‘Hum, je crois que c’est notre dessert qui arrive, ma belle !’
déclara, réjouie Noémie. Cochon sorti de ses cuisses et se précipita tant que mal du haut de ses mules vers la porte.
Une belle jeune femme se tenait sur le seuil. Sa tenue en blazer à épaulettes, pantalon moulant et bottes à talons tout en orange indiquait qu’elle était livreuse de la maison comme indiquée sur sa casquette ‘Gyn chez vous’.
Elle tenait d’une main gantée orange également, deux laisses et de l’autre son bon de livraison numérique.
‘Bien le bonjour ! Je dois déposer chez Melle Angèle ces 2 colis. Laissez-moi votre empreinte ici s’il vous plait’
Automatiquement j’appuyais sur l’écran de mon index. J’étais encore grisée des verres de vins et de la langue asservie du chiot qui m’avait suivi et léchait à nouveau mes talons.
Noémie plus habituée et ces situations pris les laisses que la jeune femme me tendait.
‘Excusez moi Mesdames, mais nous devons vérifier ensemble le bon état des colis’
‘Bien sûr, répondit Noémie, rentrez donc, nous allons voir ça ensemble’
La jeune femme avança en jetant un coup de bottes dans le ventre de B65 qui se trouvait dans le passage. Elle fit rentrer les deux colis.
Je me remettais de ma surprise en admirant les nouveaux venus.
‘Oh Noémie, tu es folle ! Comment ça a pu coûter à tes homminaux ?’
‘Allé, ma belle, ne discute pas. Ca va te changer les idées ! Regardes moi ça, ça nous change ‘
Elle avait posé une main caressante sur les leggings blanc tendu par un fessier rond et musclé du premier colis
‘Mesdames s’il vous plait !’
‘Excusez nous mademoiselle, mais ils ont l’air en forme’ Noémie me faisait penser à une enfant devant ses nouveaux jouets de Noël.
La jeune femme lança cette fois un coup appuyé du talon dans la nuque du chiot qui tendait déjà sa langue. Il se recula vivement pour se cacher à nouveau derrière mes bottes.
Elle nous récapitula le mode d’emploi de ces deux sex-boys, en les débarrassant de leur trench-coat sans manche en pvc transparents les protégeant du froid et de la pluie.
Leur bras croisés et noués dans le dos, devaient bien-sûr par mesure de sécurité rester en place, ainsi que la cagoule épaisse ornée du manchon fileté au niveau de la bouche qui ne leur laissait que deux trous de respirations. De toute façon une multitude de cadenas condamnaient le tout. Il faut dire que ces sex-boys étaient excitants de muscles.
Ils mesuraient tous les deux 1.90 et pesaient tout juste moins de 100 kilos, nous apprit-elle.
Ils avaient été sélectionnés dès la pré adolescence pour leurs capacités athlétiques, exactement comme l’on fait pour sélectionner les étalons hominaux (destinés pour les fermes de reproductions, fournissant la main d’œuvre pour les usines) mais ceux-ci avaient été élevés en batterie de masturbateurs. Elle nous expliquait dans le détail comment dès la puberté ces sex boys étaient masturbés en machine continuellement. Plus ils tenaient longtemps, plus leur nourriture était sucrée et raffinée.
La moindre éjaculation leur occasionnait une décharge électrique dans les couilles. Au bout de plusieurs années de conditionnement, ces sex-boys pouvaient forniquer pendant une heure complète sans faiblir en vigueur ou en rythme et sans jouir. Leur seule motivation dans leur vie était de forniquer.
Leur corps était conditionné à vie.
La jeune femme continuait de nous décrire en détail les caractéristiques croustillantes de ces deux brutes qui attendaient qu’on les utilise.
La peau de leur sexe avec ce traitement assidu était devenue si épaisse qu’ils ne prenaient leur plaisir que lorsqu’on les prenait en bouche pour affoler leur gland. Nous nous regardâmes avec Noémie et éclatèrent de rire.
La jeune femme avait baissé leurs leggins sur leur cheville pour montrer la qualité de sa livraison.
Elle ouvrait les deux cages métalliques de bonne dimension. (Un cadenas était inutile avec leur bras dans le dos) Les deux bites gonflèrent aussitôt et montèrent au ciel.
‘Vous voyez comme ils sont nerveux tout à coup. Ils ne nous voient pas et ne nous entendent même pas, vue l’épaisseur du cuir de leur cagoules.’
Elle marqua une pause théâtrale et nous regarda l’une après l’autre :
‘Ils nous sentent mesdames ! Leur odorat, conditionné dès l’enfance aux effluves Féminines, est si développé qu’il peut savoir qu’il y a trois femmes dans cette pièce’
En effet ils trépignaient et on voyait leur cagoule se gonfler sous leur souffle, leur sexe était impressionnant tant les veines nombreuses et épaisses étaient gonflées et leur gland tout violacé.
La scène me faisait penser à des cerfs en rut au milieu d’une clairière où paissaient des biches.
J’avais maintenant hâte d’essayer le cadeau de Noémie !
L’hôtesse nous laissa ses dernières instructions d’utilisation et s’en alla.
Je tirais rapidement mon sex-boy par la laisse reliée au niveau du bâillon de sa cagoule. J’ordonnais à Cochon de nous suivre.
Noémie s’installa dans le salon avec le sien et son chiot. B65 restait à la cuisine pour nettoyer la maison.
Je m’allongeais en travers du lit, les cuisses écartées, bottes sur le matelas. Cochon se dirigeait instinctivement vers ma chatte mais je lui fis signe de se retourner.
Je tirais la chaine du sex-boy aveugle d’un coup sec et j’indiquais à Cochon de sucer l’épaisse queue qui pointait devant lui. Mon pauvre Cochon n’arrivait qu’à accueillir le gland entre ses lèvres dilatées.
La brute ahanait et donnait des coups de reins bestiaux qui faisaient reculer Cochon.
J’étais déjà trempé en voyant cette scène, mais j’indiquais à cochon de me lécher en retour. Je l’arrêtais rapidement …
Je me retournais et me plaçais à quatre pattes sur le lit.
Je reculais jusqu’à sentir une paire de couille gonflée se presser sur ma croupe. J’attrapais la queue qui pointait au ciel. Ma main ne faisait pas le tour. Effectivement la peau gonflée de veines était râpeuse et épaisse comme l’avait précisé la livreuse. Malgré la taille imposante, la bite entra sans soucis dans ma chatte trempée.
Mais les derniers centimètres furent mémorables de sensation.
Mon souffle s’était arrêté, la bite avançait encore et s’élargissait.
Le sex boy commença ses vas et viens en douceur. Ma chatte ruisselait et j’ordonnais à Cochon de boire mon jus sous moi.
La bite entière finit par me ravager le sexe. Ses couilles tapaient sur mon cul généreux. La brute prenait son rythme et me ramonait de ses vingt centimètres.
Le lit reculait, j’étais projetée en avant à chaque coup de rein. Je criais et j’entendais Noémie à travers le mur.
Je jouissais plusieurs fois.
La brute ralentissait alors le rythme, puis reprenait ses coups de reins avec son pieu.
Je finis par m’écrouler son lit, tremblante, anéantie.
Noémie hurlait encore.
La brute en sueur, les cuisses et le torse ruisselants, le sexe gonflé de désir, attendait la reprise.
Je n’en pouvais plus. J’indiquais alors à Cochon du doigt la bite. Me regardant de son regard de cocker, il la prit finalement entre sa main et lécha timidement le dard.
Le sex boy, d’un mouvement expert du bassin força les lèvres de Cochon et pénétra littéralement sa bouche. Je maintins alors sa tête entre mes mains. Cochon se faisait baiser la bouche par la brute. Son sexe butait contre les dents de Cochon et reculait à nouveau dans une frénésie nouvelle.
Cochon étouffait, crachait, bavait, essayait de repousser les cuisses gigantesques du sex toy qui accélérait encore le rythme.
Je dus me tourner et placer mes cuisses de chaque côté du dos de Cochon. Le sex boy nous poussait tous les deux de ses coups. Les canines marquaient la bite, faisant office de butée.
Le sex boy gémissait dans sa cagoule étanche.
Il baisait la gorge de Cochon qui bavait à grands flots. Cochon prenait une bouffée d’air entre chaque défonçage violent.
La scène m’excitait follement, les soubresauts résonnaient dans tous mon corps. Voir cette bite monstrueuse entrer et sortir de ces lèvres écartelées était affolant.
Je murmurais dans l’oreille de mon Homminal :
‘Comme il aime ta bouche. Comme il te baise. Comme il te défonce. Ecoutes le râler, tu vas recevoir tout son sperme au fond de ta gorge !
Mon homminal n’en pouvait plus, coincé entre mon corps et mes cuisses, la tête entre mes mains. Ses mains étaient toujours crispées sur les cuisses saillantes pour tenter vainement de repousser son amant infatigable. Sa bouche n’était qu’un trou baveux défoncé à grands coups de reins.
Des flots de salive immonde coulaient sur son torse et sa culotte PVC. Le grand homminal râlait dans sa cagoule.
‘Ah je crois que ta bouche lui plait beaucoup ! Mais oui, c’est sûr, tu le fais jouir, écoutes ! Il va tout cracher ! Attention ne perd pas une goutte, sinon j’appelle son compagnon pour qu’il s’occupe de ton cul ‘
En effet la bite se cabra, les abdos et les cuisses se contractèrent et un cri étouffé retentit dans la cagoule.
Je bloquais comme je pouvais la tête de Cochon qui voulait reculer.
Cochon eu un spasme et tenta de cracher, mais la bite prenait tout la place entre ses dents.
Un flot de bulles fut refoulé par la bouche et le nez.
L’éjaculation était longue et riche en sperme, vu les flots de mousse qui s’échappaient de ce pauvre Cochon, couvert de sperme, qui étouffait et se débattait. Ses yeux pleuraient, son visage était rouge et gluant.
La bite s’écarta et libéra le trop plein visqueux qui coula sur son torse. Cochon reprenait sa respiration, son vieux cœur n’était pas loin de lâcher.
‘Bravo, mon cochon, tu vois, tu as encore de la ressource. ‘
Je pris la grosse bite gluante entre ma petite main et m’en servais comme d’un pinceau pour tartiner les dernières gouttes de sperme dans les cheveux de Cochon.
‘Bon tu vas me nettoyer tout ça, vieux pervers. On doit rendre ces deux sex boys en état. Dépêches toi de nettoyer cette bite avec ta langue, avant qu’il ne redemande ta bouche de salope’
Cochon ne me jeta même pas un regard de dépit et pris la bite lourde qui retombait mollement entre ses mains et lapa les couilles et la bite sous mes encouragements.
‘Alors les amoureux, on fait durer le plaisir ?’
C’était Noémie, en lingerie, les cheveux trempés de sueur qui se tenait dans le pas de porte, son chiot à 4 pattes entre ses jambes.
‘Pas mal non ? Ca nous ferait presque regretter des bons coups de bites, non Angèle ?’
‘Hum je ne crois pas non !’
Je repoussais Cochon d’un coup de talon dans la nuque, m’allongeais sur le dos et plantais mes talons aiguilles dans le matelas du lit, les cuisses écartées.
‘Alors tu me le prêtes, ton chiot, j’ai besoin d’un bonne toilette servile !’
D’un grand éclat de rire, Noémie lâcha la laisse du chiot qui se précipita entre mes cuisses.
Noémie prit la même position à mes côtés et tira Cochon, épuisé, par une oreille pour l’amener au Graal.
Les deux sex boys se tenaient immobiles, attendant une instruction.
Hors mis les coups de langues et nos gémissements de plaisir, nous n’entendions que les bruit de vaisselle de B65, assidu à ses tâches domestiques.
Mais ne soyons pas naïves, sa cage devait être douloureusement remplie d’une petite bite molle et excitée d’avoir entendu nos cris de plaisir.
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Hum quel rêve, j’ai fait là encore une fois !!
Est-ce que l’avenir de la Femme prendra t-il cette forme dans quelques années. Vivement !
Je me sens toute excitée.
Et vous, vous avez aimé ???
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