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Quand curiosité devient réalité.

Quand curiosité devient réalité.



Quand j’étais plus jeune, j’adorais sentir les culottes sales de ma voisine. Puis j’ai commencé à jouer à « touche pipi » avec son fils et ça me plaisait beaucoup surtout quand il faisait jaillir son petit zizi tout dur. Lors de nos initiations, il m’a dit qu’il il avait un nouveau dans la commune et que c’était un « pédé ». Je lui demande si il est sure de ça et il m’a répondu que oui. Comme je suis un curieux et voyeur dans l’âme, j’ai décidé de traîner le long de sa propriété pour voir si mon voisin avait raison. Il m’a fallut plusieurs jours pour enfin l’apercevoir. Il venait de se faire installer une piscine et sa propriété était un vrai foutoir à gravats. Je longeais son mur, il me fait signe et me demande pourquoi je faisais mon curieux. Surpris, je me suis baissé et prenant mon courage à deux mains, je me suis relevé et en bafouillant je lui ai dit que rien et plus je cherchais des excuses, plus je m’enfonçais. Il m’a sourit et il est venu vers moi. Cet homme était, à mes yeux, normal et c’est lors d’une belle journée d’été que tout à commencé. Il portait un short qui moulait son gros paquet que je refusais de regarder pour qu’il ne le remarque pas. Il m’a demandé si je voulais me baigner, je lui dis que je n’avais pas de maillot et il m’a proposé un des siens qu’il ne mettait plus. Je pénètre donc chez lui et la seule chose qui m’a marqué, c’était une statue d’homme nu en plein milieu de son salon. Tout en le suivant, je fixais les attributs de la statue. J’ai senti mon petit zizi commencé à gonfler et je me mit à rougir. Il m’invite à rentrer dans la salle de bain et il m’amène le slip de bain avec un sourire en coin. Je pensais pouvoir me calmer dans la salle de bain, mais ma curiosité m’a poussé à fouiller dans la corbeille à linge. J’en sors un magnifique slip et je le renifle direct à l’emplacement de sa bite. Je passe le maillot trop grand et je sors de la salle de bain et je passe du salon à la terrasse. En passant devant la télé, des cassettes vidéos étaient entassées sur le meubles. Je regarde vite fait et il n’y avait que du porno gay. Troublé, je continuais à bander et il entra dans la pièce. Il m’a demandé de poser ce que je regardais et que ce n’était pas de mon âge. Là, il me suis trouvé prit de panique, surtout qu’il regardait avec insistance mon zizi et je voulais m’enfuir. Il m’a demandé si je voulais faire quelques brasses pour me calmer et moi tout penaud, j’ai répondu que oui. J’ai obéit et là au moins, il ne pouvait plus voir mon zizi tout dur. Il est revenu avec une serviette, des petits gâteaux et du jus de fruit. Il m’invite à sortir et quand il s’est levé, pour me poser la serviette sur les épaules, j’ai remarqué que sa bite déformait bien son slip. Je pensais m’essuyer tout seul mais il m’a demandé de le laisser faire. Il me regardait fixement, ses mouvements étaient de plus en plus précis et la serviette à atteint, inévitablement, mon zizi et l’intérieur de mes fesses. Je sursauta légèrement et il m’a dit qu’il pouvait arrêter si je le voulais. Comme il attendait ma réponse, je lui répond que ça ne me gênait pas, au contraire. Son visage s’est illuminé, il a lâché la serviette, il passa ses doigts sur mon zizi et entre mes fesses. Il attrapa mon petit bout entre 2 doigts et le pinça légèrement en caressant mon petit trou vierge de bite. L’effet fut immédiat, j’ai jouit dans son slip de bain. Pour me détendre de la situation quand même très gênante, il s’est mit à rigoler en léchant ses doigts et me dit que ce n’était pas grave et que c’était normal. J’ai eu droit à un gâteau et tout mangeant on a discuté de mes tendances. Je lui dit que mes seules expériences étaient avec un copain et il me posait plein de question sur le sexe entre homme et quand il m’a demandé si je voulais voir et toucher sa grosse bite de mec. Le ton de sa voix étant rassurante, j’ai répondu avec un grand sourire, oui, j’en ai très envie. Il me dit que l’on sera mieux à l’intérieur et il me propose de m’asseoir sur le canapé. A peine installé, je fixe sa bite à travers son short et il s’approche de moi de plus en plus près. Il relève ma tête en mettant sa main sous mon menton et me dit de me servir. Je passe ma main le long de sa bite et je sens ses veines gorgées de sang. Mon cœur bat la chamade et voyant que je n’allais pas assez vite à son gout, il s’est reculé, il a baissé son short et sa bite jaillie venant claquer son ventre. J’étais en admiration devant cette belle et grosse bite et une fois le short balancé sur un fauteuil, il s’est de nouveau avancé et là, j’ai senti une odeur forte mais enivrante. J’ai posé ma main sous ses lourdes couilles velues en regardant son gland qui commençait à couler. On se regarde et il me dit que je pouvais le sucer, si je voulais. Je lui dis que j’aimerais bien mais je trouvais que sa bite sentait un peu fort. Il m’a répondu qu’une bite qui sent pas la bite n’est pas une bite. J’ai prit sa bite dans une main et tout en le branlant, je me suis approché de son gland. J’ai passé le bout ma langue sur son gland gluant, mais j’hésitais vraiment à prendre sa bite en bouche. Je pense qu’il était pressé de plonger sa bite au fond de ma bouche qu’il passa sa main derrière ma tête et me força à l’avaler. J’ai faillit vomir et il m’a dit d’un ton plus directif et dominateur qu’il voyait bien que j’étais fait pour ça et que je ne repartirais de chez lui sans l’avoir sucé. Le « fait pour ça » m’a transformé sur le coup et sans réfléchir, je me suis mis à sucer sa bite goulûment. Calmé, il me dirigeait avec douceur ce qui l’a amené à jouir une grosse quantité de sperme dans ma bouche d’ados. Je n’ai pas pu tout avalé mais je me suis régalé. Il m’a demandé de lui nettoyer la bite à fond et il s’est assis à coté de moi. Après des « ça t’a plu » »t’as aimé ma bite » »mon jus a un bon gout », il a posé sa main sur ma cuisse et m’a demandé si je voulais qu’il me suce. Je ne lui ai pas répondu et j’ai défait mon slip. Il s’est penché et il m’a sucé 5 petites minutes avant de me boire. Il n’a rien dit et il m’a sourit. Prétextant qu’il devait s’absenter, il m’a demandé si je voulais que l’on se revoit et surtout d’aller plus loin dans cette relation, je lui répondis que oui mais je voulais savoir ce qu’il entendait par « plus loin ». Il me dit qu’il voudrait me baiser si j’en avais envie. Je lui répondit que oui mais sa bite était trop grosse. Il m’a rassuré et m’a dit que fait délicatement et en douceur, mon trou s’ouvrira comme une fleur. Il s’est levé, moi je me suis rhabillé et avant de partir, il me tend un gode, caché entre les coussins du canapé, et me dit que je pourrais m’entraîner avant de se revoir. Je le glisse dans mon slip en le remerciant et je suis rentré.

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