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Michel esclave d’un couple vicieux (suite)

Michel esclave d’un couple vicieux (suite)



Je suis rentrée hier soir épuisé par la journée passée chez mes Maîtres, mais très heureux de tout ce que j’ai subi. Être une soubrette de 8 h à 21 h, c’est bien sûr très exigeant. Pendant ces 13 heures, je n’ai pas eu un seul moment de repos ni d’intimité. Dès mon retour chez moi, je suis allé regarder mes fesses dans un miroir car elles me chauffaient encore après une heure de trajet. Elles étaient en effet encore très rouges et marquées par les nombreuses raclées reçues. J’étais content de savoir que j’avais réussi à subir toutes les punitions et humiliations et que mes maîtres semblaient contents de mon service de soubrette.

La veille de la rencontre, j’ai rappelé mes maîtres au téléphone. C’est Janine qui m’a répondu et le ton a été très vicieux et autoritaire dès le départ.
« Bonjour Maîtresse, c’est Michel »
« Ah, c’est notre petite soubrette. On t’attend demain à 8 heures exactement. Tu entends ? »
« Oui, Maîtresse »
« On a bien pensé à toi cette semaine. Tu est prêt pour ta séance de dressage ? »
« Oui, Maîtresse »
« Tu es sûr, parce que tu as intérêt à obéir, sinon, tu sais ce qui t’attend ! »
« Oui, Maîtresse »
« Bon alors à demain, à 8 heures. Si tu es en retard, gare à tes fesses. Quand tu arrives, tu descends directement au garage, Pierre t’attendra. Entendu ? »
 « Oui, maîtresse »

Lorsque j’ai raccroché j’étais tout excité. J’ai retrouvé de suite la voix de ma Maîtresse et les souvenirs de la séance précédente sont revenus : les pieds de Janine et leur « parfum », le sexe de Pierre, les coups de ceinture, le cachot sous l’escalier…

La nuit a été assez courte car j’étais très excité de cette rencontre. Au lit j’ai essayé d’imaginer ce qui m’attendait et cela m’a évidemment excité. J’ai donc commencé à me masturber en pensant à toutes les humiliations qui m’attendaient et que j’espérais. J’ai pris mon temps pour profiter de ce plaisir et j’ai finalement joui après une demie-heure, dans mon slip. Contrairement à l’habitude je ne me suis pas relevé pour faire ma toilette et changer mon slip. J’ai préféré rester dans mon sperme me disant que si j’arrivais ainsi chez mes maîtres ce serait une bonne raison d’être puni. Je n’ai réussi à m’endormir qu’après cette dernière jouissance.

Lorsque le réveil a sonné, je me suis préparé sans tarder afin de ne pas risquer d’être en retard. En posant mon slip, ma bite toute molle collait au fond et l’odeur était sans équivoque. J’ai décidé de changer de slip mais de ne faire qu’une toilette superficielle de ma bite. Ainsi le gland gardait son odeur. Mais Maîtres le découvriraient sûrement.

Durant tout le parcours, j’ai repassé dans ma tête la séance précédente en essayant d’imaginer ce qui m’attendait. J’avais encore en mémoire le parfum des pieds de Janine et de sa culotte que j’avais sentie en jouissant. C’est certainement ce moment qui a été le plus humiliant pour moi car j’ai montré que j’avais plaisir à sentir cette culotte odorante. Je pensais aussi avec plaisir au moment où j’avais dû m’agenouiller pour prendre la bite de Pierre dans ma bouche. Bien que ce ne soit pas une habitude pour moi, j’ai sucé avec beaucoup de plaisir, surtout en raison de l’humiliation. Je redoutais un peu me moment de l’éjaculation mais finalement j’ai accueilli son sperme sans problème. Quand j’ai senti qu’il allait jouir, j’ai commencé à sentir un peu de liquide, puis le reste du sperme tout d’un coup. Comme il n’a pas trop entré profondément sa bite dans ma bouche, j’ai pu tout garder sans problème. Je pensais qu’il allait sortir mais il est resté longtemps dans ma bouche et j’ai donc profité complètement du goût de son sperme, qui n’était pas désagréable. Tout en roulant j’espérais que j’aurais à nouveau droit à une bonne dose de sperme. Et puis j’ai aussi beaucoup pensé aux fessées. En partant le matin j’ai regardé mes fesses dans un miroir. Elle était redevenues blanches et lisses, elles n’attendaient que la fessée. La dernière fois Janine et Pierre ont été un peu hésitants au départ, mais après leur avoir dit qu’il fallait me fesser pour me faire mal aux fesses, ils se sont décidés à frapper plus fort. En particulier, ils manquaient souvent de rythme, chaque coup étant espacé de quelques secondes. Je leur ai dit qu’il fallait se défouler sur mes fesses et les raclées sont devenues plus sérieuses. Les deux dernières étaient vraiment faites pour punir, Janine à main nue et Pierre à la ceinture . Là j’ai commencé à me plaindre et à tortiller mes fesses pour tenter d’échapper aux coups. C’était une vraie punition. Janine à trouvé cela très amusant. En pensant à tout cela je sentais ma bite se gonfler.

Je suis arrivé parfaitement à 8 heures pile et je me suis garé dans leur rue à 100 mètres environ. En passant devant chez eux en voiture, j’ai jeté un coup d’œil à leur maison. Cette maison était très banale et rien ne laissait présager qu’à l’intérieur Janine et Pierre m’attendaient pour me dominer. En m’approchant à pieds, j’ai croisé une voisine qui sortait du pavillon voisin. Pouvait-elle imaginer ce qui allait ce passer aujourd’hui juste à côté de chez elle, que dans trois minutes à peine je serai certainement tout nu au service de mes maîtres.

J’ai sonné au portail le cœur battant et je suis descendu directement à la porte du garage comme me l’avaient ordonné Janine au téléphone. C’est Pierre qui m’a ouvert. Il sortait visiblement du lit, seulement vêtu d’un bas de pyjama mais tenait à la main la ceinture que j’avais reçu la semaine précédente. Rien que cela a augmenté encore mon excitation et j’ai cette fois clairement senti une érection monter.

Il refermé la porte du garage et m’a ordonné immédiatement de me mettre en tenue, c’est à dire tout nu.
« Allez, pose-moi tout ça. Allez, à poil ! »
Je me suis déshabillé rapidement.
« Pose tes vêtements ici, tu n’en auras pas besoin »
Je me suis pressé de tout poser et en arrivant à mon slip, ma bite et sortie, légèrement gonflée. J’ai eu envie de la cacher avec mes mains mais j’ai repris mon attitude soumission, les mains dans le dos. Je me suis donc retrouvé tout nu dans le garage devant Pierre. J’ai vu son regard qui me détaillait, en particulier ma bite et j’ai compris qu’il avait envie de profiter de moi. Son regard était vicieux et j’ai de suite pensé qu’il avait très envie de me dominer. En un éclair, je me suis demandé ce qui m’attendait. Peut-être une raclée, de suite puisqu’il tenait la ceinture à la main. Et puis mes yeux se sont posés sur son bas de pyjamas. Je savais ce qu’il y avait dedans et j’étais prêt à honorer son sexe. J’attendais l’ordre. Ce sera « Tourne-toi ! » ou « Viens le sucer ! » ? Finalement, Pierre n’a rien dit et il s’est approché de moi et a attrapé ma bite sans ménagement, puis je l’ai vu baisser son pyjama ce qui a mis à l’air son sexe. J’ai compris. Je me suis agenouillé et je me suis approché de son sexe pour le prendre en bouche.

Ce qui m’a immédiatement atteint c’est l’odeur de son sexe, forte. Un mélange d’urine macérée et de transpiration, bien plus fort que la fois précédente. Je n’ai pas traîné bien qu’un peu rebuté par l’odeur, j’ai ouvert la bouche pour accueillir le sexe de Pierre. Il était mou et au départ je m’attendais à sentir un sexe raide emplissant ma bouche comme la dernière fois. Pierre a appuyé sur ma nuque pour que je prenne entièrement son sexe dans la bouche ce qui a fait que mon nez s’est retrouvé dans les poils de son pubis. L’odeur était un peu différente mais aussi très présente. J’ai sucé avec application et j’ai senti son sexe se développer et durcir. J’ai trouvé cela très agréable d’être ainsi utilisé. Pierre n’a rien dit, je l’ai entendu soupirer, signe qu’il appréciait ma caresse.

Pour ma part, j’ai pris le maximum de plaisir avec cette première punition. Je n’étais qu’un objet de plaisir à disposition. Au fur et à mesure que le sexe de Pierre grossissait dans ma bouche, mon humiliation augmentait. Tout en suçant, j’ai pensé avec plaisir à la situation. Cinq minutes auparavant j’étais encore habillé en entrant dans le garage, et maintenant j’étais à genoux, nu, en train de sucer le sexe de mon Maître. Une vraie pute, une vraie soubrette soumise, tout ce dont j’avais envie. Et tout cela presque sans un seul mot, un regard a suffit et j’ai compris ce que Pierre attendait de moi. J’ai continué de sucer en faisant des va et vient lents. À chaque fois que je me suis retrouvé le nez dans son pubis, j’ai marqué un temps d’arrêt pour humer l’odeur qui s’y cachait. Une odeur de transpiration, âcre et forte. Je me suis demandé pourquoi j’aimais ainsi cette odeur de mâle, puis je me suis laissé aller en profitant sans retenue.
Pierre qui n’avait encore rien dit, m’a ordonné :
« Regarde-moi pendant que tu suces ! »
J’ai levé les yeux, la bouche pleine, garnie par le sexe de Pierre. J’ai de suite croisé le regard de mon maître. Il me regardait de haut avec un regard vicieux. J’ai été très humilié de cette situation et j’ai imaginais ce qu’il pensait. Quelles étaient ces intentions pour la suite ? J’espérais une grande sévérité et aucune pitié. J’ai été servi.

J’ai commencé à sentir les liquides qui s’échappaient de son sexe et j’ai pensé qu’il allait jouir, mais il s’est retiré brutalement. Je me suis retrouvé avec son gland sous mon nez, qui m’a paru énorme et qui était encore odorant malgré le passage dans ma bouche. Il était luisant de ma salive. Pierre l’a frotté sur mon visage pour l’essuyer, puis il l’a remis dans son pyjama. Il bandait encore et une bosse marquait sa place. En un instant j’ai pensé à la taille de son gland et ce qui risquait de m’arriver s’il avait envie de me prendre, mais je n’ai pas eu le temps de me poser beaucoup de questions car Pierre m’a donné un coup de ceinture sur les fesses en m’ordonnant :
« Allez, tu vas monter préparer notre petit déjeuner dans la cuisine et tu nous l’apportera dans la chambre. Allez ! »

Pierre m’a montré la direction avec son bras qui tenait la ceinture. Je suis passé devant pensant que j’allais recevoir un autre coup de ceinture, mais cela n’a pas été le cas.
Je suis passé devant le « cachot » et la pièce où j’avais été dominé. Pendant la semaine, j’avais beaucoup fantasmé sur ce cachot et les punitions que je pourrais y subir. En passant, j’ai jeté un coup d’œil. C’était plus étroit et bas que je que j’avais en souvenir, et les étagères remplies de chaussures étaient bien là. Une fois la porte fermée, l’atmosphère devait être très odorante. La porte de la pièce de punition était entre-ouverte et j’ai pu voir deux god sur le lit. Ce fut très court et je n’ai pas pu évaluer leur taille. C’est en montant l’escalier devant Pierre que j’ai compris qu’il voulait encore profiter de moi. Dès que j’ai eu gravi trois marches, j’ai senti la main de Pierre passer entre mes cuisses et att****r mes couilles d’une main très ferme. Surpris, je me suis arrêté.
« Monte ! »
Et Pierre serra un peu plus fort. Je suis donc monté ainsi et Pierre m’a accompagné jusqu’à la cuisine toujours derrière moi, une main entre mes cuisses.  C’était très inconfortable et humiliant car j’ai dû marcher en écartant les cuisses. Arrivé dans la cuisine, il a relâché son étreinte.

« Allez, au travail »
J’ai préparé ce qui était écrit sur la liste et j’ai porté tout le nécessaire sur un plateau.

Lorsque je suis arrivé dans la chambre, j’ai été accueilli par des ricanements de mes Maîtres qui se sont moqués de ma nudité. C’est Janine qui a été la plus humiliante, se moquant de mon sexe qu’elle a trouvé très petit. Ils se sont levés et se sont installés autour d’une petite table pour déjeuner et m’ont obligé à me mettre à genoux, fesses tendues tournées vers eux, cuisses écartées. Ils ont discuté comme si je n’étais qu’un objet. C’est encore Janine qui m’a humilié en parlant de nouveau de mes parties intimes qui étaient exposées.
J’ai découvert que Janine était finalement la plus dominatrice avec la volonté de m’humilier. Je me souviens encore de ses mots : « Alors petite bite. Elle sert à quoi ta bite ? À rien ici, peut-être à pisser. Ici tu n’est pas un homme tu es un esclave. Tu entends ! »

J’avais bien entendu en effet et c’est ce que j’attendais : être leur esclave. C’est alors que j’ai senti le pied de Janine qui est venu caresser mes couilles et mon sexe, avec les commentaires humiliants.
« Alors, petite bite, ça te fait du bien ? Tu bandes pas quand ta maîtresse te caresse. C’est pas bon ? »
« Si, maîtresse »
« Bon tant pis pour toi. Mes pieds ils servirons juste pour ta langue »
Janine et pierre se sont alors mis à rire. J’ai été très humilié, mais au fond de moi-même c’était ce que j’attendais.
« Justement, on va voir comment il s’en sert » a dit Pierre. Janine s’est mise à rire.
« Ah oui, on le met au lit pour voir »
« Allez, debout » m’a ordonné Pierre.

Je me suis relevé et je suis resté tête baissée, attendant les mains dans le dos. Mes maîtres se sont levés et Janine s’est approchée de moi et a mis deux doigts dans ma bouche.
« Alors, il parait que tu t’en ai déjà servie au garage. Hein ? »
Je ne m’attendais pas à cette remarque. Pierre avait donc tout raconté à Janine pendant que je préparais le petit déjeuner. J’imaginais mes maîtres riant ensemble de ma première punition.
« Oui, maîtresse »
« Alors, raconte ! Allez , je voudrais savoir si ce que m’a dit Pierre »
Être contraint de sucer Pierre était une gentille corvée, mais le raconter a été plus pénible pour moi.
« Allez, dis-moi un peu. Tu étais à genoux ? »
« Oui, maîtresse »
Les mots ne sont pas sortis facilement, mais je me suis décidé enfin et j’ai même pris plaisir à raconter en détail.
« Maître pierre a baissé son pyjama et j’ai compris qu’il avait envie que je le suce. Je me suis mis à genoux et j’ai pris son sexe dans ma bouche. Et puis j’ai passé ma langue sur le bout de son sexe pour lécher le bout de son gland et en même temps j’ai fait des va et vient »
Janine a enfoncé à nouveau ses deux doigts dans ma bouche et a commencé des va et vient.
« Ah oui, comme ça, hein ? »
J’ai sucé ses deux doigts.
« Continue ! Alors il a bandé ? »
« Oui, Maîtresse, j’ai senti son sexe grossir et j’ai passé ma langue sur le bout qui est bien sensible »
« Tu as aimé ? »
« Oui, Maîtresse j’ai bien aimé »
« Dis donc, moi aussi j’aimerais bien que tu me lèches »
« Avec plaisir, maîtresse »
Et là, j’ai vu Janine plonger sa main droite dans sa culotte et ressortir deux doigts qu’elle a mis sous mon nez.
« Sens bien. Alors ça ira quand même ? »
L’odeur était conforme à ce que je pouvais attendre, forte mais pas désagréable à mon goût.
« Oui, Maîtresse, je le ferai avec plaisir »
« Ah oui, tu aimes bien quand ça sent fort. Hein ? J’ai déjà vu ça la dernière fois quand tu t’es occupé de mes pieds. Hein ?»
J’ai hésité à répondre, très humilié de reconnaître que j’appréciais cela.
« Oui, maîtresse »
« Bon et bien tu vas être servi ! »
Janine et pierre se sont mis à rire.

Pour commencer Pierre m’a attaché les mains dans le dos. Je me suis laissé faire, impatient de cette punition annoncée.
Pierre s’est approché et je me souviens de ses mots : « Tu vas aller au fond du lit et c’est ta langue qui doit servir ! Tu comprends ce que cela veut dire ?»
« Je ne sais pas Maître »
« Eh bien on va t’expliquer. Quand on va te l’ordonner tu vas faire la toilette de nos pieds. Tu entends ? Je crois que tu aimes ça, non ? »
« Oui, maître »
« Eh bien on va voir si c’est bien le cas. D’abord tu vas les sentir un peu. On va te les mettre sous ton nez. Tu aimes ça, hein ? »
« Oui, Maître »
« Quand tu les auras bien sentis, tu tireras ta langue tour les lécher ? Et bien, attention ! Avec de la salive pour les nettoyer ? Ça va te plaire, tu crois, »
« Je ne sais pas Maître »
Janine est intervenue.
« Bon alors, le nettoyage c’est la plante des pieds, les orteils, entre les orteils et pour terminer tu suce chaque orteil. Tu entends ! Et ça pour les quatre pieds, ça va faire 20 orteils à sucer. Et tu insiste bien entre les orteils avec ta langue. Compris, »
« Oui, maîtresse »
« On préfère te prévenir, notre dernière douche c’était avant hier matin. Donc ça fait deux jours que l’on a gardé les mêmes chaussettes. Donc tu t’étonneras pas si on a un peu transpiré. Mais je suis sûr que tu vas aimer. Bon pour finir tu viendras t’occuper entre nos cuisses. Tu comprends ? »
« Oui, Maîtresse »
« Allez ! »

Je savais ce qui m’attendait et en même temps j’étais un peu impatient. Je me suis approché du lit et là ils m’ont obligé sans ménagement à me mettre tout au fond. Je me suis faufilé sous le drap, mais ils ont trouvé que je prenais trop de place. C’est à coups de pieds qu’ils m’ont fait reculer jusqu’au fond. J’ai obéi au plus vite, redoutant une correction, mais avec les mains attachées cela n’a pas été facile. Ils ont soulevé le drap pour voir comment j’étais placé et là les humiliations ont commencé. Ils ont pris soin d’appuyer leurs pieds sur mon visage, là encore sans ménagement. Ils riaient tous les deux et se moquaient de moi. « Alors, tu es bien là ? Ça ne sent pas trop fort ? ».
J’ai bien été obligé de répondre.
« Non, maîtres »
Ce n’était pas faux. Évidemment la toilette de leurs pieds ne datait pas d’hier mais le parfum ne me déplaisait pas. Ils ont continué à frotter alternativement leurs pieds sur mon visage et j’en ai bien profité.
Puis l’ordre est tombé : « Allez, tu lèches ! ».
Je me suis retrouvé avec le pied droit de Janine devant moi et un coup de pied de Pierre agrémenté d’un « Tu vas lécher, oui ou non ! » a fini de me décider. L’odeur était assez forte et le goût très salé, mais j’ai fait mon travail avec application, c’est une humiliation que j’apprécie. La plante des pieds d’abord. J’ai tiré ma langue et je suis passé du talon aux orteils plusieurs fois pour tout couvrir. Au premier passage, j’ai mis beaucoup de salive pour dissoudre la transpiration accumulée et au deuxième passage, j’ai recueilli la salive devenue salée. Les orteils ensuite. J’ai passé ma langue dans le creux en-dessous, puis sur le dessus. Je suis ensuite passé au nettoyage entre les orteils. J’ai passé ma langue à plusieurs reprises entre chaque orteil pour bien nettoyer. C’est certainement là que j’ai recueilli le plus de transpiration et de poussière accumulées. Pour finir j’ai sucer chaque orteil.

Cette première phase avec les pieds a durée une bonne demi-heure, pendant laquelle ils ont continué parfois à se moquer de moi, mais aussi à me considérer comme un objet alors qu’il regardaient la télévision pendant ce temps. Non seulement je devais lécher un pied mais en plus, les trois autre étaient posées sur moi sans ménagement. J’étais vraiment transformé en repose-pieds. Pendant ce temps, j’aurais eu envie de me caresser un peu mais cela n’a pas été possible car j’avais les mains attachées dans le dos. De temps en temps, un des pieds (surtout ceux de Janine) s’est approché de mon sexe pour le caresser et j’ai apprécié même si Janine a été à ces occasions très humiliante.
« Il bande ce petit cochon. Tu te rends compte, il bande en léchant nos pieds. Petit cochon ». J’ai donc léché les quatre pieds, du talon aux orteils, et j’ai passé ma langue entre chacun des orteils. Pendant cette phase j’ai vraiment eu le sentiment d’être puni à nettoyer leurs pieds.

Ensuite, ils sont passés bien sûr aux sexes.
« Ça suffit ! » m’a ordonné Janine.
« Maintenant, tu vas faire la toilette de nos sexes. Allez, tu remontes »
Je suis remonté dans le lit et j’ai vu Janine et pierre poser leurs sous vêtements. J’ai retrouvé le sexe de pierre toujours impressionnant par la taille mais j’avais très envie de m’en occuper. Janine, qui est toujours pleine d’idées vicieuses, m’a ordonné de m’approcher. Elle tenait sa culotte.
« Viens voir ma culotte, je suis sûre que ça va te plaire »
Elle a déployé sa culotte, pour me montrer le fond. J’ai découvert un fond très taché de jaune et même de traces brunes. Elle était beaucoup plus tachée que celle de la semaine dernière dans laquelle j’avais mis mon nez pour jouir.
« Tiens, sens bien ! »
Janine a poussé la fond taché sur mon visage pour le frotter. L’odeur était moins forte que prévu et très semblable à celle de la semaine d’avant. J’ai humé et j’ai bien aimé comme prévu. J’ai bien frotté mon nez pour en profiter et j’aurais bien aimé qu’elle m’ordonne de lécher le fond, mais avait certainement envie de se faire lécher. J’ai bien apprécié cette première partie de punition.
« Ça suffit. Au travail maintenant »
« Bon, tu as vu que nos pieds avaient un peu d’odeur et de goût. Hein ? »
« Oui, Maîtresse »
« On t’avait prévenu. On a fait notre toilette avant-hier matin et depuis on n’a pas non plus changé de sous vêtements. Donc depuis, on a fait pipi, on a fait l’amour et on s’est masturbé, mais pas de toilette, rien »
Je m’en doutais un peu, mais au moins je savais ce qui m’attendait.

Je me suis occupé de Janine en premier.
« Bon, maintenant tu vas passer à ma fente. Allez, maintenant tu lèches »
Je savais que Janine était très poilue du pubis ce qui retient les odeurs. J’ai été servi dès que je me suis approché les odeurs sont arrivées, plus fortes que la culotte.
J’ai obéi avec beaucoup d’application et de plaisir, et j’ai passé beaucoup de temps à chaque repli du clitoris au périnée. Janine a rapidement mouillé abondamment et a complètement trempé mon visage. Elle rapidement commencé à gémir de plaisir jusqu’à jouir.
« C’était bon, tu lèches bien et en plus maintenant je suis propre. Allez, à toi Pierre »

Je me suis alors tourné vers l’entre-cuisses de Pierre qui a décalotté son gland. Il avait déjà commencé à se masturber et sa bite était d’une belle taille. J’ai retrouvé son gland luisant comme dans le garage. En approchant mon nez, j’ai retrouvé l’odeur de Pierre était plus forte. Une odeur le mâle qui n’est pas très regardant sur la toilette et la corvée a été encore humiliante. Je me suis empressé de prendre sa bite dans ma bouche et j’ai senti de suite son sexe gonfler. Il a mis sa main sur ma nuque pour imposer un va et vient tout en m’humiliant par la parole.
« Allez, suce bien comme une bonne pute »

J’ai retrouvé sa bite qui est rapidement devenue très raide et qui remplit ma bouche. Là aussi j’ai fait ma corvée avec application et du plaisir. Tout en suçant, je me suis remémoré ce que j’avais subi depuis mon arrivée et cela m’a excité davantage. J’ai commencé à sentir le liquide de lubrification qui a coulé de sa bite et j’ai pensé qu’il allait jouir. Mais il m’a interrompu.
« Arrête ! Tu vas lécher mes couilles maintenant »
J »ai lâché sa bite et en me reculant, j’ai pu remarquer sa bite encore luisante bien dressée. La position était là aussi très excitante : à genoux devant la bite dressée de mon maître. Pierre s’en est aperçu.
« Elle est belle ma bite ! Hein ? »
« Oui, Maître »
« Eh bien, tu devras l’honorer régulièrement »
Janine a rajouté en riant.
« Et la subir aussi ! »
« Ah oui, c’est vrai. Tu sais comment ? »
Je me doutait bien mais je n’ai pas osé répondre.
« Non, Maître »
« Mais dans ton petit trou. Regarde-la, elle n’attend que ça »
Janine a rajouté.
« Moi, je la prend devant et derrière et je peux t’assurer que par derrière, je la sens passer. Alors, toi tu as intérêt à t’y préparer »
« Alors, tu as compris comment tu vas la subir ? »
« Oui, Maître »
« Dis-moi un peu »
« Vous allez me sodomiser, maître »
Janine et Pierre se sont mis à rire.
« C’est mignon. Non, je t’enculer. Tu entends, t’enculer. Tu la vois ma grosse bite, je vais la rentrer lentement dans ton trou du cul et ensuite je vais te ramoner la rondelle longuement . Et je vais t’entendre couiner. Et si tu es sage je te réserve une petite surprise après »
Janine s’est mise à rire.
« Ah, je vois. Tu vais ce que ça peut être, toi ? »
« Non, maîtresse »
« Eh bien, je vais te dire, moi, ce qui t’attend. Tu sais ce qu’il va faire Pierre ? Il va te la rentrer lentement et bien à fond, tu vas la sentir entre tes fesses. Et ensuite, il va te ramoner la rondelle méthodiquement, et je peux te dire qu’il est endurant ? Ça peut durer. Et puis après, il va la ressortir de ton petit cul et va te la faire sucer pour qu’il jouisse. Tu vas aimer ? »
« Non, maîtresse »
« Ah bon, pourquoi ? »
Je n’arrivais pas à dire ce que j’avais en tête. J’imaginais le sexe de Pierre, odorant et souillé.
« Alors, pourquoi tu ne vas pas aimer la sucer, la bite de Pierre tout juste sortie de ton trou du cul ? »
« Parce qu’elle ne sentira pas bon »
Ils se sont mis à rire.
« Ah, ça oui, mais une soubrette ça sert à ça. Tu entends ? Après ça, lécher nos pieds ce sera une rigolade. Tiens, d’ailleurs pour te préparer, tout à l’heure tu vas nous lécher le trou du cul. On verra comment tu t’en sort »
« Bon, alors mes couilles tu t’en occupes »
Pierre s’est mis sur le côté pour bien exposer sa paire de couilles poilues. Je me suis approché et j’ai tiré ma langue. L’odeur de transpiration était forte et le goût très salé là aussi. Tout en léchant, je voyais par moment la taie des fesses de Pierre, très poilue elle aussi, et j’imaginais son anus au fond de cette raie, là où j’allais devoir aussi lécher.

Après quelques minutes Pierre m’a ordonné d’arrêter. Janine et Pierre se sont retournés et mis à genoux pour me présenter leurs fesses.
« Allez, derrière maintenant » a ordonné Janine. Elle a écarté ses deux lobes pour découvrir sa raie des fesses et son anus. J’ai découvert que son anus et sa raie des fesses étaient eux aussi très poilus pour une femme. J’ai donc mis mon nez entre ses deux fesses et j’ai tiré la langue vers son anus. Elle a rapidement ordonné de m’occuper aussi de sa raie des fesses.
« Dis donc, je veux sentir ta langue sur ma raie des fesses, et jusqu’en haut. Tu entends »
J’ai obéi et j’ai enfoncé mon nez plus profondément et j’ai léché. Janine et une femme assez forte et sa raie des fesses est profonde. Le goût de sa raie m’assure qu’elle transpire beaucoup de cet endroit !
Pierre est lui aussi très poilu et j’ai fait aussi mon travail avec application, mais aussi avec un peu de dégoût.
Enfin, ils ont considéré que cela suffisait. C’est Janine qui m’a détaché.
« Eh bien tu t’en sort pas mal. Ça t’a pas trop dégoûté de mettre ta langue dans la raie des fesses de lécher notre anus ? »
« Si maîtresse »
« Ah oui, ça devait sentir un peu fort. Mais tu es un bon soumis. Tu aimes ça être humilié, hein ? »
J’ai bien été obligé d’avouer, en baissant la tête.
« Oui, j’aime ça »
« C’est bien. On va pouvoir profiter de toi. Et puis tu sais que tu as intérêt à obéir, sinon.. »
J’étais tête baissé, les mains dans le dos, devant Janine.
« Hein, sinon, tu sais quoi ? »
Je savais bien.
« Alors, qu’est ce qui t’arrive si tu n’obéis pas ? »
« Vous me punissez, maîtresse »
« Ah oui, et tu sais ce que c’est, c’est la fessée ? Tu entends, la fessée. Hum, ça fait mal, hein ? »
« Oui, maîtresse »
« Bon, et bien moi je pense qu’il t’en faudrait une bonne petite pour être sûr que tu vas bien faire ton travail de soubrette. Qu’est-ce que tu en penses, Pierre »
« Oui, ça lui ferait du bien »
J’étais content d’entendre cela. J’aime la fessée et même si je suis très soumis, une bonne raclée donne encore plus d’autorité aux maîtres. Après, je sais ainsi ce qui m’attend en cas de désobéissance.
Janine m’a ordonné.
« Mets-toi à quatre pattes ! Allez, tends bien les fesses»
J’ai obéi, pensant recevoir les coups, mais Janine avait d’autres envie.
« Oh, elles sont belles ces fesses toutes lisses. Tu as une belle paire de fesses qui donne envie de les rougir. Tu trouves pas pierre ? »
« Oui, elles sont faites pour ça. Pierre, tu as ta ceinture ? »
« Oui, elle est là »
« Tu sais où il est le martinet ? »
« Oui, accroché dans l’entrée »
« Bon, toi tu vas marcher à quatre pattes et on va aller le chercher. Allez, et tu tortilles un peu ton cul »
J ‘ai obéi, très humilié.
« Allez, plus vite ! »
J’ai donc pris le couloir sous les ricanements et les moqueries de mes Maîtres.
« Il est mignon les fesses à l’air avec les couilles pendantes. Allez tortille bien ton cul, cochonne »
J’ai fait de mon mieux pour tortiller mes fesses. Arrivés dans l’entrée, Janine a décroché le martinet.
« Tu vois, il t’attendait. On l’a mis dans l’entrée, comme ça tout le monde le voit. Si on nous demande à quoi il sert, on dit que c’est pour notre soubrette »
J’ai regardé Janine avec un air étonné. Elle avait un grand sourire.
« Ah oui, il y a un couple d’amis qui est venu hier et nous a demandé pour qui c’était. Alors, on leur a dit qu’on avait une soubrette qui recevait le martinet. Ils ont bien rigolé »
J’ai été très humilié de savoir que mes maîtres se moquaient de moi avec leurs amis. Janine a pris le martinet et a commencé à viser mes fesses.
« Allez, tu files dans la chambre à quatre pattes ! »
Je me suis empressé s’y aller car Janine n’a pas arrêté de frapper, pas très fort, mais je sentait très bien une multitude de piqûres dues aux lanières du martinet. Elle a frappé indistinctement les fesses et les cuisses, et même – sans le vouloir – deux coups sont arrivés sur mes couilles. Arrivé dans la chambre, j’ai vu Pierre qui attendait avec la ceinture, le sourire aux lèvres.
« À toi Pierre, je l’ai juste échauffé »
C’est Pierre qui a pris les choses en main.
« Tu vas t’allonger sur le lit, ce sera plus pratique. Allez ! »
J’ai obéi avec empressement, ce qui n’a pas empêché Janine de me donner encore 4 ou 5 coups de martinet jusqu’à ce que je sois en position. Pierre a pris les deux oreillers pour les mettre en dessous et exposer ainsi mes fesses en hauteur.
« Voilà, comme ça on ne peut pas rater tes fesses. Dis donc, tu as déjà des traces du martinet, ça a dû chauffer, non ? »
« Oui, Maître »
« Bon, je te préviens, là ça va être autre chose »
« Je sais, Maître »
« Mais, tu aimes ça, non ? »
J’ai bien été obligé de répondre.
« Oui, Maître »
« Qu’est-ce que tu préfères, le martinet ou la ceinture ? »
« La ceinture, maître »
« Ah bon, pourquoi ? »
« Parce que ça chauffe partout les fesses »
« Tu as raison, elles vont chauffer, alors que le martinet ça pique plutôt. Bon, je vais t’attacher pour que tu ne bouges pas »

J’ai mis les mains dans mon dos et j’ai rapproché mes chevilles. Pierre a pris deux sangles et a serré très fort. J’étais prêt pour une raclée. J’aime beaucoup ces moments qui précèdent les corrections annoncées à l’avance. La mise en place, les fesses souvent exposées de manière impudique, les préparatifs des instruments, l’attente du premier coups. Dans ces moments, j’ai l’impression de n’être qu’une paire de fesses, d’ailleurs, en général je me prête à la correction et je tends mes fesses plutôt que de me protéger. Bien sûr quand les coups pleuvent, après la phase de « réchauffage », lorsque les coups tombent sur des parties qui ont déjà reçu deux ou trois coups bien appuyés, cela commence à faire mal, et c’est le but. C’est là que je commence à me plaindre, à tortiller mes fesses, puis à essayer d’esquiver les coups. La fois précédente Janine et Pierre ne savaient pas au début comment mener la correction et j’ai dû leur expliquer ce qu’était une vraie raclée.

J’ai donc attendu avec plaisir et appréhension la correction de Pierre. Le cérémonial, les fesses en hauteur sur les oreillers et les mains et pieds attachés, m’ont fait penser que ce serait une vraie fessée, sérieuse. J’ai entendu Janine et pierre tourner autour du lit mais je n’ai pas osé regarder. C’est alors que j’ai vu arriver sous mon nez la culotte de Janine, qu’elle a déposée côté taché et odorant.
« Tiens, ça t’aidera à supporter la raclée. Sens bien ! »
J’ai frotté mon nez sur le fond de la culotte de Janine, jauni et odorant. J’ai retrouvé avec plaisir le parfum de l’entre-fesses de ma maîtresse. Puis la fessée a commencé, méthodique et forte.

Comme prévu, les 15 premiers coups étaient très supportables, un plaisir même. J’ai tendu mes fesses pour mieux les exposer aux coups. J’avais envie de cette fessée depuis plusieurs jours. Le bruit de la ceinture qui claquait sur mes fesses était très excitant. J’entendais aussi le souffle de Pierre à chaque coup. Les 15 coups suivant ont commencé à me faire mal et comme prévu j’ai commencé à émettre des petites plaintes et à tortiller mes fesses. Heureusement, la culotte de Janine m’a permis de me concentrer sur autre-chose. Au lieu de serrer les fesses, je me suis décontracté en espérant avoir moins mal. Cela m’a permis de supporter les 10 coups suivants, mais je n’ai pas pu tenir plus longtemps sans bouger. J’ai donc tenté de me tourner après un coup pour échapper au suivant. Pierre a immédiatement réagi.
« Tu ne bouges pas, tu entends. Sinon, je recommence au début. Janine tu vas le tenir. Viens t’asseoir sur lui »
Je me suis donc retrouvé coincé par les 70 kg de Janine qui s’est assise sur mon dos.
« Bon, je voulais t’en donner encore 20 coups, mais comme tu gigote ce sera 30. Et je ne veux pas t’entendre ! »
Janine a ajouté
« Vise aussi les cuisses, ça va faire de belles traces, j’aime bien »
Pierre a repris la raclée et en effet il a visé les cuisses, ce qui m’a faire particulièrement mal. J’ai eu la mauvaise idée suite à un coup de relever mes jambes ce qui a mis Pierre en colère.
« Ça suffit ! Tu vas t’en souvenir ! »
J’ai senti que Pierre attrapait mes pieds et les attachait au bas du lit. Cette fois j’étais vraiment coincé, à leur merci.
« J’en étais à 16 coups, mais je recommence au début, ça t’apprendra »
J’ai donc reçu les 30 coups promis. J’ai compté les coups tout en entendant Janine qui encourageait Pierre.
« Vas-y ! allez, frappe les cuisses, il le mérite ce petit cochon »
Lorsque le 30ème coup est arrivé, Pierre s’est arrêté et je pensais m’en tirer ainsi. Mes fesses étaient brûlantes. Mais Janine ne s’est pas relevée.
« Alors, elle sent toujours bon ma petite culotte ? »
« Oui, Maîtresse »
« Tu as mal aux fesses, non ? »
« Oui, Maîtresse »
« C’est bien fait, tu n’avais qu’à obéir »
C’est Pierre qui s’est approché de moi.
« Regarde-moi. Tu sais ce qui t’attends si tu n’obéis pas ! »
« Oui, maître »
A travers la culotte, j’ai vu Pierre qui me menaçais avec la ceinture à la main et j’ai remarqué qu’il se caressait le sexe qui était déjà assez gros. Janine s’est relevée et Pierre a détaché mes chevilles. Je ne savais pas si je devais bouger, mais j’ai vite compris ce qui m’attendais quand Pierre m’a ordonné de me mettre à genoux au bord du lit.
« Viens ici, à genoux. Allez, écarte les cuisses et cambre-toi ! »
J’ai obéi, prêt à me faire sodomiser. J’ai senti le doigt de Pierre enduit de gel qui est entré sans ménagement et a commencé un va et vient. Je me suis ouvert au maximum et Pierre l’a remarqué.
« C’est bien, tu t’ouvres comme une bonne pute, je vais t’en mettre un deuxième »
C’est ce qu’il a fait immédiatement. Ses doigts sont épais et j’étais déjà bien garni. Dès qu’il s’est retiré, j’ai senti son gland et il a poussé régulièrement et fermement jusqu’à que je sente son ventre contre mes fesses. Il n’a pas bougé mais j’ai vu tout à coup ses deux doigts devant moi.
« Ils ne sont pas propres. Suce ! »
J’ai eu un mouvement de recul. Les deux doigts étaient luisants et très odorants puisqu’ils sortaient de mon anus.
«Ça ne te plaît pas ? C’est ton odeur, celle de ton cul. Allez, suce, sinon tu sais ce qui t’arrive si tu n’obéis pas ! »
Oui, je savais et je n’avais pas envie de recevoir 50 ou 60 coups de ceinture. Alors j’ai sucé.
« C’est bien. Tu es un bon esclave obéissant »
Janine s’est mise à rire en me voyant sucer. Pierre a retiré ses doigts de ma bouche et a empoigné mes hanches pour commencer un va et vient lent et profond. Je l’entendais souffler par derrière. Après une quinzaine de va et vient qui ont certainement permis à son sexe de bien durcir, il m’a poussé sur le lit et m’a écrasé de tout son poids. Avec ses jambes il a écarté mes cuisses pour mieux entrer. J’ai senti son souffle derrière moi à chaque coup de bite. J’ai été vraiment obligé de subir ses assauts. À chaque coup de bite, j’étais écrasé davantage et projeté vers l’avant. Mon anus me chauffais un peu mais c’était très supportable. Pierre a commencé à soupirer et je me suis douté qu’il allait jouir. Il a en effet joui assez rapidement, puis il est resté sur moi un long moment, reprenant sa respiration. Sa bite est resté dans mon anus pendant tout ce temps et ce n’est qu’après plusieurs minutes qu’il s’est relevée et que j’ai senti sa bite sortir.
« Tu ne bouges pas ! »
J’ai obéi, m’attendant à une suite. Pierre a fait le tour du lit et a mis son sexe devant mon visage. Elle était luisante et très odorante après le passage dans mon anus. Pierre a décalotté le gland et j’ai vu tout ce que le bourrelé avait retenu. J’ai eu un mouvement de recul et pierre m’a ordonné de sucer. Pour une fois je n’ai pas accepté.
« Non, maître, je ne peux pas »
« Comment ça non, tu sais ce qui va t’arriver ! »
Je savais mais je ne pouvais vraiment pas. J’ai supplié.
« S’il vous plaît , Maître »
C’est Janine qui m’est venu en aide.
« Arrête, c’est trop. Tu vas pas lui arracher la peau des fesses. Je trouve qu’il a été très docile depuis ce matin, il a quand même sucé tes doigts »
Pierre a hésité, puis il a reculé.
« Bon, d’accord, ça ira pour cette fois »
J’ai été soulagé car ce n’était plus un plaisir.
« Merci, Maître »
« Tu peux remercier Janine »
« Merci, Maîtresse »
Je me suis relevé et Janine m’a détaché et a eu des gestes très doux sur mes fesses et mon sexe.
« Ça va, tes fesses chauffent encore ? »
J’ai hésité et j’ai répondu en baissant les yeux.
« Non, c’est très supportable, et puis j’aime bien ça la fessée »
« Ah oui, tu encaisses bien les coups. À chaque coup de ceinture j’ai vu la trace qui restait, ça devait faire mal »
« Oui, mais j’aime bien ça »
« Tu as aimé tout ce qu’on t’a fait ce matin ? Qu’est-ce que tu as préféré ? »
Cela a été très humiliant pour moi d’avouer que j’avais bien aimé être traité comme un esclave, mais j’ai fini par me lancer.
« J’ai beaucoup aimé quand j’étais au fond du lit »
« Je m’en doutais. Ça ne te gêne pas l’odeur de nos pieds ? »
« Non, j’aime ça parce que c’est une humiliation. J’ai l’impression d’être un objet à disposition »
« Et quand tu lèches, je ne sais pas comment tu fais pour supporter. Ça a du goût ? »
« C’est juste salé à cause de la transpiration. Ce qui me plaît c’est de me dire que je nettoie vos pieds avec ma langue, c’est humiliant »
« Pire que de lécher la raie des fesses ? »
« La raie des fesses a plus de goût et d’odeur, et c’est aussi une humiliant, mais c’est une caresse sexuelle. Alors que les pieds c’est une vraie punition »
« Et la raclée, alors ? »
« C’était très bon, j’ai besoin de ça régulièrement »
« Et qu’est-ce que tu préfères, lécher ma fente ou la bite de Pierre ? »
« Votre fente, maîtresse. Je ne suis pas gay donc c’est plus dur de devoir honorer Pierre »
Pierre est intervenu.
« Tu n’as pas aimé me sucer ce matin ? »
« Si maître, parce que je me suis retrouvé de suite esclave. Mais c’est moins naturel pour moi. Ce qui me plaît c’est de me dire ensuite que je vous ai sucé, c’est une bonne humiliation »
« Et le ramonage de ta rondelle, ça t’a plu ? »
« Oui, c’est aussi une bonne humiliation »
« Et ça t’a pas fait trop mal ? »
« Non, ça m’a juste chauffé la rondelle. Ce qui était bon c’était de me sentir coincé et écrasé pendant que vous preniez votre plaisir, j’étais là aussi votre objet »
Les caresses de Janine ont bien sûr fait de l’effet sur mon sexe qui a bien grossi. Elle a caressé mon sexe et mes couilles avec beaucoup d’expérience.
« Ça te plaît, hein ? Elle est belle ta bite finalement. Bon on a joui tous les deux ce matin, mois avec ta langue et Pierre dans ton cul. Comme tu a été très obéissant, on va te permettre de jouir aussi. Tu en as envie ? »
« Oui, maîtresse »
« Ensuite tu vas faire ton travail de soubrette, le ménage complet, et on aura toujours a portée de main le martinet et la ceinture si tu n’es pas assez efficace. Entendu ? »
« Oui, Maîtresse »
« Bon, et bien tu vas te masturber, là devant nous. Je t’ai déjà bien préparé. Allez, à genoux ! »
Je me suis agenouillé et j’ai commencé à me masturber, mais ce n’était pas très concluant.
« Je sais ce qui lui faut pour bien jouir, ma petite culotte »
Janine a apporté sa culotte qui traînait par terre et me l’a mise sous le nez.
« Allez, sens bien mon odeur ! »
J’ai humé l’odeur intime de Janine et rapidement mon sexe et devenu dur.
« Tu es vraiment un petit cochon, tu aimes ça, hein ? »
Je n’ai pas répondu car je commençais à jouir. En quelques instant j’ai repassé dans ma tête la matinée : les pieds, les sexes, la fessée. J’ai joui bruyamment en frottant mon nez sur le fond taché de la culotte de Janine. J’ai retenu me mieux possible mon sperme dans ma main pour que cela ne coule pas par terre.
« Allez, va te laver et ensuite au travail »
Je suis allé me rincer dans la salle de bain et je se retourné dans la chambre où mes maîtres m’attendaient.
« Bon, voilà le programme. D’abord, l’aspirateur partout dans le maison, puis la serpillière dans l’entrée, le salon, la cuisine, la salle de bain, le couloir. Ensuite tu nettoieras la salle de bain et les WC. Pour terminer la matinée, tu feras la lessive de nos sous vêtements dans une bassine au sous sol. Il sera pas loin de midi et tu prépareras le déjeuner, la liste et sur la table et tu nous serviras à table. Allez, au travail ! »

Je suis donc parti pour ma corvée, content d’être ainsi réduit en esclavage ménager. Finalement durant cette partie de la journée j’ai été une simple femme de ménage. Ce qui montrait que j’étais un peu plus un esclave, c’est bien sûr ma tenue – tout nu – et le fait que j’étais sous la menace d’une raclée éventuelle.
Mes maîtres avaient tout de même prévus quelque méchancetés. La première a été lorsque j’ai cherché le tube de l’aspirateur permettant de faire un balai. Janine m’a fait remarquer que ce serai mieux fait si je me mettais à genoux et que je passais la brosse directement au bout du tuyau. De même elle m’a prévenu que la serpillière se passerai à la main et à genoux, pas de balai pont pour moi. C’étaient deux petites humiliations supplémentaires. J’ai donc passé presque 2 heurs à quatre pattes à nettoyer le sol. Finalement, cette partie de ménage s’est bien déroulée (pas un seul coup de ceinture ou de martinet), sauf pour le nettoyage des WC et la lessive des sous vêtements que mes maîtres ont rendus plus désagréable.

Ce sera l’objet des prochains chapitres.

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