Ma première expérience avec une femme Partie 2
Michèle pressait son sexe contre ma bouche, j’aspirais son clitoris le délaissait pour passer ma langue dans sa conque de plus en plus juteuse. Sa mouille faisait des bulles, elle était translucide et épaisse. Elle frottait sa chatte sur mes lèvres, rapidement mon nez ma bouche mes joues étaient trempées. Pendant ce temps elle s’acharnait sur mon clitoris qui était gonflé comme il l’avait été peu souvent. J’avais un peu la sensation qu’elle me faisait une pipe. Mais les ondes de plaisir se propageaient de plus en plus en moi. Le centre de mon être c’était mon sexe. Mon cœur battait à tout rompre. L’excitation était a son comble. Mon ventre semblait brûler d’un feu intérieur. Chaque attouchement me faisait bondir, mon clito hypersensible semblait prêt à exploser. Mes doigts prenaient possession de la grotte d’amour de Michèle. Ces jeux lesbiens je compris à ce moment que je ne pourrais plus m’en passer, je compris que maintenant je regarderais toutes les femmes d’un autre œil. Avant ce samedi, je ne dédaignais pas regarder une belle femme. Mais depuis ce jour, je regarde les femmes et selon les cas je me vois entre leur cuisses ou pas.
J’étais incapable de parler, seulement gémir de plus en plus fort était à ma portée. Je ne pouvais me retenir de lancer mon pubis au visage de Michèle. J’entendais les commentaires de nos hommes et je voyais leur queues tendues dans leur mains. Ils se branlaient en nous regardant. Ils avaient une envie folle de nous sauter dessus. Moi je ne désirais pas de queue pour le moment, la bouche et les doigts de Michèle étaient en train de m’emmener au ciel. J’étais au bord de la jouissance quand elle s’arrêta.
– Attends ma chérie je reviens. Dit Michèle.
Elle avait les joues empourprées , ses seins paraissaient durs comme de la pierre et ses tétons, ah ces bouts de seins que j’adore toujours long, dardés gros comme mon pouce, de petites aréoles grumeleuse. Même aujourd’hui je suis amoureuse des tétons de Michèle. J’aimerais les lui voler. Mes mains sont toujours avide de ses seins. Ma bouche aussi combien de fois ai-je passer du temps à lui triturer les tétons. Même la faire jouir en lui travaillant les bouts. C’est arrivé souvent.
Là elle m’abandonnait alors que j’étais au seuil de l’orgasme.. J’allais céder à la tentation de me faire jouir en me branlant. Mais Michèle retint ma main.
– Non ma chérie deux minutes je reviens. Occupe toi de nos maris ils me font pitié.
Philippe et Chris ( Christian) mon mari sont debout, la queue à la main et ils sont très excités. Je m’assied sur le banc, je tend mes mains et att**** les sexe tendus. Je connais celui de Chris il va attendre un peu. Celui de Philippe est superbe, épais et long décalotté. Quand ma main se referme sur sa queue je devine une satisfaction dans son regard. Philippe a envie de moi c’est évident. Sa queue se tend un peu plus quand je presse la tige chaude et presque vibrante. Je ne le quitte pas des yeux, j’attire son sexe vers ma bouche. Ma langue se pose a la base de la tige et doucement je lèche la ligne plus sombre et tendrement innervée qui marque la peau de son sexe. Je joue je remonte doucement Sous les doigts je sens palpiter la chair gorgée de sang. Il bande bien, sa queue est longue , je serre mes doigts en anneau à la base. Je fais saillir les veines. Dans mon autre main je sens la queue de Chris agitée, je sais qu’il mate tout ce que je fais et ça l’excite. Voyeur mon mari ? Oh oui et pire..
Ma langue arrive au frein tendu car Philippe bande comme un fou et de ma main je serre son sexe. Sa peau est salée, la sueur bien sur mais aussi cette saveur douce et puissante de l’homme. Je ne sais pas si toutes les femmes sont comme moi (certaines de mes amies me comprennent) Mais il y a chez certains hommes une saveur qui me rend folle. Est ce lié à la virilité, l’excitation je n’en sais rien toujours est il que Philippe fais partie de ces hommes qui m’affolent. Sa tige est mouillée par ma langue, maintenant je lèche sous le gland, et là il frémis, sa queue gonfle plus encore, il devient plus dur je sens ses couilles qui remontent et se pressent à la base de son sexe. Je mouille son gland de salive. Il est gonflé presque rouge. Mes doigts en anneau serrent fort le sexe et je remonte lentement vers le gland. Et là ce que j’aime par dessus tout. Lentement le méat s’ouvre, une goutte brillante naît sous mes yeux. Mon pouce placé a la base de l’urètre aide le nectar masculin a venir affleurer le bout de son sexe. La perle transparent grossit au fur et à mesure que je presse le sexe. J’adore ces prémices que vous nous offrez messieurs. J’adore ceux d’entre vous qui mouillent énormément avant de cracher leur jus. Je suis gâtée avec Philippe la perle devient grosse comme mon ongle, du bout de la langue je la lape. Replaçant mes doigts à la base de sons sexe, je fais naître une nouvelle perle que cette fois j’étale sur mes lèvres. Puis lentement ma bouche glisse sur le gland de plus en plus gonflé. Ma langue servant de chemin à sa verge. J’avale lentement son sexe. Mes lèvres serrées sur la tige qui semble agitée d’une vie propre. Le gland disparaît dans ma bouche et je continue à l’engloutir. Ma bouche est comblée, mais j’aime me sentir la bouche totalement remplie. Je salive abondamment, ma bouche est inondée, je laisse pénétrer encore plus loin la queue. Je veux l’avaler. Le gland glisse contre mon palais, bute un instant je pousse en avant la queue s’incurve légèrement et glisse imperceptiblement vers ma gorge. A cet instant je la veux entière dans ma bouche. Ma langue avance vers l’avant pour lui permettre de s’aplatir au fond et d’ouvrir le passage dans ma gorge.Lentement j’avale le gland, il est contre mes amygdales, je retiens un léger haut le cœur. Ma salive inonde ma bouche elle coule a la commissure de mes lèvres. Une salive abondante épaisse elle coule sur mes seins. Philippe a posé ses mains sur ma tête. En gentleman il ne me presse pas la tête contre son ventre pour m’empaler la bouche. Il ne sait pas que j’aime çà. Encore un petit effort et j’ai tout avalé mes lèvres touchent ses couilles son ventre sa queue qui doit faire un bon vingt centimètre , cette queue je l’avale. Cela me donne des picotement dans le clito.
– La salope !! Elle t’a complètement avalé !! dit Michèle revenue parmi nous
– Oh tu peux pas savoir comment elle est douée !! dit Philippe
Je choisis cet instant pour ressortir la queue de ma bouche et reprendre mon souffle dans une avalanche de salive qui déborde, me coule sur le menton , ruisselle sur mes seins et forme une rigole qui cours sur mon ventre, remplis mon nombril et glisse vers ma chatte se perdant dans le marécage de mon sexe. Je suis presque sur le point de vomir car j’ai laissé la queue s’échapper un peu vite. De grand fils de salive forment une guirlande entre ma bouche et le sexe dressé de Philippe. La main qui tenait le sexe de Chris est mouillée, il est tellement excité que sa liqueur a coulé le longe de mon pouce. En le regardant je lèche sa liqueur.
Michèle est revenue, un god ceinture autour de ses hanches. Un bon gros god noir long et épais à souhait.
– Viens ma belle, viens sur ma grosse queue me dit Michelle
Elle s’installe sur le bout du banc. Elle me tends les mains. Docile j’approche, passant mes jambes de part et d’autre du banc, je descend doucement sur la queue noire. Mon clito est tellement saillant que je ne vois que lui émergeant du capuchon foncé, tout rose luisant. Le gland du god le touche ça me tire un gémissement et un frisson irradie depuis mon bouton partout dans mon ventre. Sans avoir besoin de mes mains je me positionne et me laisse glisser sur le god. Oh que c’est bon la taille est parfaite je me sens bien ouverte. Je mouille tellement que je ne sens pas de gêne ou de frottement. Je remonte et le god s’échappe de mon con trempé. Je vois qu’il est couvert d’une crème onctueuse blanche qui tranche sur le noir du god. Michèle me regarde sans un mot je comprend ce qu’elle aimerais me voir faire. Je m’agenouille, et prend le gode dans ma bouche, je léché ma crème, mon jus qui oint le latex. Je goûte ma mouille je m’en délecte, oserais-je vous avouer que je regrette amèrement de ne pas être assez souple pour me manger la chatte.
Michèle est excitée. Je me rends compte maintenant que le god est double et que Michèle a son équivalent dans sa chatte. Elle m’attire a elle, je me remets a califourchon. M’empale sur le god a nouveau, puis je remonte. Et là toujours sans quitter Michèle des yeux. Je pousse le god un peu plus loin en arrière. Michèle a un grand sourire elle comprend mon désir. Et je me laisse descendre sur le god qui ouvre mon anus. Je suis en train de m’enculer sur ce god. Il est gros c’est moins facile que dans ma chatte mais les sensations sont décuplées. Je me mords les lèvres. Les mains de Michèle sur mes hanches m’agrippent, me force à descendre encore plus loin . Je pousse un cri quand enfin je suis empalée. Les seins de Michèle sont durs comme de la pierre. Mes mains sont appuyées sur son torse. Mes doigts s’emparent de ses tétons durcis, je les malaxe les étire. Elle adore et moi aussi. Nos coups de reins se font plus secs, plus brutaux. Elle et moi avons envie de jouir. Mon clito quand je me penche en avant frotte sur son pubis et ma chatte ruisselante lui mouille la peau et la ceinture du god. Les hommes sont affolés par notre étreinte et ils veulent du plaisir aussi. Philippe est prés de moi une main sur ma nuque me guide vers sa queue gonflée et tendue que je happe dans ma bouche. Il me sourit et d’un coup de reins me baise profondément la gorge. Chris frotte sa queue sur la bouche de Michèle.. qui finit par happer le gland et le pomper.
Nous sommes tous les quatre à la poursuite d’un orgasme qui sera le premier en leur compagnie et pas le dernier croyez moi car j’ai jouis sur la langue de mon amie Michèle par plus tard que le dimanche passé.
Je suis parcourue de frissons, ils sont en général annonciateurs de l’orgasme pour moi des ondes me traversent. Prenant naissance dans mon bas ventre elle se diffusent, j’ai du mal à expliquer la sensation. J’ai des petites crampes dans le ventre, des contractions de plus en plus violentes serre ma chatte sur le god, mes partenaires me disent que parfois je leur fais mal tellement je me contracte.J’ai mal aussi parfois ce qui ne m’empêche pas de pratiquer certains jeux où je suis totalement comblée.
Mon clito est tendu à l’extrême. Michèle passe son pouce dessus me tirant un soubresaut et un cri qui me fait lâcher la queue de Philippe. Soudain le gland de Philippe paraît gonfler, sa main se crispe. Il plante sa queue dans ma bouche. Sa tige palpite tressaute. Son sperme bouillant s’épanche dans ma bouche en grosse giclées puissantes. Le salaud n’a pas du vider ses couilles depuis longtemps !!
J’avale le jus épais, grumeleux même. Il coule dans ma gorge, mais les giclées sont puissante je dois ouvrir la bouche le fluide ruisselle sur mes seins en rigoles blanches. C’est pour moi un déclencheur. Je me laisse aller mon orgasme me cisaille en deux je me couche en avant sur Michèle mes mains crispées sur ses seins. Je jouis en hurlant, mes orifices palpitent ma crème coule sur le god je sens couler ce nectar. Chris est en train d’éjaculer dans la bouche de Michèle qui ne peut tout avaler sa coule sur ses joues, en longue traînées qui dégoulinent sur son cou, son menton. Même broyée par le plaisir je ne peux manquer cette occasion de prendre sa bouche échangeant les foutres de nos hommes à même nos bouches les lèvres maculées de sperme nous partageons le sperme comme des sœurs.
Michèle a agrippé mes bras elle jouit à son tour cambrée le pubis au ciel elle me soulève très haut avant de retomber haletante comme moi.
Nos bouches ont beaucoup de mal à se séparer.
Les hommes les jambes coupées sont forcés de s’asseoir. Mais nous rions bien de nous voir comme çà épuisés.
Décidément nous avons eu une jouissance d’une intensité peu commune.
Ce n’était qu’un début avec Michèle et Philippe.
Sylviane.
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