Un souvenir de la première fois où j’ai vécu et participé à une exhibition et qui m’a beaucoup marqué. C’est un peu long désolé, mais j’en profite, car le fait de l’écrire dans le détail me permet encore quelques instants, de faire durer mon plaisir.
J’ étais alors étudiant et les sorties à l’époque se faisaient souvent en voiture avec un copain possesseur d’un superbe coupé CRX Honda rouge, modèle fin années 80, pas tout neuf mais elle faisait son effet auprès des filles. C’était assez rare à l’époque. Les connaisseurs apprécieront….
Nous partions souvent à deux, avec pour objectif de ne pas rentrer seul évidemment. Le plus souvent on rentrait à 3 et l’heureux gagnant avait droit à la voiture pendant que l’autre était raccompagné, c’était facile on habitait à quelques dizaines de mètres l’un de l’autre. On vivait chez nos parents, la voiture était le seul endroit possible pour recevoir les filles au petit jour.
Ce soir la nous partîmes à 2 mais par un prompt renfort nous nous vîmes …4 à l’arrivée au port !!!
Par chance c’était l’été et il faisait chaud, le petit chemin de terre éloigné du village où nous finissions la soirée en général était assez loin de la route et bordé de fourrés. Je décidais donc de proposer une promenade à ma conquête d’un soir, laissant la voiture aux deux autres tourtereaux.
L’alcool aidant je ne m’étais pas aperçu que le vent du petit matin était très frais. Christelle était très court vêtue et malgré mes caresses très appuyées était de plus en plus glacée. En plus dans un chemin de nuit impossible de trouver un endroit pour s’allonger ou même s’asseoir… Au bout d’un quart d’heure de câlins très appuyés, j’en pouvais plus, même si mes doigts avaient visités chaque centimètre carré de sa peau, je n’arrivais pas à me contenter de cela. Elle n’était pas en reste et m’avait déjà bien pris en main. Nous étions chauds bouillants, mais glacés en surface.
Je ne voulais pas déranger mon copain. On se rapprocha de la voiture qui était à 20 ou 30 m.
Les vitres étaient bien sur couvertes de buée et à l’intérieur les mouvements n’étaient pas trop saccadés, surement juste les préliminaires. Je cognais à la vitre discrètement pour ne pas les inquiétés.
– Qu’est-ce qu’il y a ? dit-il sans ouvrir la vitre.
– T’affoles pas c’est moi.
On craignait aussi parfois les contrôles de gendarmerie qui nous auraient fait des histoires…
-T’es malade. Qu’est-ce que tu veux ?
– Ben on est gelé dehors on peut plus tenir…
Et la je m’attendais à tout sauf à ça. Le plus probable étant qu’il hurle puis nous ramène et qu’il finisse seul avec l’autre fille.
Il ouvrit la portière et nous dit de monter derrière ou il faisait encore chaud… En 2 secondes il était sorti et avait rabattu le siège conducteur. On s’engouffra sans demander notre reste au fond du cabriolet. En ouvrant la porte la lumière de portière c’est allumée nous révélant un super spectacle. Mon ami avait la braguette ouverte par laquelle on voyait son caleçon gonflé.
Et le mieux étant sa passagère qui surprise par l’arrivée subite de la lumière n’a pas eu le temps de cacher un sein, trop occupée à serrer les jambes sur sa minijupe très remontée laissant voir un string blanc un peu de travers. Je me suis engouffré derrière suivi de Christèle. 2 secondes plus tard le siège était rabattu et la porte fermée. Je m’attendais à un démarrage en trombe pour nous ramener vite fait. Mais rien ne se produisit comme prévu. Il se pencha juste pour embrasser sa voisine. On en fit autant. Avec le petit jour qui se levait on voyait parfaitement les caresses des deux passagers avants. Les mains baladeuses les respirations. J’étais face à un film X en direct, à quelques centimètre, car l’habitacle d’une CRX c’est minuscule. La fille n’était pas du tout timide. Pourtant elle ne nous connaissait pas depuis plus de 2 heures. Elle se pencha et repris sa fellation que notre retour avait surement du stopper. J’en pouvais plus j’étais excité comme jamais.
Je pense que Christèle était dans le même état. J’ouvris ma braguette elle se jeta sur mon sexe qu’elle avala. C’était génial j’adorais cette situation. Mon ami tournait maintenant la tête entre les deux sièges de devant. Il admirait Christelle qui pendant qu’elle me suçait s’était retrouvée la jupe relevée les jambes écartées et ma main qui lui pétrissait l’entrejambe. Les deux places arrières sont vraiment minuscules, elle était donc carrément à moitié couchée sur moi, les jambes presque en l’air. La vue de l’avant sur sa chatte et ma main qui plongeait dedans était surement très excitante. Christelle le voyait en me suçant à 50 cm de lui. Elle continuait et écartait au maximum sa chatte trempée. Elle était pourtant très pudique habituellement (j’avais déjà eu plusieurs aventures avec elle très classique, et même plutôt soft parfois, je me demande même si ce n’était pas sa première fellation…).
Mon ami respirait de plus en plus fort et devait se retenir et ne plus en pouvoir. Il écarta la bouche qui le mettait dans ce état se jeta sur elle la jupe relevée et le string écarté. Je fis de même avec Christelle elle était trempée, et je crois vu son cri qu’elle a joui dès la pénétration. Une chance car comme mon camarade de devant, je n’ai pas tenu longtemps. Je ne sais pas lequel est parti le premier mais ça été très proche. On a poussé un cri comme dans un film X, alors qu’habituellement j’étais très discret.
Après se fut un long silence puis les filles se sont rajustées et on est parti. Pas un mot on restait dans notre bulle, juste quelques câlins. Les filles raccompagnées on est rentré aussi, sans jamais en reparler. Les 2 filles ne se connaissaient pas avant et je pense que l’une comme l’autre craignait pour leur réputation. Les filles sont terribles entre elles pour ça. On s’est revu bien sur et on a remis ça mais plus jamais à 4. Quel souvenir malgré tout. Je n’arrive pas à comprendre pourquoi on n’en a jamais reparlé. On est pudique entre mecs. Je pense qu’aujourd’hui mon attirance pour le voyeurisme vient de la.
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