Histoire de fesses
Les filles
Marie soupira longuement enlacer par son amie qui lui tripotait les fesses et elle avait un gros sourire et elle savait bien pourquoi.
— OK, OK ! Revient ans de mon histoire de slip.
— C’est trop drôle.
— En tout cas, t’en profites ma tabarouette, murmura elle a l’oreille de ça meilleure amie qui frottait ses seins doucement contre les siens, de droite à gauche, de gauche à droite et c’était des plus agréable comme d’habitude, surtout quand leurs mamelons se croisaient, ça la chatouillait tellement. Marie sentait son sexe gonfler, ses grandes lèvres s’ouvrir et même son clitoris durcir. C’est tellement différent avec une fille, plus doux, plus sensuelle et l’odeur parfumée de Marie-France l’envoûtait. Elle faillit perdre la tête et l’entraîner au lit pour se jeter sur elle encore, mais… Paul l’intriguait trop. De peine et de misère elle dit, sans trop de conviction :
— Lâche-moi… Paul est…
— On s’en fou de ton Paul, fit Marie-France toute chatte qui n’en pouvait plus, allons baiser après tu me raconteras ton histoire de Maharadjah obsédé.
— Tanto.
— Je peux pas attendre… Allons nous étendre Marie.
Marie allait répondre quelque chose, mais elle en eut pas le temps. Marie-France se hissa sur la pointe des pieds pour plaquer sa bouche sur la sienne, langue en avant et c’était trop bon. Ses lèvres sucrées, sa petite langue pointue qui bataillait avec la sienne, ses mains moites pressant ses fesses et elles les siennes, si petite et si ferme. La tête lui tournait.
Marie-France frencha son amie avec vigueur, folle de désir en glissant un doigt sous les fesses de Marie jusqu’à toucher ça vulve qu’elle trouva, comme elle le pensait, tout aussi gonfler et humide que la sienne… Elle agita un doigt replié entre ses grandes lèvres et sentit Marie frissonner. Leurs seins se frottaient tout comme leurs pubis. Aucune autre femme ne l’allumait autant que Marie et elle savait que c’était réciproque.
Marie se sentit fondre en la serrant plus fort dans ces bras, surtout avec le doigt fureteur qui s’agitait à l’entrée de son vagin, ouf ! Elle en avait des sueurs. Mais elle repoussa la langue de Marie-France jusque dans sa bouche et recula la tête en disant, en sentant des bouffées de chaleur l’envahir :
— Tanto, pour l’instant c’est toi l’obsédée, la, je veux le suivre et… ouhhhhh maudit. L’index de son amie, mouiller de ses sécrétions vaginales, venait de rentré dans son anus, jusque dans le rectum et très facilement, en plus, et elle l’agitait la tabarouette. Marie serra les fesses par réflexe, le souffle presque coupé tellement ça l’agaçait. Sa vulve pulsa, elle mouilla terriblement en ressentant une envie folle de se faire pénétrer.
— Seigneur Marie-France, fit-elle exciter au max, la voix cassée, t’es pire que Paul parfois. Maudit, sort ton doigt de mon cul.
— Pourquoi, fit celle-ci les yeux vicieux, en le faisant aller et venir tout doucement, t’aiment ça d’habitude ? Tu me fais la même chose ? Allez, Marie, rentre-moi le doigt dans le cul.
Marie, soupira et au prix d’un gros effort de volonté lui agrippa le poignet et l’obligea a sortir son doigt de la tout doucement. Ça la chatouilla tellement qu’elle en perdit le souffle. Son amie savait très bien a quel point ça l’excitait de se faire agacer dans ce coin la, Paul aussi d’ailleurs. Elle se frotta les fesses en grimaçant. Ça la démangeait maintenant et son vagin était détrempé.
— Toi, dit Marie, attends, ton tour va venir.
— Hum… j’espère. Maudit que t’es ennuyante parfois.
— Ben oui. Ouf ! Maudit, ça pique. Dit-elle en se frottant le derrière en riant. Bon, allons voir ou – Gollum – s’en va la vicieuse.
— J’aime ça quand tu me….
— Oui, oui… viens. Seigneur Marie-France dé fois je me demande si t’as pas un cerveau de gars.
— Juste quand je suis avec toi.
Les v’là a rire de nouveau et de retour au couloir elles virent intriguer, Paul écouter à la porte d’une des chambres d’ami avant de continuer son chemin.
— Mais qu’est-ce qui fait ton homme ? Demanda Marie-France tout bas. Il écoute aux portes.
— Je sais pas pourquoi, mais on le suit.
— T’étais vraiment sérieuse, comme ça, à demi nue ? On a les fesses à l’air et pas juste les fesses et t’as plein de monde en visite. Si on tombe sur le jeune étudiant y risque de perdre connaissance le pauvre ou de nous sauter dessus et j’en ai pas envie. Je le trouve trop bizarroïde et on est très connue je te rappelle Marie et bandante a mort, surtout avec nos mamelons au garde a vous et pas a peut prêt.
— WAIS ! Par ta faute vicieuse.
— Oups, désolé.
Marie se regarda, sa camisole cachait à peine son sexe et ses mamelons pointait terriblement, idem pour son amie qui la regardait les yeux rieurs. Marie était très prude, surtout en public et tenait a sa vie privée, mais a cette heure la, tout le monde devait dormir, surtout le jeune et puis cela avaient un petit quelque chose de très excitant de se balader comme ça avec Marie-France qui ne cessait de l’exciter et surtout de suivre Paul qui lui, était tout nu et bandé en plus.
— Bof, fit-elle, et puis c’est chez moi ici, on improvisera si on croise quelqu’un. De toute façon, c’est Paul qui va se faire surprendre en premier, ça va nous laisser le temps de nous cacher, peureuse.
— WAIS, peureuse mon œil ! Sinon, genre, je me cache derrière toi, t’es la plus grande, surtout si c’est le jeune. Je le trouve trop Weird, pas toi ?
— WAIS, lâcha Marie amuser, genre, mais c’est pas les cachettes qui manque au cas ou. Vite on va le perdre, genre.
— Arrête de te moquer de moi malheureuse, fit son amie en lui tapant une fesse doucement.
Marie lui fit la grimace et elle rire complice, comme toujours.
Exciter comme des gamines, elles sortirent en silence de la chambre pour le suivre sur la pointe des pieds. Marie-France ne put s’empêcher d’admirer sa meilleure amie en la suivant ; ses longs cheveux roux, son grand corps de mannequin qu’elle lui avait toujours enviés, ses longues jambes musclées, sa taille fine, ses fesses parfaites tout comme ses seins lourds qui se balançaient mollement menaçant de jaillir de sous la camisole. Marie-France soupira en repensant à ses belles années de leurs jeunesses et ne put s’empêcher de glisser encore une main sur le cul de Marie sous la camisole en marchant pour presser une fesse douce et chaude, celle avec le tatouage qui commençait à s’effacer, comme le sien. Puis, en passant devant la porte d’une des chambres d’amis, celle où Paul avait prêté l’oreille, celle-ci s’ouvrit soudainement. Oups !
Marie-France retira sa main aussi sec en sursautant tout autant que Marie et se cacha derrière elle comme prévu. La vieille Madame Dumoulin apparue a moitié endormie, un air d’interrogation sur le visage en les détaillant des pieds à la tête, son corps mince et sec envelopper dans une robe de chambre quelle tenait de la main droite serrer a son coup. Une femme étonnamment énergique pour son âge avancer.
— J’ai entendu des bruits, comme un tic-tic, Mme Lemieux.
Marie avait tellement sursauté que son cœur battait à tout rompre. Le rouge aux joues et un bras sur sa poitrine pour cacher ses maudits mamelons tout en tirant sa camisole de l’autre pour cacher son sexe elle réfléchissait à vive allure pour trouver une explication a leur présence ici en pleine nuit et a moitié nue tout en lui faisant aussitôt signe de se taire en plaçant un doigt devant ses lèvres et lui dit tout bas :
— On suit Paul, il est somnambule et se promène tout nu, vous devriez vous recoucher, je pense.
Madame Dumoulin écarquilla les yeux en entendant cela, restant sans voix un instant avant de regarder Marie Lemieux si légèrement vêtue tout comme son ami derrière elle, l’autre vedette de la télé, mais juste un coup d’œil rapide et elle se dit ; « Ah les artistes… ils sont vraiment trop bizarres parfois »
Elle plissa les yeux, amuser en murmurant :
— Somnambule le nono et il se promène tout nu. J’ai pas envie de voir ça. Mais ce bruit, ça, c’était bizarre. Enfin, ça doit venir de la vieille tuyauterie, il fait si chaud ici.
Marie retint un fou rire, Mme Dumoulin et Paul passaient leur temps à se faire des coups pendables et se tirer la pipe. Ils s’entendaient tous les deux comme s’ils c’était toujours connu et elle l’appelait souvent — le nono — et lui — Mme Bec Sec — parce quelle avait la réplique facile et parfois… virulente. Marie se contenta de soulever les épaules.
— Bon, amuser vous les jeunes, rajouta la vielle dame en bâillant, moi je vais me recoucher, c’est plus de mon âge tout ça, et elle referma doucement sa porte.
Les deux femmes se regardèrent en souriant et repartirent avec précaution vers la pièce où Paul était entrer. Marie-France lui reprit les fesses aussitôt en souriant.
— Ouf ! J’ai chaud, fit Marie en agitant une main devant son visage. Et lâche mes fesses vicieuses.
— Ah, tes plates, se plaignit Marie-France tout sourire en lui pressant plus fort, mais Marie lui tapa la main, elle du la lâcher. Tout le monde dort comme des bûches hein Marie. Je le savais…
— Madame Dumoulin est fiable, elle n’en parlera à personne. Ce qui se passe dans le musée, reste dans le musée.
— C’est drôle Marie, mais tantôt un bruit m’a réveillé avant que Paul se lève, justement un genre de tic-tic bizarre.
— Jamais entendu ça, mais c’est une vieille maison et il vente fort ce soir. C’était peut-être le verre glas contre la fenêtre.
— Peut-être. En tout cas, je t’ai averti. Ça va dégénérer.
— Mais non. Et arrête de me peloter. Je le sais, chut plate.
— WAIS !
Arrivée à la pièce où Paul était entré, Marie-France se plia en deux et regarda la première. Elle plissa les yeux en scrutant la pénombre, mais… personne.
Marie juste derrière elle, sous une lumière de sécurité, regarda le t-shirt de son ami se soulever si haut quant elle se pencha que son sexe entourer de joli poil noir apparu et ses petites fesses serrer toujours aussi fermes. Une ondée de chaleur la traversa, surtout que sa vulve était aussi ouverte et humide que la sienne. Elle l’avait si bien lécher et pénétrer avec la langue et les doigts tout à l’heure que Marie avait eu deux autres orgasmes avant qu’elle ne s’occupe enfin d’elle. Marie décida de lui rendre la politesse pour la main au cul, ce qu’elle fit aussitôt en souriant. La moiteur et la douceur de la peau l’excitèrent en pressant les fesses, se rappelant leurs caresses de toute à l’heure quand elle baisait avec Paul. Elle avait même encore l’impression d’avoir en bouche le goût salé de l’anus de Marie-France.
Elle descendit sa main et toucha la vulve offerte et mouiller un doigt en avant sentant son amie frémir, elle fit aller son majeur d’avant en arrière, agaçant le minuscule clitoris de son amie au passage. Elle fut même tentée de le glisser dans le vagin et elle allait le faire quand Marie-France ondula du derrière avant de se redresser en lui enlevant la main, sans doute une petite vengeance pour tout à l’heure et lui indiqua de la suivre de la main. Marie soupira un peut frustrer tout en étant excité par ce petit jeu de cache-cache à demi vêtu dans le musé en pleine nuit et de pelotage de fesses. Elles entrèrent dans la pièce toujours sur la pointe des pieds pendant que Marie se léchait le majeur. Se balader à demi nu comme ça avec Marie-France lui procurait beaucoup de plaisir. Ça aussi, ça lui rappelait leurs petits jeux de jeunesses quant elles avaient peur de se faire surprendre par leurs parents a se caresser, la ou il ne fallait pas, sinon c’était l’enfer assurer a l’époque. Cette fois, elle se promit que ce ne serait pas Paul qui en profiterait le plus quand il serait de retour au lit tout en glissant sa main sur son pubis, juste histoire de se caresser un peu en marchant derrière son amie.
Pourquoi pas !
Elle avait à peine fait trois pas que Marie se toucha le clitoris sortit de sa cachette et ne put s’empêcher de lâcher un petit. Où ! Très aiguë, tellement il était sensible.
— Quoi, fit son amie, sans se retourner.
— Hum, rien, j’ai du marcher sur quelque chose.
Marie sourit et continua a agacé son clito, mais moins directement. C’était vraiment bon, jamais elle n’avait fait ça en marchant. Elle continua ses pressions tout en se pressant un sein, toujours dans le dos de son amie, et, a sa grande surprise, un orgasme fulgurant éclata comme sortit de nulle part.
— Ouf… ! fit-elle en stoppant, plier en deux, les genoux collés et les deux mains entre les cuisses.
— Ben voyons, fit Marie-France qui s’était retournée pour la regarder. Qu’est-ce que t’as ? Une crampe, t’as plus de menstruations depuis longtemps pourtant.
— Non, c’est.. Ouf. C’est, un orgasme.. Ouuuuu….
— Et ben… Comment t’a fait ton compte ? Un miracle ? Un ange est apparu et t’as donné un coup de langue ? Tu portes bien ton prénom.
— Ouuuu…, Seigneur !
— C’est le Seigneur en personne. Wow !
Marie reprit son souffle et se redressa en disant à son amie qui souriait :
— Ta trop un beau petit cul, ma noire.
— Ah, la je comprend. Madame se tape un orgasme en me reluquant le derrière. OK ! Tu marches devant et moi je jouis. Et c’est quoi le truc ?
— Tu regardes mes fesses ben fort pis tu te concentres en te chatouillant le clito en marchant, c’est magique, dit Marie en riant tout bas.
— Mwais ! Y me semble.
Quelques minutes plus tard, Marie entendit ; ouuuu !
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