Quelques jours passent depuis que Sylvie s’est faite baisée par oncle Georges. Elle ne reçoit aucune nouvelle de moi.
Je rentre du travail, Sophie ma femme, la sœur de Sylvie est là. Elle vient de déposer notre fils chez ses parents. C’est une habitude que nous avons prise quand Sophie est de congés pour plusieurs jours suite à ses vacations dans la clinique où elle travaille. Ça nous permet d’avoir un peu d’intimité… Elle m’interroge :
• Tu savais que Sylvie avait largué Laurent son copain ?
• Non. Tu sais pourquoi ?
• Elle m’a dit qu’il ne pensait qu’à jouer avec sa console et la délaissait physiquement. Ça n’a pas l’air de la déranger. J’ai l’impression qu’elle est amoureuse de toi !
• Tu déconnes ?
• Non. Pourquoi elle ne te plait pas ?
• Là n’est pas la question ! C’est toi que j’aime, pas ta sœur !
Je m’approche d’elle, me colle à ses fesses et j’empaume ses deux seins. Elle m’a fait bander rien qu’à cette évocation. Elle le sent immédiatement.
• Il n’empêche que tu bandes quand je te parle d’elle ! Je suis sûr que tu aimerais lui faire l’amour. Je me trompe ?
• C’est toi qui me fais bander pas une autre !
• Elle est seule maintenant et crois-moi elle aime le sexe et ça lui manque. Je le sais, je suis sa sœur et elle me l’a dit. Si je la fais venir à la maison tu voudras bien nous baiser toutes les deux ? C’est moi qui te le demande… On s’occupera bien de toi et vice-versa. Je suis sure qu’elle aimera ta grosse bite !
Ces mots prononcés accentuent mon érection et j’ai une folle envie d’elle. Je dégrafe sa jupe qui tombe à terre. Je la retourne pour la mettre face à moi. Je la soulève par les fesses et je m’emmanche dans sa foufoune d’une seule poussée. La tension est tellement forte que nous jouissons à l’unisson en quelques secondes. Nous reprenons nos esprits et notre conversation reprend où nous en étions quelques minutes auparavant.
• Je n’ai pas bien compris. Tu veux vraiment que nous formions un couple à trois ? Tu n’as pas peur que ça brise notre couple ?
• Non ça ne brisera pas notre couple parce que je suis sure que Sylvie a besoin d’être dominée sexuellement et dans ce cas-là nous serons tous les deux ses maitres à égalité.
• Je n’aurais jamais pensé que tu veuilles en venir là, mais ça me plait uniquement si tu es d’accord ?
• Je suis d’accord !
• Je me dois de t’avouer qu’en fait Sylvie est ma soumise depuis maintenant quelques semaines.
Et je lui raconte toute la genèse de l’histoire. Elle me laisse terminer jusqu’au bout. Ses yeux brillent.
• Ah la salope ! Je m’en doutais elle te tournait tellement autour. Je ne t’en veux pas car je suis sure que tu m’aimes et que tu méprises cette trainée. Et en plus je suis heureuse que tu l’ais déjà dressée ! Ce sera plus facile…
• C’est vrai qu’elle est incroyable autant de perversité dans un corps aussi jeune. On va bien s’amuser. On commence quand ?
• Ce soir, j’ai déjà invité Sylvie à diner. J’étais sure de ta réponse, bien que ne connaissant pas toute l’histoire, tu aimes trop le sexe et j’adore.
Je la prends alors dans mes bras, j’achève de la déshabiller et j’en fais autant. Je la couche sur le canapé du salon et nous faisons lentement l’amour, sans nous presser, en nous caressant mutuellement jusqu’à l’orgasme définitif. Je la conserve dans mes bras et je lui dis :
• Je t’aime, je suis fou de toi.
• Je t’aime moi aussi et j’adore quand tu me fais l’amour. J’aimerai aussi quand tu le feras à ma sœur devant moi. Ce soir je vais prétexter d’aller faire une course au supermarché du coin. Tu en profiteras pour la chauffer et tu lui feras l’amour. Je reviendrai à l’improviste pour vous surprendre et, crois-moi, à partir de cet instant, ce n’est pas elle qui aura le beau rôle. Elle sera piégée et nous pourrons alors en faire ce que nous voulons. Elle deviendra notre soumise. L’idéal serait qu’elle vienne habiter désormais chez nous plutôt que chez nos parents. On pourrait lui aménager le petit appentis en studio et en faire une sorte de Lupanar. Je la verrais bien se prostituer pour nous. Tu l’as déjà fait auprès de l’oncle Georges. Ça nous paierait les traites de la maison ! Au moins elle aura un travail cette feignasse !
• Tu es sure que tu ne détestes pas ta sœur en quelque sorte ?
• Si ! Elle m’a bouffé une partie de ma vie mais c’est une autre histoire.
Nous vaquons ensuite à nos occupations et vers 18h00 on sonne à la porte c’est Sylvie. Je vais ouvrir et je lui dis :
• Bonsoir ma petite salope. Tu viens pour te faire baiser ? Tu es en manque ?
• Tais-toi ma sœur pourrait nous entendre !
Je la fais entrer et Sophie nous rejoint. Je lui fais un clin d’œil.
• Vous voulez boire quelque chose ?
• Oui : un Cuba libre !
• Pour moi un martini
Je pars servir les verres et Sophie retourne dans sa cuisine. Au passage elle me chuchote :
• Chauffe-la et baise-la!
Sylvie s’assied dans le canapé et je viens m’asseoir à ses côtés. Nous discutons de tout et rien. Après quelques minutes, je ne peux m’empêcher de placer ma main sur un de ses seins. Elle la repousse sans rien dire. Après cinq ou six tentatives, elle se laisse faire. Je lui caresse les seins à travers sa robe. Elle n’a pas de soutien-gorge. Elle rougit un peu. Je sens qu’elle aime.
Je décide de me lever pour être plus à l’aise, je me place dans son dos et commence à lui masser la nuque.
Puis mes mains passent son cou et descendent sur sa poitrine, sur sa robe. Je malaxe ses seins, ils sont bien fermes, je les écarte, puis les écrase l’un contre l’autre. Elle reste figée, n’osant bouger, de peur d’attirer l’attention de sa sœur. Elle a la trouille, mais ça l’excite en même temps…
Je remonte mes mains au-dessus de son décolleté et les fais plonger sur sa poitrine, mais cette fois-ci sous sa robe. Elle attache mes bras pour les enlever, mais j’ai trop de force. Elle renonce et me laisse faire. Je continue ainsi à la peloter pendant un moment en lui étirant les tétons, puis je remonte mes mains jusqu’à ses épaules et je joue avec les bretelles de sa robe.
Elle lève la tête pour me regarder dans les yeux. Elle a peur. C’est à ce moment-là que je décide de faire coulisser doucement les bretelles sur ses épaules, puis sur le haut de ses bras.
Elle vérifie si Sophie ne voit pas ce qui se passe. Elle est vraiment stressée et retient avec ses mains les bretelles à la moitié du haut de ses bras, évitant ainsi que ses mamelons soient mis à nu. Je descends alors lentement mes mains sur ses seins, les empaumant complètement. Elle dégage ses mains. Les deux bretelles tombent jusqu’aux coudes. Elle sursaute.
Mes doigts continuent leur travail et pressent fortement chacun de ses seins. Je voudrais les faire exploser. Je les masse et les fait ballotter de droite à gauche. Elle s’abandonne et me laisse totalement faire, cette pute ! Elle aime ça… Elle se laisse peloter les seins à l’air, à trois mètres de sa sœur. Quelle salope !!!
Ensuite, je les comprime l’un contre l’autre ; j’avance ma tête au-dessus de la sienne sans qu’elle s’en aperçoive, et laisse couler de ma bouche un gros paquet de salive qui tombe juste entre ses seins.
Surprise, elle lève la tête et me jette un regard très noir. J’en profite pour bien étaler mon mollard sur sa poitrine en faisant passer ses seins l’un par-dessus l’autre. Elle retire alors fermement mes mains, et range sa poitrine dans sa robe. Elle se lève et déclare :
• Sophie tu as besoin d’aide ?
• Non merci ça va j’ai juste une course à faire au supermarché en bas. J’en ai pour une vingtaine de minutes car à cette heure-ci, il y a du monde.
Elle fait sa fausse sortie comme prévu… Je lance alors un ordre qui ne demande aucune contestation :
• Sylvie lève-toi et tourne ton cul vers moi!
Elle obéit tout de suite et se cambre un peu. Je remonte sa robe. Je m’aperçois alors qu’elle a mis un collant. Je le déchire juste au niveau de sa chatte.
• Tant pis pour ton collant ; Je t’avais dit de ne pas en mettre pour pouvoir te baiser rapidement !
J’écarte alors sa culotte sur sa fesse droite, je sors mon braquemart, je soulève sa jambe et je m’enfonce très facilement jusqu’au fond de sa chatte. Je lui dis alors.
• Ça ta plu, ce que je viens de te faire ? T’es toute mouillée !
Elle ne répond pas. Je place une main sur son épaule pour appuyer dessus pour la baiser bien fort, et avec l’autre je lui mets les seins à l’air qui pendent désormais. Quand je pense que je la baise pendant que sa sœur fait les courses.
• Regarde-toi : t’es qu’une traînée, sale pute ! Tu aimes passer pour une salope ?
• Mmouiii !!!
• C’est ça ; tu vas jouir. Tu sais que tu es ma pute ! T’as aimé faire l’amour avec oncle Charles l’autre jour, ce vieux cradingue qui te baise pour de l’argent ?
• Ouiiii et je ne sais pas pourquoi.
• Parce que tu as le vice dans la peau et que tu aimes ça. Je vais te faire baiser par un régiment de sénégalais ! Tu ne seras plus qu’un vide-couilles !
Je la démonte littéralement en l’attrapant par les hanches. Je lui crache dans le dos et sur sa joue quand elle se tourne. Je me retire avant de jouir et la tire par les cheveux pour la forcer à se baisser face à ma bite. Je me branle face à son visage. Elle tire la langue pour que j’éjacule dessus. Mais au moment de gicler, je baisse mon sexe et éjacule sur sa poitrine. J’en mets partout. Sur les deux seins et entre eux. J’étale le tout avec mon gland. Je remonte ma queue et lui mets dans la bouche pour qu’elle me nettoie. À ce moment-là, je dis bien fort :
• Tu peux entrer Sophie !
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