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scenario imaginaire a realiser 3

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Scénario imaginaire à réaliser

En ce mois de mai, le printemps est bien installé, les températures sont douces et agréables, sans être trop chaudes… ce qui m’a permis sans trop de peine de convaincre ma femme de mettre des bas Gerbe hyper-fins, marron glacé, avec un porte-jarretelles qui la rendent fabuleusement sexy sous sa jupette, courte mais sans trop, au-dessus des genoux qui mettent bien en valeur ses jolies jambes pour visiter Saint-Emilion, cette capitale du bon vin. J’aurais bien aimé qu’elle mette aussi des escarpins à talons hyper-sexy (mais elle m’a « promis » de les porter le soir au resto) mais pour visiter et déambuler plus allégrement, son choix (et mon choix) a été de mettre des ballerines sexy… pour mieux gambader.

Vers 13 heures, nous arrivons à destination et choisissons un jardin public quelque peu désert en ce mardi pour pique-niquer. Au fil de ce repas champêtre, ma femme m’offre quelques jolis angles de vue sur ses gambettes, ses bas, sa jupette qui remonte bien… j’arrive discrètement à faire quelques photos… elle voit bien que je me régale de la contempler et elle sait que ça m’excite… sa chair blanche au-dessus de ses jolis bas marrons, ses jarretelles et même sa culotte noire transparente en tulle m’apparaissent de temps à autres, alors qu’elle joue avec ses ballerines et ses pieds nylonnés… ce qui n’échappe pas à l’œil fureteur et salace de quelques hommes seuls se « promenant » nonchalamment dans ce parc quasi désert. A ma grande joie, je me rends compte qu’elle a bien repéré que des types tournent autour de nous et la reluquent et, surtout, que comme une coquine vraie-fausse sainte-nitouche qu’elle feint d’être, elle leur offre aussi de belles visions fugaces.
L’après-midi est bien commencé !
A un moment même, lorsqu’un gaillard bien solide, moustachu et le regard perçant et vicieux, passe à quelques mètres de nous, alors qu’elle « joue » un mini-dangling avec une de ses ballerines déchaussées, elle écarte un peu ses cuisses, laissant un bref instant le plaisir au mec de zyeuter entre ses belles cuisses gainées de bas, apercevoir ses jarretelles et même cette superbe culotte transparente qui permet de voir les poils de sa chatte à peine voilée par le tulle noir… alors qu’en haut, son chemisier ouvert sur son soutien-gorge balconnet pigeonnant permet au gars de voir ses globes et l’un de ses tétons légèrement durci et érigé affleurer au ras de la dentelle fine.

Après ce pique-nique… amuse-gueule érotique qui m’a permis de faire quelques images pour mes amis du site xhamster, nous partons à la visite de la ville… au cours de laquelle, bien évidemment, les mâles tournoyants et à l’affût de visions érotiques [et quand elle marche ondulant sur ses ballerines enjouées, les mouvements de sa jupette sur son cul bien moulé sont un appel aux regards… et elle le sait la coquine !] nous suivent çà et là au détour des ruelles médiévales. Quand j’aperçois un type, l’œil acéré et hagard bien vicieux, lorgnant ses gambettes, sa croupe ou sa poitrine, je lui adresse un petit sourire complice et je prends un plaisir fou à la (sa)voir bien matée… je bande dans mon slip.
Ma vraie-fausse sainte-nitouche sait bien ce qu’elle porte et le « pouvoir » énorme de bandaisons qu’elle peut procurer ainsi… mais elle fait « comme si de rien n’était »… au final, ça me plait !
Oui, ça me plait de la voir faire des haltes avec des mini-danglings des ballerines en dévoilant ses pieds gainés de ses bas nylons, ses fesses tendues sous sa jupette se penchant en avant, une vallée « de la mort » dévoilée par le décolleté généreux de son soutif balconnet sexy offrant un téton.

Mais le « clou » de la soirée, le point de départ de ce que j’espère être une expérience fabuleuse pour lui et pour moi, est à 18 heures, un rendez-vous [bien sûr, convenu et construit à l’avance avec un de mes meilleurs amis de xhamster qui rêve de la baiser depuis des années] dans le bar d’un hôtel-restaurant (où d’ailleurs nous avons réservé une chambre, histoire « d’être sur place »). Selon le scénario concocté, il vient nous accueillir pour me remettre une caisse de vin -pseudo- gagnée à un concours et nous faire visiter la cave.
A l’heure dite nous retrouvons Patou, mon pote d’xhamster, qui -comme convenu- nous attend à l’entrée de la cave de Saint-Emilion à visiter avec cette fameuse caisse de vin alibi de ce rendez-vous.
De vraies-fausses présentations (nous n’avions vu nos visages que par photos envoyées) et Patou, complètement surexcité, se met à jouer « à fond » son rôle convenu :
« J’ai le plaisir de vous remettre cette caisse de vin de Saint-Emilion de grande cuvée et d’une excellente année, que vous avez gagnée au tirage au sort, suite à votre visite sur notre stand à la foire et je vais aussi vous présenter la suite du programme : une visite de la cave avec dégustation puis un repas à l’excellente table du restaurant de l’Hôtel de France, où votre chambre est d’ailleurs réservée »…
[gain bidon évidemment -j’avais acheté le vin et fait envoyer chez Patou pour qu’il nous le « livre » ce « cadeau gagné à la foire » au jour convenu et aussi une visite (pseudo) guidée par lui de la cave et un repas au resto de l’hôtel- sinon ma femme se serait bien douté d’un coup monté.]

Quand je vis son regard briller de mille feux en lorgnant ma femme, détaillant son visage, scrutant [enfin, en « live »] ses jolies gambettes gainées de bas nylons, sa jupette courte moulant ses fesses et ses seins arrogants pointant dans le soutif, j’eus un haut-le-corps de plaisir et mon cœur frappant fort, je me mis à bander. Je me dis « ça y est le coup est parti » car ma femme, bien contente d’avoir « gagné » une soirée dégustation (elle allait déguster !), lui souriait et se montrait très avenante envers lui, pour mon plus grand plaisir… et le sien (mais il n’était pas question de laisser croire un instant à ma femme que nous nous connaissions). Il était « aux anges » mon complice.
Il me dit bien plus tard (quand nous fîmes un « débrief » de cette soirée mémorable) que ma femme était encore plus désirable en « réel » qu’en photos, que malgré son âge elle était fabuleusement sexy habillée bcbg et qu’il avait bandé très fort dans son slip quand il l’avait saluée pour cette « bienvenue » en disant enhardi : « je me dois de vous faire la bise pour célébrer ce cadeau » en la saisissant aux épaules puis aux flancs juste sous les seins qu’il effleura au passage.
Une fois chargée la caisse de vin dans la malle de la voiture, nous descendîmes dans le chai pour visiter la cave et déguster au passage de chaque salle des petits verres de vin de grande qualité… mais pour certains bien chargés en alcool… sachant que la savante progression de la visite nous encourageait à boire de plus en plus car les cuvées et millésimes s’avéraient de plus en plus incontournables.
Peu à peu, je sentais bien (et je voyais) que ma femme commençait à être grisée et se laissait aller, par des plaisanteries -certaines allusives même-, une gestuelle moins contrôlée (elle se frottait de temps à autre contre notre « guide », elle se cambrait en jouant de sa croupe sous sa jupette, de danglings sauvages de ses ballerines, elle pointait ses seins sous le regard concupiscent de Patou).

Bref, à 19h30, la visite de la cave terminée, nous remontons par le long escalier de pierre en direction de l’hôtel-restaurant que nous devions rejoindre à pied [il n’était pas question de reprendre la voiture afin de nous -à Patou et à moi- de bien faire boire ma femme pour la mettre « en condition » de poursuivre une soirée chaude]. Jeannine ne titubait pas encore dans l’escalier… mais, bien « chauffée », elle zigzaguait un peu en ondulant de sa jupette et gambadant sur ses ballerines mettant en valeur ses mollets fins gainés du fin nylon de ses bas… tout en riant et faisant des plaisanteries de plus en plus scabreuses :
« Allez ! vous allez en profiter pour voir sous ma jupe hein les deux coquins ? » dit-elle en grimpant l’escalier.
Je fus hyper heureux, en montant l’escalier, de voir Patou bien reluquer sous sa jupe -et même se pencher pour apercevoir le haut de ses bas et sa culotte. Il en profita pour me jeter un regard complice auquel je répondis par un sourire et un pouce levé signifiant que « c’était bon ».

Arrivés dans l’accueil de l’hôtel resto, Patou, reprenant son pseudo-rôle de « guide », bien émoustillé et chauffé par cette visite de la cave au cours de laquelle il avait, çà et là, paluché Jeannine aux fesses, aux seins incidemment, frotté sa bite trois ou quatre fois contre sa jupe tendue et offerte, enchaîna :
« le repas est prévu à 20 heures… vous avez quelques minutes pour aller poser vos valises dans votre chambre… je vous attends ici et je réserve la table pour trois »

Mon plan (notre plan) semblait se dérouler comme prévu, imaginé. Dans l’ascenceur, Jeannine, émoustillée et échauffée, se laissa un peu aller… je l’embrassais en la paluchant ostensiblement et je lui dis : « il ne te déplait pas notre guide Patou hein, coquine ? »
« oui, oui, il est pas mal » répondit-elle … « je suis déjà un peu paf »
« mais non, t’es pas bourrée, ce n’était que du vin » dis-je hypocritement, sachant très bien que ces multiples dégustations de « fonds » de verres de crus à 13 ou 14° l’avaient bien chauffée.
Dans la chambre, nous fîmes un passage express… mais je n’oubliais pas de lui faire tenir sa promesse : « mets tes escarpins maintenant… on ne va plus marcher »… et, à ma grande joie -et bien sûr à celle à venir de Patou- elle enfila ces magnifiques escarpins de cuir marron croco à talons hauts, hyper-sexy jamais portés que je lui avais offerts pour une Saint-Valentin : ils lui faisaient un peu « mal » comme toutes chaussures neuves mais surtout ils la rendaient hyper-sexy et bandante.

C’est avec une Jeannine, bien chauffée et émoustillée, prête à quelques incartades me semblait-il, titubant un peu à mon bras, tant à cause des verres « apéritifs » accumulés qu’à cause de la hauteur des talons de 9 cm sur lesquels elle était perchée -sa jupette d’ailleurs remontant encore plus haut grâce à leur cambrure et dévoilant ses jolies cuisses et, par moments, une jarretelle qui tenait ses bas fins-, que nous prîmes le couloir puis l’ascenceur pour nous rendre à la salle du resto où nous attendait impatiemment Patou.

[lors de notre séance ultérieure de « débrief » dont je vous ai déjà parlé -séance qui se passa dans notre chambre à coucher à la maison et au cours de laquelle, Patou put se branler avec les dessous de ma femme- mon ami « accro à ma femme » me dit qu’il trépignait comme un fou dans le hall de l’hôtel-resto, qu’il s’était retenu x et x fois dans la cave pour ne pas lui sauter dessus, qu’il triquait comme un fou en lorgnant les seins, les fesses et les gambettes de ma femme, qu’il s’était bien échauffé en apposant son bas-ventre et sa queue contre ses fesses au gré des dégustations, qu’il avait délicatement paluché ses seins et qu’elle n’avait rien dit… qu’il l’avait « touchée » aux fesses, aux seins, même à son pubis chaque fois que l’occasion lui en était fournie… et qu’elle avait souvent ri, minaudé, qu’elle s’était lovée contre lui… sans jamais refuser le contact… au contraire]Aussi, quand nous sommes sortis de l’ascenceur, tout sourires, Jeannine et moi, elle super bien campée sur ses escarpins sexy… les yeux de Patou lui sortirent de la tête et zyeutèrent bien plus qu’ostensiblement les jambes de ma femme magnifiquement mises en valeur et la jupette provocatrice maintenant car elle paraissait plus courte avec les dix centimètres de talons en plus. Evidemment, elle s’en rendit compte, la vraie-fausse sainte-nitouche qui aime aguicher jeunes et vieux, se sentir courtisée et être un « appel au sexe ».
« Vous aimez mes chaussures ? j’ai mis ça car on ne va plus marcher ce soir et ça fait plaisir à André »
« oh oui, ils sont très beaux vos escarpins… ils vont très biens avec vos bas… il a bon goût André »
Elle gloussa d’aise sous le compliment : « merci , vous êtes un flatteur »
« non, non, c’est sincère, vous êtes magnifiques avec ces escarpins »
Le ton était donné… la « vraie » soirée allait pouvoir commencer.

Là, je fus « bluffé » par Patou : lui et moi avions un peu peur de cet aspect « scénario construit » qui aurait pu faire rater la soirée. En « vrai » maître de cérémonie de ce « pseudo » gain d’une soirée, il nous convia vers une table ronde à trois couverts dressée pour nous : « voici votre table »… s’installant négligemment avec nous deux. [Pour ma femme, « vu que c’était cadeau », rien ne lui parut anormal et elle se laissa aisément guider… y compris la superbe « main (gauche)au cul » que lui mit Patou juste avant qu’elle s’installe sur sa chaise, caressant longuement ses fesses et aussi la main(droite) paluchant ostensiblement et de manière appuyée sa poitrine par-dessous son soutif… Alors que je surveillais du coin de l’œil, je vis avec plaisir qu’elle ne broncha pas… au contraire, qu’elle eut l’air d’apprécier ces attouchements ciblés].

Du coup, Patou fut rassuré et put constater que la chaude alcoolisation modérée avait bien mis ma femme en condition et la rendait réceptive, plus que docile -demandeuse-, aux situations érotiques.
Tout au long du repas gastronomique (fort bon ma foi ! j’avais assuré !) des dizaines d’occases d’enfoncer le clou de l’érotisation de la soirée ont été exploitées par Patou et relayées par ma Jeannine émoustillé qui se prêtait au jeu de plus en plus sans retenue. Evidemment, il y eut des contacts de pieds [Patou me dit lors du « debriefing » que ma femme s’était déchaussée et avait caressé ses jambes et que même elle avait remonté un de ses pieds qui s’était posé sur sa bite bandée dans son pantalon, qu’elle avait longuement massé sa queue ainsi avec ses pieds en bas tout en le regardant intensément dans les yeux, au fur et à mesure où elle sentait sa queue grossir].
Je percevais bien certaines de ces avancées… j’arrivais même à faire quelques images, mais surtout je contemplais les visages de Jeannine et de Patou pour bien « mesurer » à quel point notre scénario avançait et à quel point ma femme était « en condition ».
Aussi, quand la fin du repas arriva, le maître d’hôtel (drivé par Patou) vint, d’une manière tout à fait naturelle, nous proposer de nous servir café, digestif et mignardises à la table ou dans un salon ou même dans notre chambre. Patou et moi, hésitions quant à la réponse lorsque ma femme, quelque peu gagnée par l’alcool, répondit : « heuf, je suis un peu fatiguée… dans la chambre ce sera mieux »

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