J’ai terminé mon cours primaire au Jardin de l’Enfance d’une ville du Centre du Québec avant de m’inscrire au Séminaire de cette même ville pour faire mon cours classique.
Nous sommes en septembre 1956.
Je suis en Élément Latin.
Une journée de fin de semaine, alors que je vaguais sans idée fixe lors de la récréation d’après dîner, un élève s’approche de moi et me dit:
« Je me prénomme Claude et toi? »
« René. »
« Dans quelle année es-tu? »
« En Élément Latin. »
« Je suis en Rhétorique: tu ne sembles pas avoir beaucoup d’amis pensionnaires? »
« J’ai quelques amis mais ils sont surtout externes donc les fins de semaines je suis seul. »
« Tu n’a rien de spécial à faire présentement?
« Non! »
« Tu as déjà fait le tour de la cour par le sentier pédestre bordé d’arbres? »
« Non. »
« Tu veux m’y accompagner? »
« Ouiii! »
Nous nous dirigeons vers le début du sentier.
Tout en marchant, Claude me demande:
« Tu ne trouves pas ça ennuyant d’être toujours seul, les fins de semaines? »
« Oui, c’est ennuyant! »
« Ce n’est pas bon d’être toujours seul: tu veux que je sois ton ami et que je m’occupe de toi? »
« Tu es beaucoup plus vieux que moi. »
« C’est le rôle des plus vieux comme moi de voir à ce que les jeunes comme toi s’intègrent le mieux possible au régime du séminaire. C’est pour cette raison que je t’offre mes services et que je veux devenir ton ami si tu le désires. »
« Je veux bien être ton ami. »
Tout en marchant et une fois le long de la rangée d’arbres, je sens que Claude effleure ma fesse droite de l’intérieur de sa main gauche.
Mes muscles se contractent légèrement mais sans plus.
Je continue à marcher à ses cotés: quelques secondes plus tard, je sens sa main effleurer avec plus d’insistance l’intérieur de ma fesse droite.
Une fois de plus, mes muscles se contractent légèrement mais sans plus. Je ne fais aucun geste pour contrer son mouvement.
Satisfait de ma réaction, sa main force mon entre-fesses par dessus mon pantalon ne laissant aucun doute dans mon esprit sur ses intentions.
« Ça te déplait que je te touche les fesses? »
« Non, ça ne me déplait pas! Toi, tu aimes toucher aux fesses des garçons? »
« Oui, surtout quand c’est à un beau garçon comme toi. »
« Tu me trouves beau? »
«Oui, je te trouve beau et ton corps m’excite: c’est la première fois qu’un garçon te touche les fesses? »
« Oui! C’est la première fois que quelqu’un me touche les fesses. Tu as déjà fait ça à d’autres garçons? »
« Oui! »
« Ils se sont laissé faire comme moi? »
« Certains se sont laissé faire, d’autres non! »
« Tu leur as fait quoi aux garçons qui se sont laissé faire? »
« Tu vas t’en rendre compte par toi même si tu me laisse faire. Tu voudrais que j’aille plus loin? »
« Que veux-tu dire par aller plus loin? »
« Tu ne le devines pas? »
« J’en ai une vague idée mais j’aimerais que tu me dises ce que tu as l’intention de me faire? »
« J’aimerais glisser ma main à l’intérieur de ton pantalon. »
« Ici même? »
« Nous sommes seul et ces gros arbres empêchent quiconque de nous voir. »
« Tu veux que je détache ma ceinture pour te faciliter la tâche? »
« Oui, et que tu déboutonnes le bouton du devant de ton pantalon. Ça va être plus facile d’introduire ma main dans l’embrasure arrière de ton pantalon »
Je fais ce qui m’est demandé. »
« Places-toi directement derrière ce gros arbre, face contre lui et penche toi un peu par en avant. . »
Je me place directement derrière le gros arbre et je prend la position demandée.
Claude se place tout contre moi et il glisse une main à l’intérieur de mon pantalon mais par dessus mon caleçon.
Il flatte ma fesse droite puis la gauche avant de diriger un doigt au centre de mon caleçon et d’y mettre une certaine pression.
« Tu aimes ça? »
« Oui, j’aime ça! »
« Tu veux que je j’enfonce ton caleçon entre tes fesses? »
« Si tu veux. »
« Tu préférerais que j’aille sous ton caleçon? »
« C’est ce que tu désires? »
« Oui! »
« Vas-y sous mon caleçon. »
Claude remonte sa main et la fait glisser à nouveau mais cette fois, entre mon caleçon et ma peau.
« C’est bon! Ta main est douce. »
Il me flatte mes fesses droite par mouvements rotatifs.
Je ne peux m’empêcher d’écarter les jambes.
« Tu me provoques, en écartant tes jambes. »
« Oui, si tu le prends comme ça. »
« Tu trouves ça bon? »
« Qu’en penses-tu? »
« Tu t’es déjà masturbé? »
« Non, jamais! »
« Tu as déjà masturbé un garçon? »
« Non, jamais. »
« Tu n’as jamais eu aucune relation sexuelle avec un autre garçon? »
« Non, jamais! »
« Tu aimerais que je te masturbe? »
« Oui, j’aimerais ça. »
« Si tu te laisses faire ce que je veux, je pourrais te masturber et te faire éjaculer: ce serait la première fois que tu éjaculerais? »
« Ce serait ma première relation sexuelle. »
« Bien, laisses-toi faire. »
Je sens un doigt se glisser entre mes fesses et atteindre mon sphincter.
« Non, pas là! »
« J’aimerais tant introduire un doigt dans ton cul: si tu veux que je te masturbe, tu dois te laisser faire. »
« Non, je ne veux pas ça: n’insistes pas, je t’en prie. »
« Si, j’insiste? »
« Tu es pervers à ce point? »
« J’aime caresser le cul des garçons que je devine soumis comme toi. »
« Comme tu le devines, oui je suis puceau et oui, je suis masochiste et soumis: mais je préférerais que ce que tu as l’intention de me faire se passe dans un endroit qui soit plus intime que derrière cet arbre. »
« Laisses-moi seulement introduire le bout d’un doigt dans ton cul. »
« Tu y tiens absolument? »
« Oui! Écartes tes jambes un peu plus. »
J’hésite quelques fractions de secondes puis j’écarte mes jambes.
« Penches-toi un peu plus par en avant. »
Je prend la position demandée.
« Ne contracte pas les muscles de ton sphincter »
« Mon cul t’appartient! »
Je sens le bout de son doigt tourner dans un sens et dans l’autre sur ma rosace. La pression de son doigt augmente et vient à bout de la résistance de mon sphincter.
Le bout de son doigt pénètre légèrement dans mon cul.
« Fais-moi plaisir, écartes encore un peu plus les jambes. »
Je me soumets à cette nouvelle demande.
« Tu vas faire entrer ton doigt profondément dans mon cul? »
« Oui, je vais t’enculer de toute la longueur de mon majeur. »
Au même moment, je sens son doigt pénétrer lentement mais de plus en plus profondément dans mon cul jusqu’à ce qu’il atteigne le fond de mes entrailles.
« Tu me fais mal mais….! »
« Tu aimes ça te faire enculer, mon cochon? »
Les sensations sont étranges: douleur et jouissance à la fois.
J’écarte mes jambes le plus que je peux.
Je sens son doigt se retirer quelque peu de mes entrailles avant qu’il me le ré-enfonce au complet avec vigueur.
« Tu me fais mal mais malgré tout je jouis de cette douleur. »
Les mouvements de retraits et de réinsertions brutales se répètent plusieurs fois.
« Je suis pervers mais toi, tu es vicieux et masochiste. Tu jouis quand je te fais mal. »
Claude retire son doigt de mes entrailles tout en maintenant sa main à l’intérieur de mon caleçon.
Il la dirige vers mon scrotum: il sonde mes testicules et les prend entre ses doigts.
« Je vais te faire souffrir encore un peu plus en te serrant les testicules: il ne faut pas que tu cries. »
Claude place sa main libre contre ma bouche.
« Prends une profonde respiration par le nez. »
Je prend une profonde respiration.
« Souffre! »
Il serre mes testicules avec force.
Je sens une douleur très vive irradiée le bas du ventre: sa main posée sur ma bouche m’empêche de crier de douleur tandis que son autre main, me maintenant par mon entre-jambes, m’empêche de m’affaisser par terre.
« J’aime te faire souffrir. »
« J’aime que tu me fasses mal, même très mal. »
« Tu es réellement spécial et j’espère que tu me redonneras au moins une autre chance de te faire souffrir. »
« J’aimerais te rencontrer à nouveau pour que tu me fasses souffrir à nouveau mais de façon différente. »
« Ça fait quelques années que j’ai constaté que j’aimais souffrir. C’est la première fois que je me fais enculer: tu m’as fais très mal mais j’ai également éprouvé une grande jouissance dans la douleur que j’ai ressenti. »
« La prochaine fois que nous allons nous rencontrer, je te promets que tu vas t’en souvenir pour le restant de tes jours. »
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