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Une journaliste sous influence 

Une journaliste sous influence 



A sa sortie de l’école de journalisme, Nathalie fut immédiatement engagée comme reporter stagiaire dans une chaine d’information en continu.
A 23 ans, c’était une véritable chance pour elle d’apprendre le métier et peut être de gravir les échelons après embauche définitive.
Mais pour cela la jeune femme devait faire ses preuves….
Après quelques jours à faire de simples retranscriptions de dépêches d’agence et des cafés pour ses collègues, Nathalie fut convoquée un matin chez le rédacteur en chef. Pleine d’espoir, elle se présenta devant sa porte et toqua.
– Entrez. Ah c’est toi Nath, je t’attendais. » dit Jacques, le rédacteur en chef, une figure connue et respectée dans tout le journalisme.
Nathalie remarqua évidemment que Jacques l’avait immédiatement détaillée physiquement. La jeune journaliste savait qu’elle avait de quoi attirer le regard des hommes: cheveux blonds naturels, de beaux yeux verts dans un visage fin, une arrogante poitrine affichant fièrement son 95D sans besoin d’artifices, une taille fine et un fessier fort bien rebondi qui faisait tourner les têtes.
– Je t’ai fait venir parce que je pense qu’il est temps de t’envoyer sur le terrain pour t’aguerrir. Tu es un de nos espoirs, tu sais »
– Oh merci, Jacques » bredouilla Nathalie, ravie de pouvoir enfin montrer de quoi elle était capable.
– Ne me remercie pas. Bon je t’explique: je voudrais que tu fasses un petit reportage sur le milieu de la prostitution africaine à Paris. Il se raconte que de jeunes filles africaines, quelquefois mineures, sont forcées à se prostituer après avoir été emmenées en France sous prétexte de faire des ménages. Pas besoin de faire du travail de longue haleine ou de t’exposer: tu vas interviewer une représentante d’une associée qui travaille auprès des prostituées, tu montes ça, deux trois recherches internet pour étoffer et pour les images d’accompagnement on se servira de nos archives. OK? »
– OK, » dit Nathalie, qui masquait sa déception
Une fois sortie du bureau de Jacques elle ne put s’empêcher de ruminer. Tu parles d’une occasion de faire ses preuves! Un petit truc de rien du tout, dix minutes de discussion avec une ancienne pute, demi-heure dans la salle de montage pour deux minutes de diffusion à la fin du journal de vingt trois heures! Bonjour l’ambiance…
Le soir venu, Nathalie continuait à brasser de mauvaises pensées sous sa douche quand une idée lui vint: et si elle « approfondissait » le reportage? Et si elle « étoffait » son sujet en menant son enquête en free-lance? Elle pourrait alors présenter une enquête fouillée clés en main à Jacques qui, impressionné, l’embaucherait immédiatement!
Aussitôt dit, aussitôt fait: Nathalie prend un petit caméscope, un bloc notes et zou, direction les boulevards intérieurs de la capitale.
Mais sur le pas de la porte, la jeune femme se ravise. Habillée en jeans, pull et manteau, elle puait la journaliste (ou pire le flic) à deux cent mètres!
Il serait donc de bon aloi de s’habiller « couleur locale ». Nathalie fouille ses armoires et trouve une minijupe en cuir, un bustier à bretelles, des bas et des escarpins à talons hauts. Un petit tour dans la salle de bains pour s’habiller et se maquiller « comme une pute » et la journaliste peut contempler le résultat dans son miroir: une vraie pute en apprentissage… Nath remonte un peu son bustier pour mettre en valeur ses seins et la voilà partie.
Dix minutes de voiture plus tard, Nathalie se retrouve à l’orée du quartier des prostituées africaines. Soudainement une appréhension l’envahit. A t-elle bien raison de faire ça? C’est quand même dangereux, on ne sait pas comment vont réagir les filles, et puis il y a les clients, les souteneurs…
Mais Nathalie se reprend: « tu veux impressionner le rédac chef ou pas? » se dit elle à voix haute.
Et la voilà sur le trottoir à quelques mètres des premières filles. Nathalie prend son courage à deux mains et s’avance vers l’une d’elles et tente de nouer conversation. Peine perdue: la pauvre fille ne parle que sa langue d’origine, elle a juste un papier froissé sur lequel se trouvent ses prestations et ses tarifs.
Nathalie ne se démonte pas et avise une deuxième fille: Celle ci parle français mais se méfie de cette française blonde qui lui demande d’où elle vient, si elle a un mac, combien elle gagne.
– Qu’est ce que ça peut te faire? Et puis ne reste pas ici, le coin est malsain pour les petits culs blancs comme toi! » lui rétorqua finalement l’africaine avant de tourner les talons pour rejoindre une voiture qui venait de s’arrêter à sa hauteur.
Nathalie commence à se dire que son idée n’était peut être pas si bonne que ça et se dispose à retourner penaude à sa voiture quand d’une petite ruelle elle entend « pssst ».
Elle voit une ombre qui lui fait signe d’approcher. Le cœur de la journaliste se met à battre la chamade: C’est sa chance! Elle s’approche mais à peine a elle passé un bras dans la ruelle qu’elle sent deux bras l’agripper et l’attirer violemment vers l’obscurité.
Nath veut crier mais une grande main se porte à sa bouche et l’empêche de crier.
La jeune femme essaie de se débattre quand elle sent le contact froid d’une lame de couteau se poser sur sa gorge.
– Crie, débats toi et je t’égorge » lui dit le porteur du couteau avec un fort accent africain.
Nath analysa la situation. Elle était aux prises avec trois types, à priori africains, et visiblement peu amènes. La meilleure solution (la moins pire) était de suivre leurs instructions.
– Qu’est ce que tu fous là? » demanda le type qui tenait le couteau en enlevant sa main de la bouche de Nath
– Je….Je suis journaliste, je mène une enquête sur la prostitution » répondit elle
– Une journaliste? T’es plutôt bien gaulée pour une scribouillarde. Mais tu sais pas qu’il ne faut pas se mêler des affaires des autres? »
En disant ça, son interrogateur passait sa main sur ses seins et les palpait sans vergogne. Nath sentait que la situation lui échappait et devenait franchement dangereuse.
Mais elle était coincée….
Les deux autres agresseurs s’étaient joints au possesseur du couteau et commençaient à la tripoter, lui relevant sa jupe et infiltrant leurs doigts juste vers son string.
La journaliste subissait un tripotage en règle, ses seins, ses fesses, son minou étaient palpés, caressés. Celui qui la maintenait contre lui trahissait son excitation grandissante par la bosse qui déformait son pantalon, bosse que sentait très bien nath puisqu’elle appuyait sur la raie de ses fesses….
Résister n’était pas une option, avec ce couteau contre sa gorge, couteau qui descendit brusquement vers les bretelles de son bustier qui furent tranchées en un clin d’œil, laissant apparaître la poitrine de Nath
L’un d’eux finit par dire:
– Et si on emmenait cette fouineuse au calme pour lui apprendre? »
Un autre poursuivit:
– Ouais, surtout que vu les nibards qu’elle a, j’ai bien envie de m’amuser »
– Ok, mais il faut pas qu’elle ameute le quartier. Mets lui une dose de « docile »
Nath avait entendu parler de cette drogue pendant ses études. Elle servait à rendre les personnes qui en prenaient totalement dociles. Au départ réservée à une utilisation en milieu psychiatrique, elle avait ensuite été détournée et hantait le milieu interlope parisien. Nath savait ce que prendre ce truc signifiait. Jamais elle n’avalerait ça! Elle ferma sa bouche de toutes ses forces.
Mais les trois lascars avaient déjà rencontré ce type de résistance
– T’es pas la première a pas vouloir avaler, salope, t’inquiète on a la version à injecter! »
Deux lascars maintinrent les bras de Nath pendant que le troisième, lui tenant la tête, sortit de sa poche une seringue. Avec une dextérité étonnante, il dé-bouchonna le capuchon de l’aiguille et l’enfonça non pas dans son bras mais directement dans la carotide. Le type dit dans un rire mauvais:
– Voilà, comme ça elle sera vite sage!
Nath sentit en quelques secondes des engourdissements, et bientôt sa volonté s’échapper. Tout devenait flou dans son esprit. Les trois lascars sentirent qu’elle ne résistait plus à leur étreinte.
– C’est bon, on va pouvoir y aller, ressapons-la histoire de pas trop se faire remarquer »
Les bretelles de son bustier furent sommairement attachées derrière son cou histoire de cacher les seins de la jeune femme, la jupe rabaissée.
Ceci fait, les trois blacks se mirent en route, l’un deux tenant Nath par la taille comme si elle était sa petite amie. Les yeux dans le vague, sans volonté, totalement sous l’emprise de la drogue injectée, Nath suivait….
– C’est pas loin, mais faut faire gaffe » dit celui qui semblait le chef
– Putain, les keufs! » 
Au détour d’une rue, un fourgon de police procédait au contrôle d’un véhicule. Deux policiers dévisagèrent le petit groupe d’un air suspicieux. Le chef des lascars, qui tenait Nath par la taille, eut alors l’idée s’embrasser Nath à pleine bouche, fouillant sa langue. Sans s’en apercevoir, Nath répondit à ce baiser en mêlant sa langue avec celle du black. Ils passèrent sans encombre devant le fourgon. La dernière chance de sauvetage de Nath venait de passer….
Le groupe arriva prés d’un immeuble sordide du 19éme arrondissement et s’y engouffra. Après être descendu aux caves ils s’arrêtèrent dans une d’elles.
Sordide à souhait, elle comportait un vieux canapé, un petit frigo et plus inquiétant, une chaîne au bout de laquelle se trouvait un anneau pendait au milieu de la pièce.
– Nous voilà arrivés ma belle, ta nouvelle maison dit l’un des blacks Désapez moi cette pute » dit celui qui la tenait
Ce fut très rapide: ce qui restait du bustier fut découpé au couteau, la jupe fut quasiment arrachée, le string suivit de près la jupe. Nath se retrouva seulement vêtue de ses escarpins au milieu de la pièce.
Les trois blacks contemplaient leur prise: une superbe blanche blonde, fine, avec deux bons gros seins bien fermes et un cul à damner un saint.
Et surtout, soumise au moindre de leurs désirs jusqu’aux plus pervers…
Putain, qu’ils allaient bien s’amuser!
– T’as vu sa bouche? Elle doit sucer comme une reine! » dit le premier, nommé Abdou.
– Et ses nibards? Comme on doit être bien dedans! » dit le second, Souleymane.
– On se calme. Y a un potentiel énorme avec cette bannasse », dit le chef prénommé Moussa. « J’ai bien réfléchi durant le trajet, il me manque une petite blanche dans le cheptel, et je crois bien que j’ai trouvé ce qu’il me faut » dit il dans un large sourire. « Il va falloir la dresser, et vu que personne ne sait qu’elle est là, on a tout notre temps »
Moussa prit Nath, la fit mettre à genoux et lui présenta son sexe devant la bouche. Un gros sexe noir, 25cm, déjà dressé.
Sans même faire un geste de recul, Nath laissa la bite tendue s’introduire dans sa bouche, et commença sans s’en rendre compte un mouvement de va et vient de ses lèvres sur la verge du voyou. Moussa lui tenait les cheveux et imprimait le rythme
– Putain comme elle est trop bonne, sa langue m’entoure la bite, oh je sens que celle là elle sera pas trop dure à dresser, on va vite en faire une bonne petite pute
Au bout de quelques minutes de ce traitement, Moussa ne tarda pas à envoyer toute sa purée dans la bouche de Nath, qui avala toute la semence sans broncher.
Moussa se rajusta et dit à Abdou et Souleymane:
– Bon les mecs, je dois sortir. J’ai à faire pour la suite. Occupez vous bien d’elle pendant mon absence. Ne me l’abîmez pas. Vous pouvez lui remettre un « shoot » de came pour qu’elle se tienne tranquille. Pas trop, sinon c’est l’overdose. »
– Allez » dit Abdou « moi j’en peux plus j’ai la bite qui va exploser. Il faut que je la baise comme une chienne qu’elle est
– Et moi donc » renchérit Souleymane
Les deux voyous se déshabillèrent, préparèrent un « shoot » qu’ils administrèrent à Nath directement dans la carotide, pour un effet plus rapide. Puis ils lièrent les mains de la jeune femme avec une corde et la suspendirent à l’anneau de la chaine qui trônait au milieu de la cave.
Quel spectacle s’offrait à eux: une magnifique blonde à gros seins, entièrement nue, attachée au milieu d’une cave, et soumise aux derniers outrages…
Les deux blacks ne tardèrent pas à se jeter sur Nath pour profiter d’elle. Plus rapide, Abdou prit possession de ses seins qu’il léchait comme un fou tout en soulevant les fines jambes de Nath pour darder son sexe dans son minou.
Souleymane, lui, se plaça derrière la jeune femme et , sans autre forme de procès, entreprit de la sodomiser d’importance.
Ainsi doublement pénétrée par deux gros sexes noirs, sans pouvoir se défendre, Nath commençait tout de même à ressentir les premières chaleurs de plaisir venant de ces pénétrations sauvages.
Elle commença à haleter, de plus en plus fort, provoquant chez les deux blacks une excitation décuplée qui se traduisait par des coups de bite de plus en plus puissants.
Au bout de dix à quinze minutes de ce sexe bestial, et d’au moins deux orgasmes de la part de Nath, les deux blacks se vidèrent presque en même temps dans la chatte et dans l’anus de Nath, dans de longs râles de plaisir.
Ils se retirèrent pour profiter de la scène: Attachée, pantelante, ravagée par les orgasmes, l’anus et la chatte de la jeune femme dégoulinaient de sperme africain, qui tombait à belles gouttes sur le sol de la cave.
– La vache que c’était bon. Elle est trop bonne cette salope » dit Souleymane
– C’est clair renchérit Abdou elle est tellement excitante que j’ai déjà envie de recommencer. Grouillons avant le retour de Moussa! »
– Désolé les mecs, mais il va falloir partager un peu! » intervint Moussa qui venait d’arriver sur le pas de la porte.
Moussa n’était pas venu tout seul. Il avait rameuté cinq hommes de sa bande. Évidemment tous noirs d’ébène et fort intéressés par la possession d’une jeune oie blanche soumise à toutes leurs perversions. Il y avait aussi un homme d’un certain age, habillé d’un boubou, quine disait pas un mot mais fixait étrangement Nath.
Il s’approcha d’elle, et avec un ciseau coupa une mèche de ses longs cheveux. Puis, sans un mot, il se plaça au fond de la cave.
– Amusez vous dit Moussa à ces types . Il faut la dresser mais sans l’abimer »
Sur ce, il s’installa au fond de la cave avec l’étrange black au boubou pour profiter du spectacle.
Les types de sa bande ne tardèrent pas à s’approcher de la jeune femme et commencèrent par la caresser. Dix mains tripotaient ses seins, ses fesses, s’insinuant dans la raie jusque dans son anus. D’autres mains s’enhardissaient vers son pubis et bientôt, deux doigts furent introduits dans la chatte encore gluante de sperme.
L’un des blacks embrassa Nath à pleine bouche, sans que celle ci fasse le moindre geste pour se défendre, bien au contraire.
Un autre black, placé derrière elle, attendit la fin du baiser pour introduire deux de ses doigts dans la bouche de Nath et constata avec le plus grand plaisir que la jeune femme les suçait comme s’il s’agissait d’une bite!
– J’en peux plus » dit l’un des blacks « défonçons la comme elle le mérite
Nath fut détachée et emmenée sur le vieux canapé. Les cinq blacks se déshabillèrent et lui présentèrent leur bite pour se faire sucer.
Comme dans un rêve, la jeune femme se retrouva au centre d’une scène qu’on ne voyait habituellement que dans les films pornos un peu crades: à quatre pattes, le cul offert, elle suçait une et parfois deux bites en même temps, pendant qu’elle branlait une bite dans chaque main. Pendant ce temps, un black placé derrière elle lui ramonait consciencieusement la chatte avant d’exploser dedans.
Chaque black qui s’était ainsi fait sucer prenait la place de celui qui venait d’éjaculer dans la chatte de Nath pour venir s’y soulager les couilles à son tour.
Le dernier lascar préféra juter dans sa bouche et la voir avaler sa semence.
Chaque membre de la bande vidé, Moussa s’approcha de Nath avec l’étrange homme au boubou. Encore secouée du gang bang qu’elle vient de subir, la chatte débordante de sperme, un goût aigre dans la bouche, elle entend à peine l’homme faire des incantations dans sa langue. Puis il place une sorte de grigri sur le front de Nath tout en continuant ses incantations. Puis son affaire finie, il donna le talisman à Moussa et s’en alla. Celui ci s’approcha de Nath et lui dit:
– Maintenant, tu es en mon pouvoir, tu feras tout ce que je te dirai de faire, tu porteras les habits que je t’aurai dit de porter, tu coucheras avec qui je te dirai de coucher! A partir de maintenant, tu es mon esclave, petite blanche! »
Comme une automate, sans volonté, Nath répondit:
– Oui, maître, je ferai tout ce que vous voudrez »
– Bien, ma petite salope » répondit Moussa « on va te ramener chez toi, et demain soir je viendrai te chercher pour bosser. Habille toi sexy, il faudra rameuter le client! »
– Oui, maître »
– Et dis moi, t’aurais pas une copine aussi bien gaulée que toi que je pourrais mettre au turbin après l’avoir « dressée » »
– Oui, maître, mon amie Claire est très belle, elle vous plaira »
– J ‘espère bien! Allez Abdou, ramène la chez elle »
Nath fut rhabillée sommairement avec une djellaba qui traînait et conduite par Abdou à sa voiture. Celui ci la conduisit vers son domicile non sans s’être copieusement fait sucer par Nath durant le trajet. Abdou n’ayant pas joui en route, Nath dut terminer sa besogne dans la voiture garée au pied de son immeuble.
Au bout de quelques minutes, ayant avalé son énième jet de sperme, elle put regagner son appartement, non avoir reçu les consignes de son maître:
– Tu appelles ta copine et tu lui dis de passer demain soir chez toi. On l’attendra pour lui faire passer la soirée la plus inoubliable de sa vie! »
Nath dormit jusqu’au début de l’après midi, épuisée par l’orgie qu’elle avait du endurer toute la nuit précédente .
Mais dès son réveil, une seule chose hantait son esprit: obéir au maître.
Elle prit son téléphone et composa le numéro de Claire, sa meilleure copine.
– Allo? »
– Allo, Claire? C’est Nath. »
– Nath, je suis contente de t’entendre, depuis le temps! Comment va?
– Bien. J’ai mille choses à te dire et à te montrer. Tu pourrais passer chez moi ce soir? »
– Après le boulot, sans problème. »
– A ce soir alors »
Dés qu’elle eut quitté Claire, Nath téléphona à Moussa:
– Maître, c’est fait, elle viendra ce soir. »
– Bien, petite chienne. Nous serons là vers 17 heures, tiens toi prête »
Nath se prépara, conformément aux instructions de son maître, elle se vêtit seulement d’une courte robe noire décolletée, sans aucun dessous.
A 17 heures, Moussa sonna à la porte. Il était accompagné de quatre complices et de ce fameux vieil homme âgé, toujours en djellaba.
– Bonjour, esclave, je vois que tu as suivi mes instructions » dit il en flattant la croupe de Nath, qui trahissait son absence de lingerie. « Fais donc plaisir à mes amis en attendant que ta copine arrive.
Moussa alla dans le frigo pour se servir un rafraîchissement pendant que les quatre lascars qui s’étaient immédiatement rapprochés de Nath, n’avaient pas perdu de temps: ses seins empoignés, sa robe roulée sur sa taille, elle avait déjà une bite dans la bouche pendant qu’un autre, profitant de sa fente offerte, y introduisait déjà son gland.
Pendant ce temps, sa journée de travail terminée, Claire terminait de se préparer chez elle. Pour aller voir son amie, elle s’habillait très simplement: un pull fin, un pantalon.
Avant d’enfiler son manteau pour partir, elle jeta un coup d’œil dans la glace.
Elle était quand même pas mal, se dit elle: 23 ans, les cheveux auburn tombant sur les épaules, des yeux bleus, une poitrine qui, sans être aussi grosse que celle de sa copine Nath, arborait tout de même fièrement son 90C, et un petit fessier fort joli à regarder.
« C’est quand même un monde que je n’ai pas de mec » se dit elle à voix haute.
Après un soupir, Claire enfila un manteau et se mit en route pour l’appartement de Nath.
Chez Nath, la fête continuait, et la jeune femme était au centre des attentions.
Elle chevauchait un des blacks qui s’était assis dans le canapé pendant qu’un autre, debout, lui baisait la bouche.
Un autre voyou s’approcha:
– Eh les mecs, y a encore de la place pour moi! ».
Il se positionna derrière Nath et entreprit de lui introduire son imposant membre dans l’anus. Curieusement, la grosse verge n’eut aucun mal à entrer…
Moussa, assis sur le canapé d’en face, se délectait du spectacle qui lui était offert: Nath, sa superbe esclave blanche, se faisait triple pénétrer par ses sbires, le tout accompagné de râles de plaisir qui ne laissaient aucun doute quand à ce que Nath ressentait!
Au bout de cinq minutes de ce traitement, Nath ne tarda pas à crier son plaisir, accompagnée de ses trois baiseurs qui éjaculèrent presque en même temps en elle.
Les trois hommes se relevèrent et partirent se chercher à boire, laissant Nath récupérer de ses orgasmes dans le canapé, et vider quelque peu ses orifices du sperme qui les remplissait.
Moussa, qui n’avait pas perdu une miette du spectacle, éclata de rire:
– Eh bien, ma poulette, on peut dire qu’ils ne te ménagent pas! Ne t’inquiète pas, quand ta copine sera là, vous serez deux pour tous nous éponger! »
Il avait à peine dit ces mots que l’interphone sonna.
– Va répondre, esclave. Si c’est ta copine, fais la monter. »
Avec difficultés, Nath se leva et répondit
– Oui? Ah Claire, monte je t’ouvre »
Moussa aboya:
– Vous autres, planquez vous et attendez que je vous appelle! Toi, esclave, enfile ta robe et réponds lui. Tu diras que je suis un ami et que Mamadou (le sorcier qui ne disait pas un mot) est mon père »
Nath ramassa la robe noire qu’elle avait mis en début d’après midi. Elle était froissée et tachée par endroits de sperme. Certains de ses baiseurs s’en étaient servi comme d’une serviette. Elle la renfila et se présenta à la porte où arrivait Claire.
– Bonsoir ma chérie comment vas tu? » dit Claire en se penchant pour l’embrasser.
Tout de suite, Claire sentit que quelque chose n’allait pas: Nath était habillée avec une robe noire tachée et qui sentait le sperme! De plus en l’embrassant, elle avait senti une matière gluante sur sa joue.
– Ca va très bien, merci, viens que je te présente: voici Moussa, un ami et Mamadou, son père »
– Ravi de faire votre connaissance »
Claire ressentait un malaise devant le regard et le sourire entendu des deux hommes. Comme s’ils complotaient…
Claire s’assit sur le canapé en face des deux hommes qui la regardaient avidement. Elle ne pouvait réprimer sa gêne de se voir ainsi détaillée par ces deux types somme toute pas très rassurants.
« Où Nath a t’elle bien pu dénicher des amis pareils? » se dit elle.
Elle croisa le regard de Mamadou, le sorcier, qui la fixait intensément.
A peine eut elle croisé le regard du vieil homme qu’elle n’arriva plus à s’en détacher. C’est comme s’il arrivait à entrer dans son esprit.
Et dans les faits c’est exactement ce qui se passait. Mamadou força Claire avec une facilité et une rapidité déconcertantes.
– Tu n’obéis qu’à ma voix, tu es maintenant sous mon emprise. Ton corps m’appartient. A tu compris? »
– Oui » répondit Claire, les yeux dans le vague, comme une automate.
Moussa, qui n’avait pas perdu une miette de la scène, éclata de rire.
– Bien! Nous allons pouvoir nous amuser. Vous pouvez sortir vous autres! Où es tu, esclave? »
Moussa se leva et alla à la cuisine où s’était rendue Nath pour chercher des rafraîchissements. Seulement un des complices de Moussa s’était caché dans la cuisine et avait profité de l’arrivée de la belle blonde pour se payer une petite tranche de chatte blanche pour lui seul.
Nath était assise sur le plan de travail, la robe relevée, les cuisses écartées, le black en train de la pistonner comme un malade. Ses gros seins sortis de la robe étaient littéralement tétés par le type.
– Putain, mais tu fais quoi là » aboya Moussa
– Pardon chef, mais elle est trop bonne, ça me rend fou les blondes à gros seins! » s’excusa le baiseur de Nath.
– Bon ça va finis la et après emmène la dans le salon. On va s’occuper de l’autre »
Le black reprit ses coups de bite furieux dans la chatte de Nath tandis que Moussa retournait au salon.
Là, Claire était debout au milieu d’une assistance très attentive. Mamadou donnait ses directives à celle qui n’écoutait que sa voix.
– Déshabille toi »
Claire tomba son pantalon et abandonna pull, chemise et soutien gorge. son shorty rouge suivit vite le même chemin. Elle était maintenant nue au centre de cette horde avide de sexe qui ne pensait plus qu’à exploser ce petit cul blanc bien soumis.
Trois blacks la menèrent vers la chambre à coucher et commencèrent à caresser ses seins, ses fesses, sa vulve. L’un d’eux enfonça sa langue dans la bouche de Claire. Ce traitement ne tarda pas à faire de l’effet sur la jeune femme qui commença à mouiller.
– Bien, elle commence à mouiller cette petite chienne, ça lui plaît, on va bien la défoncer comme elle le mérite » lança l’un des blacks.
Il s’allongea sur le lit, nu et guida Claire qui vint doucement s’empaler sur son phallus, sans aucune difficulté. Le voyou commença de profonds va et vient dans le vagin ainsi conquis. Claire, qui n’avait plus fait l’amour depuis quelques temps, ne tarda pas à trahir son plaisir par quelques gémissements
Au bout de deux minutes de ce traitement, son baiseur apostropha les deux autres blacks, qui se contentaient de mater en se branlant
– Allez les mecs, venez! Elle est chaude comme on l’aime, elle en veut »
L’un se plaça face au visage de Claire, empoigna ses cheveux et introduisit son membre gonflé dans sa bouche, manquant de l’étouffer tellement il s’enfonça profondément. Après un haut le cœur, Claire commença sa fellation.
L’autre, comme à la parade, vint remplir un peu plus le vagin de Claire. L’entrée d’une bite de plus en elle la fit tressaillir mais la douleur de la pénétration initiale laissa bientôt place à un intense plaisir dû aux va et vient des deux hommes.
Dans le salon, Moussa vit revenir Nath, enfin libérée de la cuisine par son partenaire empressé mais au vagin copieusement rempli de ses œuvres! A chaque pas qu’elle faisait en direction de Moussa, Nath laissait échapper de son minou une goutte de foutre qui s’écrasait sur le carrelage.
– Allez viens là ma belle, tu vas nous faire plaisir à moi et à Mamadou »
Les deux hommes, placés cote à cote, présentèrent leurs sexes à Nath qui se mit à genoux pour offrir une caresse buccale à ses deux suborneurs. Elle commença par lécher les glands de chacun puis poursuivit par une fellation alternée des plus professionnelle.
Celui qui n’était pas sucé était branlé pour le maintenir « en forme ».
– Putain, mais c’est une vraie pro cette petite! » dit Moussa dans un râle.
– Celle d’à coté n’a pas l’air mal non plus »
Dans la chambre à coucher, on entendait les cris de plaisir de Claire qui se faisaient de plus en plus forts et de plus en plus rapprochés. Ses trois baiseurs ne lui laissaient aucun répit et la pilonnaient comme des malades en lui lançant des paroles salaces:
– Ca te plaît de te faire troncher comme ça, hein?. Sous tes airs bien respectables, t’es qu’une pute qui veut des bites bien noires! »
Celui qui se faisait sucer lui baisait carrément la bouche, tenant sa tête des deux mains, lui enfonçant sa bite au fond de la gorge.
L’un des deux autres blacks était passé de son minou à son anus, qu’il investissait avec rage.
Au bout de cinq minutes de ce traitement intensif, les trois blacks n’y tinrent plus et lâchèrent leur semence en Claire, comme pour bien affirmer leur possession.
Puis, sans même lui jeter un regard, ils allèrent se doucher, laissant Claire pantelante mais repue de sexe sur le lit, les orifices dégorgeant le sperme.
Nath, de son coté, après avoir épongé Moussa et Mamadou, faisait une cravate de notaire à Moussa, jamais rassasié. Il finit par éjaculer copieusement sur les seins de la jeune femme.
Au petit matin, l’appartement de Nath offrait un visage peu commun: deux jeunes femmes nues, épuisées par une nuit de débauche, collantes de sperme séché, dormaient dans le lit, des canettes de bière et des vêtements féminins jonchaient le salon.
Moussa avait congédié ses quatre acolytes ainsi que Mamadou, à qui il avait auparavant demandé de rompre le sort qui envoûtait les deux femmes. Puis il attendit patiemment leur réveil, qui intervint en milieu d’après midi.
Nath se réveilla la première, encore toute endolorie de ce qu’elle avait subi.
– Oh la la, j’ai mal partout »
Claire ouvrit les yeux presque aussitôt après
– J’ai l’impression de sortir d’un mauvais rêve »
– Ce n’était pas un rêve » intervint Moussa.
– Comment osez vous être encore ici, avec ce que vous nous avez fait subir! » cria Claire.
– Si je suis ici c’est pour vous proposer quelque chose. Et pour montrer ma bonne volonté, j’ai fait rompre le sort qui vous envoûtait toutes deux. Si je l’avais voulu, vous seriez encore mes petites esclaves obéissantes »
– Que voulez vous? » demanda Nath.
– J’ai un job à vous proposer. Vous êtes toutes deux de fort jolies jeunes femmes et vous plaisez beaucoup aux hommes. Or je connais des hommes qui paieraient très cher pour passer un moment ou une nuit avec l’une ou l’autre d’entre vous…. »
– Si ce que vous nous proposez c’est faire le tapin, vous pouvez tout de suite partir » coupa Nath.
– Pas du tout. C’est beaucoup mieux. Il y a beaucoup de diplomates ou d’hommes d’affaires africains qui viennent pour affaires à Paris et qui désirent passer de bons moments en compagnie de jolies occidentales comme vous. Ils paient très bien. En ma qualité d’intermédiaire je ne prendrai que 20% de commission, le reste vous reviendra entièrement. De ce que j’ai vu, vous pourriez sans trop vous fatiguer et en prenant du plaisir gagner jusqu’à 20.000 euros par mois! Réfléchissez y, je vous laisse mon numéro, si ça vous intéresse, contactez moi » conclut Moussa dans un grand sourire avant de partir.
Les deux jeunes femmes se regardèrent, interdites. Elles se douchèrent puis se quittèrent sans dire un mot de l’aventure qu’elles venaient de vivre.
Finalement, Claire ne donna pas suite à la proposition de Moussa. Néanmoins son comportement amoureux changea. Elle se mit à fréquenter les boites antillaises où elle rencontra son nouveau petit copain, comme par hasard noir d’ébène. Elle était devenue véritablement affamée de sexe, si bien qu’un jour son copain la trouva en train de se faire sauter dans tous les trous par une bonne partie de ses équipiers au foot. Inutile de préciser que tous étaient blacks.
Nath, après une période de réflexion, trouva que finalement ce serait dommage qu’un corps comme le sien ne soit pas exploité à sa juste valeur. Elle rappela Moussa pour accepter sa proposition. Elle démissionna de son poste de journaliste et devint donc escort girl spécialisée dans l’accompagnement de riches africains en goguette. Ses gros seins, ses jambes fines, son fessier rebondi et surtout ses talents amoureux (ses performances de suceuse devinrent très connues) lui assurèrent une clientèle fidèle et surtout très généreuse…

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