Histoires de sexe de voisins Histoires de sexe en français Histoires gays

Un client exigeant!

Un client exigeant!



Je travaillais depuis déjà un mois pour l’agence et j’avais pris de l’assurance. J’avais quelques clients réguliers qui généralement étaient des hommes d’affaire d’un certain âge en manque de peau. Je me sentais comme une poule de luxe ( ce que j’étais effectivement devenue) je recevais des cadeaux, bijoux, souliers, du parfum…vraiment une vie intéressante pour une jeune collégienne. J’étudiais en Arts et Lettres profil cinéma et je m’imaginais souvent tourner des pornos et faire le montage à l’école…un petit fantasme que je caressais…

Ce jour là, j’avais une migraine vraiment terrible qui montait et j’étais dans mon spm. J’étais donc d’une humeur massacrante et lorsque le pager sonna, je faillis le lancer au bout de mes bras. Comme j’allais bientôt devoir manquer une semaine de travail ( Bien que certains clients demandaient pour des Rainbow love, c’est à dire baiser pendant que la fille est menstruée, je préférais m’abstenir). Bref, je rappelai et une heure plus tard, Marc m’amenait chez le client. Sa bonne humeur me ramena d’une humeur presque acceptable et il me rappela comme à chaque fois les règles de sécurité ( une vraie nourrice mais je l’adorais!!)

Le type que j’allais voir s’appelais Paul, il travaillait comme directeur d’un petit journal de quartier. D’après ce qu’on m’avait dit de lui ( s’était un client régulier depuis la mort de sa femme mais il avait changé de fille depuis que la dernière avait décidé de se recycler). Bref, un client qui savait ce qu’il voulait et était très exigeant. Je devais donc me présenter à sa secrétaire, dire que j’étais là pour une entrevue et ensuite il allait mener le bal…

J’avais mit pour l’occasion, une jupe relativement courte, un peu plus haute que la demi-cuisse, et bas long au dessus du genoux, des souliers à gros talons style écolière et une blouse blanche. Mes dessous roses fluo ressortaient un peu sous la blouse. J’avais attaché mes cheveux en chignon et avec mes lunette en corne, j’avais l’air d’une étudiante en recherche d’emploi.

J’arrivai juste avant la pause du dîner. Les employés allaient bientôt quitter nous laissant tout le bureau pour assouvir les fantasmes de monsieur. J’arrivai donc à la secrétaire qui me détailla de haut en bas. Son regard interrogateur me fit soupirer. J’avais soudainement envie de lui foutre mon poing dans la figure…mais bon…Paul arriva rapidement et mit fin à notre bataille de regard!

Je le suivi docilement dandinant mon popotin le plus possible afin de faire ciller la vieille peau qui m’avait si hautainement regarder. Paul était un homme de petite taille, environ 5 pieds 6 pouces, un peu plus petit que moi, surtout avec mes souliers. Il avait une touffe de cheveux blanc qu’il peignait sur le côté et de gros sorcils brousailleux. Il me détailla de haut en bas, sa petite langue pointue sortant de sa bouche comme un petit serpent. Il me paya, me tendit le téléphone pour que j’appelle Marc et le bal commença.

Il me commanda de me déshabiller, puis il m’examina. J’avais enlevé mes vêtements à la va-vite et sans être sexy…mais je voyais déjà poindre une érection dans son pantalon de toile! Il me demanda de me placer sur son bureau, parmi les dossiers, à quatre pattes. Je voyais déjà son excitation dans son regard. Pendant que j’entendais en dehors du bureau les employés quitter pour leurs dîner, je sentais les mains chaude et moites de Paul glisser sur ma croupe, sur mes cuisses, mes seins. Il respirait comme boeuf et j’avais presque peur qu’il pète une crise cardiaque.

Je n’avais qu’une envie…qu’il finisse sa besogne et que je puisse me taper mes comprimés contre la migraine. « Pourquoi tu ne mouilles pas? » Je n’avais pas envie de jouer, pas envie de me faire chier à me faire taponner par un vieux con…  » Je mouille pas parce que ça ne m’excite pas de me faire mettre par un vieux con dans ton genre! Parce que tu prends tellement de temps que je vais avoir le temps de me désècher avant que quoi que ce soit se passe. Tu veux me baiser alors baisse ton pantalon, montre moi ce que tu as et ensuite passe aux armes! »

Il paru choqué et surpris…mais soudainement, il s’exécuta. Je vis apparaître entre ses jambes un peu caché par sa chemise une queue relativement longue ainsi qu’un gland gros comme une prune. Je fus surprise mais j’étais trop malade pour le laisser paraître.  » Enlève moi tout…tu veux baiser alors met toi nu…je n’ai pas de temps à perdre! » Il s’excuta immédiatement, sa queue était presque bleue tellement elle était bandée.

Je débarqué de son bureau et me plantai devant lui, le toisant du regard. Je pris sa queue dans ma main et lui donna une gifle assez forte dessus. Il cilla et baissa son regard. Soudainement, je me sentis excité et je commençai à me sentir mouillée entre les jambes. La douleur à la tête me donnais des envies de faire mal…et ce type qui devait paraître un lion dans ce journal était comme une gazelle embêtée devant moi.  » Tu pensais vraiment me baiser pauvre vieux schnock? » Il répondit affirmativement toujours les yeux baissés. Je lui pris les couilles sans délicatesse et je serrai un peu. Elles étaient grosses, gonflées de désir, prêtes à exploser. Je serrai un peu ses couilles jusqu’à le voir fléchir les genoux.

 » Je vais me coucher là sur le bureau…et toi tu vas lécher mes seins, délicatement…je n’aime pas ce que tu fais…et je jure que tu vas regretter! »

Paul hésita une seconde de trop et il reçu une autre pression sur ses couilles. Malgré le fait qu’il était malmené, le pauvre homme était bandé comme un cheval. Il s’avança vers moi comme un gamin timide et glissa sa langue de serpent sur mes tétons déjà bien durs. Il les dévorait du regard et il tendit la main vers eux…mais une forte pression sur ses couilles le dissuadèrent. Il se contenta d’être un bon garçon et lécha avidement les mamelons bruns de ma poitrine. Je massais maintenant doucement sa poche au rythme de ses lichades, il avait de la pratique, et il les suçaient avidement, ma chatte mouillait déjà abondamment. D’un coup de poignet sur ses couilles, je le détachai de mes mamelles déjà sensible par l’excitation.

 » TU sais que tu es vraiment un vieux salaud de commander ainsi une fille qui pourrais être ta fille…même ta petite fille!!! Et tu bandes en plus maudit pervers…Tu sais quoi??? Je veux que tu prennes ma place ici sur le bureau…allez…viens ici. »

Je le dirigeai de ma poigne de fer le cul en l’air sur le bureau, tenant toujours ses couilles entre ma main gauche. Je crachai sur son cul et sentit un courant d’excitation lui traverser le corps. Décidément ce type était une boîte à surprise. Le tenant toujours en main, je me penchai pour prendre la ceinture de son pantalon et le fouettai fortement sur ses grosses fesses molles. Il se contracta mais ma poigne sur ses couilles le ramenèrent à sa place. Il gémit mais il était toujours très excités. Je le frappai encore…et encore…son cul était à présent rouge et je commençais à prendre plaisir à l’humilier.

 » Tu aimes les petites chattes comme la mienne non??? » J’attendis sa réponse et comme elle ne venait pas…je serrai encore un peu afin de l’entendre couiner qu’il était un foutu pervers et qu’il méritait d’être puni! Cela me donna l’envie de lui donner ce qu’il voulait. Je lui ordonnai de demeurer ainsi sur son bureau, cul en l’air le temps que je cherchais quelque chose, puis finalement. Il gémissait toujours de la correction que je venais de lui donner et aussi probablement d’excitation…et je trouvai rapidement ce que je cherchais. Il y avait dans un des tiroirs un encreur pour le bingo. Je trouvais amusant l’idée de ce vieux bonhomme jouant au bingo avec de vieille matantes…et je me dis qu’il aurait maintenant un attachement fétish à cet encreur en particulier après mon entrevue…Je crachai à quatre ou cinq fois sur son anus, glissai l’encreur dans un condom que j’avais toujours à porté de main et j’enfonçai le gode improvisé dans son cul. La première réaction de Paul fut de tenter de s’échapper, mais j’avais repris en main sa bourse et il ne pu aller bien loin. Il couina comme un porc pendant que je faisais un mouvement de va-et-vient dans son cul. Je me sentais comme une déesse vengeresse pour toutes les pauvres femmes qui devaient endurer sans le vouloir de se faire enculer par des hommes trop cons pour comprendre la douleur que cela procure quand c’est mal fait!

Je le martelai ainsi pendant quelques minutes, sa queue qui avait tout d’abord perdu de la vigueur redevint soudainement dures et bien vigoureuse.  » Je savais que tu étais un porc Paul…un véritable porc! » J’abandonnai l’encreur entre ses fesses et me présentai devant lui.  » COuche toi sur le dos et relève les jambes… » Comme un bon garçon, et tout excité, il s’exécuta suant à grosses gouttes » Je montai sur le bureau à cheval sur son visage, mettant ma chatte humide, et ouverte près de ses lèvres. Je sentais son souffle court et chaud sur mon clito. Il planta sa langue sur ma chatte…mais je l’en dissuadai du pichenotte sur sa queue.  » Non, espèce de salaud…tu ne lèches pas… TU ne fais que la sentir pour le moment » Il avait peine à maintenir ses jambes en l’air mais il tenait bon, je bougeai peu à peu l’encreur dans son cul, le sentant respirer plus fort.  » Voilà, maintenant je veux que tu me lèches, bien fort. Il s’exécuta avec appétit. Il léchait, sa langue longue et pointue glissant entre mes lèvres, détachant mon unique petite lèvre pour pénétrer dans mon trou et goûter à ma cyprine. Son bassin faisait un mouvement de va et vient, le cochon voulait se faire défoncer…je lui donnai ce qu’il voulait continuant à l’enculer avec l’encreur. Sa queue battait frénétiquement sur son ventre, il était sur le point de jouir…

Je me libérai de son visage et glissai mon cul près de sa queue…J’eu à peine le temps qu’il touche de son gland la peau de mon anus dilaté qu’il éclata dessus dans un gémissement qui en disait long. Sans un mot je retournai à ma position initiale et lui imposai de lécher son dégât. Il me lappa l’anus avec tant de passion que je jouie sur lui à mon tour, le mouillant de la tête au pied. Une fois sa surprise passé,il me lécha de longue minutes, me faisant jouir de plus belle. Une fois bien nettoyé, je retirai d’un coup l’encreur des fesses de Paul qui couina une fois de plus.

Sans un mot nous nous sommes rhabiller, le frétillement des employés revenant de leur dîner était revenu. Je me demandais s’ils avaient entendus et dans un sens j’espérais que oui… Paul se tenait devant moi, le regard dans le vague, il avait dû s’essuyer avec ce qu’il avait trouvé et ressemblait à un gamin prit la main dans le sac.

 » Je…j’aimerais reprendre rendez-vous avec toi la semaine prochaine…! » Je hochai la tête!  » SI tu veux vraiment ce que tu as eu aujourd’hui, tu ferais mieux d’attendre un mois vieux salaud! » Je ressortis l’encreur du condom en le tenant du bout des doigts puis lui lançai.  » Tiens, souvenir! » Il resta là, bouche-bée alors que je sortais du bureau toujours en fouillit. NOtre petite baise avait foutu un sacré bordel dans les papiers et ceux qui étaient sur le bureau étaient trempés.

Je retrouvé Marc qui m’attendais près du métro Honoré-Beaugrand. Marc m’observa lorsque je montai dans la voiture.  » Il t’as pas trop fait mal le vieux? Crissy disait qu’il pouvait parfois être assez rough, il avait été avertit de plus frapper une fille mais des fois il s’essaie avec les nouvelles! » Je le gratifiai de mon plus beau sourire.  » T’es vraiment un bon gars Marc…il a été réglo avec moi. Je te jure que de pogner des clients comme ça juste avant de tomber dans ma semaine, c’est vraiment génial!!! » Marc ne paru pas comprendre ce que je voulais dire, mais je ne pouvais pas lui en vouloir, après tout, qui aurait cru que ce type revêche qui avait à l’occasion malmené des filles, pouvait s’être fait battre par une pute débutante??? »

Marc me ramena chez-moi, comme je l’avais appris, je lui demandais ce dont il avait envie. Comme à son habitude, il ne se montra pas trop gourmand. Marc était un sentimental et tout ce qu’il voulait de ma part était de lécher et sucer mes seins. Dans la voiture, j’ouvris ma blouse et glissai un des mes seins de son écrin rose fluo pour le présenter à Marc qui était couché sur mes genoux. À la manière d’allaiter un enfant, je tenais ce gros nounours attaché à ma mamelle, la lapant avidement, les yeux fermés comme un enfant. Doucement, sans lui proposer, je détachai d’une main habile son pantalon et prit en main sa petite queue ( vraiment petite vu la taille du gars, elle tenait entre mon pouce et mon index sur un fille on aurait dit un gros clitoris) puis le masturbai délicatement suivant le mouvement des têtés qui s’accélérais à présent. Quand il éjacula entre mes doigts, il se remonta le visage rouge d’émotion et me remercia. Je l’embrassai sur la joue, fatiguée mais heureuse de lui avoir fait plaisir puis montai à mon appartement. Deux comprimés plus tard, je sombrai dans un sommeil embrûmé et sans rêve.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire