Le lendemain, je me réveille en forme. Julien me fait un peu de bouche-à-bouche. Entendons nous, ses lèvres horizontales sur mes lèvres verticales, un peu collantes le matin, surtout quand j’ai fait des rêves érotiques… Ensuite, il va aider l’autre domestique. Mais si, vous savez bien, l’autre mari.
Je me lève un quart d’heure plus tard et je vais embrasser Josiane et les jumeaux. Tous sur la bouche, ce matin. Il faut dire qu’on est devenus intimes. Ils vont de mieux en mieux, ces petits, ils sont même de très bonne humeur. Même d’humeur à faire des farces, vous voyez. Au moment où leur père arrive avec une théière, un des deux lui fait un « croche-patte » ! Résultat, ce maladroit de Robert trébuche et renverse la théière sur la table. Et « presque » sur les cuisses de Josiane, qui se met à gueuler comme un putois femelle à qui on vient de marcher sur la queue ! Elle le traite de connard, d’enculé, de grosse larve et j’en passe des moins classes.
Ce qui est amusant, c’est que Josiane m’a dit que Robert n’est pas un petit employé de banque comme je le pensais, mais le PDG d’une grosse société de vins et spiritueux. Josiane me dit :
— Samia, tu me prêtes ton truc à punir les maladroits ?
— Oui, avec plaisir. Julien, va chercher !
Robert bredouille :
— Excuse-moi ma chérie… on m’a fait trébucher.
— C’est ça, accuse les autres !
Julien revient avec la grande cuiller en bois que j’emploie régulièrement pour lui donner des corrections. Quand il a fait une connerie ou simplement parce que quelque chose m’a énervée… Hé oui, ça me calme. Pas de chance pour ses fesses…
Comme il est excessivement douillet, Julien piaille délicieusement quand je le corrige.
Josiane crie à son mari :
— En position !
Oh ! Je vois qu’il est également bien dressé puisque, sans discuter, il baisse son short et se penche en avant, les coudes posés sur l’assise de la chaise. Son gros derrière tout blanc est une cible parfaite. Il va avoir des couleurs dans pas longtemps. J’adore voir ce PDG, tout penaud, les fesses en l’air et en plus devant ses fils. Justement, un des jumeaux demande à Josiane :
— On peut le faire aussi ? Steupléééé…
Alors ça, c’est limite pas convenable. J’adore ! Josiane tend la cuiller au Jumeau N° 1, qui en envoie un grand coup sur les fesses de son père. Oh qu’il n’aime pas. Il crie :
— Aïe… ça fait mal !
Ben évidemment, banane, c’est une punition. Jumeau N° 1 y va de bon cœur et donne une douzaine de coups de cuiller tandis que son père crie comme un bébé qui fait ses dents. Il passe la cuiller à Jumeau N° 2 qui frappe à son tour. Le gros derrière du PDG est constellé de grosses marques rouges en forme de cuiller… Jumeau N° 2 me demande :
— Tu ne veux pas le punir, toi aussi ?
On ne refuse pas quelque chose qui est offert de bon cœur… Je prends la cuiller en disant :
— Volontiers… Je vais vous montrer un petit mouvement du poignet qui rend le coup encore plus douloureux.
Je frappe et, bizarrement, Robert n’aime pas du tout mon petit mouvement du poignet. D’ailleurs, il le crie bien fort.
Je suis là, la cuiller levée prête à corriger, quand Djibril arrive en disant :
— Mais qu’est-ce que tu fais encore ? On entend ce pauvre homme crier à l’autre bout du village.
Je bredouille :
— Mais… euh… c’est pas moi, c’est…
— Comment ça, c’est pas toi ? Je t’ai vue. On ne traite pas un homme comme ça !
Non mais, de quoi il se mêle !? Qu’il nous laisse nous amuser. Sans réfléchir, je réponds :
— C’est pas vos affaires et d’ailleurs…
Je regrette aussitôt d’avoir dit ça, car Djibril répond sur un ton furieux :
— Si, c’est mes affaires ! Maintenant, je vais te montrer comment moi, je traite les gamines insolentes !
L’instant d’après, il saisit mon poignet, s’assied sur une chaise et me couche en travers de ses cuisses, les fesses en l’air. Je crie aux autres :
— Ne le laissez pas faire !
Personne ne bouge… Alors, j’essaie autre chose :
— Pardon Monsieur Djibril, je…
Trop tard : il a déjà descendu ma culotte de maillot sur mes talons. Je crie :
— Je vous donnerai… Aïïïe !!
Il vient de me balancer un grand coup de cuiller en bois sur les fesses ! Ça fait un mal de chien ! Et ça repart :
— Aïe… aïïe… nnooonnn… aïe, aïe… pardon, noonnn… ça fait trop mal !
Il s’arrête pour me demander :
— Et à lui, tu crois que ça ne faisait pas mal ?
— Siiii, mais c’est pas moi qui…. Aïe ! Noooonnn !!! Aïe…
— Si c’est toi ! Et je vais te filer quelques coups sur le haut des cuisses, tu te souviendras que ça fait mal chaque fois que tu t’assiéras !
— Noooonnn !!! Aïe, aïe, aïe…
Enfin, il s’arrête. J’ai terriblement mal aux fesses et aux cuisses. Il pose sa main sur mon derrière en disant :
— Tu n’as rien à me dire ?
— Pardon Monsieur Djibril.
— Que ça te serve de leçon. Moi, on ne me parle pas mal. OK ?
Tout en frottant mes fesses, je réponds :
— Oui, j’ai compris Monsieur Djibril.
D’accord, je m’aplatis, mais elle fait vraiment mal, cette cuiller ! Je me défoulerai sur les fesses de Julien, chacun son tour ! Djibril annonce à tout le monde :
— Je n’étais pas venu pour fesser Samia, mais pour vous inviter à une soirée aux cascades, demain en fin d’après midi, en l’honneur d’investisseurs étrangers. Il y aura le chef du village et des gens importants.
Il continue pour moi et Josiane :
— Comme vous êtes belles toutes les deux…
Je devine la suite « belles et pas farouches »… Mais en fait, il dit :
— On a prévu des cadeaux qui vont vous plaire et…
Je le coupe en disant :
— Je suis désolée, j’ai un projet pour demain soir. De toute façon, je ne compte pas montrer mes fesses et mes cuisses couvertes de traces rouges.
Les jumeaux disent :
— On restera avec toi.
Merci, les frérots ! Djibril paie ce qu’il m’a fait. Je me demande comment il va ratt****r la situation… Il prend les deux jumeaux par les épaules et va dehors avec eux. Josiane essaie de me raisonner :
— Ce n’est jamais qu’une fessée.
— Tu as vu mes fesses ?
— Oui, mais une fessée, c’est quand même pas si terrible et…
Et je ne sais pas quoi, car Djibril revient avec les jumeaux en disant :
— Voilà, ils viennent. Toi aussi, Samia.
— Non ! D’ailleurs, je vais aller m’allonger sur mon lit, je ne me sens pas très bien.
Djibril insiste :
— Ce sera une super fête.
Je me frotte à nouveau les fesses en disant :
— Je n’en doute pas. Amusez-vous bien.
Alors, il me prend et me met sur son épaule comme si j’étais un sac à patates ! Je crie :
— Au secours !
Personne ne bouge, évidemment. Il sort de la maison et on traverse une partie du village, moi sur son dos, en train de crier. Ça fait rire les gens qu’on croise. Je lui donne des coups de poing dans le dos, mais en guise de réponse, il me claque chaque fois les fesses… donc j’arrête tout de suite.
On arrive devant la maison de ses parents. Je crie :
— Qu’est-ce que vous allez me faire ?!!!
On monte une volée d’escaliers. Au premier, il me remet sur mes pieds mais en me tenant fermement. Il me dit :
— J’ai une surprise pour toi.
Je m’en fous de sa surprise ! Il me pousse dans une chambre… et là, sur le lit, il y a une apparition : la reine de Saba nue… ou Cléopâtre avec un petit nez… ou Shéhérazade… C’est Malha, ce qui veut dire « charmante » en Berbère. Comme elle dormait, notre arrivée l’a réveillée. Elle se redresse et dit en bâillant :
— Kes’ tu veux encore Djibril ?
— Tu te souviens de Samia ?
— Bien sûr.
— Je compte sur toi pour la convaincre de venir à la soirée de demain.
Mes hormones se mettent à crier : « Ouais, super ! Elle est belle, elle sent bon la fille qui a eu chaud, va vite mettre ton nez dans ses poils. »
Je leur réponds (en pensée) : « Cette brute m’a fait trop mal, j’en veux pas de sa surprise, il peut se la remballer ! »
Ouh là ! Mes hormones deviennent enragées, puisqu’en guise de réponse, elles me gueulent : « Tu mens, tu as fait beaucoup de cinéma pour qu’il ne frappe pas trop fort, mais tes fesses en ont vu d’autres ! »
Tout ce dialogue en une fraction de seconde… Malha me tend la main, m’attire à elle et m’embrasse sur la bouche.
Mes hormones roucoulent : « Trop bonne, sa salive ! »
C’est pas faux. Je dis quand même a Malha :
— Ton frère est une brute !
— Je sais, mais, moi, je vais être très gentille avec toi…
Dans mon dos, Djibril me dit :
— Alors, tu viens ? Malha sera là…
Je crève d’envie de lui dire d’aller se faire foutre, mais je suis prudente et puis, elle est trop belle et elle sent trop bon… La forêt, la mer, le cuir humide… De plus, j’ai toujours eu l’intention d’aller à cette fête, mais je voulais le faire chier un peu, pour appeler un chat, un chat. Je réponds :
— Oui….
— Reconnais que tu la méritais, cette fessée.
NON ! Malha me caresse la hanche, alors le non se transforme en :
— Oui.
Ma grand-mère disait « Un petit moment de honte est vite passé ». Mais ici, c’est un grand moment de honte. Il est satisfait, il m’a retourné le cerveau avec les odeurs de sa soeur. Justement, elle me dit :
— Tu veux que je te console ?
— Je voudrais plutôt m’occuper de toi.
— D’accord.
Je l’embrasse à nouveau sur la bouche. De là, je mets mon nez dans le buisson humide de son aisselle gauche. J’adore… Je lèche la sueur de ses poils, mes hormones surexcitées me disent : « Tu avales sa sueur, trop bon ! »
Je lèche et je suce ses poils de ses aisselles. Elle rit et dit :
— Tu chatouilles. Embrasse mes seins.
Oh oui ! Elle a des superbes seins en poire. Je la tète comme un gros bébé affamé, je retrouve le goût de sa sueur… Après m’être occupée de ses beaux seins, je file à l’étage en dessous en faisant une incursion par son nombril. J’arrive aux abords d’une forêt tropicale humide et odorante. Je sens l’odeur musquée de ses aines… Dans le sillon, entre l’aine et les grandes lèvres, ses sécrétions ont formé un léger dépôt blanchâtre que je lèche ! Ouch ! Deux ou trois hormones manquent de faire une crise cardiaque. Pour les ranimer, j’embrasse le clito et le méat de Malha. Odeur beaucoup plus acidulée, marine, de crustacé, aussi… Mes hormones font une « hola » en criant « lèche ! »
Bon, d’accord. Je lèche comme un petit chat qui lape son lait, ma petite langue va et vient très vite. J’ai appris à Julien à me lécher comme ça, alors je sais l’effet que ça fait. Malha se tortille sous ma langue. Mes hormones sont aux anges : elles ont le goût, l’odeur et la douceur du clito de ma Princesse du désert. Je ne veux pas que ça aille trop vite, alors je ne mets pas mes doigts. J’évite surtout de faire un truc genre la pince de crabe (le majeur dans le cul, l’index dans la chatte et le pouce sur le clito)… Je veux tout faire avec ma petite langue de chatte, genre « lap, lap, lap, lap, lap, lap, lap, lap, lap… » Elle me caresse le dos de son pied nu… Bientôt, je sens qu’elle va décoller. Surtout ne pas changer de rythme. Elle pousse un cri tandis que ses cuisses serrent mon visage et que ses glandes le mouillent.
Championnat du meilleur Cunni d’Afrique du Nord… And the winner is… Miss Samia ! Mes hormones entonnent « on est les meilleures, on est les meilleures… » Quelles petites cabotines !
A suivre.
Si vous désirez me joindre : [email protected]
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