Histoires de sexe en français Premières histoires de sexe

Photographe 8

Photographe 8



Récit d’un ami photographe
Comme promis, j’ai retouché et édité les photos de Suzie avant de lui faire parvenir. J’y ai passé deux soirs, assis devant mon écran, les joues rouges et le sexe en feu, à regarder son corps mis en valeur et à repenser à nos ébats.

J’ai fait suivre par courriel le travail fini à Suzie.

Elle m’a répondu le lendemain. Le courriel contenait, entre autres, ce paragraphe :
« J’ai adoré ce moment exceptionel passé avec toi et la séance photo. Elle sont toutes magnifiques. Merci, je suis prête à recommencer. J’ai repensé à ton idée de locataire. Je connais peut – être quelqu’un pour toi. C’est une amie dont le copain est routier, donc souvent absent. Elle vit essentiellement seule dans son appartement, et ça lui pèse. »

En post scriptum, elle a joint une photo d’elle, prise avec un téléphone cellulaire.
« Un petit bonus pour te remercier de ton bon travail » mentionne le message.

Intrigué par la mention de son amie, j’ai décroché le téléphone pour en savoir plus.
« Salut Suzie! »
« Bonjour! Je suis contente de t’entendre. T’as aimé mon cadeau? »
« C’était surprenant, c’est le moins qu’on puisse dire!! »
« Ça t’a excité?  Tu t’es branlé en regardant? »
« Quoi? Heu, non! »
« Devant les autres photos alors. Cochon!  Tu es seul? »
«  Oui. Pourquoi ? »
«  Va devant ton ordi, je t’appelle en vidéo. »
Je passe devant mon écran. Après quelques minutes, je reçois son appel.
« Je veux te faire visiter mon appart! »
Suzie me montre un bel appartement, lumineux, moderne et confortable. Puis l’image revient vers elle. Je sursaute. Elle a retiré sa robe de chambre et se montre devant moi en tenue d’Eve. Ses seins se meuvent doucement à tous ses mouvements. Chaque respiration les gonfle. J’ai soudainement très chaud.

Elle revient s’asseoir, se penchant vers l’avant dans un geste qui approche sa poitrine de la caméra. Ses seins veulent bondir hors de l’écran. Ses globes ont l’air luisants, durs.

« Tu bandes? »
« Oui, bien sûr ! À quoi tu joues? T’as de la chance de ne pas être à côté de moi !Petite salope, tu aurai le droit à ta fessée ! »
« Montre- comment tu bade pour moi ! Montre-moi ! Baisse ton pantalon ! »
Elle est assise bien droite, les jambes inclinées sur le côté, les bras sur les accoudoirs. Elle remue son buste de droite à gauche lentement, comme sans y penser.

Comme envoûté, sans un mot, je me lève et retire mon pantalon. Mon sexe dur se dresse fièrement devant la webcam.

Je me retourne lentement. J’entends un murmure d’approbation venant des hauts – parleurs. Je regarde l’écran. Suzie est affalée, une main glissant dans la vallée profonde entre ses seins.

« Branle-toi ! » Me dit-elle.
Je ne veux pas être son jouet et je lui réponds :
«  Non. C’est ton tour. masturbe-toi devant moi! »
Elle s’execute docillement et se met à se masturber en rentrant de tant à autreses doigts dans sa chatte luisante de mouille.

Je capte l’image sur mon PC, me promettant de réutiliser cette pose séduisante dans mon travail futur avec Martine.
« Fixant la caméra, elle me lance provocatrice :
« C’est assez pour toi? »
De la tête, je fais signe que non. Elle me fait sa petite moue caractéristique, habillée d’un sourire entendu.

Elle se lève vivement, poussant la chaise vers l’arrière d’un coup de hanches. Son sein tressaute, et l’autre semble vouloir le rejoindre. Elle se recule pour que je la vois en entier, puis commence à se déhancher au son d’une musique imaginaire.

Elle se tourne, me montre ses fesses, les agrippe, les serre et les presse.

Elle revient de face, se met à quatre pattes faisant se balancer ses seins dans le vide de manière vulgaire et provocante.

Elle a le don de m’exciter. Je continue à capter les images sur mon PC et sans y penser, je caresse ma queue en fixant l’écran.

Suzie se met de face, écarte les lèvres luisantes de sa chatte trempée de désir. Elle me fixe pendant que sa main plonge entre ses cuisses. D’un geste, je la vois entrer deux doigts en elle. Sans me quitter des yeux, elle fait bouger ses doigts avec force, son corps entier remuant en phase. Elle donne des coups de bassin, faisant dresser ses fesses, les jambes tendues et légèrement écartées.

Je me branle plus fort. Nous nous regardons toujours intensément, jusqu’à ce qu’elle ferme les yeux, son visage possédé par la jouissance. Incapable de me retenir plus longtemps, je jouis à mon tour sur le sol. Je m’assois, les jambes molles, les narines assaillies par l’odeur musquée du sperme. Suzie pose les mains sur son bureau, face à la caméra, les cheveux en bataille. Sa poitrine monte et descend au rythme de sa respiration qui s’apaise.
« Ouuuuu, c’était bon! C’était ma première fois comme ça devant une cam. J’ai chaud! »
Elle sourit d’un air coquin et rajoute très allumeuse :
« Ne va pas y prendre goût ! Je ne promets pas que ça va se reproduire… ! Au fait, tu m’appelais pour quoi? »

Je fais un effort pour me souvenir du but de mon appel. Reprenant mes esprits, je lui demande :
« Tu peux me parler plus longuement de ton amie. Apparemment, elle se nomme Karine. Elle a la vingtaine et elle vie avec un routier qui s’appelle Marc. J’ai cru comprendre que, comme il est souvent sur la route, Karine se retrouve seule et n’est pas rassurée dans son petit appartement. Elle fait quoi dans la vie? »
« Elle est masseuse. Elle commence et n’a pas trop de sous, mais elle pourrait te payer en massages. »
« Faut voir ! Oui une masseuse à domicile ça peut être sympa. »
« Compte pas la sauter ! Elle aime son copain. »
« Parce que tu crois que je saute toutes les filles qui viennent chez moi ? Je ne cherche pas une maîtresse, mais des locataires. Sauf les salopes comme toi !»Lui dis-je, voulant provoquer une réaction.
« C’est sympa pour moi ! » Répond-elle faussement vexée.

Nous discutons encore un peu et je demande à Suzie :
« Envoies moi une photo de ta copine et met nous en contact. »
« OK ! Je t’envoie la photo et je la contacte. Bises à bientôt. »
Deux minute après, la coquine de Suzie m’envoie une photo de sa copine où elle elles sont nues et enlacées. Décidément quelle petite salope, pensais-je. Elle cachait bien son jeu.

Quelques semaines ont passé. Je les ai occupées à aménager le sous-sol en donjon pour d’éventuels shooting BDSM, en pensant à Suzie et Martine.

Ce soir, je rencontre la styliste de mon client pour commencer à définir les détails du portfolio que je devrai produire. Leur boutique immense se trouve dans un centre commercial de la ville. J’y entre quelques temps avant l’heure du rendez-vous, histoire d’observer les styles proposés, les publicités actuelles et surtout les clients. Tout ceci me servira de bases sur lesquelles construire ma propre vision des produits, avec une saveur qui m’est propre. La saison chaude commence. On dirait qu’avec l’arrivée de l’été, les femmes sont pressées de retirer autant de tissu que possible. La mode actuelle ne semble être que légèreté, transparence, minimalisme. Je prends plaisir, à regarder ces corps déambuler devant moi. Ici, une femme brune, d’allure sportive, porte une camisole transparente qui ne cache pas son soutien-gorges

Là, une adolescente, blonde et pimpante, dévoile ses longues jambes galbées sous une jupe trop courte.

Deux filles s’arrêtent et se penchent sur un présentoir. leurs décolletés s’ouvre pour me laisser voir dee magnifiques poitrines juvéniles.

Une femme enceinte, le ventre rond et bombé, magnifique avec sa poitrine dont la lourdeur nouvelle est apparente, démantibule dans les rayons.

Il y avait longtemps que je ne m’étais pas promené au travers des rayons d’un magasin pour femme. Mes yeux courent malgré moi d’un corps à l’autre. Une fille marche vers moi, je la détaille des pieds à la tête. Avec la démarche d’un mannequin, elle avance ses pieds chaussés de talons vertigineux, prolongeant des jambes fines qui se perdent sous une jupe à volants. Ses seins ballottent, libres sous son chemisier en tissu léger. Ses cheveux bruns bouclés tombent en cascade sur ses épaules nues. Elle me décoche un sourire en passant devant moi. Je tourne la tête pour la suivre des yeux, admirant ses fesses qui se balancent de droite à gauche.

« Plutôt jolie, n’est-ce pas? » Je sursaute et me retourne.
Une jeune fille, assez grande, cheveux noirs, avec de grands yeux noisettes, me regarde en souriant d’un air taquin.

Je réalise que je suis en train de la détailler sans retenue. Je rougis et tente de bredouiller un début de réponse. Elle éclate d’un beau rire cristallin et me demande : « Vous regardez toujours les femmes comme ça? Ce doit être gênant pour vos modèles… »

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