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KIDNAPPING ET SOUMISSION TOME 4

KIDNAPPING ET SOUMISSION TOME 4



I. La tournée des clubs

Arrivé à Tournai au Kit Kat Klub, N°1 et Sweet Pussy furent reçues par le tenancier du club.

« Bonjour, mes esclaves. Comment va N°1?

« Bien, Maître. »

« Et qui est cette nouvelle esclave? »

« Sweet Pussy, Maître. » dit doucement Isabelle.

« Je vois que Maîtresse Aurore a opéré sur ton joli corps, pour un début c’est pas mal du tout. » Dit le tenancier en tâtant les seins de Sweet Pussy et en pinçant ses tétons.

« N°1, tu lui donnes les instructions de vie ici pendant votre séjour en allant à votre chambre, vous commencez demain. »

« Mais, nous n’avons encore pas répéter le numéro de danse! »

« Demain, j’ai dit, pas de temps à perdre, le retour sur investissement doit être rapide! »

« Bien Maître. »

Les deux esclaves marchèrent le long d’un couloir et arrivèrent dans leur chambre. Deux lits à baldaquin collés l’un à l’autre trônaient au milieu de la chambre. Les murs étaient couverts en alternance de miroirs et de photo SM, le plafond n’était qu’un miroir. Pendant que Sweet Pussy regardait la chambre, des hommes amenaient de grosses valises et les déposaient dans un coin de la chambre.

« Je vais te donner quelques instructions et Il faut se reposer un peu, car après, nous devons répéter notre numéro. Nous dormirons ensemble dans cette chambre. Nous y mangerons et passerons tout le temps sauf pendant nos numéros et séances. Nous n’avons pas le droit de sortir. Les toilettes sont dans ce coin comme tu peux le voir. Il y a tout ce qu’il faut pour se maquiller et s’habiller. Quand nous aurons fini nos prestations, le 4×4 viendra nous chercher et nous emmènera dans un autre club. Il faut dormir et prendre des forces pendant la journée car, dans les clubs, c’est nuit blanche!»

« Mais on ne va jamais dehors? »

« Pendant la tournée, on ne va jamais hors des clubs. On ne voit l’extérieur que lorsque l’on revient au château. »

Sweet Pussy commençait à regretter d’avoir accepté de venir. Elle pensait voir le monde extérieur et peut-être pouvoir s’échapper! Mal lui en a pris.

« Quel est le programme des festivités, que fait-on? »

« Nous ferons notre numéro de danse ensemble, ensuite je te laisse la surprise, sinon, ça n’a plus grand intérêt! D’ailleurs, il faut que je te montre certains mouvements et ensuite on répétera notre numéro. Il faut que l’on choisisse aussi nos vêtements. »

N°1 mit un CD dans le lecteur de la chaîne hi-fi et se positionna au centre de la chambre, la tête relevée, le regard sévère au travers de son masque. Ses mains reposaient sur sa taille, elle avait écarté les jambes. Sa position altière rendaient encore plus proéminents ses énormes seins. Les enceintes crachèrent subitement une musique techno et N°1 commença à headbanguer et sa tresse pivota comme on fait tournoyer un fouet. Puis elle fit des mouvements de hanche pour montrer ses fesses couvertes de latex rouge. N°1 fit glisser ses mains sur ses seins et tira sur ses anneaux comme elle l’avait fait lors de sa présentation au château devant les nouvelles esclaves. Elle pivota sur ses talons et mit sa tête en arrière et pliait ses jambes comme si elle voulait s’empaler sur un phallus. Sa main caressait sa chatte au travers du latex. Puis elle se mit à terre et écarta les jambes tout en ouvrant le zip de sa combinaison pour montrer sa chatte annelée. Elle roula sur elle-même et se mit à quatre pattes, sa main passait entre les lèvres annelées de son sexe. Elle enfonçait ses doigts dans son sexe puis ils ressortaient pour entrer dans son cul. Elle lécha ses doigts en fermant les yeux. Elle se remit sur le dos et prit ses seins à pleines mains. Elle les faisait bouger comme un gâteau de gelée. Ses doigts pincèrent ses tétons et elle tira fortement pour les allonger. Elle se releva.

« Voilà, ma petite Sweet Pussy, les principaux mouvements que tu dois faire. Quand on sera à deux, on improvisera pour charmer les Maîtres. Maintenant, il faut nous reposer. »

N°1 et Sweet Pussy se couchèrent dans leur lit. N°1 mit l’alarme du réveil pour deux heures de sommeil.

Deux heures plus tard, le réveil sonna et les deux esclaves se libérèrent des bras de Morphée. Elles enlevèrent leurs vêtements, leurs corps étaient en sueur. Elles allèrent à la douche et se savonnèrent le corps. Sweet Pussy voulut embrasser N°1 mais elle l’en empêcha.

« On n’a pas le temps de s’amuser! Il faut se préparer, on doit être irréprochable dans nos tenues. »

N°1 vérifia si le crâne de Sweet Pussy ne comportait pas de repousse. Elle prit un rasoir et de la mousse et rasa une nouvelle fois son crâne.

« Il faut que tu fasses des séances d’épilation laser, j’en ai assez de te raser le crâne tous les jours! »

« Mais si je veux retrouver mes cheveux! »

« Maîtresse Aurore a choisi pour toi la coupe que j’ai, tu n’auras plus que celle-ci! »

Les deux esclaves sortirent de la douche et se séchèrent. N°1 s’occupa d’abord de Sweet Pussy. Elle ouvrit la valise et prit une combinaison latex semi-transparente mauve. Sweet Pussy l’enfila par les pieds. Cette combinaison comportait des pieds et gants, mais avait des ouvertures au sexe, aux globes fessiers et aux seins. La combinaison fut zippée dans le dos. N°1 maquilla les yeux de Sweet Pussy, un maquillage flashy et des épais traitss de rimmel. Ses lèvres reçurent un rouge cerise du plus bel effet. N°1 prit le masque de latex et l’enfila délicatement sur la tête de Sweet Pussy pour ne pas toucher le maquillage. Elle passa sa tresse dans le tube prévu et serra les lacets du masque. Le masque était un peu différent de celui qu’elle avait avant la douche car des boucles de ceinture se trouvaient près des yeux et de la bouche.

N°1 termina par chausser les bottes noires en vinyle avec une semelle compensée de 10 centimètres. Sweet Pussy se leva mais vacilla car elle n’avait jamais marché avec de telles bottes.

« Il faut que tu marches un peu dans la chambre pour t’y habituer. »

Sweet Pussy avait une démarche hésitante et se tenait au lit pour ne pas tomber. Elle marcha dans la chambre pour s’habituer à ces bottes inhabituelles.

N°1 se prépara en ajustant une combinaison rouge à liseré noir, elle farda ses paupières, mit du rimmel et son rouge à lèvres puis enfila son masque et demanda à Sweet Pussy de serrer les lacets et le zip de sa combinaison.

« Nous sommes prêtes. Nous n’avons plus qu’à attendre l’ordre du Maître. »

Le Maître arriva dans la chambre sans frapper.

« Allez les esclaves, on y va et que la prestation soit bonne car il y a du beau linge dans la salle pour vous. »

N°1 et Sweet Pussy se levèrent et suivirent le Maître jusqu’aux coulisses de la scène. Une musique techno assourdissante retentissait dans la salle. Les deux esclaves attendaient au pied des quelques marches qui permettaient d’accéder à la scène. Le Maître du club prit le micro sur pied et fit sa présentation.

« Bonsoir mes chers confrères. Pour vous ce soir, j’ai le plaisir de vous présenter votre esclave préférée N°1 qui sera accompagnée de Sweet Pussy qui fait ses débuts. Esclaves, c’est à vous! »

Une musique rythmée et des rais de lumière tourbillonnaient sur la scène pour accueillir les deux esclaves. Elles montèrent les marches et commencèrent à danser sur la scène. Ce fut d’abord N°1 qui apparut sur le devant de la scène. L’expérience aidant, ses mouvements étaient pleins d’assurance et de professionnalisme. Elle présenta ses énormes seins à l’assistance. Elle pinça ses tétons annelés et tira sur les énormes anneaux. Elle fit volte-face pour présenter son cul. Elle ondula de la taille pour aguicher les Maîtres. Elle fit tourner dans les airs sa tresse. Elle passa la main sur son sexe et ouvrit le zip pour faire apparaitre ses lèvres annelées qui pendirent sous le poids des anneaux. Elle les frotta et simula un orgasme en fermant les yeux et porta à sa bouche les doigts humides. Puis elle se coucha sur le sol et glissa sous son élan. Elle écarta les jambes et ses mains prirent ses talons. Sweet Pussy qui n’avait jamais pris de cours de danse se demandait comment elle allait faire pour se présenter aussi bien. Son corps n’était pas aussi souple et svelte que celui de N°1. Elle appréhendait le moment où elle devrait danser devant les Maîtres.

N°1 continua sa prestation sans aucune faute. N°1 fit un geste vers Sweet Pussy pour « passer le relais ». Sweet Pussy sut alors qu’elle devait faire son numéro.

Sweet Pussy était légèrement hésitante mais avait le rythme dans la peau car ces pas de danse furent assurés. Elle reprit les mouvements de N°1 et y mit sa petite touche personnelle. Sweet Pussy, qui avait sa combinaison ouverte sur ses fesses, avait le zip qui lui séparait à merveille ses globes fessiers. Elle ondulait des fesses et ses rats tatoués sur ses fesses ravissaient le regard des Maîtres. Elle pivota sur elle-même grâce à ses semelles compensées et présenta ses seins. Même s’ils n’étaient pas aussi gros que ceux de N°1, Sweet Pussy vit les Maîtres parlaient entre eux. Elle passa sa langue piercée pour que les Maîtres voient ses trois piercings et qu’ils voient qu’elle était envieuse. Elle posa sa main sur sa chatte annelée et enfonça un doigt dans son vagin. Celui-ci glissa facilement avec le latex. Un deuxième s’aventura en elle, puis un troisième. Elle porta sa main gantée à la bouche et lécha avidement ses doigts. Des sifflets et des applaudissements se firent entendre dans la salle. N°1 avança vers Sweet Pussy et improvisa un numéro à deux. Cela surprit Sweet Pussy car N°1 ne lui avait pas parlé d’un show à deux. N°1 se blottit dans le dos de Sweet Pussy et commença à caresser son corps. Ses mains glissèrent sur sa taille, descendirent sur ses jambes, puis remontèrent vers ses seins. N°1 empoigna les seins pour les soupeser puis pinça ses tétons. Sweet Pussy ferma les yeux sous ses caresses et commença à se balancer de droite et de gauche en suivant le rythme langoureux de la musique. N°1 descendit de nouveau ses mains et en s’accroupissant derrière Sweet Pussy enfonça ses doigts dans la chatte de sa compagne. Ses doigts commencèrent un va et vient lent qui s’accéléra subitement. Sweet Pussy commença à gémir et montra son orgasme dans un cri rauque et une giclée abondante qui déclencha un tonnerre d’applaudissement et des « ooohhh » de surprise de la part des Maîtres. N°1 reprit ses mouvements et Sweet Pussy jouit de nouveau dans une giclée abondante qui coula sur le sol de la scène.

Sweet Pussy coula abondamment et sa jouissance fit une flaque sur le sol. Son orgasme se transformait en jet d’urine. N°1 incita Sweet Pussy à venir au sol et à s’allonger. Les deux esclaves se roulèrent dans ce mélange de cyprine et de pisse. N°1 se mit à plat ventre sur le sol et lécha la jouissance de Sweet Pussy. Sweet Pussy se positionna devant N°1 tête contre tête et lécha aussi sa jouissance. Puis Sweet Pussy se fit glisser sur le sol et embrassa N°1. Cette dernière scène ravit au plus haut point les Maîtres qui s’étaient levés et applaudissaient chaudement.

Les deux esclaves se relevèrent et saluèrent les « spectateurs ».

« C’est gagné, tu as été parfaite. » dit N°1 à l’oreille de Sweet Pussy.

Le tenancier du club monta sur scène et reprit le micro.

« Ne vous avais-je pas dit que vous seriez aux anges, chers Maîtres? Eh bien, maintenant à vos enchères et que le meilleur gagne! »

« 1000€ » cria un Maître au fond de la salle.

« 2500 » Entendit-on sur la gauche.

« Allons mes chers confrères, un peu plus d’enthousiasme pour ces esclaves. »

« 3000 » redit le Maître au fond de la salle.

« 5500 » dit un Maître tout de cuir habillé.

« 10000€ pour les deux. » dit un Maître noir qui se tenait debout près de la porte.

Le silence se fit dans la salle. Les têtes pivotèrent pour savoir qui avait émis une enchère aussi élevée.

« Personne pour surenchérir? » dit le tenancier.

« Adjugé » pour Maître Tumba.

« Les deux esclaves sont à vous pour cette nuit. »

Le tenancier s’approcha des deux esclaves et les emmena vers leur propriétaire d’une nuit.

« Qu’est ce qui se passe? » dit Sweet Pussy à l’oreille de N°1.

« Lorsque ton numéro est terminé, et si tout s’est bien passé, tu passes la nuit avec un ou plusieurs Maîtres, cela dépend. Les nuits sont blanches, je te l’ai dit. »

Les deux esclaves descendirent les marches et virent un grand black, la tête rasée, habillé d’un costume noir. Il mesurait environ deux mètres, que du muscle, un vrai colosse.

« Bonsoir les putes. » dit-il.

« Bonsoir, Maître. » dirent à la cantonade les deux esclaves.

« Je sens que je vais bien m’amuser, ce soir. Allez, dans la chambre. »

Le Maître et les deux esclaves allèrent à la chambre. Sitôt entré, le Maître ferma la porte à clé et mit celle-ci dans la poche de sa veste. N°1 et Sweet Pussy virent que la chambre avait été légèrement aménagée car deux portiques avaient été posés en travers de la chambre

« A genoux toutes les deux sous les barres, mains sur la tête. »

Le Maître prit plusieurs brins de corde, et attacha les bras et les jambes de ses esclaves aux montants des portiques.

« Ouvre ta gueule, Sweet Pussy. »

Sweet Pussy ouvrit la bouche. Le Maître posa un ball-gag formé d’un anneau de métal qu’il serra derrière la tête avec la courroie en cuir, enfonça ses doigts dans la bouche de son esclave et prit la langue par les piercings pour la tirer vers l’extérieur.

Sweet Pussy gémit.

« Ta gueule, ce serait dommage de couper une si belle langue, n’est-ce pas? »

Sweet Pussy fit signe oui de la tête.

Le Maître s’approcha de N°1. Il pinça fortement son sein droit, puis tira sur la barre qui traversait entièrement ses seins. N°1 ferma les yeux pour endurer la souffrance mais le Maître tira si fortement que N°1 poussa un cri bestial tellement la douleur était devenue insupportable. Il lui posa aussi un ball-gag formé d’un anneau de métal.

Le Maître passa derrière ses deux esclaves et fouilla dans une valise. Sweet Pussy sentit quelque chose de froid qui glissait sur le dos. Le Maître venait de passer la lame d’un couteau et trancha la combinaison de latex. Son dos et ses fesses étaient maintenant bien apparents. Il fit de même avec N°1. Puis il passa devant les esclaves et trancha l’avant de leur combinaison. Leurs seins proéminents furent libérés du latex. Elles étaient comme deux prisonnières avec des lambeaux de vêtements. Seuls leurs bras et leurs jambes portaient encore du latex. Le Maître sortit de leur champ de vision et repassa derrière elles.

Soudain, Sweet Pussy hurla au travers de son anneau. Elle venait de recevoir un coup de cravache sur les fesses.

« Tu vas compter jusqu’à dix et n’oublie pas un seul coup, sinon on recommence. Et tu me remercieras pour chaque coup reçu. »

« Oui Maître. » fit Sweet Pussy entre deux soupirs de souffrance.

Le premier coup s’abattit sur ses globes fessiers.

« Un, merci Maître. »

« Deux, merci Maître. »

Les 10 coups appuyés zébrèrent les fesses de Sweet Pussy qui compta chaque coup après un cri étouffé de douleur. Ses bras se tendaient à chaque impact. Les boursoufflures apparurent sur les fesses de l’esclave. Sweet Pussy soufflait au travers de son ball-gag et souffrait dans son corps meurtri. N°1 voyait sa compagne souffrir mais ne pouvait rien y faire. Elle comptait dans sa tête les coups reçus par Sweet Pussy et s’attendait à recevoir le même châtiment. Le Maître se positionna derrière N°1. Elle attendait la sentence et respirait fortement. C’est au moment où elle inspira que la cravache s’abattit sur ses fesses. Ce coup lui coupa le souffle.

« Un, merci Maître. »

Le second coup lui toucha le bas du dos. Les suivants zébrèrent les fesses de N°1 qui hurlait tout autant que Sweet Pussy l’avait fait.

« Une bonne entrée en matière pour vous montrer qui est votre Maître pour cette nuit, et donc que j’exige une parfaite obéissance. Sinon, ma cravache vous caressera le corps une seconde fois. Compris! » Hurla le Maître en appuyant sur son dernier mot.

Les deux esclaves firent oui de la tête.

Le Maître prit une valisette en cuir qu’il déposa sur une tablette près de Sweet Pussy. Maître Tumba sortit de la valisette des anneaux en acier. Ces anneaux s’ouvraient grâce à une petite charnière. Il passa l’anneau au sein gauche de Sweet Pussy juste derrière la barre qui lui traversait le sein. Il répéta l’opération avec le sein droit. Sweet Pussy grimaça car les anneaux tiraient sur les barres de ses seins, comme si on lui stretchait ses piercings. N°1 subit la même opération. Le Maître prit une autre paire d’anneaux. Maître Tumba en ouvrit un et s’approcha de Sweet Pussy. Il posa ce nouvel anneau juste derrière le précédent et répéta l’opération pour orner les deux paires de seins. Leurs seins commencèrent à gonfler sous l’effet de compression des anneaux.

« On va faire une pause pour vos nibards. »

Le Maître prit alors deux étuis à cigare. Il sortit les deux cigares, posa l’un sur la petite table. Il alluma l’autre. Sweet Pussy eut un frisson en voyant le bout incandescent du cigare. Elle pensa un instant qu’il allait lui infliger des brûlures. Le Maître prit les deux étuis métalliques et passa de nouveau derrière ses deux esclaves. N°1 sentit son anus pénétré par un plug, pensait-elle. Sweet Pussy fut aussi pénétrée par le cul. Le Maître lia ses étuis avec des cordes à la taille des deux esclaves. Il leur fit face, inspira de bonnes bouffées du cigare et cracha la fumée à leur visage. Sweet Pussy toussa au travers de son ball-gag, elle qui n’avait jamais fumé. N°1 ferma les yeux et respira quelques peu la fumée exhalée par le Maître. Puis il passa de nouveau derrière elle. Il reprit une bonne bouffée de son cigare et enfonça délicatement celui-ci dans l’étui à cigare calé dans le cul de Sweet Pussy. Sweet Pussy commença à geindre. Le cigare chauffait le cylindre et la chaleur se faisait sentir sur son anus. Le Maître sortit son cigare, en reprit une bonne bouffée et enfonça celui-ci dans l’étui ornant le cul de N°1. Elle gémit au travers de son ball-gag mais Maître Tumba ne tint aucun compte de la plainte de son esclave d’un soir et laissa son cigare chauffer l’étui métallique. L’anus de N°1 chauffait de plus en plus. Ne tenant plus, N°1 hurla à en perdre la voix. Maître Tumba ôta son cigare et l’étui en même temps. N°1 soufflait bruyamment au travers de son anneau et un filet de salive coulait lentement de sa bouche.

Maître Tumba reprit des anneaux de sa valisette et s’approcha de Sweet Pussy. Il plaça un anneau non pas derrière la barre qui traversait son sein mais devant. La peau de son sein se tendit encore un peu plus. L’autre sein reçut le même anneau. N°1 aussi reçut les mêmes anneaux par contre, ses seins étant plus volumineux, ceux-ci allaient presque exploser avec ces nouveaux anneaux. Le Maître reprit deux nouvelles paires d’anneaux et les plaça aussi devant les barres. Il tira sur l’anneau précédemment placé pour insérer celui-ci. Les gémissements se faisaient entendre dans la chambre.

Le Maître prit alors une canne en bambou et se positionna devant ses deux esclaves. Il tapotait sa main avec sa canne en faisant les cent pas se demandant ce qu’il allait faire. Soudain il s’arrêta devant N°1 et asséna un coup de canne en travers des deux seins. N°1 hurla de nouveau et la peau tendue à l’extrême rougit immédiatement et un filet de sang apparu sur le sommet de son sein droit. Maître Tumba approcha de Sweet Pussy qui commença à souffler apeurée par ce qu’elle allait subir. La canne s’abattit sur ses seins. Elle hurla aussi. Sa peau gonfla sous ce coup mais il n’y eut aucun saignement. Le Maître tourna autour de ses esclaves et lorsqu’il passa devant leur cul, il asséna un bon coup de canne sur les fesses, ce qui leur arracha de nouveau un hurlement bestial.

« Bien, maintenant on va passer à autre chose. » dit le Maître.

Il posa ses instruments de torture sur la tablette, enleva sa veste et sa chemise et se fixa devant Sweet Pussy. Il lui enleva le ball-gag. Le Maître dégrafa son pantalon et sortit sa bite. Sweet Pussy qui ouvrait et fermait sa mâchoire endolorie n’en croyait pas ses yeux. Le chibre du Maître avait des dimensions impressionnantes. Sa bite faisait au moins 25 centimètres de long pour 6 centimètres de diamètre. Le Maître approcha de Sweet Pussy et enfourna son sexe dans la bouche de Sweet Pussy.

« Suce salope! » ordonna le Maître en présentant sa bite aux lèvres de Sweet Pussy.

Sweet Pussy ouvrit la bouche et goba le sexe tendu. Elle avait les lèvres distendues par cette bite surdimensionnée. Elle avait des spasmes lorsque le membre touchait le fond de sa gorge. Elle pensait même qu’il allait lui enfoncer son membre dans son œsophage. Le Maître sortit violemment sa bite de la bouche de Sweet Pussy et l’enfonça dans la bouche de N°1 après avoir enlevé son ball-gag. Le Maître fit des allers et retours dans les deux bouches.

Il détacha ses deux esclaves.

« Allez, couché de dos sur le lit! »

Les deux esclaves avancèrent à quatre pattes vers le lit. Les lambeaux de latex rendaient difficile leur démarche. La fine couche de latex glissa de leur jambe pour se retrouver au niveau des genoux. Le latex des bras tomba aussi sur leurs mains. N°1 mit un genou sur un morceau de latex, ce qui la déséquilibra. N°1 tomba alors sur ses seins et gémit de nouveau. Arrivées sur le lit, elles se couchèrent sur celui-ci l’une à côté de l’autre. Le Maître prit d’une main les chevilles de N°1 et leva ses jambes, de l’autre il prit sa bite et la pointa sur son œillet. Il poussa d’un coup sec son mandrin dans le cul de N°1. La pénétration de la bite fit gémir N°1, qui pourtant, avait l’habitude de recevoir des plugs de dix centimètres de diamètre.

« Prends tes jambes salope. »

N°1 prit ses jambes, ce qui libéra la main de Maître Tumba. Maître Tumba, tout en enculant sauvagement N°1, posa sa main libre sur la chatte de Sweet Pussy et enfonça violemment ses doigts dans son vagin. Maître Tumba augmenta rapidement le rythme de ses doigts. Sweet Pussy ne tarda pas à gicler sur le lit. Content de la voir jouir, Maître Tumba décula N°1 et passa devant Sweet Pussy. Elle leva ses jambes et tint ses jambes par les genoux. Elle présenta donc son cul et son trou mouillé de sa jouissance. Le Maître pointa sa bite et fit comme avec N°1 : il enfonça d’un coup sec sa bite au fond du cul de son esclave.

« Hummmmmm! » fit Sweet Pussy dans un soupir empreint de douleur et de plaisir. L’énorme bite allait et venait dans le fondement de Sweet Pussy. Son anus sortait et rentrait suivant les mouvements de la bite. Le Maître prit N°1 et lui demanda de venir lui lécher le sexe et la chatte de sa comparse. Sweet Pussy gémissait de plaisir tellement le sexe lui emplissait l’intestin. De petits jets giclaient de son méat. Le Maître ressortit sa bite, le gland était un peu maculé de sécrétions. Il prit la tresse de Sweet Pussy et amena sa bouche sur son sexe.

« Nettoie-moi la bite putain! Je la veux propre. Cette merde est à toi. »

Sweet Pussy ouvrit la bouche avec dégoût mais goba le sexe de Maître Tumba pour ne pas subir sa colère. Il sentit le plaisir venir, s’arracha de la bouche de Sweet Pussy.

« N°1, viens-là que je t’encule à nouveau, et toi allonge-toi sur le sol gueule ouverte. »

« Oui, Maître. » firent les deux esclaves.

N°1 se mit en levrette et le Maître encula de nouveau N°1. Il asséna de nombreux coups de bite rapides qui le fit jouir.

« Serre ton cul et présente-le au-dessus de la bouche de l’autre putain. »

« Oui Maître. »

N°1 se leva du lit et vint s’accroupir au-dessus de Sweet Pussy. Elle posa ses mains sur le sol et positionna son trou juste au-dessus de la bouche de Sweet Pussy.

« Allez salope, pousse et donne-lui ma liqueur, qu’elle se régale, et toi tu n’avales que sur Mon ordre. »

N°1 poussa, son anus s’ouvrit et le sperme du Maître s’écoula du cul de N°1. Des pets et des bouillonnements se faisaient parfois entendre. Sweet Pussy reçut le liquide blanchâtre dans la bouche. La couleur du liquide vira au brun. L’écoulement se tarit mais Sweet Pussy avait toujours la bouche ouverte. Le goût âcre du sperme mais surtout celui odorant de la merde lui faisait pleurer des yeux.

« N°1, embrasse-la à pleine bouche pour partager mon sperme. »

N°1 se leva et présenta ses lèvres à Sweet Pussy. Elles s’embrassèrent en se relevant. Des gouttes de sperme perlaient des commissures de leurs lèvres.

« Allez les putes, on avale maintenant! »

Les deux esclaves avalèrent la mixture. Elles toussèrent toutes les deux du goût désagréable de ce qu’elles venaient d’avaler.

« Gouinez-vous sur le lit, je vais reprendre des forces pendant ce temps-là et préparer quelques ustensiles. »

Les deux esclaves montèrent sur le lit et commencèrent à se caresser mutuellement. Les mains gantées de N°1 glissaient sur le corps de Sweet Pussy, elle embrassait la bouche. Le visage masqué de N°1 descendit sur les seins comprimés par les anneaux. Elle déposa délicatement ses lèvres sur la peau tendue. Ses doigts glissèrent sur les anneaux. Les yeux de Sweet Pussy mais aussi sa bouche faisaient de petites mimiques de douleur sous les baisers tendres de N°1 tant ses seins étaient douloureux. Puis son visage descendit vers le sexe de Sweet Pussy. N°1 sortit sa langue et commença à lécher et à aspirer les lèvres annelées de Sweet Pussy. Sweet Pussy ondulait du bassin et tirait la tête de N°1 vers son sexe pour se faire jouir. La langue de N°1 s’écrasait littéralement sur le sexe de Sweet Pussy. Puis N°1 pivota pour mettre sa chatte sur la bouche de Sweet Pussy et, ensemble, elles se léchèrent la chatte. N°1 prit les jambes de sa comparse et tournèrent sur elles-mêmes. N°1 avait donc la chatte de Sweet Pussy au-dessus de sa bouche. Elle enfonça ses doigts dans le sexe annelé et le pilonna rapidement. Sweet Pussy jouit dans un jet de pisse et de cyprine qui inonda la bouche de N°1 et le reste de sa jouissance coula dans son cou et sur le lit.

Le Maître se leva et retourna près de sa valise pour en sortir de nombreux ustensiles. Sweet Pussy essayait de regarder ce que sortait le Maître car la première séance SM avait été très sévère.

« Allez les gouines, assez joué! Il est temps que je m’amuse avec vous. Je veux en avoir pour mon argent. »

Les deux esclaves se levèrent du lit et vinrent se positionner de nouveau sous les portiques, à l’endroit indiqué par l’index du Maître. Celui-ci appuya sur une commande et la poutre supérieure monta vers le plafond grâce à un câble et un treuil fixés au plafond. Il prit un à un les bras des esclaves qu’il fixa aux anneaux de la poutre du portique après leur avoir posé des bracelets faits d’un épais latex noir. Avec une légère impulsion sur la commande, la poutre s’éleva encore un peu et les deux esclaves ne touchèrent plus terre, même avec leurs bottes à semelles compensées. Leurs pieds se trouvaient à environ une vingtaine de centimètres du sol. Les deux esclaves pendaient comme des jambons. Le Maître inséra alors 4 tubes pour raccorder la poutre supérieure aux poteaux. Une légère impulsion sur la commande et la poutre s’encliqueta dans les tubes ajoutés. Il fixa des bracelets sur les chevilles et attacha ceux-ci à d’autres anneaux. Les deux esclaves se retrouvèrent fixées en X au portique comme deux papillons épinglés dans un cadre. Sweet Pussy essayait de soulager ses bras qui soutenaient tout son poids. Les lambeaux de leur combinaison de latex pendaient sur leurs jambes. Les lèvres annelées de leur sexe pendaient comme les babines de chienne. Celles de N°1 pendaient bien bas avec leurs dix anneaux. Le Maître prit une mallette dans laquelle étaient rangés des poids. Il prit un poids de 100 grammes et l’accrocha aux deux anneaux des petites lèvres de N°1. Le poids tira les lèvres encore plus vers le sol et elles se rapprochèrent pour n’en faire qu’une. Le Maître s’approcha de Sweet Pussy et fit de même avec son sexe. Sweet Pussy ferma les yeux quand elle sentit le premier poids charger ses petites lèvres annelées. Maître Tumba reprit une paire de poids et lesta de nouveau N°1. Puis le sexe de Sweet Pussy reçut à son tour 100 grammes. Après quelques minutes, la mallette fut vide et plus légère dans la main du Maître, par contre les lèvres des deux esclaves étaient chargées de 1000 grammes pour N°1 et de 300 grammes pour Sweet Pussy. Le maître posa sa mallette et prit un étui qu’il ouvrit grâce à une fermeture éclair devant ses deux esclaves. Sweet Pussy se tendit comme un arc lorsqu’elle vit le contenu de cet étui : des aiguilles. L’étui contenait des aiguilles de différentes épaisseurs et longueurs.

Le Maître prit une fine aiguille de l’étui et la présenta devant les yeux de Sweet Pussy en la faisant tourner entre ses doigts.

« Pitié Maître, pas ça. On fera tout ce que vous voulez mais pas les aiguilles. »

« Tais-toi, petite pute. »

Le Maître présenta l’aiguille au niveau de son sexe.

« Inspire salope. »

Sweet Pussy prit une grande inspiration et Maître Tumba traversa les deux petites lèvres avec son aiguille.

« Ouchhhhh. » fit Sweet Pussy en soufflant tout l’air de ses poumons. L’aiguille était plantée en travers des deux petites lèvres de son sexe. Une goutte de sang perlait sur sa lèvre gauche. Maître Tumba se présenta devant N°1.

« Avec toi, je vais prendre celle-ci. »

Maître Tumba sortit de l’étui une aiguille beaucoup plus grosse que celle plantée dans les lèvres de Sweet Pussy.

Le Maître présenta l’aiguille dans sa longueur, N°1 put voir alors la lumière passait au travers de l’aiguille. Le Maître eut un sourire sadique. Il pointa l’aiguille juste pour que N°1 sente l’acier toucher légèrement sa lèvre puis il força et l’aiguille pénétra les chairs. N°1 beugla sous la douleur. Le Maître reprit une nouvelle aiguille et se dirigea vers Sweet Pussy. Elle commença à implorer pitié et des larmes coulaient sous son masque.

« Pas la peine de m’amadouer, toutes les aiguilles qui se trouvent dans cet étui sont pour vous. »

Le Maître planta l’aiguille dans les petites lèvres. Sweet Pussy cria et s’arcbouta pendant la pénétration de l’aiguille. Le Maître reprit une grosse aiguille pour N°1 qu’il planta à côté de la précédente. Les esclaves reçurent chacune 4 aiguilles dans leur sexe. Le Maître se positionna devant Sweet Pussy et dit :

« Sors ta langue chienne! »

Sweet Pussy hoquetait encore du supplice que son sexe venait de subir qu’elle hésita à sortir sa langue et essaya de gagner du temps.

« Sors ta langue ou je te la coupe, pétasse! » Hurla Maître Tumba en présentant son couteau.

Sweet Pussy sortit une langue hésitante et toute tremblante. Le Maître pinça la langue entre ses doigts juste au niveau des trois piercings, la tira encore plus, ce qui fit geindre Sweet Pussy et piqua la langue d’une aiguille longue d’une dizaine de centimètre. Sweet Pussy voulut rétracter la langue mais l’aiguille l’en empêcha. Maître Tumba reprit deux aiguilles identiques à celle plantée dans la langue et piqua sans pitié le membre. Les aiguilles étaient en alignement dans l’axe de la langue, les deux dernières aiguilles devant ses anciens piercings. Sweet Pussy commença à saliver abondamment et celle-ci coula de sa bouche en un long filet qui glissa sur son sein droit.

« Reste comme cela. » ironisa Maître Tumba.

« Je vais m’occuper de toi, maintenant.» Fit-il en regardant N°1 droit dans les yeux.

Il reprit des aiguilles et N°1 subit le même traitement que Sweet Pussy. Le nombre d’aiguilles diminuait dans l’étui.

Maître Tumba prit un petit coffret à bijoux dans lequel 6 piercings étaient rangés.

« Ces bijoux sont pour vous mes putes. Vos langues vont être ornées de nouveaux piercings. Les Maîtres que vous sucerez seront aux anges avec de telles langues!»

Il les prit un à un et inséra ses labrets dans les aiguilles pour les poser sur leur langue. Les deux esclaves se retrouvèrent avec 6 piercings sur la langue.

« Maintenant que vous êtes bien garnies, on va s’amuser un peu… »

« S’il vous plaît Maître, je n’en peux plus, c’est trop dur… » Disait Sweet Pussy.

« Tais-toi, ou le reste des aiguilles vont aller sur vos trous du cul, et vous gueulerez comme des bêtes quand vous irez chier, alors tu choisis! » s’écria Maître Tumba dont la patience commençait à atteindre ses limites.

« Oui Maître, je ferai tout ce que vous me demanderez… »

« Je préfère cela. » Dit le Maître en pressant les seins de Sweet Pussy qui cria en jetant la tête en arrière pour essayer de diminuer la douleur.

« Mais à cause de toi, toutes les deux, vous tâterez de ma cravache! »

Le Maître prit la cravache qui se trouvait sur la table et passa derrière les deux esclaves pour regarder leur cul. Un premier coup s’abattit sur les fesses de Sweet Pussy qui hurla, son corps était secoué de spasmes tellement la douleur était vive. Elle tira sur ses bras pour essayer de soulager la douleur qui traversait son corps. N°1 serra les poings et contracta ses muscles dans l’attente du coup de canne mais le Maître s’en aperçut et attendit le moment opportun pour frapper. Au moment où N°1 relâcha son effort, la canne frappa ses fesses. Le Maître repartit derrière Sweet Pussy. Il abattit sa canne juste sur l’échine, le corps de l’esclave se tendit comme un arc. A peine avait-elle repris sa position que la canne frappa juste sous les fesses.

Le manège dura quelques minutes qui parurent des heures pour les deux suppliciées.

Le Maître appuya sur la commande et la poutre métallique s’éleva. Il ôta les poteaux métalliques et baissa la poutre. Les bras des esclaves baissèrent et leurs postérieurs se trouvèrent à hauteur de la bite du Maître. Il prit d’autres poteaux pour caler la poutre. La bite du Maître s’enfonça dans le cul de N°1 pour quelques allers-retours. Puis le cul de Sweet Pussy reçut la bite. Sweet Pussy et N°1 hurlaient car les mouvements que la sodomie imposait aux deux corps augmentaient le balancement des poids toujours fixés à leur sexe. Les aiguilles aussi venaient de temps à autre piquer l’intérieur de leurs cuisses. La bite du Maître défonça les deux postérieurs tour à tour et le Maître éjacula dans le cul de N°1.

Le Maître, repu, ôta une à une les aiguilles qui firent chanter les deux esclaves et les poids sur les lèvres intimes. Puis il baissa tout son attirail et demanda aux deux esclaves d’aller sur le lit. Il retira les anneaux de leurs seins, ce qui soulagea les seins mais aussi les fit gémir. Il appuya sur un bouton à côté de la porte de la chambre et le tenancier entra. Il arriva avec deux colliers et chaînes qu’il posa autour des cous des esclaves.

« Dormez bien. Demain sera un autre jour ou plutôt une autre nuit. »

Le Maître sortit de la chambre sans un regard pour les esclaves.

« Je pensais que l’on contentait les Maîtres seulement. Là, ils nous torturent! » dit Sweet Pussy en pleurant amèrement.

« Cela arrive de temps en temps, on commence fort. Je pense que c’est pour te montrer ce qu’est le vrai SM. » dit N°1 en caressant son sexe délicatement suite au traitement reçu.

Elles ne demandèrent pas leur reste et s’endormirent aussitôt.

Avec ce qu’elles venaient de subir, les autres nuits furent beaucoup plus calmes. De toute façon, avec leurs nouveaux piercings, elles ne pouvaient plus sucer de bites pour la semaine. Les Maîtres n’utilisèrent que leurs chattes et leurs culs après s’être bien défouler sur leurs fesses que ce soit avec une cravache, des fouets ou des cannes. Sweet Pussy et N°1 avaient du mal à s’assoir et le simple fait de s’assoir sur la cuvette des chiottes les faisaient gémir. Les combinaisons en latex irritaient leurs plaies. Malgré les soins et l’application de crème apaisante sur les plaies, la fin de semaine fut dure surtout le samedi, car les Maîtres des environs étaient présents et s’en donnèrent à cœur joie.

Le 4×4 se gara devant le kit kat klub et emmena les deux esclaves vers un nouveau club SM.

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