la boulangère (evelyne) et moi sommes donc devenus amants, je continue à la voir tous les jours à midi en allant chercher mon pain, bien sùr à la boutique nous sommes plus que discrets, elle est mariée, et puis il y a son boss et les deux autres employés, mais elle ne manque pas parfois de ma laisser voir ici un sein en se penchant,là sa chatte, surtout quand pour me faire plaisir elle n’a pas mis de culotte, elle fait tomber une pièce de monnaie, l’air innocent et écarte largement ses jambes en s’accroupissant pour la ramasser, je me régale à voir sa fente que je devine humide et son ticket de métro brun comme je lui ait appris à le tailler, tous les jours de la semaine je pense au mercredi, jour où elle ne travaille pas pour la retrouver…………………………..
nous avons déjà passés quelques mercredi après midi ensemble, trouvant des coins tranquilles dans les bois ou au bord de l’ardèche, on s’est touchés,caressés, avons baisé contre un arbre ou sur une plage de cailloux, son maillot juste écarté pour laisser passer ma queue et la pilonner discrétement au milieu des autres baigneurs, nous avons discuté de ci, de ça, des nos vies, de nos envies, elle est mariée depuis longtemps, elle n’a eu qu’un fils, elle est grand-mère et son mari, retraité, entre la pèche et la pétanque ne s’occupe plus vraiment d’elle qu’une fois de temps en temps à la planplan,ce qui explique dit elle les tenues qu’elle portait, elle ne pensait plus susciter l’intérêt des hommes, surtout des plus jeunes qu’elle, jusqu’a ce que nos regards se croisent, elle avoue qu’elle avait l’impression que je la déshabillais des yeux quand j’entrais dans la boutique, bref elle parle aussi de sa vie sexuelle avec son mari, devenue trop calme comme je le dis plus haut, mais qui en fait n’a jamais été bien exitante, plus jeune elle aurait voulu plus de fantaisie, plus de piment, mais ça n’est jamais arrivé, elle est dit elle restée fidèle jusqu’a maintenant, préservant sa famille et sa réputation dans sa ville………….
un mercredi après midi, cela fait à peu près deux mois que je la saute, je lui ait donné rendez-vous sur un parking près de chez elle, elle y laisse son auto et partons tous les deux dans la mienne, je lui ait demandé de ne porter qu’une jupe, je ne veux pas de dessous à part les bas et le porte-jarretelles, je vérifie qu’elle m’ait obéit et l’emmène dans un endroit boisé que je connais près de montélimar, c’est un endroit où par le passé quelques couples venaient s’ébattrent l’après midi, puis souvent comme dans tous ces lieux d’exhib, les homos ont pris le dessus et fait fuir la plupart des couples, heureusement pour la suite des évenements ,c’est quand même fréquenté par quelques mecs plutôt bi qu’homo, j’ai donc pris le chemin bordé de grands arbres jusqu’à une espèce de clairière, limite du bois ou je peux me garer facilement, je me suis mis en marche ar le nez de l’auto visible du chemin, je lui ait fait enlever son chemisier, je commence a titiller ses seins nus, je sens les pointes durcir sous mes doigts, j’y mets parfois la langue, les dents pour les mordiller,ça me laisse les mains libres pour caresser la soie des bas ou la peau juste au dessus, sans toucher à la chatte pour l’instant, d’autres voitures commencent à passer dans le chemin, certaines ralentissent, les chauffeur matent , les homos, les vrais passent leur chemin,les plus intéressés s’arrêtent presque sur place, essayant d’en voir plus malgré les reflets sur le pare brise de mon auto, entre deux passages je la fais descendre de la voiture et passer de mon côté, quand elle est debout près de moi je lui enlève sa jupe, elle est debout nue hormis son porte-jarretelles et ses bas, j’ai baissé mon short et lui présente ma queue bandée, en partie cachée par la portière elle s’accroupit et commence à me sucer, ça bouge autour de nous j’entends les branches craquer sous les pas de mecs qui approchent, je regarde autour de moi et dans les rétros, j’en vois trois, mal dissimulés derrière les arbres qui matent, elle suce toujours et ne les voit pas, il y en a un plus près je lui fait signe d’approcher, il le fait, sa braguette est ouverte, il se touche la bite, elle paraît bien dure mais n’est pas très grosse ni grande, quand il est trop près à mon goût je lui fais des signes qu’il ne doit plus bouger et continuer de se branler c’est tout, enhardis les deux autres s’approchent aussi, c’est pas du top les mecs, rien de bien exitant, ils sont resté un moment et se sont tirés un après avoir craché son jus parterre, les autres en comprenant qu’il n’y aurait rien de plus pour eux! un autre arrive, la quarantaine, sapé plutôt classe, suivi d’un autre à peu près de mon âge mais bedonnant au possible, le jean ouvert on ne voit même pas sa queue, le plus jeune ouvre sa braguette et sort sa bite, hé celle ci n’est pas mal du tout, il ne bande pas encore à fond mais ça promet, le gros envoie la main en avant et lui touche, il la prend à pleine main,le mec se cambre sa queue durcit, bel outil quand il est bien dur, un gros gland violet, on dirait une prune et une hampe bien large,en tout elle doit bien faire dans les 22cms, je dis doucement au gros que lui peut rester mais pas plus, m’entendant parler evelyne s’est redressée, j’ai fait approcher le jeune
< vas-y, touche le si tu as envie!
une petite hésitation encore et sa main part à la rencontre du chibre, le mec soupire quand elle commence à le branler, elle le tire plus près moi,se penche à nouveau en continuant à branler le mec, s’accroupit et me reprend en bouche.le mec est tout près de moi, sa queue est à hauteur de mon visage, je tourne la tête, son gros gland est à moins de 5 centimètres,j’avance et passe ma langue sur son gland, il frémit,j’insiste et finalement enveloppe sa prune dans ma bouche, c’est la surprise pour elle quand elle sent mes lèvres contre ses doigts, elle se relève, me regarde et appuie sur ma tête pour que j’aille plus loin, j’ai enfoncé cette belle queue dans ma bouche en continuant à jouer de la langue sur le gland, le salaud a commencé à bouger du bassin, il baise ma bouche comme si c’était une chatte, il est bien dur maintenant, j’en ai plein la bouche, elle est bonne sa queue mais ce n’est pas ce que je veux, aussi j’arrête ma pipe et dit à evelyne que c’est son tour,accroupie de nouveau elle ne demande pas son reste et commence à sucer, un moment plus tard je la fais se redresser, elle se tourne vers moi, je veux qu’elle se penche en avant pour me sucer sans s’accroupir, laisser son cul dispo pour la grosse trique du mec, il est passé derrière elle, il la prend par les hanches, la queue en main il la fait jouer dans la fente et dans la raie, tout en me sucant elle bouge son cul, elle a envie de se faire mettre, le mec s’immobilise, je devine qu’il est entrain de pointer son gros gland sur la chatte de cette cochonne, puis elle crie, il doit être entré, aggripé à ses hanches il commence à la besogner, de grands coups de reins, amples, puissants lui arrachent des cris etouffés par ma queue toujours dans sa bouche, quand mes mains s’attaquent à ses nichons en triturant les pointes, en les pinçant s’en est trop pour elle, elle se déchaîne autant sur la queue du mec que sur la mienne, en moins de 5 minutes elle prend un pied d’enfer sur la grosse queue qui la défonce, ça excite le mec qui d’un coup sort de sa chatte et lui arrose le cul et le dos de son jus, des applausissements autour de nous, sans qu’on les remarquent les voyeurs s’étaient agglutinés autour ,ils sont 5 ou 6 à taper dans les mains, souriante mais pas calmée evelyne remonte en voiture, près de moi, se penche à nouveau et reprend sa pipe, les portes ouvertes, les voyeurs sont là et assistent, elle se donne à fond la salope, ses mains,sa bouche,ses dents s’occupent de ma bite, les voyeurs s’astiquent en matant, même le mec qui l’a sautée remet ça, peu de temps après c’est moi qui lui envoie mon foutre sur la langue, elle est pleine de jus autant dans la bouche que dans la chatte, certains autour balancent aussi leur foutre dans l’herbe, quelques instant pour se remettre, les voyeurs s’éparpillent, elle remet sa jupe et son chemisier, je range ma queue et on s’en va, on a passé plus de deux heures dans ce coin…………….sur la route on s’arrête boire un coup dans un bar, quand elle revient des toilettes ou elle est allée se rafraîchir elle m’embrasse sur la bouche en me disant merci, je l’ai raccompagné à son auto et elle est partie retrouver son mari « planplan »
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