussi ! aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah »
Elle jouit fort un jet de cyprine me gicle dessus.
_ Ta bite maintenant ramone moi !
Elle me tend une boîte de préservatif (des xl sensitiv ceux que je mets le plus facilement elle a l’œil).
Pendant que j’enfile la capote, elle se met sur le ventre face au miroir, les genoux repliés et les fesses en l’air.
_ Encule moi !
J’hésite un instant mes précédentes partenaires ont toujours refusé cette pratique mais un coup d’œil à sa collection de vibro me fait penser qu’elle a l’habitude d’avoir des gros calibres dans le fion.
Je m’exécute, je m’attends à une résistance mais je l’enfile comme une lettre à la poste, je suis surpris quand son sphincter se referme. J’ai mon sexe entièrement en elle et l’impression de ne pas pouvoir sortir.
Les sensations sont vite bonnes pour nous deux quel pied ! Nous nous matons dans le miroir, je peux voir sa poitrine se balancer pendant que je la besogne. Elle crie de plus en plus fort et moi aussi c’est tellement bon que j’en ferme les yeux.
Je remplis la capote de puissants jets dans un râle de plaisir masqué par ses cris.
Nous embrassons longuement pour nous féliciter de nos prouesses.
Elle me propose de nous revoir, en effet, sa webcam est restée branchée tout du long et n’a rien loupé de nos ébats.
C’était ça sa collection de dvd elle se filme en train de faire l’amour ou de se masturber.
« Je suis sure que ce sera mon film préféré me dit elle !
_ Pas sûr le prochain risque d’être bien ! je lui réponds en lui prenant les seins. »
Et c’est ainsi que mon weekend s’est passé : améliorer nos performances devant la caméra.
On a même essayé les godes notamment le gode ceinture.
Nous n’avons jamais été ensemble mais ça fait quinze ans que je l’ai rencontré et encore plusieurs fois par an nous continuons de nous donner l’un à l’autre. Nous sommes des sexfriends qui nous remontons le moral .
La différence avec la fac c’est que nous ne filmons plus et qu’elle connaît le goût de mon sperme je suis maintenant dispensé de capotes

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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